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Understanding Reports to Child Welfare from the Education System: Challenges and Opportunities for Supporting Vulnerable ChildrenKing, Colin 10 January 2012 (has links)
Educators play a crucial role in the detection of child abuse, but there is limited research understanding the role of teachers in responding to maltreatment concerns. The purpose of this dissertation was to utilise three sequential studies, with multiple methodologies, to understand how Canadian educators are situated to detect, respond, and report suspected child abuse. In the first study, a national Canadian database was utilised to compare educator reported cases of child maltreatment to reports from all other professionals. In study two, 245 teachers completed a questionnaire examining their experiences of reporting child abuse, attitudes and beliefs, and perceived barriers and supports in reporting. Lastly, in the third study, semi-structured qualitative interviews were conducted with seven teachers who had recently reported child abuse. In integrating the results from these studies, three conclusions were drawn regarding the role of educators within the child welfare system. These included; 1) Teachers are well-positioned to detect and advocate for the needs of maltreated children; 2) Teachers have a need for greater confidence, and an increased ability to cope with uncertainty, when responding to child abuse; and 3) There is often a mismatch between the goals of teachers in the education system and the perceived response of the child welfare system. Three recommendations were then presented; 1) Educators are a key resource in supporting early detection and intervention initiatives to address child abuse and their role in these initiatives should be further explored;
2) Teachers should be provided with additional strategies to address perceived barriers in reporting child abuse; and 3) Initiatives to promote increased communication between the education and child welfare systems are required. Overall, results supported the unique child-centred perspective of educators in reporting child maltreatment. Study limitations and areas for future research were then discussed.
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Le blocage de la reconsolidation des souvenirs, une avenue possible pour le traitement du trouble de stress post-traumatique?Poundja, Joaquin 06 1900 (has links)
La présente thèse porte sur l’évaluation de l’efficacité d’un nouveau traitement pour le trouble de stress post-traumatique (TSPT). Le traitement a été développé selon les prémisses de la théorie de la reconsolidation des souvenirs. Il consiste en six courtes séances de remémoration de l’événement traumatique réalisées sous l’effet du propranolol, un bêtabloquant. La population de l’étude est constituée de patients souffrant d’un TSPT chronique.
La thèse comporte cinq chapitres. Le premier chapitre est l’introduction, on y retrouve une description du TSPT, des traitements validés empiriquement, de diverses théories de la mémoire, d’un modèle étiologique du TSPT, d’études sur la consolidation et la reconsolidation, de la pharmacocinétique et du mécanisme d’action du propranolol,ainsi que des objectifs de la thèse. Le second chapitre est une revue critique de littérature sur la théorie de la reconsolidation. Comme l’étude du phénomène de la reconsolidation est récente, nous
tentons de faire le point sur l’état des connaissances dans le domaine, dans un effort de réflexion sur la validité de la théorie. Nous proposons une série de critères permettant de différencier la reconsolidation d’autres processus connexes. Nous concluons que la théorie paraît valide, bien que d’autres études soient nécessaires afin de rendre compte de résultats négatifs publiés par le passé. Le troisième chapitre est un essai ouvert, et vise à évaluer l’efficacité d’un traitement basé sur la reconsolidation à diminuer la sévérité et l’incidence du TSPT, auprès de 42 patients souffrant d’un TSPT chronique. Le traitement consiste en six séances de remémoration de l’événement traumatique sous propranolol. Lors d’un suivi à trois mois, nous rapportons une diminution des symptômes de TSPT de 41%-56%, ainsi qu’une diminution de l’incidence du TSPT de 74%. En comparaison, seulement 2/25 patients du groupe contrôle (ayant participé uniquement aux évaluations) ne souffrent plus d’un TSPT. Dans le groupe traitement, les tailles d’effet (d de Cohen)varient entre 1.32-2.19. Le quatrième chapitre a comme objectif d’identifier des caractéristiques des patients prédisant l’efficacité du traitement, et d’explorer s’ils s’améliorent dans des domaines de santé autres que le TSPT. Nous rapportons que les femmes s’améliorent davantage que les hommes, mais que d’autres facteurs, tels que la sévérité des traits de personnalité borderline ou le type de trauma (enfance versus adulte), n’influent pas sur l’efficacité. Également, les patients s’améliorent dans les domaines de santé suivants : la qualité de vie, la symptomatologie dépressive, l’intensité des émotions négatives au rappel de l’événement traumatique et dans la vie courante. Le cinquième chapitre contient la discussion générale de la thèse. Nous effectuons une synthèse et interprétation des résultats, nous examinons les hypothèses alternatives à l’amélioration clinique et abordons des pistes de recherches futures. Nous concluons que le traitement à l’étude a été efficace dans notre échantillon de patients
souffrant d’un TSPT chronique. Étant donné la méthodologie employée (essai ouvert),
nous ne pouvons statuer sur le mécanisme d’action du traitement, à savoir si
l’amélioration clinique a été réellement causée par un blocage de la reconsolidation des souvenirs. / This dissertation aims at exploring the efficacy of a new treatment for
posttraumatic stress disorder (PTSD). The treatment was developed in accordance with
an emerging theory in neuroscience, the reconsolidation theory, and it consists in six short reactivation sessions of a traumatic memory under the influence of propranolol (a ß-blocker), with patients suffering from longstanding PTSD. This dissertation includes five chapters. Chapter I is the introduction, it includes a discussion on the following topics : definition and prevalence of PTSD,empirically
validated treatments in the field, memory theories, etiology of PTSD, studies on
consolidation and reconsolidation, pharmacokinetics of propranolol and its mechanism of action in reconsolidation, and the objectives of the dissertation. Chapter II is a critical literature review on reconsolidation theory. We discuss some of the contradicting findings in reconsolidation, as some researchers have reported negative results in the field. We address the possibility to reconcile these discrepancies,within the scope of evaluating the validity of the theory. We also discuss a series of criterion which could provide guidance in differentiating reconsolidation from other processes. We conclude that reconsolidation theory seems valid, although more research is needed in order to shed light on some negative results that were published in the past. Chapter III is an open label trial comprising six sessions of treatment (trauma reactivation under propranolol) with 42 patients suffering from chronic PTSD. At a three-month follow-up, we report that patients have a 41% - 56% reduction in PTSD symptoms, and that 31 / 42 patients no longer meet the diagnostic threshold for PTSD. In comparison, only 2 / 25 patients from the control group (assessments only) don’t meet the diagnostic threshold for PTSD. In the treatment group, effect sizes (Cohen’s d) range between 1.32 -2.19. Chapter IV follows on the previous chapter’s study, and aims at identifying
predictors of treatment outcome (i.e., predictors of the improvement in PTSD
symptoms), and whether patients also improve in health domains other than PTSD. We
report that women improve more than men during the treatment, but that other factors
such as borderline personality severity traits or type of trauma (childhood versus
adulthood) do not influence treatment outcome. Patients also improve in diverse health domains during the treatment; they have a better quality of life, less depressive symptoms, less intense negative emotions in daily life and during trauma recollection. Chapter V contains a general discussion and a conclusion. We summarize and
interpret the results, we explore alternative hypotheses to the clinical improvement as well as future research directions. We conclude that this treatment yielded interesting results in our sample of patients suffering from chronic PTSD. However, our methodology (open label study) doesn’t provide any information on the mechanism of action of the treatment used in this dissertation, i.e. whether the clinical improvement was caused or not by reconsolidation blockade.
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La comorbidité chez les joueurs pathologiques en traitementGonzález-Sicilia Fernández, Daniela 07 1900 (has links)
Plusieurs études telles que le NESARC ont démontré la comorbidité chez les joueurs
pathologiques dans la population générale et dans des échantillons cliniques. Le jeu pathologique se présente souvent avec des troubles comorbides tels que les toxicomanies, les troubles de l’humeur, les troubles anxieux et les troubles de la personnalité. Cette étude a été réalisée auprès de 40 joueurs pathologiques admis en traitement au Centre Dollard-Cormier, Institut universitaire sur les dépendances à Montréal. Les objectifs étaient d’évaluer : la consommation d’alcool et de drogues, la présence d’une détresse psychologique caractérisée par des symptômes et des
syndromes cliniques ainsi que par des troubles de la personnalité et la prévalence du trouble de l’ÉSPT dans l’échantillon. L’ICJE a été utilisé pour évaluer la gravité du jeu. Les autres troubles ont été mesurés à travers l’IGT, l’AUDIT, le MCMI-III, le QÉT et l’ÉMST. Les résultats montrent
que 65 % des participants présentent une consommation problématique d’alcool (25 %
actuellement, 40 % dans le passé), 27,5 % une consommation problématique de drogues; 52,5 %, un diagnostic probable d’au moins un syndrome clinique (surtout anxiété et dépression), 55 %, un diagnostic probable d’au moins un trouble de la personnalité; 30 %, des symptômes du trouble d’ÉSPT et 17,5 %, un diagnostic probable du trouble. Alors, la comorbidité est présente chez les
joueurs pathologiques de l’échantillon. Il est essentiel de l’identifier pour mieux répondre aux besoins particuliers de l’individu et l’aider avec les symptômes qui aggravent le problème de jeu et augmentent le risque de récidive. / Several studies such as the NESARC have demonstrated the comorbidity in pathological gamblers in the general population and in clinical samples. Pathological gambling often occurs with other comorbid disorders, such as addictions, mood disorders, anxiety disorders, and personality disorders. This study was conducted among 40 pathological gamblers admitted in treatment at Centre Dollard-Cormier, Institut universitaire sur les dépendances, in Montreal. The objectives
were to assess the use of alcohol and drugs, the presence of psychological distress characterized by clinical symptoms and syndromes as well as by personality disorders, and the prevalence of PTSD
in the gamblers of the sample. The CPGI was used to assess the severity of gambling. The other disorders were measured through the ASI, the AUDIT, the MCMI-III, the QÉT and the ÉMST. The results show that 65% of participants had a problem with alcohol (25% currently, 40% in the past), 27.5% presented a problematic drug use, 52.5% had a potential diagnosis of at least one
clinical syndrome (mainly anxiety and depression), 55% had a potential diagnosis of at least one personality disorder, 30% presented symptoms of PTSD and 17.5% had a potential diagnosis of PTSD. In conclusion, comorbidity exists in the pathological gamblers of the sample. It is essential
to identify it in order to better address the needs of the individual and to help him with the symptoms that worsen the gambling problem and increase the risk of recurrence.
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Évolution des émotions, des obsessions et des compulsions chez les personnes souffrant de Trouble obsessionnel-compulsif au cours d’une thérapie basée sur les inférencesBéland, Mélanie 06 1900 (has links)
L’approche cognitive du trouble obsessionnel-compulsif (TOC) propose un lien bidirectionnel entre les émotions et les cognitions. Cependant, même si des études montrent une association entre les émotions et le TOC, aucune étude ne s’est attardée à la relation entre les émotions, les cognitions et les comportements au cours d’une thérapie cognitive.
La présente étude a pour but d’examiner la relation entre les processus cognitif, béhavioral et émotionnel au cours d’une thérapie basée sur les inférences (TBI) chez des personnes souffrant du TOC. Plus précisément, nous avons observé comment les émotions et les symptômes du TOC s’influencent et comment ils s’influencent à travers le temps.
Les patients ont rempli un journal de bord tout au long du processus thérapeutique, notant (de 0 à 100) des émotions clés, ainsi que les croyances et les comportements ciblés durant la thérapie. Des analyses à mesures répétées ont été utilisées afin de maximiser le potentiel des données longitudinales. Les résultats montrent que l’anxiété, la tristesse et la joie ont des trajectoires similaires aux croyances et aux comportements au cours de la thérapie.
Les forces et limites de l’étude sont discutées. Les implications des résultats pour le traitement des émotions et des pensées à différents moments de la thérapie sont aussi discutées. / Cognitive approach of obsessive-compulsive disorder (OCD) has suggested a bidirectional link between emotions and cognitions. Few studies have looked at a link between those two components. Although some studies tend to show a relationship between emotions and OCD, no study has looked into the relationship between emotions, cognitions and behaviours over the course of a cognitive therapy.
The present case series examines the relationship between cognitive, behavioural and emotional processes over the course of an inference-based therapy (IBT) in OCD clients. More precisely, we looked at how emotions and OCD symptoms influence each other and how they influence each other over time (through therapy).
Clients filled in daily diaries rating key emotions, behaviours and beliefs over the course of treatment. A longitudinal analysis based on an event-based approach was used to maximize the potential of longitudinal data. Results showed that anxiety, sadness and joy share similar trajectories with beliefs and behaviours over the course of therapy.
Strengths and limitations of the study are noted. Implications for targeting emotions and thoughts at different stages of therapy are also discussed.
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Le rôle du sentiment d’efficacité personnelle, de l’insatisfaction corporelle et de l’alexithymie dans l’étiologie et le maintien des troubles des conduites alimentairesCouture, Stéphanie 01 1900 (has links)
La forte prévalence des troubles des conduites alimentaires (TCA) chez les jeunes femmes et les faibles taux de rémission suite à un traitement ont encouragé les chercheurs à mieux comprendre les facteurs impliqués dans ce trouble mental. L’un des premiers modèles à mettre l’emphase sur des traits de personnalité associés au développement d’un TCA a été proposé par Hilde Bruch (1962, 1973, 1978) et a toujours une grande influence dans la recherche actuelle. Le modèle de Bruch inclue trois facteurs, soit l’insatisfaction corporelle, l’inefficacité et la conscience intéroceptive. Le but de cette thèse est d’apporter un support empirique au modèle de Bruch. En se basant sur une revue extensive des écrits scientifiques, cette thèse vise aussi à déterminer si deux facteurs reliés, soit l’alexithymie et le sentiment d’efficacité personnelle face à l’adoption de conduites alimentaires saines, améliorent la précision du modèle dans la prédiction de symptômes de TCA.
Pour répondre empiriquement à cette question, il était d’abord nécessaire de disposer d’un questionnaire évaluant le sentiment d’efficacité personnelle en lien avec les conduites alimentaires qui peut être utilisé dans tout le spectre de présentation des TCA. Ainsi, le Eating Disorder Self-Efficacy Questionnaire (EDRSQ) a été adapté en français et ses propriétés psychométriques ont été évaluées. Une analyse factorielle confirmatoire a révélé une structure bi-factorielle, soit le sentiment d’efficacité personnelle en lien avec l’insatisfaction corporelle et avec l’adoption d’une alimentation normative. Chaque échelle a démontré une bonne fiabilité ainsi qu’une validité de construit cohérente avec la théorie.
Par la suite, la capacité des facteurs proposés par Bruch à prédire les symptômes de TCA a été évaluée et comparée à des adaptations du modèle découlant des écrits. Au total, 203 étudiantes de premier cycle universitaire ont complété les versions validées en français du Eating Disorder Inventory 2, du Eating Attitudes Test, et du Toronto Alexithymia Scale en plus du EDRSQ. Les résultats montrent que le modèle de Bruch explique 46% de la variance des symptômes de TCA. Alors que l’insatisfaction corporelle et la conscience intéroceptive démontrent chacun une contribution importante dans la prédiction des symptômes de TCA, il a été démontré que l’inefficacité présente seulement une contribution spécifique négligeable. Le modèle de Bruch est amélioré par la substitution de l’inefficacité par le sentiment d’efficacité personnelle tel que mesuré par le EDRSQ; le modèle explique alors 64% de la variance des symptômes de TCA. Finalement, cette étude démontre que l’alexithymie n’a pas de contribution spécifique dans la prédiction des symptômes de TCA. Ainsi, la combinaison d’une faible conscience intéroceptive, de l’insatisfaction corporelle et d’un faible sentiment d’efficacité personnelle en lien avec les conduites alimentaires est fortement associée aux symptômes de TCA dans un échantillon non-clinique de jeunes femmes. Finalement, les implications conceptuelles et cliniques de ces résultats sont discutées. / High prevalence of Eating Disorders (EDs) amongst young women and poor treatment outcome rates have urged researchers to better understand premorbid factors involved in the pathology. One of the first models to emphasize premorbid personality factors in order to explain eating disorders was proposed by Hilde Bruch (1962, 1973, 1978) and is still very influential in today’s literature. Bruch’s model included three factors, namely body dissatisfaction, ineffectiveness and interoceptive awareness. The purpose of this thesis was to provide an empirical validation of Bruch’s theoretical model. Based on the literature, this thesis also aimed to determine if two related concepts, namely alexithymia and eating self-efficacy, improved the accuracy of the model in predicting ED symptoms.
To empirically answer this question, it was first deemed necessary to have an eating self-efficacy questionnaire that could be used within all the spectrum of ED pathology. Therefore, the Eating Disorder Self-Efficacy Questionnaire (EDRSQ) was adapted to French and its’ psychometric properties were assessed. A confirmatory factor analysis revealed a bi-factorial structure, which were Body Image Self-Efficacy and Normative Eating Self-Efficacy. Both scales demonstrated evidence of reliability and theoretically consistent evidence of construct validity.
Afterwards, Bruch’s factors ability to predict ED symptoms was assessed and then compared to empirically driven adaptations of the model. A total of 203 undergraduate females completed the Eating Disorder Inventory 2, Eating Attitudes Test, and Toronto Alexithymia Scale, as well as the EDRSQ. The results indicated that Bruch’s model accounted for 46% of the variance in eating symptomatology. While body dissatisfaction and interoceptive awareness both demonstrated an important contribution in predicting ED symptomatology, ineffectiveness was found to have a negligible specific contribution. Bruch’s model was improved by substituting ineffectiveness with eating self-efficacy as measured by the EDRSQ; it then accounted for 64% of the variance in eating disorder symptoms. Finally, this study demonstrated that alexithymia was not a specific predictor of eating disorder symptoms. Thus, a combination of lack of interoceptive awareness, body dissatisfaction and low eating self-efficacy is strongly associated with symptoms of eating disorders in a non-clinical sample of women. Finally, the conceptual and clinical implications of these findings were discussed.
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The Effects of Self-presentation on an Expressive Writing Task for Trauma SurvivorsDanson, Jonathan J. 22 July 2010 (has links)
Expressive Writing (EW) involves writing in an emotionally expressive manner about an experienced event, and has been shown to be related to increases in psychological and physical well-being. The purpose of the current study was to extend previous work by examining how self-presentation affects psychological and physical gains following the EW task. Forty one participants who have experienced a traumatic event were recruited from the community and given either an EW or control activity. Measures assessing self-presentation and various indices of health were administered at baseline and again at one month follow-up to determine changes in symptomatology. Results indicated that higher levels of perfectionistic self-presentation were significantly associated with less improvement in symptoms of depression and posttraumatic stress. Further, a nonsignificant moderation trend emerged whereby higher levels of perfectionistic self-presentation were associated with more improvement in symptoms of depression and posttraumatic stress in the EW group but not control group.
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The Effects of Self-presentation on an Expressive Writing Task for Trauma SurvivorsDanson, Jonathan J. 22 July 2010 (has links)
Expressive Writing (EW) involves writing in an emotionally expressive manner about an experienced event, and has been shown to be related to increases in psychological and physical well-being. The purpose of the current study was to extend previous work by examining how self-presentation affects psychological and physical gains following the EW task. Forty one participants who have experienced a traumatic event were recruited from the community and given either an EW or control activity. Measures assessing self-presentation and various indices of health were administered at baseline and again at one month follow-up to determine changes in symptomatology. Results indicated that higher levels of perfectionistic self-presentation were significantly associated with less improvement in symptoms of depression and posttraumatic stress. Further, a nonsignificant moderation trend emerged whereby higher levels of perfectionistic self-presentation were associated with more improvement in symptoms of depression and posttraumatic stress in the EW group but not control group.
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The uses of the outline for cultural formulation of the DSM-IV : from case conceptualization to treatment planDinh, My-Hoa Nathalie 05 1900 (has links)
ARTICLE 1 : RÉSUMÉ
Amputation traumatique: Une étude de cas laotien sur l’indignation et l’injustice.
La culture est un contexte essentiel à considérer pour produire un diagnostic et un plan d’intervention psychiatrique. Une perspective culturelle met en relief le contexte social dans lequel les symptômes émergent, et comment ils sont interprétés et gérés par la personne atteinte. Des études ethnoculturelles sur les maladies nous suggèrent que la plupart des gens nous donnent des explications pour leurs symptômes qui ont un fondement culturel. Bien que ces explications contredisent la théorie biomédicale, elles soulagent la souffrance des patients et leur permettent de donner une signification à cette dernière. L’exploration des caractéristiques, contextes et antécédents des symptômes permet au patient de les communiquer au clinicien qui pourrait avoir une explication différente de sa maladie. Cette étude de cas permet de montrer comment le Guide pour Formulation Culturelle du DSM-IV (The DSM-IV Outline for Cultural Formulation) permet aux cliniciens de solliciter un récit du patient en lien avec son expérience de la maladie. Notre étude examine l’utilisation par un patient laotien de « l’indignation sociale » (« Khuâm khum khang ») comme le modèle explicatif culturel de son problème malgré le diagnostic de trouble de stress post-traumatique qui lui fut attribué après une amputation traumatique. L’explication culturelle de son problème a permis au patient d’exprimer la signification personnelle et collective à sa colère et sa frustration, émotions qu’il avait réprimées. Cet idiome culturel lui a permis d’exprimer sa détresse et de réfléchir sur le système de soins de santé et, plus précisément, le contexte dans lequel les symptômes et leurs origines sont racontés et évalués. Cette représentation laotienne a aussi permis aux cliniciens de comprendre des expériences et les explications du client, autrement difficiles à situer dans un contexte biomédical et psychiatrique Euro-américain. Cette étude démontre comment il est possible d’améliorer les interactions entre cliniciens et patients et dès lors la qualité des soins par la compréhension de la perspective du patient et l’utilisation d’une approche culturelle.
Mots clés: Culture, signification, idiome culturel, modèle explicatif, Guide pour Formulation culturelle du DSM-IV, indignation sociale, interaction entre patient et intervenant.
ARTICLE 2 : RÉSUMÉ
Impact de l’utilisation du Guide pour la formulation culturelle du DSM-IV sur la dynamique de conférences multidisciplinaires en santé mentale.
La croissance du pluralisme culturel en Amérique du nord a obligé la communauté oeuvrant en santé mentale d’adopter une sensibilité culturelle accrue dans l’exercice de leur métier. Les professionnels en santé mentale doivent prendre conscience du contexte historique et social non seulement de leur clientèle mais également de leur propre profession. Les renseignements exigés pour les soins professionnels proviennent d’ évaluations cliniques. Il faut examiner ces informations dans un cadre culturellement sensible pour pouvoir formuler une évaluation des cas qui permet aux cliniciens de poser un diagnostic juste et précis, et ce, à travers les frontières culturelles du patient aussi bien que celles du professionnel en santé mentale. Cette situation a suscité le développement du Guide pour la formulation culturelle dans la 4ième édition du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux américain (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders (4th ed., DSM-IV) de l’Association psychiatrique américaine. Ce guide est un outil pour aider les cliniciens à obtenir des informations de nature culturelle auprès du client et de sa famille afin de guider la production des soins en santé mentale. L’étude vise l’analyse conversationnelle de la conférence multidisciplinaire comme contexte d’utilisation du Guide pour la formulation culturelle qui sert de cadre dans lequel les pratiques discursives des professionnels de la santé mentale évoluent. Utilisant la perspective théorique de l’interactionnisme symbolique, l’étude examine comment les diverses disciplines de la santé mentale interprètent et conceptualisent les éléments culturels et les implications de ce cadre pour la collaboration interdisciplinaire dans l’évaluation, l’élaboration de plans de traitement et des soins.
Mots clé: Guide pour Formulation culturelle – Santé mentale – Psychiatrie transculturelle – Analyse conversationnelle – Interactionnisme symbolique / ARTICLE 1: ABSTRACT
Traumatic Amputation: A Case of Laotian Indignation and Injustice.
Culture is an essential variable of diagnosis and treatment. A cultural perspective draws attention to the social context within which symptoms arise, are given meaning, and are managed. Ethno-cultural work on illness narratives suggests that most people can provide culturally-based explanations for their symptoms. While these explanations are inconsistent with biomedical theory, they relieve patient distress by allowing the patient to create meaning for symptoms. Exploring the characteristics, context, and antecedents of the symptoms enables the patient to convey them to the clinician who may have a divergent explanation of sickness. This case study uses the Outline for Cultural Formulation of the DSM-IV created for clinicians to elicit a narrative account of the illness experience from the patient. Our study examines how the patient, a Laotian used social indignation (“Khuâm khum khang”) as an explanatory model for his ailment. He was diagnosed with post-traumatic stress disorder after having undergone a traumatic amputation. In the process of explaining his illness through a cultural idiom, the patient was able to reveal both personal and collective meaning of repressed anger and frustration, expressing them in a context that was acceptable to him. This cultural idiom allowed the patient to reflect upon the structure of the health care system and the specific context in which symptoms and their possible origins are recounted and explored. It also clarified to the treating clinicians some categories of experience and causal explanations that did not fit easily with western biomedical and psychiatric understanding. The case study illustrates how a cultural approach to illness from the patient’s perspective offers a reflexive stance on the clinician-patient interaction that allows for better patient care.
Key words: culture, meaning, cultural idiom, explanatory model, DSM-IV Outline for Cultural Formulation, social indignation, clinician-patient interaction.
ARTICLE 2: ABSTRACT
Impact of the Use the DSM-IV Outline for Cultural Formulation on the Dynamics of Multidisciplinary Case Conferences in Mental Health.
The growth of cultural pluralism in North American society has required the mental health community to show a higher level of cultural sensitivity. Mental health professionals must not only be aware of the social and historical context of their clientele, but also of their profession. Clinical evaluations provide the information for clinical care. This information must be examined in a cultural-sensitive framework for assessment and case formulation that permits an accurate diagnosis across the cultural boundaries of both patient and mental-care professional. The Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders (4th ed., DSM-IV; American Psychiatric Association, 1994) sets forth an Outline for Cultural Formulation (CF). It instructs clinicians not only on how to elicit culturally relevant clinical material, but also on how to assess the importance of the diverse cultural perspectives of patients and their families, thus increasing usefulness of their own cultural knowledge in treatment. This study is a conversational analysis of the nature and application of knowledge within a clinical, interdisciplinary context. It uses an expanded version of the CF as a framework, in which the discursive practices of mental health professionals are evolving. From a symbolic interactionist perspective, it examines the way different disciplines interpret and conceptualize cultural elements and the implications of this framework for interdisciplinary collaboration of assessment, treatment plan and care.
Key words: Outline for Cultural Formulation – Mental Health – Cross-cultural psychiatry – Conversational Analysis – Symbolic Interactionism
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Exploration qualitative de l’expérience de tristesse pour des patients souffrant d’un trouble de personnalité limiteBriand-Malenfant, Rachel 03 1900 (has links)
La représentation que se font les patients souffrant d’un trouble de personnalité limite (TPL) de leur expérience de tristesse est un domaine de recherche important tant pour la conceptualisation du trouble que pour son traitement. Ces patients sont connus pour vivre une grande détresse qui se manifeste à travers divers symptômes (Bland, Williams,
Scharer, & Manning, 2004). Un nombre élevé de patients présentant un TPL se suicident (Paris, 2002), font au moins une tentative de suicide au cours de leur vie (Oldham, 2006)
et s’automutilent (p.ex., Brown, Williams, & Collins, 2007). La recherche sur la souffrance du TPL s’entend sur un paradoxe : ces patients souffrent beaucoup, mais ils
vivent peu de tristesse. Leur souffrance prend une forme distincte en qualité, celle-ci demandant à être davantage étudiée empiriquement et théoriquement.
L’objectif de cette thèse est d’explorer la représentation de la tristesse de participants souffrant d’un TPL. Alors qu’à notre connaissance aucune étude n’a encore poursuivi
cet objectif spécifique, différentes pistes de réflexion ont été soulevées dans la documentation scientifique pour expliquer la nature de la souffrance du TPL en ce qui a
trait au tempérament, au fonctionnement mental, à la dépression, à l’organisation de la personnalité et aux événements traumatiques.
La première étude de cette thèse vise à réfléchir théoriquement et cliniquement à la tristesse, afin d’en raffiner la définition, entre autres par opposition à la détresse. Elle propose une distinction tant au plan métapsychologique que phénoménologique de ces
deux expériences, en se basant sur des théories évolutionnistes des émotions et sur différentes conceptions psychanalytiques du fonctionnement mental et des relations
objectales. Une vignette clinique illustre cette réflexion.
La seconde étude vise à explorer, par une démarche qualitative, les principaux thèmes abordés par des participants souffrant d’un TPL lorsqu’ils racontent des épisodes de tristesse. Sept participants avec un diagnostic de TPL évalué à l’aide du SCID-II (First, Gibbon, Spitzer, & Williams, 1997) ont participé à une entrevue semi-dirigée visant le rappel de deux épisodes relationnels de tristesse. Suivant la méthode d’analyse phénoménologique interprétative (Smith, 1996), une analyse thématique de quatorze épisodes de tristesse a été effectuée conjointement par deux candidates au doctorat pour
décrire la représentation de la tristesse de ces participants. Cinq thèmes ont été identifiés : 1) agression, 2) relation brisée par l’autre, 3) affectivité négative indifférenciée, 4) soi défectueux et 5) débordement. Les résultats suggèrent que la représentation de la tristesse du TPL n’est pas associée à la perte, mais plutôt à l’impression d’avoir été endommagé par une attaque infligée par quelqu’un d’autre. Il s’agit d’une expérience peu mentalisée que l’individu semble tenter de réguler dans la sphère interpersonnelle. Cette expérience ne représenterait pas de la tristesse à
proprement parler. Les conclusions ont permis d’élaborer une nouvelle hypothèse de recherche : l’expérience de tristesse des patients souffrant d’un TPL ne correspond pas à la tristesse proprement dite, mais à une forme de détresse interpersonnelle impliquant à la fois des déficits du fonctionnement mental et une organisation particulière de la personnalité. Les implications cliniques et théoriques sont discutées. / The exploration of the phenomenology of sadness in patients with Borderline Personality Disorder (BPD) is relevant to the understanding of the pathology and to its
treatment. BPD patients tend to experience distress intensely and frequently, and inefficient attempts at regulating this emotional experience is known to be associated with symptoms, such as suicidal or parasuicidal gestures (Bland, Williams, Scharer, & Manning, 2004; Brown, Williams, & Collins, 2007; Oldham, 2006; Paris, 2002). The
literature on psychological suffering in BPD reveals an apparent contradiction: these patients experience a large amount of suffering, but they appear to not experience
sadness. The nature of their suffering seems to be distinct from sadness, and has yet to be more fully explored empirically and theoretically. The present thesis aims at
exploring the phenomenology of sadness in BPD. To our knowledge, no research has specifically attempted to investigate this particular topic, but some etiological pathways for understanding BPD suffering have been explored: temperament, mental functioning,
depression, personality organization and traumatic events.
The first study proposes a theoretical and clinical investigation of the concept of sadness and defines it in opposition to distress. This distinction between sadness and
distress focuses on phenomenological and metapsychological perspectives, and is in line with evolutionary theories of emotion and psychoanalytic formulations on mental functioning and object relationships. A case study illustrates this investigation.
The second study aims at exploring the phenomenology of sadness through an investigation of the major themes that BPD participants talk about when they are asked
to recall episodes of sadness. Seven individuals with a diagnosis of BPD on the SCID-II (First, Gibbon, Spitzer, & Williams, 1997) participated in a semi-structured interview.
Following the Interpretative Phenomenological Analysis principles (Smith, 1996), a thematic analysis of 14 transcripts was performed by two doctoral students in order to outline the representation of sadness of BPD participants. Five themes were found: 1) aggression, 2) relationship broken off by the other, 3) undifferentiated negative affect, 4) self being defective, and 5) overwhelming experience. The results suggest that ‘sadness’ in those episodes is not associated with a representation of loss, but with a state of being ‘damaged’ by the aggression and/or the breaking off of the relationship inflicted by the other. This is a non-mentalized experience that the participants tend to regulate in the interpersonal field. This experience should not be conceptualized as sadness proper.
In conclusion, a new hypothesis emerges: the experience of sadness for BPD patients is not really sadness, but a form of interpersonally-focused distress. This emotional experience is characterized by a deficit in mental functioning and by a
particular personality organization. Clinical and theoretical implications are discussed.
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Perceptions et réactions des soignants et membres de famille à l’égard d’une intervention de réminiscence auprès de personnes atteintes de démence légère à modérée en soins de longue duréeCiquier, Gabrielle C. 08 1900 (has links)
La majorité des personnes atteintes de démence en soins de longue durée (SLD) souffre d’une détérioration de la cognition, des interactions sociales, de la santé mentale et de la qualité de vie (QdV). Par conséquent, les proches aidants et les soignants de cette population peuvent éprouver des difficultés, tel que le stress, en raison de la complexité du syndrome. Il s’avère essentiel de valider des interventions psychosociales adaptées à la population atteinte de démence et à ses aidants. La réminiscence, une intervention psychosociale misant sur les capacités résiduelles des personnes atteintes de démence, se fonde sur la remémoration des souvenirs anciens agréables. L’objectif général du mémoire était de valider la mise en œuvre d’une intervention de réminiscence menée par le personnel soignant auprès des personnes atteintes de démence et leurs familles dans un centre de SLD, en faisant appel aux avis experts des soignants et des familles des personnes atteintes de démence dans le contexte d’entrevues. Une évaluation pré-post intervention a permis de mesurer la santé mentale et la QdV des personnes atteintes de démence avant l’intervention, une semaine après et trois mois après l’intervention. Les résultats indiquent que la réminiscence a été bien appréciée par les soignants, les personnes atteintes de démence et leurs familles, et valident sa mise en œuvre en SLD. Des améliorations significatives (Wilcoxon p < 0,025) à court et à long terme ont été observées au niveau de la santé mentale et la QdV des personnes atteintes de démence. / The majority of older adults with dementia living in long-term care (LTC) suffer from a decline in cognition, social interactions, mental health, and quality of life (QoL). As a result, family members and caregivers of this population tend to undergo difficulties, such as stress, due to the complexity of the syndrome. It is therefore essential to validate psychosocial interventions that are suitable for both individuals with dementia and their caregivers. Reminiscence, which involves retrieval of past and pleasurable memories, is a psychosocial intervention that focuses on the residual faculties of individuals with dementia. The overall objective of the thesis was to validate the implementation of a reminiscence intervention led by caregivers for individuals with dementia and their family members in an LTC setting, by collecting the expert opinions of professional caregivers and family members through interviews. Treatment effectiveness was also examined using a pre-post intervention design to measure mental health and QOL of individuals with dementia at baseline, one week after, and three months after intervention. Results indicate that reminiscence was well appreciated by individuals with dementia, caregivers, and family members and validate its implementation in LTC. Findings also show significant short- and long-term improvements (Wilcoxon p < .025) in residents’ mental health and QoL.
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