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Entre France et Allemagne, de la ville ancienne à la Neustadt de Strasbourg : la construction du regard patrimonial / Between France and Germany, from the Old City to the Neustadt of Strasbourg : the construction of regard patrimonial (Heritage)

Eberhardt, Sophie 16 January 2015 (has links)
L’héritage de Strasbourg s’est construit dans le contexte particulier d’une ville frontalière, dans laquelle différentes influences, principalement française et germanique, ont contribué à forger un caractère singulier. Pourtant, les valeurs conférées à cet ensemble ne sont pas déterminées uniquement par le champ restrictif des considérations nationales. Depuis le Second Empire jusqu’à aujourd’hui, elles ont sans cesse évolué, en particulier depuis les décennies suivant la Seconde Guerre mondiale. Notre étude vise à faire état de la construction et de l’évolution des valeurs de l’héritage et du patrimoine de Strasbourg, et en particulier du quartier de la Neustadt, conçu et mis en œuvre pendant la période de l’annexion allemande (1871-1918) lorsque la ville devient la capitale du Reichsland d’Alsace-Lorraine. La période de l’étude s’ouvre à partir des années 1840, au moment du premier inventaire des monuments historiques et d’un grand effort de modernisation et d’embellissement par la Municipalité, et va jusqu’à aujourd’hui, à l’heure où la Neustadt suscite un intérêt croissant tant de la part des institutions locales et régionales, du milieu scientifique, que de la population.Dans ce but, ont été mobilisées les sources permettant d’éclairer ces phénomènes : procès-verbaux du conseil municipal, archives de la commission municipale des Beaux-arts, archives du service régional des Monuments historiques, manuels et revues spécialisés en urbanisme et architecture, les histoires de Strasbourg, les guides et récits de voyage ainsi que la presse quotidienne.Dans cette thèse, l’héritage est considéré comme « l’ensemble des aménagements anthropiques légués, subsistant en tout ou partie », et le patrimoine correspond à « la partie qu’on considère digne de conservation, de restauration et de mise en valeur » (Gauthiez, 2006, p. 126).Les recherches mettent en évidence que les valeurs de l’héritage et du patrimoine bâtis de Strasbourg se fondent pour une part sur les discours portés sur ces objets, mais aussi sur des silences. Ces discours et silences sont nourris de fortes considérations idéologiques liées aux doctrines et pratiques du patrimoine en France et en Allemagne, et d’ordre nationaliste. D’abord héritage méconnu, « étranger », puis patrimoine « hyper-valorisé » illustrant des influences croisées entre France et Allemagne, le patrimoine de la Neustadt se fonde également sur des conflits et le dépassement d’idéologies tout au long du XXe siècle, jusqu’à conduire à une candidature à l’inscription sur la Liste du patrimoine mondial de l’Unesco.Une autre part des valeurs de l’héritage et du patrimoine s’inscrit dans un substrat régional et local fort et la continuité des acteurs. Un décalage apparaît nettement dans certains cas entre les pratiques patrimoniales et les discours liés à ces pratiques. Les projets peuvent ainsi se poursuivre au-delà des changements d’appartenance nationale sans nécessairement que la continuité soit revendiquée. Le fort substrat régional et local a également participé de la construction d’une dimension mythologique de l’héritage et du patrimoine qui a favorisé cette cohérence (Barthes, 1957).Force est de constater également que les valeurs de l’héritage et du patrimoine dépendent en grande partie de leur état de connaissance dans les sphères institutionnelle et administrative, scientifique et de la population. Le fait que l’héritage des trois premiers quarts du XIXe siècle de Strasbourg fasse aujourd’hui l’objet d’une sous-valorisation est le résultat du manque d’intérêt porté également au sein de la sphère scientifique.L’approche choisie permet de dépasser les pratiques actuelles dans l’étude de l’architecture et de l’urbanisme en prenant mieux en compte les discours sur l’héritage bâti et en incluant des aspects anthropologiques, symboliques, politiques, sociologiques et culturels, pour exposer la construction du regard patrimonial. / The heritage of Strasbourg was built within the context of a boundary city, in which different influences, mainly French and German, have contributed to forge a singular character. Nonetheless, the values attributed to the site are not only determined by the restrictive field of national considerations. From the Second Empire to nowadays, they have continually evolved, and especially since the decades following the Second World War. Our study aims at explaining the construction and evolution of heritage values of Strasbourg, mainly those of the Neustadt, conceived and built during the German annexation (1871-1918), when Strasbourg became the capital of the Reichsland Elsass-Lothringen. The period of study opens during the 1840s, when the first inventory of historical monuments was created and a program of modernisation and embellissement was carried out by the City authorities. It stretches until nowadays, when the Neustadt is arousing increasing interest from the local and regional institutions, in the scientific field and among the population. Diverse sources have been exploited during researches: Municipal Council’s minutes, archives of the Municipal Council of Fine-Arts, archives of the Regional Office for Historical Monuments, handbooks and periodicals in architecture and urban planning, histories of Strasbourg, guides and trips narrations, and the press. In the thesis, « Héritage » is conceived as the « ensemble of anthropic construction inherited, partly or completely subsisting », and « Patrimoine » as « the part of heritage identified worthy of conservation, restoration, and valorisation ». (Gauthiez, 2006, p. 126).Firstly, the researches have revealed that the values of heritage of Strasbourg are founded, for one part, on the discourses hold on these objects, as well as on the silences. These discourses and silences are nourished by strong ideological considerations linked to doctrines and practices in the heritage field in France and in Germany. Originally unknown, then considered as « foreign » and finally as heritage « hyper-valorised » illustrating the crossed-influences between France and Germany, the heritage of the Neustadt is founded on conflicts and ideological overtaking all along the XXth century. Nowadays, Unesco World Heritage inscription is envisaged for the Neustadt.Secondly, it appeared that another part of the values of heritage is inscribed within the strong regional substrate and the continuity of actors. A discrepancy appeared when comparing the discourses and practices. Projects are in some case continued beyond the national changes. The important regional substrate has also allowed the construction of a mythological dimension to heritage (Barthes, 1957), and has strengthened the coherence in the urban landscape.Thirdly, the values of heritage rely for a large part on the knowledge within the institutional and administrative spheres, the scientific field, and among the population. The fact that the heritage of the first quarters of the XIXth century of Strasbourg is today under-valorised is the result of a lack of interest within the academic field. The approach selected allows overtaking the current practices in the study of architecture and urban planning by better taking into account the discourses on heritage and by including anthropological, symbolical, political, sociological and cultural aspects, so as to expose the construction of heritage gaze (regard patrimonial).
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D’Hiroshima à Tôkaimura (1945-1957) : pour une histoire culturelle de la genèse du projet nucléaire civil japonais à travers les quotidiens Asahi Shinbun et Yomiuri Shinbun / From Hiroshima to Tôkaimura (1945-1957) : a Cultural History of the Genesis of Japanese Civilian Nuclear Project Through the Newspapers Asahi Shinbun and Yomiuri Shinbun / 広島から東海村へ(1945-1957) : 日本の原子力平和利用の導入における文化史 : 朝日新聞と読売新聞の分析を通して

Bruno, Tino 21 September 2017 (has links)
Au-delà des questions inhérentes à la sûreté des installations nucléaires, l’accident de la centrale Fukushima Dai’ichi du 11 mars 2011 a fait ressurgir ce que certains considèrent comme un paradoxe : le Japon s’est lancé dans l’aventure du nucléaire alors qu’il avait lui-même été victime de la bombe atomique et que, de surcroît, il est régulièrement confronté à des catastrophes naturelles. Par ailleurs, la catastrophe de Fukushima a encouragé une certaine réflexion sur les médias japonais, qui vise particulièrement à critiquer le rôle que ceux-ci ont joué dans la promotion du nucléaire et son acceptation auprès du public japonais dès après la Seconde guerre mondiale. En s'inscrivant dans le champ des études en histoire culturelle, le présent travail vise ainsi à comprendre, à travers le prisme de l'image médiatique, comment le Japon a opéré une transition entre Hiroshima (1945) et Tôkaimura (1957), autrement dit entre le nucléaire militaire et le nucléaire civil, en attachant une importance particulière à la manière dont les discours sur ces "deux nucléaires" ont été articulés dans la presse japonaise. Pour ce faire, nous analysons la manière dont les grands quotidiens nationaux Asahi Shinbun et Yomiuri Shinbun ont traité de l’énergie atomique durant la genèse du projet nucléaire civil japonais (1945-1957), une période charnière démarrant avec les bombardements atomiques d’Hiroshima et de Nagasaki et se clôturant avec la mise en route du tout premier réacteur nucléaire expérimental japonais à Tôkaimura. À travers un plan structuré chronologiquement autour de quatre périodes, nous tentons donc de fournir des éléments de réponse à la question suivante : comment l’énergie nucléaire civile a-t-elle été représentée dans la presse nationale japonaise à l’époque de son introduction dans l’archipel ? Dans la première partie (1945-1949), nous observons comment l’énergie nucléaire a été représentée durant les premières années suivant les bombardements atomiques sur Hiroshima et Nagasaki, alors que le discours sur le nucléaire militaire était censuré par les Forces Alliées et que l’énergie nucléaire civile n’en était encore qu’à ses balbutiements. Dans la deuxième partie (1949-1952), nous analysons comment le socle des représentations de cette énergie évolue alors que la menace de la guerre nucléaire fait surface et que les premiers succès de production d’électricité nucléaire à l’étranger attirent l’attention de la presse japonaise. Notre troisième période (1953-1955) s’intéresse à trois évènements médiatiques qui ont influencé le discours médiatique autour de l’énergie nucléaire : le discours américain Atoms for Peace ; l’incident du thonier Daigo Fukuryû Maru ; et la venue de l’industriel américain John Jay Hopkins sur l’invitation de Shôriki Matstutarô, alors à la tête du quotidien Yomiuri Shinbun. Enfin, dans notre dernière partie (1955-1957) nous analysons tout d’abord la manière dont le quotidien Yomiuri Shinbun a couvert une grande exposition sur "les usages pacifiques" de l’énergie nucléaire qu’il avait lui-même co-organisé avec l’United States Information Agency pour améliorer l’image de cette dernière après l’incident du Daigo Fukuryû Maru. Dans un second temps, nous nous intéressons aux débats politiques à l’heure où le Japon commence à institutionnaliser son projet nucléaire civil. Enfin, nous clôturons cette dernière partie en traitant d’un événement qui devait symboliser l’aboutissement du projet nucléaire civil japonais : la mise en marche du tout premier réacteur nucléaire expérimental du Japon, dans le village de Tôkaimura. / In addition to questions that are inherent to the safety of nuclear installations, the accident at Fukushima Dai’ichi Nuclear Power Plant of March 2011 raised what can be considered a paradox: Japan has embarked on a nuclear adventure even though it has been the victim of a nuclear bomb itself and while it regularly faces natural catastrophes.Furthermore, the Fukushima catastrophe has encouraged some reflexion on the Japanese media, with special focus on the role these have played in the promotion of nuclear energy and in its acceptance by the Japanese public after the Second World War.This study, which belongs to the field of cultural history, aims at understanding through the prism of the media image, in what way Japan has accomplished a transition between Hiroshima (1945) and Tôkaimura (1957); in other words between military nuclear power and civilian nuclear energy, while attaching special importance to how the debate about these two aspects of the nuclear reality has been articulated in the Japanese press. To do this, we analyse the manner in which the big national newspapers: the Asahi Shinbun and Yomiuri Shinbun, dealt with atomic energy during the establishment of the Japanese civilian nuclear project (1945-1957), a pivotal period which started with the atomic bombings of Hiroshima and Nagasaki and closed with the start-up of the first Japanese experimental nuclear reactor in Tôkaimura. By means of a plan that is structured chronologically around four periods we will try to provide answers to the following question: how was civilian nuclear energy represented in the Japanese national press at the time of its introduction in the archipelago?In the first period (1945-1949), we observe how nuclear energy was represented during the first years following the atomic bombings of Hiroshima and Nagasaki, at a time that any discussion about atomic bombings was censured by the Allied Forces and that civilian nuclear energy was still in its infancy. In the second period (1949-1952), we analyse how the base of the representations of that energy evolves while the threat of nuclear war surfaces and while the first successes of the production of nuclear energy draw the attention of the Japanese press. Our third period (1953-1955) focuses on three media events which influenced the debate around nuclear energy: the American speech Atoms for Peace; the incident of the tuna fishing boat Daigo Fukuryû Maru and the arrival of the American industrialist John Jay Hopkins at the invitation of Shôriki Matstutarô, the head of the daily newspaper Yomiuri Shinbun. Finally, in our last period (1955-1957) we analyse first of all the manner in which the Yomiuri Shinbun covered the great exhibition on ‘the pacific uses of nuclear energy’ which it had itself co-organized with the United States Information Agency after the Daigo Fukuryû Maru incident, in order to improve the image of the latter. Then, we examine the political debates at the time that Japan began to institutionalize its nuclear civilian project. Lastly we end this part discussing an event that should symbolize the successful conclusion of the Japanese nuclear project: the start-up of the first experimental nuclear reactor in Japan in the village of Tôkaimura.
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Harlemites, Haitians and the Black International: 1915-1934

Jean-Louis, Felix, III 11 February 2014 (has links)
On July 28, 1915 the United States began a nineteen year military occupation of Haiti. The occupation connected Haiti and the United States and created an avenue of migration in the country. As a consequence of extreme racism in the South and segregation in the Northern states, the majority of the immigrants moved to Harlem. The movement of people reinvigorated the relationship between African Americans and Haitians. The connection constituted an avenue of the interwar Black International. Using newspapers articles, letters, and press releases from the Schomburg Center for Research in Black Culture and the Yale Beinecke Rare Books and Manuscript Library I seek to examine the relationship between the two groups. The thesis demonstrates how they compared and contrasted the material conditions of the two cultures in order to promote solidarity. These common bonds, my thesis shows, were the basis for anti-occupation activism in the United States that was anti-imperialist and anti-capitalist.
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"I am not concerned with poetry. My subject is war" : Écrire la Première Guerre mondiale : les enjeux du poème face aux circonstances / "I am not interested in poetry. My subject is war" : Challenging circumstances : writing the First World War poem

Montin, Sarah 07 November 2015 (has links)
Le premier conflit mondial qui met fin à l’après-midi doré de l’époque édouardienne signe l’entrée du Royaume-Uni dans le XXe siècle politique et esthétique. La place unique qu’occupe la Grande Guerre dans l’imaginaire collectif britannique participe de l’engouement populaire que suscite encore aujourd’hui la war poetry, devenue un véritable « lieu de mémoire » textuel. Son importance dans le paysage culturel britannique paraît dès lors démesurée par rapport à la place qu’elle occupe dans le canon poétique du XXe siècle. À la fois conservatrice et innovante, respectueuse des formes mais sujette à l’expérimentation, l’œuvre des war poets, souvent confondue avec celle des Georgian poets, se range du côté des modernes plutôt que des modernistes. Poésie de circonstance définie par le moment et le lieu d’écriture, elle est jugée à l’aune de la problématique moderne de l’œuvre « impure », poésie tournée vers la révélation de l’événement plutôt que vers l’acte de création. C’est cette tension entre l’appel du monde et l’appel du texte qui fonde la définition générique, esthétique et éthique de la war poetry. Son intérêt critique réside dans sa double finalité, son hybridité tonale, générique et formelle, sa nature composite et polymorphe qui l’inscrivent de plain-pied dans le registre de la dissonance, propre à la poésie moderne. / By putting an end to the golden Edwardian afternoon, the First World War propelled Britain into the political and aesthetic twentieth century. Owing to the unique place occupied by the Great War in the collective British mind, war poetry represents today a highly popular textual “realm of memory”. However, its relevance in Britain’s cultural landscape does not correspond to its status within the poetic canon of the twentieth century. Both conservative and innovative, intent on codified forms yet experimental in nature, often confused with Georgian Poetry, war poetry leans towards the modern rather than the modernist definition of poetry. As a form of occasional writing, determined by the place and time from which it sprung, war poetry is judged according to the modern standards of “impure poetry”, more focused on the revelation of the event than on the act of creation itself. It is the contradictory claims of world and text that found the generic, aesthetic and ethical definition of war poetry. Its critical interest resides in its dual purpose, its tonal, generic and formal hybridity, its complex and changing nature, which firmly inscribe it within the modern poetics.
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We Are French. Et Anglais Nous Restons.

Bowie, Alison Jane 29 August 2014 (has links)
French Canadian playwright Joseph Armand Leclaire (1888-1931) was very well known and respected in his time. Although he wrote over thirty plays, lyrics to several songs and an abundance of political poems, most of his work has been lost and Leclaire himself seems to have been forgotten. Several of his plays were produced at the time they were written, including his 1916 play La petite maîtresse de l'école (later published in 1929 as Le petit maître d'école), but none have been presented postumously nor have any been translated. This M. F. A. thesis presents the first ever translation and adpatation of Leclaire's play, titled in English as The Little Schoolmaster. The first half of the thesis provide historical context for the play's significance, as well as information about Armand Leclaire and the changes he made to his own work between the original 1916 version and the 1929 published version. The thesis then analyses the creative acts of translation and adaptation, proposing a new model of translation for a linguistically rich audience. Through this new model of translation-adaptation for a bilingual spectrum, the thesis concludes by demonstrating that dramaturgy can serve as a dynamic instrument for communities to engage in the exploration of bilingual and bicultural identity.
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Children of a One-Eyed God: Impairment in the Myth and Memory of Medieval Scandinavia

Lawson, Michael David 01 May 2019 (has links)
Using the lives of impaired individuals catalogued in the Íslendingasögur as a narrative framework, this study examines medieval Scandinavian social views regarding impairment from the ninth to the thirteenth century. Beginning with the myths and legends of the eddic poetry and prose of Iceland, it investigates impairment in Norse pre-Christian belief; demonstrating how myth and memory informed medieval conceptualizations of the body. This thesis counters scholarly assumptions that the impaired were universally marginalized across medieval Europe. It argues that bodily difference, in the Norse world, was only viewed as a limitation when it prevented an individual from fulfilling roles that contributed to their community. As Christianity’s influence spread and northern European powers became more focused on state-building aims, Scandinavian societies also slowly began to transform. Less importance was placed on the community in favor of the individual and policies regarding bodily difference likewise changed; becoming less inclusive toward the impaired.
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Representation, Narrative, and “Truth”: Literary and Historical Epistemology in 19th-Century France

Schuman, Samuel A. 23 June 2021 (has links)
No description available.
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Une fenêtre ouverte sur l’URSS : le Spoutnik Digest durant la Guerre froide (1968-1988)

Beauchamp, David 02 1900 (has links)
La chute de l’URSS en 1991 a permis un renouvellement de l’historiographie occidentale sur l’histoire de ce pays durant la Guerre froide : avec l’accès à de nouvelles archives, les dimensions sociales et culturelles sont désormais prisées et la production culturelle soviétique est examinée avec un regard plus apaisé. À partir de 1967, un magazine à grand tirage soviétique fait son apparition dans plusieurs villes occidentales : le Spoutnik Digest. Son titre évoque à la fois le satellite soviétique, qui a fasciné la planète dix ans plus tôt, et le Reader’s Digest, le magazine américain agrégateur de contenu le plus vendu et le plus lu dans le monde à l’époque. La revue mensuelle, quoique similaire à son homologue américain au premier regard, contient des textes exclusivement issus d’Union soviétique et de ses journaux officiels. Comme le Reader’s Digest, le Spoutnik Digest est un objet de propagande, mais la revue offre un regard différent sur l’URSS durant la Guerre froide et sur les tensions mondiales de l’époque : dans le Spoutnik Digest, l’URSS est un pays pacifique, culturellement riche et où il fait bon vivre, la revue priorisant la valorisation du monde communiste plutôt que la critique du capitalisme et des États-Unis en particulier. En ce sens, le Spoutnik Digest se distingue clairement du Reader’s Digest, dont l’anticommunisme est agressif et omniprésent. Ce mémoire étudie le Spoutnik Digest en tant qu’objet historique et culturel entre les années 1968 et 1988. L’analyse de sa forme et de son contenu porte sur les origines de cette revue, son lectorat cible et les thèmes les plus couverts, révélant au final le message soviétique de paix et de bonne volonté politique que le magazine tentait de transmettre dans le monde durant la Guerre froide. / The fall of the Soviet Union in 1991 allowed the Cold War historiography to renew itself: social and cultural dimensions are acknowledged and the outlook on the cultural material emanating from USSR can be analyzed with more scientific objectivity and an appeased perspective. In 1967, a new magazine appeared in many Western cities: the Sputnik Digest. Its name referred both to the Soviet satellite that fascinated the world ten years earlier and the Reader’s Digest, the famous American magazine specialized in content aggregating, the most read and sold internationally at the time. The Sputnik Digest, published on a monthly basis, even though looking similar to its American counterpart at first sight, contained texts directly extracted from official Soviet newspapers in USSR. Without doubt a propaganda tool, like its American counterpart, the magazine however offered a fresh insight of the USSR during the Cold War: from the Sputnik Digest point of view, the Soviet Union was a peaceful country, culturally rich and a great place to live in. The magazine prioritized the valorisation of the USSR as opposed to criticizing the capitalist Western powers and the United States. From that standpoint it radically diverged from the aggressive ideological tone of the Reader’s Digest. This master’s thesis, through this new perspective, will study the Sputnik Digest as a historical and cultural object between the years 1968 and 1988. By looking both at its format and content, it will examine the origins of this monthly journal, its targeted readership and the most covered themes, revealing the message of Soviet peace and goodwill that the magazine tried to spread worldwide during the Cold War.
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Imaginaires du «roman canadien» : discours sur le genre romanesque et pratiques d’écriture au Québec (1919-1939)

Loranger, Caroline 05 1900 (has links)
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Représentations des femmes dans la littérature sanskrite du Cachemire (VIIIe-XIIe siècles) / Representation of female characters in the Sanskrit literature of Kashmir (8th-12th centuries)

Farkhondeh, Iris 28 November 2017 (has links)
La thèse présente une typologie raisonnée des personnages féminins qui apparaissent dans un corpus de quatre œuvres littéraires rédigées en sanskrit au Cachemire entre le VIIIe et le XIIe siècles : le Kuṭṭanī-mata de Dāmodaragupta, la Samaya-mātṛkā de Kṣemendra, le Kathā-sarit-sāgara de Somadeva et la Rāja-taraṅgiṇī de Kalhaṇa. Les représentations littéraires donnent à voir un large spectre de comportements et de statuts féminins. Si la conduite de certaines femmes correspond aux attentes des textes normatifs, d’autres sont tout à fait inattendues et atypiques, des aventurières parfois pittoresques déviant parfois franchement de la norme. Entre ces deux extrêmes, les personnages féminins font plus ou moins preuve d’initiative et usent à des degrés divers de leurs marges de manœuvre et de leur pouvoir de décision. Si les auteurs sont des hommes, qui souscrivent à l’essentiel des normes sociales brahmaniques, leur point de vue sur les femmes n’est pourtant pas univoque. Non seulement le traitement des personnages féminins peut varier en fonction des auteurs mais il varie aussi au sein d’une même œuvre en fonction du contexte. La lecture des œuvres du corpus permet de délimiter ce qui, dans les textes normatifs, apparaît comme essentiel concernant le mariage et le rapport entre époux. Elle conduit également à pondérer certaines des assertions des textes normatifs au sujet des femmes, tandis que la lecture croisée des sources permet d’apprécier l’intégration dans les textes normatifs de certaines pratiques que leurs auteurs ont été amenés à prendre en compte. Enfin, la question se pose de savoir dans quelle mesure les belles lettres du Cachemire de l’époque dépeignent la société contemporaine de leur rédaction. La critique des pratiques tantriques notamment dans les œuvres satiriques de Kṣemendra – mais aussi dans la Rāja-taraṅgiṇī – est bien la preuve que la réalité contemporaine trouve sa place dans les œuvres littéraires du corpus. L’étude d’un ensemble d’œuvres dont on sait qu’elles ont été rédigées dans une région et une époque donnée – chose suffisamment rare dans le cas des lettres indiennes pour être appréciée – présente un grand avantage. Elle souligne la différence de traitement des personnages féminins en fonction des auteurs, du type de texte littéraire (satires, recueil de contes, chroniques) et de l’auditoire auquel le texte était destiné, ces différences au sein du corpus ne pouvant s’expliquer par des différences régionales. / This thesis presents an explanatory typology of the female characters who feature in the corpus of four Sanskrit literary works written in Kashmir between the 8th and 12th centuries : Dāmodaragupta’s Kuṭṭanī-mata, Kṣemendra’s Samaya-mātṛkā, Somadeva’s Kathā-sarit-sāgara, and Kalhaṇa’s Rāja-taraṅgiṇī. A large spectrum of female behaviors and status appears here in literary representation. While the behavior of some female characters corresponds to the expectations of the legal texts, that of others can seem surprising and atypical: risk-taking women, sometimes pittoresque, clearly deviate from the norm. Between these two extremes, the female characters are more or less prone to take the initiative and to various degrees to take advantage of whatever space they have to manoeuver in, and to take benefit of whatever decision-making power they might have. While the authors are men who subscribe to the essential core of Brahmanic social norms, their point of view on women is, however, ambiguous. Not only does the treatment of the female characters vary according to the authors, but it varies also within the same work, depending on context. Reading the works of this corpus helps to define what appears as essential concerning marriage and spouse relations in the legal texts. This study also allows for the evaluation of some of the legal texts’ assertions about women. In fact, the comparison of these sources shows how the legal texts integrated certain practices that the authors of these texts had to take into consideration. In the end, one has to ask the question of to what degree the Kashmirian literature of this time described contemporaneous society. The critical view of Tantric practices especially in the satirical works of Kṣemendra, but also in the Rāja-taraṅgiṇī, is indeed proof that contemporary reality has a place in this literature. It is of an immense advantage to study works from a well-defined region and time – something so rare in Indian Studies that it can be easily appreciated. This advantage allows us to emphasize the difference in treatment of female characters among different authors, and among different genres (satires, story collections, chronicles), as well as according to the different audiences, since we know that these differences cannot be explained as being simply regional.

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