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L'évolution du rôle de la sage-femme dans la région de Québec de 1620 à 1840

Laforce, Hélène 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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George-Étienne Cartier

Best, Henry B. M. 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Joseph Fleury de la Gorgendière, 1676-1755, négociant de Québec

Larouche, Jeannette 25 April 2018 (has links)
Joseph Fleury de La Gorgendière, né à Québec en 1676 et décédé au même endroit en 1755, s'avère, de l'avis même de ses contemporains, un des plus importants négociants de la Nouvelle-France. Sa carrière devient ainsi intéressante â étudier d'autant plus qu'il oeuvre dans plusieurs secteurs de l'économie coloniale pendant presque tout le XVIIIe siècle français. La Gorgendière débute en affaires en 1702 comme commis au Fort Frontenac pour la Compagnie de la colonie. En 1708, il se tourne vers le commerce maritime. Son appartenance matrimoniale â un clan lié au commerce atlantique, celui des Grignon, pourrait bien expliquer l'orientation que prend alors sa carrière. Le commerce qu'il entreprend par la suite avec ses deux frères, l'un installé â La Rochelle et l'autre â La Martinique en est une manifestation. De 1708 â 1720, il armera plusieurs vaisseaux et effectuera également des investissements dans les pêcheries, les fourrures et l'agriculture. Bien qu'il semble avoir réalisé un surplus de capital, il éprouve certaines difficultés à recouvrer ses créances rapidement dans la colonie. Cette difficulté et les pertes d'argent subies dans l'exploitation du poste de Témiscamingue quelques années plus tard s'avèrent probablement responsables en grande partie des difficultés financières qu'il rencontre en 1726 dans son association avec son frère Charles. Au début des années 1720, déjà la carrière de La Gorgendière avait pris un nouveau tournant. Le négociant, qui jusqu'à cette date avait oeuvré uniquement dans le secteur privé, va évoluer davantage maintenant dans celui du public. Sa carrière s'organise désormais surtout autour des activités des administrateurs et des financiers métropolitains. A ce niveau, les possibilités de profits étaient nettement meilleures qu'à celui strictement colonial et les créances possiblement plus sûres. La Gorgendière, qui avait atteint une certaine envergure, cherchait naturellement à transiger avec l'Etat. La confiance que lui témoignent au fil des ans les administrateurs en place lui permettra de s'intégrer à ce cercle fermé de privilégiés qui pouvaient faire affaires avec l'Etat et de donner à sa carrière une nouvelle tournure. Cela commence à s'esquisser en 1719 lorsque La Gorgendière devient sous-fermier de la traite de Tadoussac et se poursuit lorsqu'il obtient en 1730 le peste d'agent au Canada de la Compagnie des Indes occidentales. La Gorgendière, par cette fonction, semble avoir atteint l'apogée de sa carrière. Tout en s'occupant des affaires de la compagnie, le négociant poursuit ses propres activités qui s'insèrent souvent dans les rapports qu'il a établis avec l'Etat. Assurément, la carrière du négociant a pris de l'ampleur depuis 1720. Toutefois, a sa mort, La Gorgendière laisse une fortune d'environ 80,000 livres. D'un homme qui brassait de si grosses affaires, on aurait pu s'attendre a plus. La guerre de la Succession d'Autriche pourrait expliquer cette situation. Elle donne en effet l'occasion aux négociants bordelais, qui contrairement aux négociants rochelais peuvent satisfaire les conditions d'armement en cette période, de s'immiscer dans le commerce canadien. Leur intervention brise les liens transatlantiques d'avant-guerre. La Gorgendière en aura peut-être souffert. Ses trois garçons ne suivent pas sa trace. A part le plus jeune des trois, on peut parler de régression sociale, sinon d'immobilisme. Ses quatre filles concluent de bons mariages. Une comparaison de la carrière de La Gorgendière avec celles des grands négociants du XVIIe siècle, tels Charles Aubert de La Chesnaye et François Hazeur, est intéressante à faire. Ces négociants enregistrent des faillites coup sur coup. La Gorgendière, quanta lui, obtient malgré certaines difficultés, une réussite relative. Pourquoi? Selon nous, cette différence s'explique par le fait que La Gorgendière a pu profiter d'une conjoncture plus favorable et de la présence grandissante de l'Etat. La question mériterait d'être approfondie. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Autonomie politique et originalité des civilisations dans le golfe du Bénin : le cas des Guin ou Mina d'Anecho (du 17e au 19e siècle)

Wilson, Seth 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Le bailliage montréalais et ses officiers de justice

Lahaise, Robert 11 April 2018 (has links)
Dans un régime où le roi n'a de comptes à rendre qu'à Dieu et où sa suprême volonté semble devoir tout régir, on pourrait sans doute s'attendre à retrouver un ensemble de structures quasi stratifiées. Il appert cependant que la réalité soit plus mouvante. Certes, la centralisation monarchique accomplie en France vers la fin du moyen âge, y a provoqué par la suite le déclin des justices seigneuriales. La métropole possède alors des cadres définis et apparemment rigoureux. Elle ne saura toutefois les imposer intégralement à toutes ses colonies. Ainsi, en Nouvelle-France, l'incapacité de la Compagnie des Cent-Associés et l'isolement dont souffrent Québec, Trois-Rivières et Montréal, auront pour effet d'y reproduire, pour un court laps de temps, un esprit autonomiste de type féodal. Depuis Roberval, premier justicier officiel de la Nouvelle France - Cartier n'ayant reçu que le titre de maître des bateaux et le pouvoir d'y nommer les officiers qu'il veut - jusqu'à l'établissement du Conseil souverain en 1663, l'appareil judiciaire n'évolue guère au Canada. Le 12 janvier 1598, le lieutenant-général de La Roche reçoit des prérogatives à peu près identiques à celles de Roberval, alors que Champlain se voit attribuer en 1612 les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire. Avec l'établissement de la Compagnie des Cent-Associés, le roi se réserve "la provision des officiers de la justice souveraine" éventuelle, et stipule en 1640 que "le tout (devra se faire) suivant et conformément à la coutume de la prévôté et vicomte de Paris que la compagnie entend être observée et gardée par toute la Nouvelle-France". Montmagny reçoit encore en 1645 plein "pouvoir (...) de juger souverainement et en dernier ressort (…) tant les soldats qu'autres habitants des dits lieux". Le népotique Lauson a beau créer en 1651 une sénéchaussée devant servir d'intermédiaire entre les justiciers seigneuriaux et le gouverneur lui-même, l'administration générale de la justice n'en vaire guère pour autant. En fait, des débuts de la colonie jusqu'à l'établissement du Conseil souverain, la justice demeure l'apanage quasi-exclusif du gouverneur, même si la Communauté des Habitants reçoit en 1647 et en 1648 des pouvoirs exécutifs, législatif et judiciaire. Seule anicroche à son absolutisme, l'éloignement des différents tribunaux force le gouverneur à laisser aux juges une certaine autonomie en matière civile. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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La pratique et l'idéologie coopérative à Québec 1935-1955

Ouellet, Line 25 April 2018 (has links)
L'ensemble de cette recherche tente de répondre â la question suivante: quels sont les intérêts et les enjeux de la pratique coopérative et de l'idéologie qui la sous-tend pour les divers groupes sociaux qui y adhérent? Une ébauche d'explication de ce phénomène est fournie par la mise en relation de la pratique coopérative avec sa base sociale i.e. les caractéristiques sociales des différents groupes s'impliquant dans cette pratique. Le cadre théorique de cette étude s'appuie sur des définitions opérationnelles des concepts d'idéologie et de classe sociale. Les idéologies sont ici définies non seulement comme des systèmes de pensées mais aussi comme un ensemble de pratiques nécessaires au fonctionnement de la société. Ainsi, le discours coopératif n'est pas innocent, il exprime, en sous-texte, des intérêts, des enjeux. D'où l'importance de lier ces discours à ceux qui les tiennent. Le concept de classe sociale nous permet donc de situer les coopérateurs dans l'ensemble de la dynamique sociale puisque chaque classe est déterminée par la place qu'elle occupe dans les rapports de production et de reproduction d'une formation sociale. Une étude de la pratique coopérative à Québec fait ressortir ces caractéristiques. Entre 1935 et 1955, un plus grand nombre de coopératives sont fondées; ces dernières, souvent précaires, relèvent du secteur tertiaire; la majorité des coopérateurs fondateurs appartiennent soit au groupe des employés subalternes soit à la petite-bourgeoisie; et ce sont, dans 95% des cas, les coopérateurs-fondateurs de la petite-bourgeoisie qui collaborent à la revue Ensemble!, l'organe officiel du Conseil supérieur de la coopération. En dernier lieu, nous démontrons cette hypothèse: au moment où l'Etat ne figurait pas encore comme une voie de développement possible et que la concentration toujours plus grande du capital remettait en cause l'existence de l'entreprise familiale, la coopération offrait, elle, des solutions permettant de créer une économie "à notre mesure". C'est pourquoi nous crayons que la petite-bourgeoisie, un groupe particulièrement menace par les transformations économiques alors en cours, a répondu le plus largement au discours coopératif de cette période. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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L'alphabétisation au Québec 1660-1900

Verrette, Michel 25 April 2018 (has links)
L'alphabétisation est un phénomène social important. L'ONU y consacre annuellement la journée du 8 septembre et les gouvernements y investissent des millions chaque année. Notre recherche porte sur la période de 1660 à 1900 et recouvre la Plaine laurentienne, Montréal exceptée. Pour des raisons de séries complètes et de représentation sociale, les registres de mariages, source d'indicateur direct d'alphabétisation avec les signatures des conjoints ont été privilégiés. Le corpus d'information repose sur le dépouillement des registres de 49 paroisses pour un total de 26 215 mariages. L'échantillonnage est composé majoritairement d'éléments catholiques et français. On retrouve toutefois deux blocs minoritaires importants : les anglo-protestants et les anglo-catholiques. Si on excepte les immigrants, les gens se marient en très forte proportion dans leur lieu d'origine. L'âge des époux n'est qu'exceptionnellement donné, le curé indiquant simplement "majeur" ou "mineur". Avant le XIXe siècle, les curés ne mentionnent que rarement la profession tant des partis que de leurs parents. Après, on retrouve plus fréquemment la profession de l'époux. On attribue de façon rarissime un travail à l'épouse. Dernier point, la capacité de signer est presque toujours indiquée sauf dans les débuts de la colonie. Du point de vue de l'alphabétisation, les données permettent de constater une tendance globale et graduelle à la baisse de 1680 (26,9%) à 1779 (13,4%), avec précipitation à compter de 1740, suivie par une stagnation jusqu'en 1809. Finalement, une croissance continue mais inégale tout au long du XIXe siècle pour atteindre, en 1890-99, 74,3%; les Anglais présentant de meilleurs résultats que les Français. À l'aide de différents éléments d'analyse la démonstration a pu être faite que, ni à court ni à long terme, la Conquête n'a eu les conséquences culturelles qu'on lui attribuait. La distinction entre hommes et femmes a permis de montrer que la croyance dans la supériorité des femmes n'est que partiellement vraie et surtout après 1850. Aucun "pattern" géographique de l'alphabétisation n'a pu être dégagé, si ce n'est pour la supériorité de la ville sur la campagne jusqu'au milieu du XIXe siècle. Par contre, la descente progressive de l'alphabétisation du haut vers le bas de la société est très claire. Nous avons pu finalement observer une relation directe entre l'alphabétisation et l'adoption de lois scolaires. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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La spécialisation des métiers de la production en Gaule de 450 à 700

Beaudet, Alexandre 01 November 2019 (has links)
Dans cette recherche, nous étudions l'évolution de la spécialisation et de la division du travail pour la Gaule du Ve au VIIe siècle. Après la chute de l'Empire, on a longtemps cru que l'économie de la Gaule s'était à ce point effondrée et que les structures sociales avaient tant changé que le travail spécialisé avait presque disparu. En recherchant plusieurs centaines de noms de métier romain dans les sources hagiographiques, juridiques, épistolaires et patristiques qui ont été numérisées, nous avons constitué une liste de 113 vocables de métiers, pour les années 450 à 700. Nous avons ensuite croisé ces dénominations de métier avec ce que l'archéologie nous a appris de leurs pratiques ; nous avons ainsi pu montrer que certains termes latins pouvaient avoir des sens différents de ceux qu'on leur attribue généralement. Ceci nous a permis de relativiser la perte de la spécialisation des métiers, depuis l'époque impériale romaine. De plus, nous avons comparé, avec la période impériale romaine, la prime à la spécialisation, ainsi que la hiérarchie entre les métiers. Les résultats de cette comparaison suggèrent une certaine similitude entre le monde du travail romain et mérovingien. Ainsi, nous croyons que, malgré quelques différences et une certaine diminution, la spécialisation du travail semble être davantage en continuité avec la période impériale qu'en rupture avec cette dernière. / In this research, we studied the specialization of labour in Vth to VIIth century Gaul. It was thought that, after the fall of the Empire, the Gaulish economy was so crumbling and that social structures were so changed, that labour specialization had almost disappeared. However, by researching hundreds of Roman craft's name through digitalized letters, law codes, hagiographic and patristic texts, we have put together a list of 113 craft's term, for the years 450 to 700. Afterwards, we have validated these terms with archeological knowledge of craft's techniques. This shown that some Latin terms had a different meaning than what is generally accepted. This has let us relativize the loss of labour specialization, that had occurred since the Late Empire. We have also compared, with Late Empire's sources, the skill premium and the hierarchy of crafts. The results of this comparative approach suggest a strong resemblance between Roman and Merovingian labour. Despite some differences and a relative reduction, we think that the specialization of labour followed similar lines then that of the Late Empire.
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Des héros pour référence identitaire : les manuels scolaires de littérature roumaine, 1859-2009

Stan, Catinca Adriana 16 April 2018 (has links)
La comparaison des manuels scolaires de littérature roumaine depuis le XIXe siècle jusqu'à la période post totalitaire permet d'identifier et de suivre les transformations de la représentation de l'identité nationale en fonction des réalités politiques de l'État roumain. En observant les changements survenus dans le panthéon national, il est possible d'identifier le modèle de comportement et les valeurs proposées aux élèves. Une comparaison avec les manuels scolaires d'histoire pendant la période du communisme et après la chute du régime aide à mieux saisir les mécanismes de la mémoire et de l'oubli imposés qui accompagnent alors la construction de l'identité nationale. L'analyse des héros nationaux permet également d'observer les continuités et les ruptures entre les différentes périodes qui ont marqué l'État roumain. La thèse aborde aussi la façon dont la population s'approprie cette construction identitaire proposée dans les manuels scolaires et souligne les différences entre l'identité nationale qu'affichent les adultes et l'identité individuelle privilégiée par les jeunes. La lecture comparative des manuels scolaires constitue la principale méthode utilisée pour analyser la représentation de l'identité nationale. Le recours au schéma actanciel et au carré sémiotique de Julien Greimas est mis de l'avant étant donné que les héros font l'objet du discours des manuels en tant que personnages. Pour caractériser la représentation nationale spécifique à chaque période analysée, on utilise les notions de " bon Roumain ", de " bon communiste " et de " bon européen ".
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Les propriétés foncières des Ursulines et le développement de Québec (1854-1935)

LeBel, Alyne 25 April 2018 (has links)
Jouissant d'un certain nombre de concessions gratuites de terres dès les débuts de la colonisation de la Nouvelle-France, les Ursulines de Québec se sont constituées un capital foncier relativement important qui assure leur survie même dans les jours sombres du début du XIXe siècle. Au fil des ans et des transformations politico-économiques du pays et de la région, la communauté a progressivement augmenté son patrimoine tout en s'adaptant au nouveau régime britannique, qui signifiait à terme la disparition du Régime seigneurial. Loin de s'accrocher aux méthodes administratives de l'Ancien Régime, les Ursulines, dès 1790, ont employé la technique du bail emphytéotique pour concéder leurs terres, ce qui était à la fois plus pratique et plus rentable que l'application stricte du Régime seigneurial. A l'Abolition formelle de ce dernier, en 1854, la communauté modifia totalement ses modes de gestion, et transforma les indemnisations versées par le gouvernement en biens immeubles au centre-ville de Québec. Elle adopta des méthodes plus "capitalistes" que patrimoniales, et consentit des baux-rentes que l'on peut assimiler, dans les grandes lignes, à des obligations hypothécaires. Au plan du développement urbain, les Ursulines utilisent leur pouvoir politique, et celui de l'archevêché, pour orienter la croissance de la ville en direction de deux de leurs propriétés, le village Sainte-Angèle, aujourd'hui le quartier St-Malo, et la haute-ville de Québec, siège d'une transaction "exemplaire" impliquant la communauté, les autorités religieuses, la compagnie de tramways, un entrepreneur privé, la ville de Québec et les gouvernements provincial et fédéral, à l'occasion de la transformation des Plaines d'Abraham en parc public, au début du XXe siècle. Dans ces deux cas, nous voyons les Ursulines tirer toutes les ficelle s disponibles pour obtenir des faveurs particulières en échange de la cession de terrains pour la construction de rue et même de voies ferrées sur leurs propriétés. Ainsi cette communauté donne un indice du pouvoir économique de l'Eglise au Québec, un aspect non étudié de sa domination sociale pendant plus d'un siècle. Un mot, enfin, des sources utilisées pour la rédaction de cette thèse: elles proviennent de trois fonds encore inexploités de la part des historiens, soit les Archives privées de la communauté des Ursulines, des Archives municipales de Québec, non publiées, et du Bureau d'Enregistrement du Gouvernement du Québec. On a ainsi pu, à partir des premières, refaire l'inventaire des propriétés des religieuses, et les situer, grâce aux données du trésorier de la ville traitées par ordinateur, dans leur contexte global. Les informations glanées au BEQ, de leur côté, apportent un éclairage légal et officiel aux diverses transactions étudiées. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012

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