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Les fortifications de Québec du XVIIe au XIXe siècle

Charbonneau, André 25 April 2018 (has links)
Québec, une ville fortifiée du XVIIe au XIXe siècle. Si le lieu et la trame temporelle s'identifient facilement, l'expression "ville fortifiée" recouvre en contrepartie plusieurs facettes méconnues de l'ancienne capitale coloniale. Les fortifications ceignant le vieux quartier deviennent de nos jours des symboles de marketing touristique; et pourtant les Québécois les regardent jour après jour sans trop les apercevoir. Les fortifications font partie du décor urbain; mais qu'en était-il de ce décor aux XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles? Si Québec devient une place-forte, il est évident qu'une volonté politique se manifeste et intervient pour prendre position face à une situation, voire même dans le cas d'une pensée stratégique. Qu'il y ait volonté politique autant en Europe que dans la colonie, rien ne vient bouleverser le paysage urbain tant qu'un personnage ne se mette à la planche à dessin. L'ingénieur militaire, tributaire de ses connaissances théoriques et pratiques, conçoit le meilleur tracé à adopter en fonction du site. La réalisation physique ne saurait toutefois démarrer sans le concours d'une panoplie d'artisans et journaliers, engagés tantôt par un entrepreneur concupiscent, tantôt par l'État qui cherche à minimiser les coûts. L'été, la ville vibre au diapason des efforts déployés et au son des écus qui se déboursent. Mais la ville et ses habitants n'en retirent pas seulement des bénéfices; elle en subit également les conséquences: expropriations, corvées se font monnaie courante. La ville devient un objet militaire; son réseau de rues se constitue et s'axe autour de cette nouvelle réalité. Les pierres et la terre disposées le long de la rue d'Auteuil et de la rue des Remparts ou même au sommet de la côte de la Citadelle masquent cette réalité d'autrefois. C'est de cet arrière-plan dont veulent témoigner les pages suivantes. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Regard sur la femme médiévale : la délinquance féminine à Manosque au tournant du XIVe siècle

Courtemanche, Andrée 25 April 2018 (has links)
La recherche de la condition féminine de la Manosquine du tournant au XIVe siècle nécessite l'utilisation d'une documentation permettant de cerner la vie de la femme à travers les divers rites de passage et les actes de la vie quotidienne. Les procès criminels colligés pour la période de 1280 à 1330 permettent de suivre le cheminement féminin ainsi que de dresser un tableau évolutif de leurs conduites délictuelles. L'analyse de ce dernier aspect des agissements féminins doit être précédée d'un examen des différents rôles joués par les femmes au cours du processus judiciaire soit accusée, dénonciatrice, témoin, experte et garante. Les deux derniers attirent plus particulièrement l'attention dans le cadre d'une étude sur la condition féminine. Ils montrent que des femmes exercent un métier ou une activité professionnelle (tisserande, sage-femme) dans lequel elles ont acquis une certaine notoriété ou qu'elles sont propriétaires de biens qu'elles semblent administrer elles-mêmes et qu'elles peuvent engager pour aider autrui. L'évolution des comportements délictuels des Manosquines se révèle conforme à l'image traditionnelle de la criminalité des sociétés pré-industrielles où dominent très nettement les agressions contre les personnes. En effet, pour l'ensemble de la période étudiée, la violence occupe une large place de la criminalité mais légèrement décroissante. Une augmentation sensible des agressions physiques au détriment des injures marque la décennie 1320-1330. A ce déclin de la violence s'oppose une progression assez nette de la délinquance économique au seuil de la même période. Ce fait s'expliquerait par la dégradation des conditions économiques générales. Ces diverses statistiques s'inscrivent au sein d'une seconde lecture qu'autorisent les procès criminels. Au-delà des attitudes de délinquance qu'ils relatent, ces textes rapportent maints comportements quotidiens des femmes. Une analyse de type ethnologique fournit de nouvelles questions qui éclairent la vie féminine et permet de remettre en question la vision traditionnelle de la femme bien que le thème retenu pour suivre le cheminement des femmes soit l'institution matrimoniale. De l'enfance de ces fillettes, peu de détails percent si ce n'est le fait que leur éducation soit confiée à leur mère jusqu'à leur mariage qui est le but à atteindre. La qualité fondamentale requise pour nouer une union satisfaisante est la conservation de la bonne renommée et la jeune fille demeure tributaire de la vision manichéenne que manifeste la société à son égard, elle ne peut être que pure ou publique et le pas semble pouvoir se franchir aisément. A celles qui n'ont pu ou su conserver leur honneur, la chasteté, s'ouvrent souvent les portes du lupanar local où s'exerce l'amour mercenaire. L'union conclue, la reconnaissance de ce passage dans le monde des adultes se concrétise par la naissance d'une nombreuse progéniture. Le mariage marque aussi pour la femme son entrée dans une demeure dont elle devient la maitresse. L’accomplissement des nombreuses tâches domestiques est sous sa responsabilité. Ces multiples travaux se doublant parfois d'un emploi salarié qui est le prolongement naturel de certaines tâches accomplies pour le bien-être familial comme le filage et le tissage ou le travail de la terre. De nombreuses femme louent leur force de travail lors des moissons et des vendanges. D'autres sont propriétaires d'un négoce, taverne ou poissonnerie. Quelques-unes y ajoutent un aspect plus lucratif: le prêt sur gage exercé tant par des chrétiennes que des juives. L'âge et le fait d'avoir complété un cycle biologique complet sont les qualités requises de certaines femmes pour pouvoir être sage-femmes ou matrones. Cependant, la majeure partie des mentions d'activités "professionnelles" recensées touche à la domesticité. Ces servantes paraissent être des célibataires, sans attache, qui exercent ce métier dans l'attente d'un mariage peu probable. Tous ces travaux délimitent une aire de circulation féminine et surtout des lieux de socialisation et de sociabilité. En effet, ils servent de lieux de formation pour les jeunes filles mais aussi c'est là que seront jaugées ses capacités et sa renommée lorsque sera venu le temps de rechercher un conjoint. Toute la communauté féminine participe à ces deux étapes de la vie ces jeunes femmes. Le veuvage, dernière étape de la vie féminine que toutes ne peuvent vivre, est marqué du sceau de l'ambiguïté. Le décès du conjoint permet à certaines femmes d'accéder à un statut plus autonome où elles prennent en main les destinées familiales. D'autres doivent se résigner à l'indigence à laquelle les condamne l'impécuniosité du ménage ou des moyens de subsistance d'une veuve chargée de bouches à nourrir. Le remariage est une solution pour les plus jeunes, la mort délivrera les moins chanceuses. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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La scolarisation des filles en Guinée française : le cas du Fouta-Djallon

Barry, Djenabou 25 April 2018 (has links)
La scolarisation des filles en Guinée française, plus précisément au Fouta-Djallon, est l'objet de la présente thèse. L'imposition de cette institution coloniale a provoqué l'émergence d'un modèle culturel qui a bouleversé l'équilibre interne de la société dans son ensemble. Les aspects d'ordre institutionnel et politique de l'école française ont révélé dès le départ la place que l'école réservait à la femme et les implications sociales qui devaient en découler. N'est-ce pas pour parer au plus pressé que l'enseignement des garçons se démarqua très tôt de l'enseignement pour filles qui, lui, visait en priorité «l'éducation d'une ménagère et mère de famille». Pour le colonisateur, il s'agissait d'une ménagère moderne, en d'autres termes, d'une femme sans connaissance livresque, mais ouverte à la culture occidentale et messagère des valeurs de cette dernière. Une élite sociale féminine avait la charge d'enseigner ces principes à celles pour qui le français parlé semblait suffisant. Cette considération détermine le contenu et les objectifs d'un enseignement pour filles. La présente thèse porte plus précisément sur l'école primaire élémentaire. Les nombreuses réformes de l'enseignement dans les territoires d'Afrique occidentale française se sont inspirées de la charte de 1903 qui en avait élaboré les grandes lignes. La scolarisation des filles sera vécue différemment dans les diverses colonies. Le FoutaDjallon se distingue par sa spécificité culturelle. L'institution scolaire y sera confrontée à l'hostilité d'une société qui avait déjà son école, celle basée sur la religion. Le chevauchement entre deux types d'enseignement, l'impact des coutumes hostiles à toute forme de savoir autre que coranique, des conditions matérielles insuffisantes représentèrent autant d'obstacles à l'école française. Ce phénomène fut plus sensible au niveau des filles. Pour des effectifs féminins qui, de 1924 à 1944, oscillent entre 5 et 16% par rapport au total des élèves, on peut imaginer ce que représentait la présence des filles à l'école française. Même si on faisait dépendre une politique de l'éducation de la «race» entière de la scolarisation de la femme, la réalité se passa autrement. Pourtant, l'école française est devenue un élément de distinction sociale. Du côté des femmes, cet aspect fut important dans la manière dont elles allaient accéder à des rôles autres que ceux qui leur étaient traditionnellement reconnus. L'analyse de neuf récits de vie de femmes dégage les facteurs sociaux qui déterminent trois situations principales, à savoir les conditions d'acceptation de l'école pour les filles, l'image de l'instruction de la femme et les représentations sociales qui en découlent. La relation entre ce que rapporte l'histoire officielle fondée sur les archives coloniales et ce qu'apprennent les expériences personnelles situe le principe méthodologique de la présente thèse, qui s'appuie autant sur la documentation écrite que sur les récits de vie, / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Histoire des programmes de télévision : essai méthodique appliqué aux cinq premières années de CBFT-Montréal, 1952-1957

Laurence, Gérard 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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François-Xavier Anselme Trudel, L'Etendard et les élections provinciales de 1886

Garon, Louis. 25 April 2018 (has links)
Les études relatives aux élections provinciales de 1886 n'ont jamais expliqué de façon satisfaisante la contribution de conservateurs ultramontains à la victoire de Honoré Mercier. Il est difficile, bien sûr, d'ignorer l'habileté avec laquelle le chef libéral sut exploiter à l'avantage de son parti le mécontentement suscité par l'affaire Riel. De même, comment ne pas tenir compte de l'incapacité des conservateurs à surmonter leurs divisions internes et de la faiblesse de leurs dirigeants. Aussi nous est-il apparu utile de tenter de discerner les motifs qui, au risque de favoriser l'arrivée au pouvoir des libéraux, incitèrent ces conservateurs ultramontains à abandonner leur parti. François-Xavier-Anselme Trudel était, sans conteste, le plus remarquable d'entre eux. Avocat, homme politique et journaliste, il avait résolument épousé la cause ultramontaine depuis le commencement des années 1860. Fidèle disciple de Nosseigneurs Ignace Bourget, évoque de Montréal, et Louis-François Lafleche, évêque des Trois-Rivières, les deux principaux hérauts de l'ultramontanisme en terre canadienne, ii n'avait cessé, tant sur les "hustings" que dans les revues et les journaux auxquels il collaborait, de combattre les libéraux et leurs idées. A plusieurs reprises déjà, il avait violemment dénoncé les tentatives de rapprochement entre ces derniers et des chefs du parti conservateur provincial. Depuis 1883, Trudel disposait de l'outil essentiel à quiconque voulait à l'époque engager la lutte sur le terrain politique ou idéologique, c'est-à-dire un journal. Tous les jours de la semaine, l'Etendard proclamait l'Evangile ultramontain dans la région de Montréal et même au-delà, soutenu par de nombreux membres du clergé qui garantissaient sa subsistance et son rayonnement. Comment Trudel a-t-il pu se résoudre à abandonner le parti conservateur après avoir fait campagne en sa faveur pendant plus de vingt-cinq ans? Pour quels motifs a-t-il risqué la désapprobation de Mgr Lafleche qui craignait le libéralisme bien plus que l'orangisme et a-t-il accepté, selon toute apparence, de se renier lui-même? Pourquoi encore Trudel a-t-il cru nécessaire de conclure une entente avec Mercier alors que la majorité des ultramontains préférèrent demeurer dans le giron conservateur? Pour répondre à ces questions, nous avons voulu analyser la personnalité de François-Xavier-Anselme Trudel et étudier les principaux ressorts de sa pensée et de son action. Nous avons en outre cru bon, avant d'entreprendre la tâche de discerner les motifs de sa conduite, d'examiner l'évolution de son comportement à l'égard des partis conservateurs provincial et fédéral pendant les années qui précédèrent les élections provinciales de 1886, accordant, comme il se devait, une attention particulière à l'attitude qu'il adopta lors de l'affaire Riel. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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La politique économique des trappistes de Mistassini : une étude de cas, leur établissement laitier

Perron, Normand 11 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Livres et lecteurs à Québec : 1760-1799

Langlois, Égide 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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État et société en URSS, 1917-1928 : sur les formes de l'avancée étatique et la genèse de la société soviétique

Mathieu, François 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Le Domaine Maizerets : analyse des vestiges structuraux, évolution du site et synthèse archéologique

Douville, Steve 25 April 2018 (has links)
Le Domaine Maizerets, situé dans le quartier Limoilou, est aujourd'hui l'un des plus beaux parcs urbains que compte le territoire de la Ville de Québec. Ses terrains, qui furent parmi les premiers à être exploités par les paysans nouvellement arrivés en Nouvelle-France, furent la propriété du Séminaire de Québec de 1705 à 1979. Pendant cette période, le Domaine Maizerets connu plusieurs changements tant au niveau de son aspect que de la fonction qu'il remplissait. Toutefois, malgré l'importance évidente de ce site historique, plusieurs éléments de son histoire nous étaient encore inconnus. Les archéologues s'attaquèrent ainsi au problème, entre 1986 et 1999, en réalisant plusieurs fouilles à l'intérieur des bâtiments et sur le terrain du domaine. L'objectif de notre recherche est donc de faire l'analyse des nombreux vestiges mis au jour pour ainsi améliorer nos connaissances de ce site. Dressant un portrait historique et géographique de Maizerets, ce mémoire présente les diverses données utilisées pour l'analyse des vestiges ainsi que les nombreuses hypothèses qui résultèrent de ce processus. En confrontant les résultats des interventions archéologiques, recueillis dans les divers rapports de fouille, avec les données historiques, issues d'archives ou de documents écrits, il nous fut en effet possible d'apporter un éclairage nouveau sur le passé de Maizerets. Ce document constitue ainsi une synthèse, nous l'espérons des plus complètes, de l'occupation de l'ancien domaine du Séminaire. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Anthropologie historique de la culture politique : le cas du rituel de la récitation de la prière au Parlement du Québec, 1793-1976

Roy, Isabelle 12 April 2018 (has links)
Le rituel parlementaire de réciter une prière à l'ouverture de chaque séance quotidienne relève d'une tradition britannique qui tire son origine de l'Angleterre du XVIe siècle. Instauré dès les premières institutions parlementaires de la colonie du Bas-Canada, le rituel de la prière ne fut abandonné qu'en 1976, non sans avoir été plusieurs fois réactualisé. Ce mémoire se veut une étude des représentations symboliques véhiculées par les acteurs politiques par le biais du rituel de la récitation de prières à l'intérieur du cadre parlementaire. En procédant à une analyse herméneutique des textes des prières récitées à différents moments de l'histoire parlementaire du Québec, ainsi que d'autres documents de presse se rapportant au rituel, ce mémoire prétend réaliser une histoire de la culture politique québécoise, plus précisément une histoire des représentations symboliques religieuses dans l'État, en s'inspirant des méthodologies propres à l'anthropologie historique.

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