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Subjectivy in the new Hollywood cinema: fathers, sons and other ghosts

Vojkovic, Sasha. January 1900 (has links)
Proefschrift Universiteit van Amsterdam. / Met lit. opg. - Met samenvatting in het Nederlands.
2

Home away from home global directors of New Hollywood /

Behlil, Melis, January 2007 (has links)
Proefschrift Universiteit van Amsterdam. / Met lit. opg. Samenvatting in het Nederlands.
3

In het laboratorium van de science fiction film technowetenschap in vooroorlogse Hollywood films /

Lammes, Sybille. January 2002 (has links)
Proefschrift Universiteit van Amsterdam. / Met lit. opg. - Met samenvatting in het Engels.
4

La censure cinématographique aux États-Unis : un système de répression ou pouvoir de normalisation? : le cas de la guerre au terrorisme et de la guerre en Irak : Hollywood et le cinéma américain des années Bush

Bergeron, Francis 01 1900 (has links) (PDF)
Nous essayons dans ce mémoire de déterminer comment s'articule le système de censure cinématographique aux États-Unis. À partir d'un sujet précis analysé sur une période de temps donnée, nous tentons d'établir une formation discursive crédible capable de nous renseigner sur les modalités de la censure cinématographique dans un pays aux valeurs démocratiques comme les États-Unis. Est-ce que la censure se présente comme un grand système de répression ou n'est-elle pas davantage un pouvoir de normalisation des discours? Nous retenons comme sujet d'études le cas de la représentation au grand écran de la guerre en Irak et de la guerre au terrorisme à partir d'une série de films sortis pendant les deux mandats du Président W. Bush. Étant donné le caractère hautement politique et actuel de ce sujet, il nous semble pertinent de voir comment le cinéma traduit les questionnements et discours qui l'entourent. Contrairement aux précédents conflits comme la guerre du Vietnam, il est d'emblée possible d'affirmer que les cinéastes américains osent davantage mettre certaines réalités de cette guerre en images alors que le conflit n'est pas encore terminé. Le nombre exponentiel de films touchant de près ou de loin à cette question confirme notre intérêt pour celle-ci, le cinéma demeurant depuis sa création le miroir des valeurs culturelles américaines. Si nous avons retenu au final sept films pour fin d'analyse, il reste que ceux-ci représentent à notre avis le mieux les idées développées pour ce mémoire. Le travail est divisé en trois chapitres. Dans le premier nous tentons de déterminer comment fonctionne historiquement le système de censure cinématographique aux États-Unis, pour ensuite nous attarder sur le cinéma de sécurité nationale qui demeure un créneau populaire depuis la Guerre Froide jusqu'à la chasse aux terroristes. Dans le second nous analysons deux films qui portent sur une thématique très en vogue ces dernières années, à savoir les réalités qui habitent le soldat lorsqu'il rentre au pays après un séjour en Irak ou en Afghanistan. Le dernier chapitre s'attarde au film Redacted de Brian De Palma qui soulève les nombreux cas de censure par le marché cinématographique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : censure, cinéma, discours, normalisation, Irak, terrorisme, Hollywood, sécurité, torture.
5

La mort du héros dans le finale du film hollywoodien, ou, La fabrique d'un mythe culturel puissant

Gendreau, Philippe 04 1900 (has links) (PDF)
La machine hollywoodienne se distingue par son emprise sur la consommation internationale de cinéma. Notamment, la récurrence des figures présentées dans le cinéma issu des grands studios de production influencerait non seulement les attentes du public relativement à la forme (durée, structure scénaristique, effets spéciaux), mais aussi la perception de l'histoire, des valeurs, de « l'Amérique » et du trépas. Une de ces figures tient dans les représentations de la mort du héros dans le finale hollywoodien, à laquelle cette recherche se consacre, et ce, à travers la récurrence des figures et leur portée idéologique. C'est sur cette question principale que s'adosse la structuration conceptuelle du mémoire qui est traduite en cadre d'interprétation. Celui-ci s'inspire des concepts de l'École de Francfort sur l'industrie culturelle, des travaux sur l'idéologie du cinéma américain d'Anne-Marie Bidaud, et d'un certain nombre d'auteurs sur les aspects du mythe (Joseph Campbell) et de la représentation de la mort (Louis-Vincent Thomas, Edgar Morin). Nous avons constitué un corpus de 12 films issus de la production hollywoodienne (300, Avatar, Easy Rider, Gladiator, lnglourious Basterds, Pearl Harbor, Public Enemies, Saving Private Ryan, Scarface (1932), Scarface (1983), Titanic, Troy). Ces films, choisis pour leur succès à l'échelle internationale et/ou leurs caractéristiques particulières en regard de la production des grands studios, s'avèrent pertinents pour une analyse s'effectuant sous l'angle des représentations de la mort du héros, particulièrement éloquentes de l'idéologie inscrite dans le finale. On sait que Hollywood produit des films en fonction de marchés donnés, que les productions sont formatées selon des genres précis déclinant leurs propres codes (historique, gangster, drame, péplum, action, fantastique, guerre) et que les finales hollywoodiens, surtout ceux des blockbusters, sont reconnus pour recourir au happy end. Ce schéma récurrent, manifeste dans l'analyse film à film du corpus, est exploré dans la dynamique « mythidéologique » à l'œuvre, mettant en relief des ressorts idéologiques précis, qui traversent les procédés de représentation de la mort et ce qu'en tirent les vivants. Il nous est apparu évident en conclusion qu'en esthétisant la mort, Hollywood renforce une certaine vision de la vie humaine. Peu importe les détours scénaristiques, les films et les héros, les grands studios nous ramènent à une impitoyable finalité : le monde dans lequel nous vivons doit être préservé tel qu'il est. Ceux qui sauront donner leur vie à la reconduction de ce projet de société seront récompensés et les autres, sanctionnés et privés de la rétribution symbolique réservée aux héros. En fait, il ressort nettement que dans les films à l'étude, il n'y a pas de sacrifice du héros sans que la mise en scène le compense par des dispositifs pour évoquer la survivance symbolique du sacrifié, illustrer son immortalité ou justifier son amortalité. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Cinéma, Happy end, Mort, Mythe, Rêve américain

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