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Addressing the issue of equity in health care provision during the transition period in BulgariaMarkova, Nora Konstantinova January 2008 (has links)
The collapse of the communist regimes in Central and Eastern Europe in 1989-1990 heralded the beginning of an economic transition from central planning to market economies. The subsequent period was marked by malfunctioning of these countries’ social sectors, including their health care systems, raising serious issues of equity. This thesis examines the impact of the transition period and the introduction of social insurance on equity in health care provision in Bulgaria. Equity in health care is investigated with respect to function - i.e. financing (according to ability to pay) and delivery (according to need) - and outcomes - i.e. health status, income inequality and poverty. Differences in health, health care financing and delivery are explored by income, education, ethnic, employment, marital status, age and sex groups. Furthermore, the thesis outlines the impact of health care provision, in particular social insurance, on poverty and health inequalities. The thesis employs empirical analysis based on household data. Its methodology includes concentration and decomposition analysis, and provides new ways of modelling health care financing and delivery, as well as the link between health and health care delivery. The thesis concludes that social insurance does not provide a uniform means of improving equity and that the root cause of the problem lies in the large proportion of out-of-pocket payments and the rather limited size of the health insurance sector. Inequity in health care provision leads to poverty and untreated illness. The data suggests that there are differences between socio-economic groups as regards their likelihood to seek treatment for their ill health, which result in differences in their health status. The social factors that have impacted the most on health are low education and low income.
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On the dynamic effects of fiscal policyTsoungui Belinga, Vincent de Paul 05 1900 (has links)
Dans le sillage de la récession mondiale de 2008-09, plusieurs questions ont été soulevées dans la littérature économique sur les effets à court et à long terme de la politique budgétaire sur l’activité économique par rapport à son signe, sa taille et sa durée. Ceux-ci ont des implications importantes pour mieux comprendre les canaux de transmission et l’efficacité des politiques budgétaires, avec la politique monétaire étant poursuivi, ainsi que pour leurs retombées économiques. Cette thèse fait partie de ce regain d’intérêt de la littérature d’examiner comment les changements dans la politique budgétaire affectent l’activité économique. Elle repose alors sur trois essais: les effets macroéconomiques des chocs de dépenses publiques et des recettes fiscales, les résultats macroéconomiques de l’interaction entre les politiques budgétaire et monétaire et le lien entre la politique budgétaire et la répartition des revenus.
Le premier chapitre examine les effets des chocs de politique budgétaire (chocs de dépenses publiques et chocs de recettes fiscales) sur l’économie canadienne au cours de la période 1970-2010, en s’appuyant sur la méthode d’identification des restrictions de signe développée par Mountford et Uhlig [2009]. En réponse à la récession mondiale, les autorités fiscales dans les économies avancées, dont le Canada ont généralement mis en oeuvre une approche en deux phases pour la politique budgétaire. Tout d’abord, ils ont introduit des plans de relance sans précédent pour relancer leurs économies. Par exemple, les mesures de relance au Canada, introduites à travers le Plan d’action économique du Canada, ont été projetées à 3.2 pour cent du PIB dans le budget fédéral de 2009 tandis que l’ "American Recovery and Reinvestment Act"(ARRA) a été estimé à 7 pour cent du PIB. Par la suite, ils ont mis en place des plans d’ajustement en vue de réduire la dette publique et en assurer la soutenabilité à long terme. Dans ce contexte, évaluer les effets multiplicateurs de la politique budgétaire est important en vue d’informer sur l'efficacité de telles mesures dans la relance ou non de l'activité économique. Les résultats montrent que les multiplicateurs d'impôt varient entre 0.2 et 0.5, tandis que les multiplicateurs de dépenses varient entre 0.2 et 1.1. Les multiplicateurs des dépenses ont tendance à être plus grand que les multiplicateurs des recettes fiscales au cours des deux dernières décennies. Comme implications de politique économique, ces résultats tendent à suggérer que les ajustements budgétaires par le biais de grandes réductions de dépenses publiques pourraient être plus dommageable pour l'économie que des ajustements budgétaires par la hausse des impôts.
Le deuxième chapitre, co-écrit avec Constant Lonkeng Ngouana, estime les effets multiplicateurs des dépenses publiques aux Etats-Unis en fonction du cycle de la politique monétaire. Les chocs de dépenses publiques sont identifiés comme étant des erreurs de prévision du taux de croissance des dépenses publiques à partir des données d'Enquêtes des prévisionnistes professionnels et des informations contenues dans le "Greenbook". L'état de la politique monétaire est déduite à partir de la déviation du taux des fonds fédéraux du taux cible de la Réserve Fédérale, en faisant recours à une fonction lisse de transition. L'application de la méthode des «projections locales» aux données trimestrielles américaines au cours de la période 1965-2012 suggère que les effets multiplicateurs des dépenses fédérales sont sensiblement plus élevées quand la politique monétaire est accommodante que lorsqu'elle ne l'est pas. Les résultats suggèrent aussi que les dépenses fédérales peuvent stimuler ou non la consommation privée, dépendamment du degré d’accommodation de la politique monétaire. Ce dernier résultat réconcilie ainsi, sur la base d’un cadre unifié des résultats autrement contradictoires à première vue dans la littérature. Ces résultats ont d'importantes implications de politique économique. Ils suggèrent globalement que la politique budgétaire est plus efficace lorsqu'on en a le plus besoin (par exemple, lorsque le taux de chômage est élevé), si elle est soutenue par la politique monétaire. Ils ont également des implications pour la normalisation des conditions monétaires dans les pays avancés: la sortie des politiques monétaires non-conventionnelles conduirait à des multiplicateurs de dépenses fédérales beaucoup plus faibles qu'autrement, même si le niveau de chômage restait élevé. Ceci renforce la nécessité d'une calibration prudente du calendrier de sortie des politiques monétaires non-conventionnelles.
Le troisième chapitre examine l'impact des mesures d'expansion et de contraction budgétaire sur la distribution des revenus dans un panel de 18 pays d'Amérique latine au cours de la période 1990-2010, avec un accent sur les deniers 40 pour cent. Il explore alors comment ces mesures fiscales ainsi que leur composition affectent la croissance des revenus des dernier 40 pour cent, la croissance de leur part de revenu ainsi que la croissance économique. Les mesures d'expansion et de contraction budgétaire sont identifiées par des périodes au cours desquels il existe une variation significative du déficit primaire corrigé des variations conjoncturelles en pourcentage du PIB. Les résultats montrent qu'en moyenne l'expansion budgétaire par la hausse des dépenses publiques est plus favorable à la croissance des revenus des moins bien-nantis que celle par la baisse des impôts. Ce résultat est principalement soutenu par la hausse des dépenses gouvernementales de consommation courante, les transferts et subventions. En outre ces mesures d’expansion budgétaire sont favorables à la réduction des inégalités car elles permettent d'améliorer la part des revenus des moins bien-nantis tout en réduisant la part des revenus des mieux-nantis de la distribution des revenus. En outre ces mesures d’expansion budgétaire sont favorables à la réduction des inégalités car elles permettent d'améliorer la part des revenus des moins bien-nantis tout en réduisant la part des revenus des mieux-nantis de la distribution des revenus. Cependant, l'expansion budgétaire pourrait soit n'avoir aucun effet sur la croissance économique ou entraver cette dernière à travers la hausse des dépenses en capital. Les résultats relatifs à la contraction budgétaire sont quelque peu mitigés. Parfois, les mesures de contraction budgétaire sont associées à une baisse de la croissance des revenus des moins bien nantis et à une hausse des inégalités, parfois l'impact de ces mesures est non significatif. Par ailleurs, aucune des mesures n’affecte de manière significative la croissance du PIB. Comme implications de politique économique, les pays avec une certaine marge de manœuvre budgétaire pourraient entamer ou continuer à mettre en œuvre des programmes de "filets de sauvetage"--par exemple les programmes de transfert monétaire conditionnel--permettant aux segments vulnérables de la population de faire face à des chocs négatifs et aussi d'améliorer leur conditions de vie. Avec un potentiel de stimuler l'emploi peu qualifié, une relance budgétaire sage par les dépenses publique courantes pourrait également jouer un rôle important pour la réduction des inégalités. Aussi, pour éviter que les dépenses en capital freinent la croissance économique, les projets d'investissements publics efficients devraient être prioritaires dans le processus d'élaboration des politiques. Ce qui passe par la mise en œuvre des projets d'investissement avec une productivité plus élevée capable de générer la croissance économique nécessaire pour réduire les inégalités. / In the wake of the 2008-09 Global Recession, several issues have been raised in the economic literature about the short and long-run effects of fiscal policy on economic activity with respect to its signs, its size and its duration. These have important implications to better understand the transmission channels and the effectiveness of fiscal policies, along with the monetary policy being pursued, as well as for their economic fallouts. This dissertation is part of this renewed strand of literature to assess how changes in fiscal policy affect economic activity. It therefore relies on three essays: the macroeconomic effects of government spending and tax revenue shocks, the economic outcomes of the interaction between fiscal and monetary policies and the nexus between fiscal policy and income distribution.
The first chapter examines the effects of fiscal policy shocks (government spending and tax revenue shocks) on the Canadian economy, building on the sign-restrictions-VAR approach developed by Mountford and Uhlig [2009]. In response to the Global Recession, fiscal authorities in advanced economies including Canada typically implemented a two-phase approach to fiscal policy. First, they introduced unprecedented stimulus packages to revive their economies. For instance, stimulus measures in Canada, introduced through Canada's Economic Action Plan, were projected at 3.2 percent of GDP in the 2009 federal budget while the American Recovery and Reinvestment Act (ARRA) was estimated at 7 percent of GDP. Following the stimulus, they shifted gears, adopting adjustment plans to reduce public debt and ensure long-term fiscal sustainability. Against this backdrop, examining the size of fiscal multiplier is important to informing the effectiveness of such policy measures in reviving or not economic activity. I find that tax-cut multipliers vary between 0.2 and 0.5, while spending multipliers range between 0.2 and 1.1. Spending multipliers tend to be larger than tax-cut multipliers over the last two decades. For policy implications, these results tend to suggest that fiscal consolidations through large spending cuts could be more harmful to the economy than tax-based fiscal adjustments.
The second chapter, co-written with Constant Lonkeng Ngouana, provides estimates of the US government spending multiplier over the monetary policy cycle. Government spending shocks are identified as forecast errors of the growth rate of government spending from the Survey of Professional Forecasters (SPF) and from the Greenbook record, further stripped from their predictable components. The state of monetary policy is inferred from the deviation of the Fed funds rate from the target rate, using a smooth transition function. Applying the local projections method to quarterly US data over the period 1965-2012, results show that the federal government spending multiplier is substantially higher under accommodative than non-accommodative monetary policy. The estimations also suggest that federal government spending may crowd-in or crowd-out private consumption, depending on the extent of monetary policy accommodation. The latter result reconciles---in a unified framework---apparently contradictory findings in the literature. These findings have important policy implications. They broadly suggest that fiscal policy is more effective when needed the most (e.g., at times of slack), if supported by monetary policy. They also have implications for the normalization of monetary conditions in advanced economies: the exit from UMP would lead to much lower federal government spending multipliers than otherwise, even if some amount of slack was to remain in the economy. This further highlights the need for a careful calibration of the timing of exit from unconventional monetary policy.
The third chapter examines the impact of fiscal expansion and fiscal contraction measures on income distribution in a panel of 18 Latin American countries over the period 1990-2010, with a focus on the bottom 40 percent. It therefore explores how these fiscal measures and their composition have affected the income growth of the bottom 40 percent, their income share growth and economic growth. Fiscal expansions and fiscal consolidations are identified by periods for which there is a significant change in the cyclically-adjusted primary deficit as share of GDP. I find that on average, expenditures-based fiscal expansion are more likely to increase the income of the bottom 40 percent than revenues-based fiscal expansion. This result is mainly driven by government current consumption, transfers and subsidies. In addition, these fiscal expansion measures help to reduce income inequality by improving the income share of the bottom segments of the population while reducing the top income share. However, fiscal expansion could either have no effect on economic growth or prevent the latter through capital expenditures increases. Results for fiscal consolidation are somewhat mixed. Sometime, fiscal consolidation is associated with a decline of the income growth of the less well-off and rising inequality, sometime the impact is non-significant. None of the fiscal contraction measures affects significantly GDP growth. These findings have important policy implications. Countries with some fiscal space could initiate or continue to implement safety nets program--like conditional cash transfer programs--necessary to prevent the vulnerable segment of the population to adverse shocks and to improve their living standards. With a potential of stimulating low-skill employment, a wise fiscal stimulus through government current consumption increases could also play a significant role to reduce income inequality. Also, to avoid capital expenditures that hinder economic growth, efficient public investment projects should be prioritized in the policy making process. This consists of implementing investment projects with higher productivity that can enhance economic growth necessary to reduce inequality.
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Can Changes to Tax Policy Have an Impact on a Shrinking Middle Class? : An explorative and comparative case study of changes to tax policy in Sweden and the United StatesRamirez, Karen January 2019 (has links)
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Essays on the determinants of labor's value added shareSchneider, Dorothee 26 March 2012 (has links)
Diese Dissertation besteht aus vier Aufsätzen, die sich mit der funktionalen Einkommensverteilung beschäftigen und leistet einen Beitrag in den Bereichen Arbeitsmärkte und Makroökonomie. Der erste Aufsatz ist ein Literaturüberblick über den Einkommensanteil von Arbeit am Gesamteinkommen. Der zweite Aufsatz analysiert den Einfluss von Informations- und Kommunikationstechnologien (IKT) auf den relativen Lohnanteil von hoch-, mittel- und niedrig qualifizierten Arbeitnehmern. Die Ergebnisse der Untersuchung legen nahe, dass IKT die relativen Lohnanteile beeinflusst, dieser Einfluss jedoch nicht im gleichen Maße über Zeit und Länder auffindbar ist. Einzelne Industrien werden aufgezeigt, in denen Investitionen in IKT den relativen Lohnanteil hochqualifizierter Arbeitnehmer steigern. In anderen Industrien führen Investitionen in IKT zu einer Polarisierung am unteren Ende der Verteilung. Der dritte Aufsatz untersucht die Einflüsse auf die Lohnquote in Westeuropa. Die Studie zeigt einen großen und persistenten negativen Einfluss von internationaler wirtschaftlicher Integration auf die Lohnquote über die mittlere Frist. Starke Arbeitsmarktinstitutionen steigern die Lohnquote. Der vierte Aufsatz untersucht durch welchen Kanal IKT die Lohnquote beeinflusst. Das Modell von Bental und Demougin (2010), welches die Hypothese aufstellt, dass die Lohnquote fällt da IKT die Beobachtbarkeit von Anstrengung erhöht und so die Informationsrente der Arbeitnehmer bei gleicher Anstrengung senkt, wird zu Daten von neun Westeuropäischen Ländern kalibriert. Dies zeigt, dass das Modell die Trends der Lohnquote als auch die der Reallöhne in Effizienzeinheiten und der Arbeit in Effizienzeinheiten durch den Kapitalstock, replizieren kann. Desweiteren zeigt die Analyse von Individualdaten aus dem Deutschen Sozio-Ökonomischen Panel, dass die gefühlte Beobachtung der Arbeitsleistung im Durchschnitt zwischen 1985 und 2001 gestiegen ist. / This dissertation consists of four essays on the functional distribution of income and contributes to the body of research on labor markets and macroeconomics. The first essay reviews the literature on the income share of labor. The second essay analyzes empirically the impact of investments into information and communication technology (ICT) on the relative compensation of high-, medium-, and low-skilled workers. The results imply that, although ICT investments influence the relative demand of workers by skill, this impact is not persistent over time and across countries. Nevertheless, individual industries are identified in which ICT investments increase the relative compensation of high-skilled workers and industries in which ICT investments polarize compensation at the bottom of the skill distribution. The third essay investigates the empirical influences on the labor share in Western Europe. The results show a large and persistent negative impact of economic integration on the labor share in the medium-run for an industry-level measurement. Stronger labor market institutions increase the labor share. Furthermore, the results suggest a common negative impact of ICT and economic globalization on labor share, while ICT itself seems complementary to labor in production. The fourth essay assesses empirically through which channel ICT decreases the labor share. The model of Bental and Demougin (2010), which argues that ICT reduces the labor share by improving monitoring technology and therefore lowering the workers rent at every level of output, is calibrated and simulated using data from nine OECD countries. The results show that the model can generate the observable trends in the labor shares as well as real wages in efficiency units and labor in efficiency units over capital. Furthermore, an analysis of micro data from the German Socio-Economic Panel indicates an overall average increase of perceived monitoring of workers between 1985 and 2001.
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Essays on environmental degradation and economic development / Essais sur la dégradation de l'environnement et le développement économiqueKinda, Somlanare Romuald 16 September 2013 (has links)
Cette thèse apporte un nouvel éclairage au débat sur la dégradation de l'environnement et le développement. Elle analyse les déterminants et les effets macroéconomiques de la dégradation de l'environnement. Elle est subdivisée en deux parties. La première partie analyse les effets de l'éducation et des institutions démocratiques sur la qualité de l'environnement. Le premier chapitre analyse le rôle de l'éducation dans la protection de l'environnement. Les résultats empiriques indiquent que l’effet dépend du niveau de développement. Contrairement à l’échantillon des pays en développement où elle n’a pas effet, l'éducation est source de pollution dans les pays développés. Cependant, cet effet est atténué en présence de bonnes institutions démocratiques. Le deuxième chapitre étudie l'impact des institutions démocratiques sur la qualité de l'environnement. Nous montrons qu´elles ont un effet direct et positif sur la qualité de l'environnement. Celui-Ci est plus élevé pour les polluants locaux que pour les polluants globaux. De plus, ce chapitre identifie des canaux indirects par lesquels l´amélioration de la démocratie dégrade l'environnement. En effet, en favorisant l´adoption de politiques de redistribution des revenus et de politiques économiques, la démocratie a un effet indirect et négatif sur la protection de l'environnement. La deuxième partie propose deux essais sur les effets du changement climatique et des politiques environnementales sur le développement. Le troisième chapitre met en évidence un effet négatif et significatif de la variabilité climatique sur la sécurité alimentaire dans les pays en développement. Cet effet apparait plus élevé dans les pays africains. Par ailleurs, cet effet est exacerbée dans les pays à conflit et ceux vulnérables aux chocs des prix des biens alimentaires. Le quatrième chapitre analyse l’effet de la similitude des politiques environnementales sur le commerce bilatéral. Contrairement aux études précédentes qui utilisent des indicateurs partiels de réglementation environnementale (indicateurs axés sur les moyens ou sur les résultats), nous construisons on un indicateur de politique environnementale révélé. Les résultats suggèrent que la similitude dans les politiques environnementales n'a pas d'effet sur les flux commerciaux bilatéraux. En outre les résultats ne dépendent ni du niveau de développement de pays partenaires ni des caractéristiques des biens exportés (biens manufacturés et biens primaires). / This dissertation is a contribution to the debate on environmental degradation and development. It focuses on the determinants and macroeconomic effects of environmental degradation. It is structured in two parts. The first part analyses the effects of education and democratic institutions on environmental quality. The first chapter analyses the role of education in environmental quality. No evidence of an effect of education on carbon dioxide emissions. However, this effect depends crucially on the sample of countries according to their levels of development. While the effect remains insignificant in developing countries, education does matter for carbon dioxide emissions in developed ones. Moreover, when controlling for the quality of democratic institutions, the positive effect of education on carbon dioxide emissions is mitigated in developed countries while remaining insignificant in developing ones. The second chapter explores the effect of democratic institutions on environmental quality. We evidence that democratic institutions do have a direct and positive effect on environmental quality. This positive effect is stronger for local pollutants than for global ones. More interestingly, it identifies the indirect channels through which democracy affects environmental degradation. Indeed, by increasing people’s preferences for redistribution and economic policies, democratic institutions have indirect and negative effects on environmental protection through income inequality and investments. In the second part, the dissertation provides two essays on the effects of environmental policies and climate change on development. The third chapter investigates the effects of climatic variability on food security. The results show that climatic variability reduces food security in developing countries. The adverse effect is higher for African sub-Saharan countries than for other developing countries. Second, the negative effect of climatic variability on food security is exacerbated in countries facing conditions of conflict and is high for the countries that are vulnerable to food price shocks. The fourth chapter provides new evidence about the effect of a gap in environmental policies between trading partners on trade flow. While previous papers have used partial measures of environmental regulations (input-Oriented or output-Oriented indicators), we compute an index of a country’s environmental policy. Results suggest that a similarity in environmental policies has no effect on bilateral trade flows. Moreover results do not appear to be conditional on the level of development of the countries trading or on the characteristics of exported goods (manufactured goods and primary commodities).
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財政分權對中國大陸城鄉居民收入差距之影響 / The impact of fiscal decentralization on regional urban-rural income differential in China黃立凱 Unknown Date (has links)
1994年財政分權以後,中國大陸城鄉收入差距經歷了一段縮小又擴大的變化,許多學者開始將研究焦點放在財政分權對於城鄉收入差距的影響層面。為了瞭解財政分權對於城鄉收入差距到底造成何種影響,本研究目的有以下三點:一、為探討財政分權對於城鄉收入差距是否造成影響,二、為瞭解制度因素、地方政府財政支出對於城鄉收入差距是否造成影響,三、有鑑於財政上絕對財政中央集權與財政地方分權可能是造成城鄉收入差距擴大的兩個極端,不同於過去的相關研究,本研究認為財政分權與城鄉收入差距間,可能存在非線性的關係,因此在本研究中變數中加入財政分權平方項,對於這樣的假設進行檢測。
本研究針對中國大陸1995至2008年29個省市地區資料,以雙因子固定效果模型進行研究。根據實證結果顯示,在財政自主分權指標對於城鄉收入差距的影響層面,在財政自主小於臨界水準時,隨著財政自主逐漸提高,將會縮小城鄉收入差距;但其負向效果將隨著財政自主提高後逐漸減弱,到達某個臨界水準後,財政自主對於城鄉收入差距的影響將由負轉正。意即中國大陸地方政府財政自主分權指標與城鄉收入差距間呈現非線性的關係,而是呈現類似正U型的曲線。在其他影響城鄉收入差距的變數方面上,本研究發現二元經濟結構係數、財政支出分權指標對於城鄉收入差距有正向的影響,而科技技術財政支出對於城鄉收入差距有負向的影響。透過本研究之結果,可以解釋財政分權對於城鄉收入差距影響結論不一致的說法,進而瞭解縮小地區性城鄉收入差距的最適財政分權程度。 / This purpose of this study is to investigate the changes in mainland China’s regional urban-rural income differential and its determinants during the period of 1995 to 2008. This study uses provincial-level data to analyze whether or not fiscal decentralization provides a positive effect for urban-rural income differential.In order to examine the role of fiscal decentralization in China's regional urban-rural income differential, this study establishes two empirical models with the square term of fiscal decentralization as an independent variable. After we estimate the two-way fixed-effects model of the urban-rural income differential equation, the empirical result shows the financial autonomy of local governments in China and regional urban-rural income differential relationship is nonlinear, but the show is U-shaped curve.
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Bounded rationality and endogenous preferencesÖstling, Robert January 2008 (has links)
<p>Diss. Stockholm : Handelshögskolan, 2008 Sammanfattning jämte 5 uppsatser</p>
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The management of common-pool resources : theoretical essays and empirical evidenceTernström, Ingela January 2002 (has links)
A large part of the poor people in the world is dependent on local natural resources for their survival. Often, these resources are managed as common-pool resources; that is, they are used in common by a limited group of people, who are dependent on each other in their use of the resource. The first two essays in this dissertation explicitly examine the effects of poverty on common-pool resource management. I show that if utility is a non-homogeneous function of consumption, both income level and income distribution affects the chances for cooperative management of common-pool resources. In the first essay, I let the S-shaped relationship between health and consumption be reflected in an S-shaped utility function, and use game theory to examine the effects on cooperation. I find that the chances for cooperation are greater if the users of the common-pool resource are relatively well off than if they are very poor, but greatest of all in groups of users just managing to get the food they need to remain in good health. In the most relevant consumption levels, a temporary decrease in consumption may cause cooperation to fail. In the second essay, I show that income inequality decreases the scope for cooperation. In poor groups of users, the poorest will be the ones unable to cooperate, while in richer groups of users, the richest will be the ones who can not commit to cooperate. Alms-giving, an unequal sharing of the gains from cooperation and even a certain amount of free-riding are ways of making cooperation possible despite inequality. In the third essay data from ten, and case studies of five, irrigation systems in Nepal are analysed. The results show a positive correlation between income level and cooperation and a negative correlation between income inequality and cooperation, which supports the results from the first two essays. However, while the theoretical essays focus on the incentives to cooperate, the empirical analysis shows that it is at least as important that the users find a way to coordinate their efforts. The case studies, in particular, emphasise the importance of having a person as a leader. Furthermore, cooperation works better when a large share of the users belongs to the same ethnic group. / <p>Diss. Stockholm : Handelshögskolan, 2002</p>
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DISEGUAGLIANZE DEI REDDITI E POVERTA' DELLE FAMIGLIE ATTRAV ERSO DATI AMMINISTRATIVI. UN'INDAGINE LONGITIDINALE NEL COMUNE DI BRESCIACOMUNE, MARIA ELENA 20 February 2012 (has links)
In questo studio, attraverso la realizzazione di un’indagine longitudinale basata su dati amministrativi, sono stati ricostruiti i redditi delle famiglie residenti nel comune di Brescia per gli anni 2005-2008, in una prospettiva trasversale e longitudinale, individuando situazioni di disuguaglianza, di disagio e povertà economica di alcune fasce della popolazione. L’indagine longitudinale è stata realizzata mediante il record-linkage tra i dati amministrativi provenienti dall’Anagrafe comunale e quelli fiscali del Sistema Interscambio Anagrafe Tributaria Enti Locali dell’Agenzia delle Entrate (SIATEL) per il comune di Brescia.
La peculiarità e l’importanza di questo lavoro risiedono sia nell’utilizzare dati di fonte amministrativa fiscale e anagrafica nella stima sui redditi e povertà delle famiglie, sia nella possibilità di ottenere stime a livello comunale o small-area, ampliando il campo della ricerca sociale sul tema oggetto di studio.
L’approccio teorico di riferimento adottato è quello unidimensionale, basato sul reddito, e relativo, in cui la povertà è definita in relazione allo standard di benessere raggiunto dalla popolazione di riferimento nel suo complesso. Pertanto, anziché la soglia di povertà nazionale, che tende a sottostimare la povertà nel nord d’Italia, è stata adottata una soglia di povertà locale, pari al 60% del reddito mediano equivalente delle famiglie residenti. / In this study the incomes of the families residing in the town of Brescia for the years 2005-2008 have been simulated in a cross-section and longitudinal perspective, through the creation of a Panel based on administrative data. The research aimed at identifying situations of inequality, dislocation and economic poverty of certain population groups. The Panel was carried out on the basis of the record-linkage administrative data from Registry Office and ” Informatics’ System of Local Italian Revenue Agency” (SIATEL), for the town of Brescia.
The uniqueness and importance of this work is the use of live data in estimating income and family poverty using fiscal and personal data from registry office sources, as well as in the availability of estimates at the municipal level or small-area, thus expanding the social research on the subject of study.
The theoretical approach adopted by reference is one-dimensional (based on income) and relative, in which poverty is defined in relation to the standards being achieved by the reference population as a whole. Therefore, instead of the national poverty line, which tends to underestimate poverty in northern Italy, a local poverty threshold was adopted, equal to 60% of equivalised median income of the families residing in the town of Brescia.
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Income Inequality and Economic Growth: The Case of IndiaStewart, Ross King 01 July 2013 (has links)
L'entorn econòmic de l'Índia ha canviat significativament a partir de la seva independència de Gran Bretanya l'any 1947. Després de més de tres dècades de creixement econòmic mediocre, els 80 va marcar el començament d'una nova etapa d'altes taxes de creixement econòmic a partir de noves polítiques econòmiques més orientades a una més competitiva economia de mercat. Tot i la millora en taxes de creixement, aquest model de creixement es basava en gran mesura en un gran protagonisme per part de la despesa pública, el que va precipitar la crisi financera de 1991. Com a resultat d'aquesta crisi i l'assistència proporcionada pel FMI, es van introduir reformes desreguladores i liberalitzadores. La dècada dels 90 va ser acompanyada de taxes de creixement encara més altes que la dècada anterior. En la dècada més recent, els 2000, l'obertura estable de l'economia Índia ha permès taxes de creixement més altes que en les dècades anteriors. Desafortunadament, aquest gran creixement econòmic ha anat acompanyat amb un augment important dels nivells de desigualtat d'ingrés durant aquest mateix període, tant a nivell nacional com entre els estats que formen part de l'Índia. Aquesta tesi es concentra en l'estudi de la relació entre creixement econòmic i desigualtat de l'ingrés, tant a nivell nacional com entre els estats. Aquest projecte de recerca també inclou cobertura exhaustiva respecte a l'evolució d'altres variables macroeconòmiques als dos nivells: nacional i inter-estatal. / El entorno económico de la India ha cambiado significativamente a partir de su independencia de Gran Bretaña en el año 1947. Después de más de tres décadas de crecimiento económico mediocre, los 80 marcó el comienzo de una nueva etapa de altas tasas de crecimiento económico a partir de nuevas políticas económicas más orientadas a una más competitiva economía de mercado. A pesar de la mejora en tasas de crecimiento, dicho modelo de crecimiento se basaba en gran medida en un gran protagonismo por parte del gasto público, lo que precipitó la crisis financiera de 1991. Como resultado de dicha crisis, y la asistencia proporcionada por el FMI se introdujeron reformas desreguladoras y liberalizadoras. La década de los 90 fue acompañada de tasas de crecimiento aún más altas que la década anterior. En la década más reciente, los 2000, la apertura estable de la economía India ha permitido tasas de crecimiento más altas que en las décadas anteriores. Desafortunadamente, este gran crecimiento económico ha ido acompañado con un aumento importante de los niveles de desigualdad de ingreso durante este mismo periodo, tanto a nivel nacional como entre los estados que forman parte de la India. Esta tesis se concentra en el estudio de la relación entre crecimiento económico y desigualdad del ingreso, tanto a nivel nacional como entre los estados. Dicho proyecto de investigación también incluye cobertura exhaustiva con respecto a la evolución de otras variables macroeconómicas a los dos niveles: nacional e inter-estatal. / India’s economic climate has experienced significant change since its independence from Great Britain in 1947. After more than three decades of mediocre economic growth, the 1980s ushered in a new era of accelerated growth rates by way of promoting a more efficient pro-business model. Despite the improvement in growth rates, the 1980s were fueled by over zealous public spending, precipitating the well-known financial crisis in
1991. As a result of the crisis, and the IMF supplied aid contingent on the introduction of gradual deregulatory reforms of the Indian economy, the 1990s brought about even greater economic growth rates than the previous decade. Into the 2000s, India’s continued and steady opening has afforded even further acceleration in growth rates. Despite these positive developments in the Indian economy, the unfortunate truth is that income inequality has likewise been increasing over this same period, most notably across the states. This dissertation endeavors to apply the established macroeconomic field dedicated to the study of income inequality’s effect on economic growth to the case of India, both at the national level and even more critically at the state level. Our research also includes exhaustive coverage regarding the evolution of other relevant macroeconomic variables across states, as well as nationally.
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