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Le lexique des voyageurs francophones et les contacts interlinguistiques dana le milieu de la traite des pelleteries: Approche sociohistorique, philologique et lexicologiqueVézina, Robert 07 1900 (has links) (PDF)
Tableau d'honneur de la FÉS
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Traduction et réception en Espagne de la littérature maghrébine de langue françaiseNoureddine, Nahed Nadia 05 1900 (has links) (PDF)
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Une linguistique énergétique en Russie au seuil du XXe siècle : essai d'analyse épistémologique /Simonato, Elena. January 2005 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Lausanne, 2004. / Bibliogr. p. 195-211.
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Intégration et modélisation de connaissances linguistiques pour la reconnaissance d'écriture manuscrite en-ligneCarbonnel, Sabine Lorette, Guy January 2005 (has links) (PDF)
Thèse doctorat : Discipline Informatique : Rennes, INSA : 2005. / Bibliogr.p.113-123 (63 réf.). Index.
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Le livre de comptes (1929-1934) d'un marchand général de Girardville au Lac-Saint-Jean : étude lexicale et aperçu ethnographiqueGosselin, Gilles January 2005 (has links) (PDF)
L'étude que nous présentons porte sur le vocabulaire utilisé de 1929 à 1934 dans le livre de comptes d'un marchand général de Girardville au Lac-Saint-Jean. Dans un premier temps, nous décrivons les us et coutumes des gens de cette époque qui fut particulièrement difficile en milieu rural au Québec en raison de la grande crise économique de 1930. Par la suite, nous nous intéressons à la part occupée par les québécismes dans le corpus. Pour ce faire, nous procédons tout d'abord à un classement onomasiologique de toutes les unités lexicales à partir duquel nous effectuons un classement différentiel afin d'en dégager les québécismes. L'analyse de ces données est présentée dans six chapitres qui correspondent à un thème lexical particulier dans lequel nous présentons la fréquence d'usage et nous analysons la provenance historique de chaque québécisme. L'aspect synonymique est également abordé. Ces résultats sont présentés sous forme de tableaux que nous commentons de manière générale.
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Is there one or two theres? : a look at existential and locative thereCoonrod, Diana January 2004 (has links) (PDF)
Dans la littérature, il est souvent soutenu que le there existentiel et le there locatif sont deux mots distincts en raison de caractéristiques divergentes sur les plans sémantiques, phonologiques et syntaxiques. Par contre, d'autres caractéristiques à ces mêmes niveaux suggèrent plutôt que ces deux emplois ne sont que des variantes du même mot. Ceci a donné lieu à deux interprétations de la notion de there, un problème fondamental et non résolu qui est le sujet de ce mémoire. Dans le présent travail, ce problème est abordé dans la perspective de la linguistique guillaumienne où la signification d'un mot est conçue comme un potentiel sous-jacent pouvant se réaliser dans le discours avec diverses actualisations de ce signifié de puissance.
Il est proposé dans ce mémoire que la clef de la problématique du there, qui a fait l'objet de nombreuses recherches au cours des trente dernières années, se trouve dans une meilleure compréhension du there locatif. On y trouve que le comportement du there locatif n'est pas assimilable à celui d'un pronom, et qu'il ne fonctionne pas par substitution. En fait, le there locatif s'explique le mieux en terme d'un processus associatif tripartite plutôt qu'un du processus bipartite caractéristique des pronoms. Plus précisément, le there locatif (1) s'associe avec des référents, (2) qui reconfigurent son espace encore indéfini, (3) ce qui amène à la création d'un lieu où entrent en scène des événements ou des entités. On développe dans ce mémoire un modèle du processus associatif qui rend compte non seulement de l'utilisation concrète de l'espace, mais aussi de la capacité fonctionnelle du there existentiel, montrant ainsi que les deux emplois de there partagent la même capacité fonctionnelle.
Un des arguments principaux en faveur de la thèse des deux there est que le there locatif porte toujours un accent tonique alors que le there existentiel n'en porte pas. Toutefois, on montre ici l'existence de paires minimales mettant deux there en contraste dans la construction verbe + there au niveau discursif, ce qui suggère que l'accent tonique est un élément contrastif signalant une variation de sens. Dans cette construction, le there accentué (par exemple, sit there) crée un espace défini alors que le there non accentué (par exemple, sit there) donne lieu à un espace de nature plus subjective. Ces paires phonologiques à démarcation sémantique sont similaires à l'opposition entre le there locatif et le there existentiel dans l'inversion, ce qui est une preuve de l'existence d'un système où le there existentiel n'est rien de plus qu'un emploi particulier d'un signifié de puissanciell sous-jacent.
Sur le plan sémantique, there locatif est beaucoup plus diversifié qu'on le croyait, car il a la capacité de configurer non seulement un sens locatif ou temporel, mais peut également exprimer diverses abstractions relatives à l'espace. De plus, there locatif peut évoquer d'autres significations de nature subjective, comme celle de « l'occupation minimale d'un espace » défini par l'action. Également, la réalisation de notions de « présence » et « d'existence » est possible, de même que diverses combinaisons de ces significations. Sémantiquement, ceci suggère l'existence d'une seule potentialité sous-jacente du sens de there, avec une capacité de réaliser un éventail étendue de sens, allant d'emplois référentiels objectifs à d'autres plus subjectifs, modifiables par le contexte, la syntaxe et l'accentuation.
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L'héritage de Rabelais dans le vocabulaire du français actuel à la lumière de Gargantua et de PantagruelHernández, Nahir Y January 2003 (has links) (PDF)
La présente étude cherche à donner un aperçu de l'importance de l'héritage de Rabelais dans le vocabulaire français actuel à la lumière de Pantagruel et de Gargantua.
Pour les fins de cette étude, nous avons d'abord consulté le cédérom du Petit Robert (1996) dans le but de dégager une liste provisoire de termes dont la première attestation correspond aux dates 1532 et 1534, c'est-à-dire les années de parution des deux premiers livres rabelaisiens, ainsi qu'à la date de l'édition corrigée de ces ouvrages, soit 1542. À partir de ces données, nous avons retenu cent trente-trois (133) mots que nous avons classés en fonction de leur procédé de formation.
Les trois procédés majeurs de formation faisant partie de ce travail sont l'emprunt, la dérivation et la composition. Dans notre étude, l'emprunt est le moyen de créativité lexicale ayant produit le plus de termes rabelaisiens facilement retrouvés dans les dictionnaires de langue française moderne avec un total de soixante-quatorze (74) mots. Les emprunts rabelaisiens sont classés par langue d'origine : le latin, le grec, l'italien, l'espagnol et l'hébreu, et les parlers de France. La dérivation a produit quarante-huit (48) termes au moyen de la suffixation, de la préfixation ou de l'ajout de particules, alors que la composition en a produit onze (11).
Nous avons étudié chaque terme individuellement. Pour ce faire, notre étude s'est basée sur les définitions et les données étymologiques du Petit Robert et du Trésor de la langue française. Par la suite, ces informations ont été complétées par des commentaires linguistiques et historiques tirés principalement du Dictionnaire historique de la langue française (Le Robert historique), mais aussi du Französisches Etymologisches Wôrterbuch (FEW), du Dictionnaire de l'ancienne langue française (Godefroy), du Dictionnaire de la langue française du seizième siècle (Huguet) et du Dictionnaire universel (Furetière).
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La perception des différences d'intensité intrinsèque : une étude des voyelles du français québécoisGaudreault, Julie January 2003 (has links) (PDF)
La présente étude consiste à évaluer expérimentalement la perception des différences d'intensité intrinsèque dans le langage. Le matériel utilisé lors des expérimentations (tiré du corpus de laboratoire qui a servi à l'établissement des paramètres de variations microprosodiques en français québécois) est composé de phrases courtes dans lesquelles on retrouve des mots ou logatomes monosyllabiques de structure CVC.
Pour réaliser cette étude, deux expérimentations ont été conduites. La première avait pour but d'établir le seuil de perception des différences d'intensité pour un stimulus donné dans des environnements similaires tandis que la deuxième consistait à mesurer l'effet de la durée sur la perception de l'intensité. Les résultats obtenus de l'analyse expérimentale semblent indiquer qu'une variation d'intensité de l'ampleur de celles observées pour l'intensité intrinsèque des voyelles se situe, dans le meilleur des cas, aux franges de la perception en contexte linguistique (voyelles dans des mots isolés ou dans des phrases). L'effet d'une variation de la durée intrinsèque sur la perception de l'intensité, toujours en contexte linguistique, semble quant à lui plus assuré pour des variations de durée comparables à celles que l'on observe avec la durée intrinsèque des voyelles.
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L'adverbe variable «tout» : une impossibilitéCarrière, Hélène January 2002 (has links) (PDF)
L'objectif de la recherche est d'examiner les fondements de la curieuse règle d'accord de l'adverbe variable « tout », laquelle stipule que dans certains emplois où il adopte une nature d'adverbe, le mot « tout » doit s'accorder dans certaines conditions, soit devant un mot féminin commençant par une consonne ou un h aspiré. La recherche s'intéresse au premier chef au non-sens que constitue une «exception» ou une «particularité» permettant à un adverbe -par nature invariable- de se retrouver variable.
La recherche qui a été menée commence, comme il se doit, par l'examen minutieux des différentes et nombreuses natures - au nombre de cinq - que peut prendre le mot « tout ». Or une interprétation juste et fine exige un recours rigoureux à des notions nouvelles, celles de la totalité interne et de la totalité externe, la première portant la nature d'un «tout» adjectif qualificatif, la seconde, celle d'un «tout» adjectif indéfini. Mieux et justement vus dans leur nature, ces emplois d'adjectifs permettent une meilleure compréhension de « tout » employé comme nom, comme pronom, et finalement comme adverbe, mais comme adverbe véritable et donc invariable.
L'examen qui suit des emplois d'un prétendu adverbe variable « tout » vient montrer, hors de tout doute, qu'il y a erreur dans l'identification de la nature du mot « tout » dans ces emplois, que le prétendu adverbe variable « tout » a de fait nature d'adjectif qualificatif.
Pareille conclusion quant à une nature d'adjectif qualificatif du mot « tout » dans ces emplois où la grammaire traditionnelle identifiait un adverbe ou variable, ou invariable, a plusieurs conséquences. La première est de faire comprendre la justesse des accords dans les emplois du type « Elle est toute décoiffée » et « II est tout décoiffé », par une interprétation référant à une nature d'adjectif qualificatif. De faire comprendre ensuite qu'en parallèle à « II est tout épuisé », il faille choisir pour « Elle est toute épuisée » une orthographe reconnaissant l'accord au féminin de « tout » adjectif qualificatif. De faire voir aussi que dans les emplois de ce dernier type, la règle de grammaire traditionnelle imposait un accord fautif en « tout épuisée ».
Une conséquence de cette différente analyse de la nature du mot « tout » oblige à admettre, à partir de l'emploi du masculin pluriel de « Ils sont tout épuisés », que l'adjectif qualificatif « tout », dans sa valeur de totalité interne, n'accepte pas le pluriel. Et qu'il faudra orthographier ainsi l'adjectif de « Elles sont toute épuisées » et de « Elles sont toute décoiffées », des orthographes qui rejoignent celle qui a toujours été acceptée pour les masculins, les masculins ne posant pas - comme les féminins ? de difficultés dans le passage de l'oral à l'écrit. Des difficultés qui originaient évidemment de l'attribution d'une nature d'adverbe au mot « tout » de ces emplois.
De pareilles rectifications et les approfondissements qui les fondent permettent d'interpréter les aperceptions de Claude Favre de Vaugelas et de comprendre les sources de la méprise qui a mené l'Académie française à concevoir, dans le cadre de sa compréhension, une règle destinée à « faciliter » les accords. L'Abbé Gabriel Girard, de même que les linguistes et grammairiens Damourette et Pichon, avaient bien aperçu les erreurs des accords proposés : il ne leur manquait que de comprendre certains des jeux de nature du mot « tout » et surtout les effets de la valeur de départ de totalité interne excluant l'emploi du pluriel.
Enfin, en plus d'atteindre l'objectif d'expliquer les fondements de la règle, la recherche vient offrir, dans un cadre plus large, un exercice d'application des approches d'analyse de la « grammaire raisonnée », le cadre méthodologique adopté pour cette recherche.
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Le développement de l'aisance à l'oral en français langue seconde au cours d'un programme d'immersion à l'étranger de courte durée de 5 semainesGuay, Jean-Daniel January 2013 (has links) (PDF)
L'objectif principal de la présente étude était de déterminer si la durée d'un programme d'immersion à l'étranger (PIE) de cinq semaines était suffisante pour observer une amélioration significative au niveau du développement de l'aisance à l'oral (AAO) en français langue seconde (L2) chez des anglophones adultes (n^lOO). À l'aide d'une épreuve de narration effectuée au début et la fin du PIE, les résultats principaux, calculés à partir de diverses valeurs temporelles de la parole, ont démontré que 1) la durée du PIE a eu un effet positif sur le développement de l'AAO en français L2 chez tous les apprenants, 2) le PIE était particulièrement bénéfique pour le développement des apprenants (n=33) qui avaient un degré d'AAO faible en L2 et 3) pour certaines mesures chez les apprenants les plus aisés (n=33), il était possible d'afficher un degré d'AAO similaire aux locuteurs natifs (n=23).
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