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Catégorisation en acte : la notion lexicale (mariage) dans le discours social d'aujourd'hui

Charron, Audray Julie January 2007 (has links) (PDF)
Le présent mémoire relève de la sémantique lexicale, mais se situe au carrefour de cette discipline et de l'analyse du discours : il part du postulat que le sens d'un mot découle d'un contexte discursif et d'une situation d'énonciation. En d'autres termes, ce mémoire privilégie une conception de la production du sens d'un mot qui n'enferme pas la signification dans le simple renvoi à une définition lexicographique. Nous y analysons la manière dont des énonciateurs, à travers un corpus de textes concernant le débat canadien sur le mariage homosexuel, construisent ce que le linguiste A. Culioli appelle le domaine notionnel d'une notion lexicale. Il s'agit ici de la notion lexicale [MARIAGE]. Ces dernières années, dans la presse, plusieurs personnes se sont exprimées sur le mariage et la reconnaissance des unions de même sexe. La lecture d'articles de journaux nous a permis de constater que la notion [MARIAGE] était d'une grande instabilité sémantique. Nous avons alors jugé intéressant d'étudier, à l'aide des outils de la sémantique lexicale et de l'analyse du discours, la polysémie que dévoile la notion ainsi que différentes catégorisations notionnelles que cette polysémie illustre dans des textes de la presse écrite québécoise qui traitent du mariage homosexuel. Pour réaliser notre étude, nous avons exploité un cadre théorique et méthodologique qui puise ses références dans la linguistique énonciative et dans les études de sémantique cognitive sur la catégorisation. Nous nous sommes également inspirée de travaux d'analyse discursive qui s'intéressent au discours comme mise en acte des processus de constraction des connaissances et des stratégies argumentatives. Ainsi, dans ce mémoire, une fusion est opérée entre les théories de A. Culioli, de G. Kleiber, de G. Vignaux et la mise en application de ces théories dans les analyses de K. Fall et d'autres spécialistes du discours. Nous croyons avoir illustré, à travers l'étude de la notion lexicale [MARIAGE], que le sens ne se fige pas dans une acception définitive, mais qu'il est toujours l'objet d'une construction et que le discours révèle le processus même de constraction de ce sens, à travers ses stratégies et ses enjeux, en fonction d'énonciateurs et d'une situation.
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Étude de quelques cas de ruptures de cohérence présents dans des écrits d'étudiants en français langue seconde de niveau avancé

Simard, Josée January 2007 (has links) (PDF)
Un des objectifs de notre recherche était de vérifier s'il y a présence de ruptures de cohérence dans les écrits d'étudiants en français langue seconde de niveau avancé. Le cas échéant, nous avons tenté, après l'analyse du corpus, de classer ces ruptures selon un modèle proposé par Odette Gagnon, professeure au Département des Arts et Lettres de l'Université du Québec à Chicoutimi, s'éîant elle-même inspirée des grands noms de la linguistique textuelle. Une fois ce classement réalisé, nous avons pu constater à quel niveau se situaient les faiblesses majeures des apprenants en matière de cohérence textuelle. Pour ce faire, un corpus constitué de 15 textes a été recueilli auprès d'étudiants anglophones et arabophones inscrits à des cours de français langue seconde de niveau avancé. Ce corpus a ensuite été informatisé et chacune des phrases numérotée puis analysée au niveau local, mais aussi au niveau global. Notre étude a permis de constater que les ruptures de cohérence les plus fréquemment rencontrées se situent au niveau événementiel et se traduisent soit par l'absence d'un connecteur lorsque requis ou l'emploi inapproprié d'un connecteur. Au niveau référentiel, nous avons pu remarquer que la répétition abusive d'un terme et la non-pronom inalisation affectent grandement la cohérence. De plus, dans les cas où le scripteur tente une pronominalisation, le lecteur se retrouve très souvent confronté à l'absence de réfèrent ou alors à un réfèrent ambigu. En ce qui a trait aux ruptures de cohérence observées au niveau énonciatif, notre étude a montré que les apprenants en français langue seconde, même de niveau avancé, éprouvent encore de grandes difficultés dans l'emploi des temps verbaux, plus précisément en ce qui concerne les temps du passé. Nous espérons que ces précieuses informations pourront, par la suite, servir à des fins pédagogiques pour la création d'exercices pertinents qui aideront l'apprenant à mieux maîtriser les ressources linguistiques qui permettent et créent la cohérence par le biais de l'arrimage des éléments d'information.
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Les prépositions orphelines en français : effacement ou absence de complément?

Olivier, Marcelle January 2006 (has links) (PDF)
Cette étude porte sur les prépositions orphelines en français, i.e. les prépositions lexicales simples et les prépositions complexes apparaissant sans complément dans cette langue, telles qu'évoquées par Zribi-Hertz (1984) dans une analyse de ces éléments ne manifestant aucun déplacement syntaxique, contrairement aux prépositions esseulées en anglais. N'appartenant pas à la structure argumentale des verbes, les éléments orphelins sont traditionnellement reconnus comme arguments circonstants et donc, à fonction adverbiale, provoquant le changement de catégorie grammaticale des éléments. Rejetant l'intransitivité des prépositions orphelines, Zribi-Hertz analyse ces dernières comme étant suivies du pronom implicite pro. Remettant en cause ce traitement des prépositions orphelines, l'étude montre que les structures locatives orphelines du français sont de même nature nominale et de même comportement que les possessions inaliénables du corps humain apparaissant dans le même type de contexte, soit avec déterminant défini et argument implicite. D'où le caractère relationnel des structures orphelines exprimant les parties intrinsèques des objets dans une relation partie-tout, parallèment aux noms parties du corps exprimant les parties inhérentes du corps humain dans une relation possédé-possesseur. De façon similaire aux noms parties du corps, les orphelins en français se révèlent donc être décomposables et leur argument optionnel, i.e. sans position structurale, et ce, de façon similaire à tout syntagme libre employé avec défini et ellipse de l'objet. D'où l'existence d'un continuum des objets locatifs s'étalant des noms de lieu à caractère concret aux noms de lieu à caractère abstrait ou relationnel et donc, la nature pragmatique de la relation entre l'objet relationnel et le réfèrent de son argument implicite. La relation de coréférence entre l'objet locatif et le réfèrent de son argument implicite est opérée par indication par l'entremise du défini lié à ses conditions discursives d'emploi. Cette solution est présentée sous forme de règle lexicale dans le cadre de la théorie Head-driven Phrase Structure Grammar.
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L'emploi de la ponctuation dans des transcriptions de la langue parlée

Drolet, Anne-Claude January 2006 (has links) (PDF)
Ce mémoire présente une étude de l'emploi de la ponctuation dans des transcriptions orthographiques de discours oral spontané, dont la source est constituée de deux séries radiophoniques et d'un échantillon de huit émissions d'une série télévisée. L'hypothèse de départ était que les transcripteurs feraient un emploi particulier des signes de ponctuation afin de rendre compte de certains phénomènes propres à l'oral. Pour analyser les données du corpus sélectionné, la méthode choisie repose sur la notion d'écart par rapport à la norme régissant l'emploi des signes ponctuation. Plusieurs grammaires usuelles et traités de ponctuation ont été consultés afin d'identifier les règles qui avaient été transgressées dans chacun des trois textes étudiés. Une fois la liste des écarts présents dans les transcriptions établie, une écoute des enregistrements des trois textes sources a permis de noter certains phénomènes prosodiques comme les pauses, l'intonation et les variations de rythme ou de débit des sujets parlants. La dernière étape du processus d'analyse a consisté à tenter de mettre en relation les 365 écarts notés dans l'emploi des signes de ponctuation avec les caractéristiques prosodiques présentes dans les énoncés sources. Si la présence ou l'absence de pause peut notamment expliquer certains écarts, la relation est, dans d'autres cas, beaucoup plus indirecte : un emploi de la ponctuation déviant par rapport aux usages courants de l'écrit pourrait alors contribuer à simuler ou à recréer un effet d'oralité. Certains phénomènes ne constituant pas un écart ont également été étudiés, particulièrement la longueur des phrases et l'emploi des points de suspension. En guise de conclusion, l'étude fait état des différents moyens que les transcripteurs des trois textes étudiés ont privilégiés pour rendre compte de l'oralité du discours de départ.
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Le français québécois dans les "Questions de français" de l'abbé Narcisse Dégagné publiées dans le Progrès du Saguenay entre 1927 et 1940

Côté, Nancy January 1999 (has links) (PDF)
Notre étude vise à faire connaître l'?uvre linguistique de Narcisse Dégagné, personnage méconnu de la lexicographie québécoise. Pour ce faire, nous situons d'abord dans leur contexte les « Questions de français », chroniques de langage publiées entre 1927 et 1940, puis nous en présentons l'auteur. Par la suite, nous faisons un portrait de l'ensemble des chroniques publiées afin d'en dégager certaines lignes directrices quant à l'opinion de l'auteur sur le français en usage au Québec. À partir de ses prises de position, nous espérons voir dans quel courant normatif l'auteur se situe. La partie principale de notre mémoire présente une analyse lexicale de cinquante mots extraits du corpus de québécismes attestés dans les chroniques. Cette analyse nous permet de vérifier nos premières impressions sur l'idéologie de l'auteur. Elle nous donne aussi la possibilité d'observer ses connaissances linguistiques. Elle se termine par des conclusions tirées de l'analyse lexicale et de l'ensemble de notre recherche.
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L'emploi des pronoms dans des textes d'élèves de deuxième secondaire

Boily, Manon January 2001 (has links) (PDF)
Le présent mémoire de maîtrise porte sur l'emploi des pronoms dans des textes d'élèves. L'objectif principal est de décrire l'utilisation que des élèves de deuxième secondaire font des pronoms dans des textes qu'ils écrivent afin de mieux connaître les difficultés qu'ils éprouvent et d'en tirer des indications pour l'enseignement de la cohérence textuelle. Le corpus étudié pour cette recherche compte 100 textes recueillis à huit ans d'intervalle dans des conditions d'écriture similaires : les 50 premiers textes, rédigés en 1989 portent sur le tremblement de terre de 1988 au Saguenay-Lac-St-Jean et les autres textes, rédigés en 1997, portent sur le déluge de 1996 au Saguenay. À partir des ces textes. 2296 pronoms ont été analysés. L'analyse des pronoms s'est faite en considérant trois variables : le temps, le type de texte et le sexe de l'élève. Pour chacun des aspects, nous avons observé le type de pronom, le type de référence, le type de représentation, l'emplacement des pronoms dans le texte et les problèmes de cohérence et d'orthographe rencontrés. Suite à notre analyse, nous constatons que la variable temps n'influence pas l'utilisation que les élèves de deuxième secondaire font des pronoms. Par contre, le type de texte (expressif ou informatif) et, dans une certaine mesure, le fait que le texte soit écrit par une fille ou un garçon a des effets sur la manière d'utiliser les pronoms et sur les difficultés rencontrées. Ces résultats nous conduisent à dégager quelques propositions didactiques servant à guider les enseignants dans leur pratique quotidienne afin d'améliorer cette dimension de la compétence rédactionnelle.
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Des moyens d'expression de l'intensité dans le langage des jeunes Québécois

Bilodeau, Chantale January 2001 (has links) (PDF)
Cette étude porte sur les moyens d'expression de l'intensité élevée dans un corpus de langue orale de jeunes Québécois. Notre objectif est de voir comment ce phénomène se manifeste dans cette variété sociolectale et de mieux comprendre le comportement des formes qui le caractérisent à l'oral. À côté des moyens traditionnels partagés par le français standard et le français québécois, nous retrouvons des procédés moins conventionnels qui appartiennent avant tout au langage familier. Notre intérêt s'est particulièrement porté sur les formes plus typiquement associées au français québécois. Parmi celles-ci, nous retenons particulièrement les variantes des formes adverbiales standard telles les ben, les benben, les don ben, les ben raide...; les locutions prépositionnelles à l'os, au boute, au fond..., les préfixes intensifs archi, hyper, super...; les adjectifs à valeur adverbiale rare, raide, de même que les adjectifs méchant, maudit, éc?urant qui, en québécois, caractérisent bien le phénomène de l'intensification par la qualification; et enfin, mais non le moindre, l'emprunt à l'anglais full. On a également relevé un usage important des sacres et des jurons utilisés comme intensifs Les hostie, les maudit, les taber, les sacrament, les ostiche... sont régulièrement exploités par les jeunes et viennent pimenter leurs expressions. On est ainsi à même de découvrir la vitalité de la langue québécoise et l'usage que font les jeunes de toutes ces formes dans leur langage spontané. Cette étude illustre bien la force et l'originalité de ce phénomène dans le langage des jeunes Québécois d'aujourd'hui.
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Pistes d'exploration pour l'élaboration d'un système formel de montée en abstraction et d'émergence de catégorisations linguistiques

Fraser, Pierre January 2001 (has links) (PDF)
La présente étude s'inscrit dans les champs de recherche sur l'ingénierie linguistique. Cette discipline, rattachée aux sciences cognitives, a pour objectif de fournir des modèles pour la conception et la réalisation de systèmes informatiques aptes à effectuer un traitement des données linguistiques. Cette discipline renvoie à des applications très diverses portant sur des problèmes reliés aux domaines suivants : la construction de représentations sémantiques, le résumé automatique de textes, l'acquisition et la modélisation de connaissances à partir de textes, la traduction automatique, le data mining et le text mining, etc. Ce mémoire aborde surtout la dimension de la formalisation d'un système d'acquisition de connaissances illustrant une montée en abstraction, tant sur le plan neuronal que sur le plan énonciatif. Le lecteur doit comprendre que les objectifs de ce mémoire sont exploratoires et que nos intentions immédiates ne visent qu'à poser les jalons pour une recherche ultérieure de niveau doctoral. Un modèle est proposé, d'abord sous forme de graphe ensembliste fermé et ensuite ouvert par l'ajout de règles de connectivité, pour développer une démarche moins statique. Ce modèle est posé à cette étape ci comme prometteur et en accord avec l'hypothèse générale d'émergence dynamique que représente un processus de montée en abstraction.
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Problèmes de prononciation du français par des étudiants vietnamiens et quelques propositions de moyens de correction

Hue, Vo Thi January 2000 (has links) (PDF)
Les étudiants de l'École Normale Supérieure (E.N.S.) de l'Université de Danang (Vietnam) sont originaires de toutes les provinces du Centre du Vietnam. Ils parlent le français avec une prononciation qui porte des caractéristiques locales de la langue vietnamienne. À la recherche de l'origine des erreurs dans la prononciation française, une question se pose : est-ce que ces erreurs sont dues aux interférences de la langue maternelle (vietnamien) sur la langue étrangère (français) ? Pour être en mesure de répondre à cette question, il est apparu nécessaire d'effectuer une étude contrastive des deux systèmes phonologiques afin de faire ressortir les interférences entre les deux langues. Cela nous permettra de faire une meilleure identification des erreurs commises. Le corpus provient d'entrevues réalisées auprès de quinze locuteurs étudiants vietnamiens au Vietnam et au Québec. Dans le cadre de cette recherche, nous travaillons seulement sur certaines erreurs générales et caractéristiques des apprenants vietnamiens en faisant une étude descriptive scientifique de certaines réalisations défectueuses de voyelles ou de consonnes ainsi que de quelques phénomènes prosodiques. Cette étude aboutit à un autre travail indispensable : proposer quelques moyens pertinents pour la correction et l'amélioration de la prononciation du français. Ce travail, en complémentarité avec d'autres études du même type, a été fait dans la perspective d'être utile, nous l'espérons, aux enseignants et étudiants vietnamiens avec comme objectif final de développer et d'améliorer l'enseignement du français au Vietnam.
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Le fransaskois : un aperçu sociolinguistique

Boulay, Yvette January 1998 (has links) (PDF)
L'histoire d'un peuple se reflète dans sa langue et nous voulions connaître l'histoire des Fransaskois pour comprendre le fransaskois. Il existe déjà certaines études sur cette variante du parler français en Amérique du Nord, mais peu d'entre elles semblent s'intéresser à la sociolinguistique. Pour fin d'études du fait français existant dans un milieu anglo-dominant comme la Saskatchewan, notre enquête a été menée auprès de dix Fransaskois demeurant à Régina, tout en étant originaires d'un peu partout dans la province. Le questionnaire portait sur la famille et le lieu d'origine, la langue de l'éducation reçue, le quotidien au travail et dans la vie sociale et culturelle, ainsi que les prédictions des intervenants pour les chances de survie de leur langue maternelle dans un futur éloigné d'une vingtaine d'années. À travers ces informateurs, nous avons donc obtenu un « instantané » de la situation linguistique des Fransakois, aux niveaux familial, éducationnel, culturel et linguistique. Ces Fransaskois définissent leur culture comme « bilingue » et ils sont d'un optimisme prudent en envisageant l'avenir de leur langue maternelle. Ce mémoire pose donc des jalons pour des études plus poussées dans le domaine.

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