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Déterminants physiologiques et comportementaux du poids corporel chez la femme

Duval, Karine 23 April 2013 (has links)
D’importantes fluctuations du poids corporel peuvent être observées à différentes périodes de la vie d’une femme la rendant ainsi plus vulnérable à une augmentation du risque de développer de l’obésité et des problèmes de santé. Bien que les approches actuelles préconisées dans le traitement de l’obésité produisent des résultats à court terme, le maintien d’une perte de poids à long terme s’avère une tâche difficile pour une majorité de gens. Il apparaît donc important, du point de vue de la santé des populations, de mieux comprendre les facteurs physiologiques et comportementaux associés à la problématique du poids chez la femme. C'est dans cette optique que s'inscrivent les travaux de la présente thèse. Deux études ont été utilisées afin de répondre aux questions de recherche de cette thèse : 1) une étude transversale réalisée auprès de femmes préménopausées ayant eu du succès avec le maintien d’une perte de poids; 2) une étude longitudinale d’une durée de 5 ans réalisée chez des femmes en période de transition ménopausique. Dans un premier temps, nous avons cherché à mieux comprendre les déterminants physiologiques et comportementaux susceptibles de favoriser le maintien d’une perte de poids à long terme chez la femme préménopausée en comparant des femmes ayant eu du succès avec le maintien de leur perte de poids à des femmes n’ayant jamais eu de problème de poids. Les résultats de cette étude transversale ont montré que le maintien d’une perte de poids à long terme chez la femme semble être associé à un apport protéinique plus élevé, un contrôle volontaire alimentaire cognitif plus important ainsi qu’à une plus grande dépense énergétique associée à l’activité physique. Dans un deuxième temps, nous avons observé que la relation entre la fréquence des repas et la composition corporelle chez les femmes préménopausées peut être influencée par l’activité physique et la condition cardio-respiratoire. Dans un troisième temps, nous nous sommes intéressés aux changements pouvant survenir au niveau des déterminants physiologiques et comportementaux associés à l’équilibre énergétique pendant la transition ménopausique. Les résultats de cette étude longitudinale suggèrent que la transition ménopausique est accompagnée d’une diminution de la dépense énergétique, principalement caractérisée par une diminution de la pratique d’activité physique, et de l’adoption d’un mode de vie plus sédentaire. Une diminution de l’apport alimentaire ainsi qu’une augmentation de l’appétit ont également été observées. Dans l’ensemble, nous avons démontré qu’une pratique d’activité physique régulière d’intensité modérée à élevée ainsi qu’un apport protéinique plus élevé contribueraient au maintien d’une perte de poids à long terme chez la femme et qu’un gain de poids pendant la transition ménopausique pourrait être atténué par une augmentation de la pratique d’activité physique, l’adoption d’un mode de vie actif et une diminution de l’apport alimentaire.
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Connaissances et perceptions des infirmières de la femme obèse qui donne naissance

Bertrand, Véronique 26 April 2013 (has links)
Depuis les 25 dernières années, la prévalence de l’obésité augmente considérablement chez les personnes de tous les âges. Cette tendance inquiétante s’accentue chez les femmes en âge de procréer. Une femme obèse enceinte se prédispose et expose son fœtus à des facteurs de risque importants. En tant qu’infirmière, la possibilité d’avoir à intervenir, auprès de femmes enceintes obèses ou en surplus de poids se présente de plus en plus fréquemment. Cependant, le domaine de recherche sur les connaissances et les perceptions des infirmières sur la femme obèse et son nouveau-né est peu développé. Un devis de recherche quantitative de type descriptif a été utilisé afin d’identifier les connaissances erronées et/ou manquantes des infirmières. Ceci, dans le but de formuler des recommandations visant à améliorer la formation des infirmières en périnatalité. La collecte de données a été réalisée auprès de 76 infirmières qui ont répondu à un questionnaire structuré selon trois des quatre savoirs infirmiers de Carper (1975); soit le savoir empirique, le savoir personnel et le savoir éthique. Les résultats montrent que les infirmières ont davantage de lacunes dans le savoir-science. Au terme de cette recherche, on apprend que les infirmières ne prennent pas suffisamment en considération les complications et les risques possibles lorsqu’elles interviennent auprès des patientes obèses et de leurs nouveaux nés. Par contre, comparativement aux quelques auteurs qui se sont penchés sur les perceptions des infirmières quant à l’obésité, les infirmières de l’échantillon posent tout de même un regard positif sur leurs patientes obèses. Les résultats de cette étude représentent une contribution importante à l’approfondissement des connaissances au sujet des perceptions et des savoirs des infirmières de la femme obèse qui donne naissance. Les recommandations qui en découlent permettront d’améliorer la formation des infirmières en périnatalité et la qualité des soins offerts à ces patientes.
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Entre refuge et exil : l’expérience de femmes palestiniennes du camp de Bourj El Barajneh

Caron, Roxane 10 1900 (has links)
Le conflit israélo-palestinien dure depuis plus de 60 ans. Non seulement perdure-t-il, il gagne aussi en complexité. Cette thèse s’intéresse à l’expérience d’exil des Palestiniens et plus particulièrement à celle de femmes palestiniennes vivant en camp de réfugiés au Liban. La mémoire palestinienne a longtemps été, dans son ensemble, occultée dans la littérature, et qui plus est l’expérience des femmes; la façon dont leurs récits sont construits nous le démontre bien. La présente étude s’inscrit donc dans la lignée de travaux qui font une place aux « voix silencieuses » que sont souvent celles des femmes réfugiées palestiniennes des camps. Cette thèse s’appuie sur une approche qualitative – récits de vie et observation participante – et fait suite à une recherche qui a été menée entre 2009 et 2011 dans le camp palestinien de Bourj El Barajneh au Liban. Les résultats dégagés confirment que, dans l’exil, une partie de l’expérience de la nakba palestinienne telle que vécue par les femmes s’est perdue. Ceci dit, si la quasi-absence des femmes caractérise l’exode, on voit ces dernières s’affirmer au fil de l’exil qui devient une réalité durable. Au cours des deux premières décennies, les femmes apparaissent comme des « résistantes du quotidien ». Puis, la montée du sentiment national palestinien et l’éclatement de la guerre civile libanaise amènent les femmes à investir de plus en plus l’espace public. En temps de guerre, toutes les femmes participent à la survie de la communauté, et cela, par l’extension de leurs tâches domestiques et sociales. Plus le conflit prend de l’ampleur, plus leurs activités se diversifient : elles intègrent d’autres tâches à celles qui leur sont traditionnellement assignées. À l’issue du conflit, une grande partie des femmes palestiniennes commencent à prendre leurs distances de la lutte nationale partisane. Pour plusieurs d’entre elles, la fin de la guerre est aussi la fin des illusions : elles ont le sentiment d’avoir été abandonnées par la classe politique. Ainsi, le mouvement nationaliste palestinien a certes bousculé les rôles de genre, mais il n’a pas permis d’induire des changements durables. Dans les récits des femmes, on voit qu’à travers l’exil s’est créé un lien avec ce milieu que l’on croyait temporaire, le camp de Bourj El Barajneh : un lien qui se situe au cœur d’une tension entre un pôle réel et un pôle symbolique. Le camp « réel » est décrit comme insalubre, instable et non sécuritaire, et la vie dans ce camp est à ce point précaire et difficile que les femmes s’accrochent à cet autre camp qui, lui, est porteur de mémoire, de souvenirs, de relations et de rêves. C’est d’ailleurs parce que ce second pôle existe que la vie dans le camp peut être tolérée. Si la lutte nationale a été pour une certaine génération de Palestiniennes la préoccupation première, la fin de la guerre signe la perte de vitesse de cette lutte qui s’est longtemps avérée structurante. Ceci dit, le modèle de résistance, lui, persiste. Les femmes continuent de lutter et apparaissent comme des « actrices de la transmission ». L’un de ces projets qu’elles font leur, la transmission de l’identité religieuse, prend rapidement de l’ampleur alors que la communauté palestinienne peine à se relever des affres de la guerre. Nombreuses sont les femmes qui cherchent un sens à la vie dans ce cumul de catastrophes, et la religion les soutient dans cette quête, mais en plus c’est à travers elle que le projet du retour en Palestine est porté. D’ailleurs, la mémoire de la Palestine est une autre valeur que les femmes cherchent à transmettre d’une génération à l’autre. Maintenir la mémoire de la Palestine est un rôle traditionnel de la femme palestinienne. Ceci dit, les femmes ne remplissent pas ce rôle « aveuglément » : elles transmettent une mémoire, un message qu’elles ont cherché, reconstruit, évalué et parfois critiqué. Enfin, un autre projet se manifeste rapidement dans l’exil : la transmission des connaissances, une valeur phare pour les Palestiniennes puisque à la fois stratégie de survie, de développement et d’ascension sociale. Mais pour quelques-unes, l’éducation est une lutte parce que confrontée à des contraintes contextuelles et au poids des traditions. Ainsi, c’est par des valeurs traditionnellement portées et transmises par les femmes – l’identité religieuse, la mémoire et l’éducation – que l’oppression et la colonisation des Palestiniens se combattent au quotidien. / The Israeli-Palestinian conflict has lasted more than 60 years and persists not only in time but also in complexity. This thesis focuses on the Palestinian exile and particularly, the experience of exile of Palestinian women living in refugee camps in Lebanon. Palestinian memory has for a long time been occulted in the literature and specifically, the experience of women and how their stories are constructed by gender. The present study is therefore in a line of work that gives a place to these “silent voices” that are often those of the Palestinian women of the camps. This research is based on a qualitative methodology – life stories and participant observation –, research that took place between 2009 and 2011 in the refugee camp of Bourj El Barajneh in Lebanon. The results show that, in exile, a part of the Palestinian nakba experienced by women, has been lost. That said, if a virtual absence of women characterizes the exodus, over exile, women become more assertive. During the first two decades in exile in Lebanon, women appear as “everyday resistant”. Then, the rise of a national sentiment which was rapidly followed by the outbreak of the Lebanese civil war, made women more and more present in the public space. Indeed, in wartime, all the women were involved in the community’s survival, and that, by an extension of their domestic and social roles. The longer the conflict lasts, the more diverse are their activities: it includes other tasks than those traditionally assigned to them. At the end of the conflict, a large part of Palestinian women are beginning to distance themselves from the national struggle. For many, the end of the war also means the end of illusions: they feel they have been abandoned by the political class. Thus, if the Palestinian nationalist movement has certainly brought changes in gender roles, it has failed to bring about lasting changes. Also, in the women's narratives, we see that in time, a bond is created with the space “Bourj El Barajneh camp”, a, bond that is located in a tension between two poles. First, there is a “real pole” where the camp appears as unsafe and unstable. Second, life in the camp is so precarious and difficult that women cling to another pole, a “symbolic pole” which represents the camp as a bearer of memories, relationships and dreams. And it’s because this last pole exists that life in the camp can be tolerated. If the Palestinian national struggle – for a certain generation of Palestinian women – was the main struggle, the end of the war signed “the end of illusions” and the slowing of the national struggle which has long proven structuring. That said, the pattern of resistance persists while women continue to resist and appear as “actresses of transmission”. The transmission of religious identity quickly gained in importance as the Palestinian community struggled to recover from the horrors of war. Through religion, many women found meaning in a life and it is also through religion that the return to Palestine is now carried. Moreover, the memory of Palestine is another value that women seek to pass on from a generation to another. Even though, passing on the memory of Palestine is a role traditionally carried by women, they do not fulfill it “blindly” but they convey a message that has been sought, rebuilt and sometimes criticized. Finally, another project arrives rapidly in exile: the transmission of knowledge, a core value for Palestinian women as it is a strategy for survival, development and social mobility. But for some, because faced with contextual constraints and the weight of tradition, education is still a struggle. Thus, it is because women carry and transmit traditional values – religious identity, memory and education – that the oppression and colonization of Palestinians can be fought everyday.
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La féminité corporelle et consommée : regard anthropologique sur des pratiques de consommation chez de jeunes femmes québécoises /

Bouchard, Marie-Claude. January 2006 (has links) (PDF)
Thèse (M.A.) -- Université Laval, 2006. / Bibliogr.: f. 149-157. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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The construction of osteoporosis as a twentieth century disease

Berman, Elaine S. January 1998 (has links) (PDF)
No description available.
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La femme, la Cour et les arts chez Brantôme / Woman, court and arts in Brantôme's literature

Blazejewska, Katarzyna 12 July 2012 (has links)
Homme d’épée et courtisan de la Renaissance, Brantôme livre au sein des 'Dames illustres' une image de la femme, de la Cour et des arts sous le signe de jeux de contrastes. Décrits à travers le prisme de leurs vertus et de leurs vices, les personnages apparaissent à la fois sombres et lumineux. Si l’auteur se concentre sur ses modèles de premier plan, pour autant il n’oublie pas de les camper sur le fond historique, social et culturel de leur époque. Les Cours étrangères y côtoient ainsi la Cour de France, « vray Paradis du monde ». Certes enchanté par l’éclat et la magnificence de ces univers, Brantôme laisse également entrevoir une facette plus inquiétante, marquée par les jeux de pouvoir, l’hypocrisie et la phallocratie. Enfin, les tableaux littéraires s’enrichissent d’une dimension artistique, tant au moyen des descriptions minutieuses de ses différentes expressions que dans l’art d’écrire brantomien que nous proposons ici de redécouvrir. / Brantôme, nobleman and Renaissance courtier, uses contrast skilfully in 'Dames Illustres' to paint a rich picture of women, the Court and the Arts. Described through the prism of their virtues and vices, the characters appear both dark and light. Although the author concentrates on his subjects in the foreground, he nonetheless also places them firmly in the historical, social and cultural context of their time. So here he shows foreign Courts encountering the French Court, “vray Paradis du monde”. Brantôme is fascinated by the brilliance and magnificence of these worlds but he also gives a glimpse of the more disturbing aspect of power struggles, hypocrisy and male supremacy. Finally, his literary depictions are made more vivid by an artistic dimension, multi-layered and detailed descriptions and Brantôme’s unique style of writing. This is what will be rediscovered here.
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A representação da mulher na cidade do Rio Grande em dois marcos temporais : um olhar semiótico sobre um jeito de fazer história

Brisolara, Maria Cristina Freitas January 2007 (has links)
Dans ce travail, en plaçant dans le cerne la représentation de la femme , j’entreprends des recherches, dans le discours journalistique imprimé et dans le récit oral individuel. Majoritairement, par le biais d’une lecture sémiotique de conception greimasienne, je vérifie la forme comme est montrée et se montre la femme, dans la ville de Rio Grande – RS, dans un corpus formé par trois recueils de textes. Le premier et le second recueils sont composés de nouvelles du journal Diário do Rio Grande, centrés sur le référent “femme” véhiculés dans l’année 1900. Le troisième recueil est constitué de textes obtenus à partir des récits oraux de quatre femmes ayant plus de quatre-vingts ans, à propos de leurs vies. Apparemment hétérogènes, les objects d’analyse ont dans leur unité la représentation des rôles féminins. L’analyse fait remarquer comment des textes journalistiques d’un périodique représentant de la dite “presse sérieuse” qui circulait dans la ville de Rio Grande à cette époque-là, traite la femme, s’adresse à la femme ou donne place à sa voix; comment les narratives de mémoire oraux obtenues de témoins vivants – des récits de femmes ayant 81, 84, 86 et 91 ans – représentent le féminin compris les événements racontés dans le niveau de concomitance, comme il s’agit de femmes qui ont vécu un espace-temps commun, en articulant leurs histories personnelles avec l’Histoire Officielle. Je recherche, sémiotiquement, en comparant des données, en quelle mesure la condition d’être femme, dans l’espace socio-physique-temporel de la ville de Rio Grande de 1900, montrée par le journal, ressemble à ou diffère du rapport de femmes rio-grandines, nées autour des années 1920, qui se se sont formées en tant que personnes en convivant et en absorbant des influences de femmes qui ont vécu dans le même espace qu’elles, mais, au seuil du vingtième siècle. J’observe comment ces textes se construisent pour rapporter des événements du monde-référence, de telle manière qu’ils deviennent acceptables comme enregistrement du “réel”; comment ils exercent de la persuasion; comment, expressément, le texte journalistique cherche à sédimenter des croyances, à inculquer des valeurs et à déterminer des attitudes, en soutenant le tout dans et par le discours. En partant de l’hypothèse selon laquelle le texte journalistique de la presse considérée “sérieuse” – celle qui s’auto-définit comme honnête, éthique, impartielle, en opposition à l’autre, la presse appelée “sensationaliste”, vue comme ouverte, impactante, vorace – est la source journalistique de plus grande crédibilité utilisée par la recherche historique qui se réalise dans la Fundação Universidade Federal do Rio Grande do Sul (FURG), de la ville de Rio Grande – RS, pour construire l’Histoire de la ville, je recherche, s’il y a, forgés dans la presse “sérieuse” de la ville, dans la limite temporelle de 1900, des signes de comportements transgresseurs. De la même manière, par l’analyse des textes oraux, je vérifie si, en avançant le temps, en parlant d’elles-mêmes, les femmes qui étaient de jeunes filles dans la décénie de 1940, permettent de se laisser voir, par moments, comme des agents d’infraction. Par l’analyse des textes journalistiques comparée à l’analyse des textes oraux, je vérifie la confirmation ou non de ma pressupposition selon laquelle les formes normatisatrices de la conduite féminine de mère dévouée, épouse, et fille, soutenues dans la morale et dans la vertu – le profil de femme que l’Histoire de la ville reproduit – résultent d’une recherche qui se veut neutre, comme elle s’origine d’une source entendue comme la plus impartielle, la moins tendancieuse ; de qui les textes journalistiques de la presse “sérieuse”, en cherchant à dissimuler un discours révélateur, laissent des brèches qui rendent possible de détecter une image de femme moins idéalisée. Avec l’intention de montrer qui la connaissance de la Sémiotique Greimasienne permet d’accéder à un changement de point de vue dans la recherche historique de la FURG, spécialement en ce qui concerne la reconstruction de l’image de la femme de la ville de Rio Grande, quant on discourt sur la représentation féminine dans les textes de la presse et dans les textes oraux qui composent le corpus de ce travail, je fais des réflexions sur des notions de la Sémiotique et de l’Histoire, en ce qui concerne le mythe de la “vérité” et ses implications avec les idées de “fait” et de “réalité” et le mythe de la “totalité”. En plus d’examiner la représentation de la femme dans la ville de Rio Grande, de diffuser des histoires de femmes de cette ville, ainsi que d’amplifier les domaines de connaissance de la Sémiotique Greimasienne dans l’espace académique, mon but à étè aussi de directionner un nouveau regard sur la narrative journalistique et sur la narrative orale produite par des sources vivantes, en suscitant des questions qui font place à une approche entre Sémiotique et Histoire, dans le domaine de la Fundação Universidade Federal do Rio Grande, dans l’objectif d’implémenter de futures recherches qui viendraient consumer le caractère interdisciplinaire de cette proposition. / Neste trabalho, colocando no cerne a representação da mulher, empreendo investigações, no discurso jornalístico impresso e no relato oral próprio. Preponderantemente, por meio de uma leitura semiótica de concepção greimasiana, verifico a forma como é mostrada e se mostra a mulher, na cidade do Rio Grande – RS, em um corpus formado por três coletâneas de textos. A primeira e a segunda coletânea compõem-se de notícias do jornal Diario do Rio Grande, centradas no referente “mulher”, veiculadas no ano de 1900. A terceira coletânea constitui-se de textos obtidos do relato oral de quatro mulheres de mais de oitenta anos, acerca de suas vidas. Aparentemente heterogêneos, os objetos de análise têm na sua unidade a representação dos papéis femininos. A análise observa como textos jornalísticos de um periódico, representante da dita "imprensa séria", que circulava na cidade do Rio Grande, naquela época, trata da mulher, dirige-se à mulher ou dá espaço para sua voz; como depoimentos memorialísticos orais obtidos de fontes vivas – relatos de mulheres de 81, 84, 86 e 91 anos – representam o feminino, compreendidas as ocorrências narradas em nível de concomitância, por tratarem-se de mulheres que viveram um espaço-tempo comum, articulando suas histórias pessoais com a História Oficial. Averiguo, semioticamente, comparando dados, em que medida a condição de ser mulher, no espaço sócio-físico-temporal da Rio Grande de 1900, mostrada pelo jornal, assemelha-se ou diferencia-se da relatada por mulheres rio-grandinas, nascidas em torno dos anos de 1920, que se formaram como pessoas, convivendo e absorvendo influências de mulheres que viveram no mesmo espaço que elas, porém, no limiar do século XX. Observo como esses textos constroem-se para relatar acontecimentos do mundoreferência, de modo a torná-los aceitáveis enquanto registro do "real"; como exercem persuasão; como, especificamente, o texto jornalístico busca sedimentar crenças, incutir valores e determinar atitudes, sustentando tudo no e pelo discurso. Partindo da hipótese de que o texto jornalístico da imprensa considerada “séria” – a que se definia como honesta, ética, isenta, em oposição a outra, a imprensa chamada "sensacionalista", vista como aberta, impactante, voraz – é a fonte jornalística de maior credibilidade utilizada pela pesquisa histórica que se realiza na Fundação Universidade Federal do Rio Grande (FURG), da cidade do Rio Grande – RS, para reconstruir a História da cidade, investigo, se há, forjados na imprensa "séria" da cidade, no marco temporal de 1900, indícios de comportamentos transgressores. Da mesma forma, pela análise dos textos orais, verifico se, passado o tempo, falando de si mesmas, mulheres que foram jovens na década de 1940, possibilitam deixarem-se ver, em algum momento, como agentes de ações infratoras. Pela análise dos textos jornalísticos comparada à análise dos relatos orais, verifico a confirmação ou não de meu pressuposto de que as formas normatizadoras da uma conduta feminina de dedicada mãe, esposa, filha, sustentada na moral e na virtude – perfil de mulher que a História da cidade reproduz – resultam de uma pesquisa que se pretende neutra, por originar-se de fonte entendida como isenta, não tendenciosa; de que os textos jornalísticos da imprensa “séria”, procurando dissimular um discurso revelador, deixam brechas que possibilitem detectar uma imagem de mulher menos idealizada. Com a intenção de mostrar que o conhecimento da Semiótica Greimasiana pode possibilitar uma mudança de visão na pesquisa histórica da FURG, especialmente no que se refere à reconstrução da imagem da mulher da cidade do Rio Grande, ao discorrer sobre a representação feminina, nos textos da imprensa e nos textos orais que integram o corpus destetrabalho, faço reflexões sobre noções da Semiótica e da História, no que se refere ao mito da "verdade" e suas implicações com as idéias de “fato” e de “realidade” e ao mito da "totalidade". Afora examinar a representação da mulher na cidade do Rio Grande, divulgar histórias de mulheres dessa cidade, bem como ampliar os alcances do conhecimento da Semiótica Greimasiana no espaço acadêmico, foi também meu intuito direcionar um novo olhar para a narrativa jornalística e para a narrativa oral produzida por fontes-vivas, suscitando questões que abram espaço para a aproximação entre Semiótica e História, no âmbito da Fundação Universidade Federal do Rio Grande, com vistas à implementação de futuras pesquisas que venham a consumar o caráter interdisciplinar desta proposta.
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De Gabriela a Tieta : a configuração das heroínas periféricas amadianas nos espaços de modernização rural e urbana / De Gabriela à Tieta : la configuration des héroïnes périphérique amadiennes dans l espace ficcionel de modernisation agricole/urbaine

Ferreira, Lígia dos Santos 18 November 2009 (has links)
Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior / Esta tese objetiva, a partir dos estudos da Literatura e Sociedade, analisar a trajetória das protagonistas dos romances Gabriela, cravo e canela (1958), Tereza Batista cansada de guerra (1972) e Tieta do agreste pastora de cabras (1977), de Jorge Amado. Através das vozes narrativas, as personagens são construídas no espaço ficcional de modernização rural/urbana, no qual a representação produz personagens masculinos que se pautam em princípios da razão patriarcal, cujo poder é centralizado no coronelismo, contrário ao discurso de progresso e modernização. As protagonistas percorrem uma trajetória ficcional que contribuiu para a aplicação da categoria de herói problemático, de George Lukács. A partir da adequação dessa proposta teórico-crítica sobre o herói do romance moderno à análise crítica da produção amadiana, desenvolvemos a categoria de heroína periférica, cuja construção se deve às relações dicotômicas entre localização periférica e representação de questões universais. Para o nosso estudo adotamos os pressupostos teóricos de Georg Lukács, Antonio Candido e o estudo crítico sobre a obra amadiana de Eduardo de Assis Duarte, Ana Maria Machado e Mark Curran.
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Laughing lesbians: Camp, spectatorship, and citizenship

Steck, Rachel Kinsman, 1974- 03 1900 (has links)
xi, 158 p. A print copy of this thesis is available through the UO Libraries. Search the library catalog for the location and call number. / This study, set in the context of the feminist sex wars, explores the performances of Holly Hughes, Carmelita Tropicana, and Split Britches throughout the 1980s and early 1990s. The purpose of this study is to better understand the implications of a specific style of lesbian comedic performance, found at the WOW Café and defined here as lesbian camp, throughout a contentious era in feminist politics. The motivating questions for this study are: How can a performance inspire an activated spectatorship? How have lesbian comedic performance practices provoked feminist theory and practice? Chapter II defines lesbian camp and attempts to trace a dialogue among lesbian performance critics and academics ruminating over lesbian camp and its existence. It also explores lesbian camp's relationship to drag and butch-femme as well as how lesbian camp functions within specific performances of Holly Hughes, Split Britches, and Carmelita Tropicana. Chapter III argues that it is the very element of lesbian camp that brings forth the potential for an activated spectatorship. It is a chaotic, unstable environment that exposes and disassembles deep-seated fears, ideals, and practices seemingly inherent, although pragmatically constructed, to our communities and cultures throughout the 1980s and early 1990s. It presents a climate of resistance through the disruption of identificatory practices. This, in turn, provokes an activated spectatorship. Chapter IV examines the effects these artists had on the larger stage of the feminist sex wars and culture wars. Holly Hughes, for example, became a national figure, defunded from the National Endowment for the Arts due to her subject of the queer body, then deemed obscene and pornographic. Split Britches were popularized by feminists in the academy not only for their creative techniques but also for their (de)construction of butch-femme coupling. Carmelita Tropicana brought drag to a whole new level with incorporation of male and female drag into her hybrid performances. / Committee in charge: John Schmor, Chairperson, Theater Arts; Sara Freeman, Member, Theater Arts; Theresa May, Member, Theater Arts; Ellen Scott, Outside Member, Sociology
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Les représentations de la femme dans "Ekomo" (1985) de Maria Nsue Angüe et "Hija de la Fortuna" (1998) de Isabel Allende. / Women representations in the books "Ekomo" (1985) by Maria Nsue Angue and "Hija de la fortuna" (1998) by Isabel Allende

Edzodzomo Ondo, Hubert 08 February 2013 (has links)
Cette thèse se propose d’examiner les représentations de la femme dans Ekomo (1985) de María Nsue Angüe et Hija de la fortuna (1998) d’Isabel Allende. Dans l’un comme dans l’autre texte, la femme est marginalisée en tant que fille, mère et épouse. Dans Ekomo, María Nsue Angüe soutient que cette situation perdure depuis la fondation des tribus fang par l’ancêtre, Afrikara. Une période durant laquelle, la femme s’illustrait tantôt par sa traîtrise, tantôt par sa sorcellerie. L’enseignement de la généalogie des tribus destiné aux jeunes hommes, conforte cette idée. Ainsi, alors que les jeunes hommes sont préparés pour dominer, les jeunes filles de leur côté, sont éduquées pour obéir et se soumettre. Une image de paria dont la femme tant dans Hija de la fortuna que dans Ekomo ne parvient que rarement à défaire. Cependant, deux événements vont accélérer la prise de conscience des femmes de cette marginalisation et favoriser leur libération. D’abord le contact de la tradition fang avec la culture occidentale et l’école en particulier et, ensuite le voyage ou l’éloignement de la femme de la famille. Chez María Nsue Angüe tout comme chez Isabel Allende, la libération de la femme suscite des interrogations tant leurs propositions paraissent inappropriées. / The aim of this thesis is to consider women representations in the books Ekomo (1985) and Hija de la fortuna, respectively written by María Nsue Angüe and Isabel Allende. In both books, women are marginalized. In Ekomo, María Nsue Angüe states that the situation has not been changing since the Fang tribe foundation by the ancestor, Afrikara. During this period women were renowned for treachery and witchcraft. The genealogical teachings given to boys, venerate the male ancestors and dishonor females. Therefore, while boys are trained to dominate and to carry out noble tasks, girls are educated to obey and to be obsequious. Women rarely manage to get rid of this ancestral and historic pariah image in Hija de la fortuna and Ekomo. Two events will accelerate women's awareness of their marginalization and will help them to get free. Firstly, the contact between the Fang tradition and the European culture and particularly school and then the journey and the estrangement of women from their family. With both María Nsue Angüe and Isabel Allende, women freedom gives rise to so many questions because their statements are inappropriate.

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