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Limbour dans le surréalisme /Bianchi-Longoni, Loredana. January 1987 (has links)
Diss.--Zurich--Faculté des lettres, 1985. / Bibliogr. p. 183-203.
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La mise en pièces de l'héritage surréaliste après 1945 / Integration and desintegration : the surrealist heritage in post-1945 dramaClara, Christine 09 June 2016 (has links)
À son retour en France en 1946, André Breton reçoit avec enthousiasme des pièces de théâtre qui parviennent à renouveler les pratiques dramatiques de l'époque. Ionesco, Schehadé, Gracq, mais aussi Adamov, Arrabal, Audiberti, Limbour, Obaldia, Vian et Weingarten, créent entre 1945 et la fin des années soixante des pièces audacieuses qui ont tout pour séduire le chef de file du surréalisme.Même si la plupart des auteurs n'entretiennent qu'un lien tenu voire inexistant avec le mouvement surréaliste, ils héritent de certaines préoccupations du premier surréalisme par le truchement de dramaturges et théoriciens de théâtre (tels que Artaud et Jarry), de penseurs (philosophes ou psychanalystes) mais aussi de metteurs en scènes. Les vingt pièces étudiées ici questionnent l'existence humaine en analysant tantôt la perception de l'absurdité du monde, l'incapacité à communiquer, tantôt la perte des valeurs et de repères, poussant les personnages à s'interroger sur leur identité, leurs souvenirs et leurs désirs.Au-delà de ces réflexions caractéristiques de la production dramatique de l'après-guerre, les dramaturges de notre corpus explorent de nouvelles voies dramatiques. Les uns proposent un travail linguistique qui vise à retrouver la poésie au sein des conversations quotidiennes. D'autres interrogent les certitudes établies par le biais de l'humour et de l'ironie. Enfin, d'autres encore se tournent vers l'exploration de l'inconscient, des rêves et de la folie. Ces trois démarches nées d'initiatives individuelles des dramaturges s'inscrivent dans une esthétique surréaliste, mais il n'est pas sûr qu'elles suffisent à résumer la diversité des entreprises dramatiques ni à définir a posteriori une nouvelle conception du théâtre surréaliste / When André Breton comes back to France in 1946, he's thrilled with theatre plays which manage to renew the dramatic practices of the time. Between 1945 and the late sixties, Ionesco, Schehadé, Gracq, and also Adamov, Arrabal, Audiberti, Limbour, Obaldia, Vian and Weingarten create daring plays which have everything to allure the leader of surrealism.Even if most authors only have a tenuous or even non-existent link with the surrealist movement, they inherit certain notions of first surrealism through playwrights and theatre theorists - such as Artaud and Jarry-, thinkers -philosophers or psychoanalysts- but also stage directors.The twenty plays studied here question human existence by either analyzing the perception of the nonsense of the world and the incapacity to communicate, or the loss of values and reference markers, leading the characters to wonder about their identities, their memories and their desires. Beyond these reflections characteristic of the dramatic production of the post-war period, the playwrights of our corpus explore new dramatic paths. Some propose a linguistic work which aims at finding poetry within daily conversations. Others question what we take for granted through humour and irony. Finally, others turn to the exploration of one’s unconscious, dreams and madness.These three approaches born of individual initiatives of the playwrights get close to a surrealist aesthetics, but they may not by themselves summarize the diversity of dramatic attempts nor define a posteriori a new idea of surrealist theatre.
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