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La cosmologie de l'Antre des Nymphes. Ses sources et ses traditions.St-Amour, Patrick January 2016 (has links)
L'Antre des Nymphes, un texte datant de la fin du troisième siècle de notre ère écrit par Porphyre de Tyr, nous transmet une exégèse à propos d'un passage de l'Odyssée (XIII, 102-112) d'Homère. Cette thèse couvre spécifiquement la cosmologie du texte de Porphyre et discute de ses sources pythagoriciennes, néo-platoniciennes, et mithriaques. En première partie, cette thèse aborde l’arrière-plan philosophique de l’auteur de l’Antre des Nymphes et discute de la cosmologie pythagoricienne de ses origines jusqu’aux néo-platonicien. Au deuxième chapitre, le texte de Porphyre fait l’objet d’une étude directe et approfondie. Les différentes notions cosmologiques sont analysées afin d’établir l’imaginaire cosmogonique et cosmologique du texte. En tierce partie, les notions mithriaques sont mises en relation, autant avec la tradition philosophique gréco-
romaine qu’avec les apports du chercheur Roger Beck.
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Skilda frälsare i samma kläder : En studie om Mithras och Messias funktioner och likheterLjung, Gustaf January 2013 (has links)
It has since long been noticed that savior figures from different religions have reminded of each other, and there are different theories trying to explain why. This study examines religions operating in the same culture, and in this case, judaism and zoroastrianism, and their influence on each other. In particular, focus is on zoroastrianism's image of the savior figure Mithra, and how this representation may have influenced the description of the Messiah in the Talmud. How are the two figures represented in the scriptures and what similarities can be identified? By a thorough content analysis the studie examines the Avesta of zoroastrianism and the Talmud from judaism. When Avesta is written is uncertain, but it was compiled and edited by Shapur II in fourth century, same time as the Jewish oral traditions were written down in the persian empire in the form of the Babylonian Talmud. The theories used are Dimensional Accrual and Dissociation theory (DAD), this theory seeks to explain what happens when multiple religions are operating in the same area for a long time. The cultural phenomenon that before was exclusive to one culture may be dissolved and it becomes difficult to tell where this phenomenon came from. The farther two or more cultures co-exist, the harder it will be to say what culture is which. Together with DAD is the cultural Churning theory(CCT), CCT argues that when newly arrived immigrant ethnicities take residence in an already established culture, it requires an adaptation primarily from immigrants, i.e the minority culture. CCT also says that that both the society and the individual need to adapt to the new culture. What I have found is that the savior figures in Avesta and the Talmud are largely similar, in several respects. What I also found through historical studies is that these two faiths worked side by side in close to 800 years, and during this time a cultural exchange most likely took place.
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La chevalerie iranienne : ‘Ayyâri, à travers le récit médiéval de Samak-é ‘Ayyâr / The Iranian chivalry : ‘Ayyâri, through the medieval story of Samak-é ‘AyyârNosrat, Shahla 30 September 2015 (has links)
Jusqu'à présent, plusieurs études ont été consacrées au 'Ayyâri et à ses origines, mais aucune n'a visé le cœur mythique de cette chevalerie qui se nourrie du culte de Mithra. Cette thèse étudie en premier lieu la genèse de la chevalerie iranienne et ses idéaux dans un contexte mythico-religieux où la fonction de l'lzad Mithra est analysée comme celle de la grande Déesse-Mère des sociétés archaïques mèdes et scythes bien avant la réforme religieuse de Zoroastre. En deuxième lieu, puisque la femme est le pivot de tous les événements du récit, la thèse en se basant sur les fonctions et les caractéristiques d'un Mithra féminin, étudie la place et le rôle prépondérant de la femme dans le système religieux mithriaque. L'objectif consiste à dévoiler les raisons socio-religieuses pour lesquelles la femme est considérée, depuis la religion de Zoroastre, comme un être inférieur dans toutes les religions postérieures au caractère monothéiste et dans toutes les sociétés du type patriarcal. / Till today, several studies have been devoted to Ayyâri and its origins, but none of them has pointed to the cuit of Mithra who is the mythical source of this knigtit. This thesis studies, firstly, the origins of lranian chivalry and its ideals in a mythical-religious context in which the function of the lzad Mithra is analyzed as one of the greatest Mother-Goddess of archaic societies of Medes and Scythian; well before the religious reformation of Zoroaster. Secondly, forasmuch as the woman is the axis of all events in the story, this thesis analyzes the status and leading role of women in the Mithraic religious system, based on the functions and features of a female Mithra. The aim is to reveal the socio-religious reasons for which the woman isconsidered, since the religion of Zoroaster, as an inferior in all the subsequent religions with monotheistic character and in all the patriarchal societies.
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La réception du culte de Mithra en Italie et dans les provinces occidentales de l’Empire romain (Ier – IVe siècle) / The reception of the Mithras cult in Italy and the Western provinces of the Roman Empire (I - IVth C.)Roy, Philippe 01 October 2016 (has links)
Le culte de Mithra a achevé de s’installer dans l’Empire romain au IIIe siècle. Il a prospéré dans une période de mutation des pratiques religieuses. En dispensant par initiation un accès à ses rites, en appliquant des épreuves théâtralisées de progression, en imposant le secret et en provoquant une expérience relationnelle avec son dieu, sa proposition religieuse s’inscrivait dans la phénoménologie des mystères antiques. Mithra a été reçu en territoire romain et dans les provinces occidentales de l’Empire par des hommes d’horizons géographiques et ethniques variés, mais réunis par des caractères communs quant à leur niveau social et culturel. Les mobiles qui les ont attiré ont pu être l’attrait d’un réseau communautaire, la recherche d’une valorisation existentielle dans ce réseau interactif, l’accès à une initiation spirituelle dans un contexte culturel avancé ou peut-être la curiosité. Les expressions initiatiques transcrites par les mithraea symbolisent la libération de l’individu dans le monde, sans prôner de remise en question de la structure sociale. Même s’il est demeuré au rang des cultes privés ou étrangers dans le système impérial, avec un dieu d’origine orientale, mais plutôt mis en scène sous une forme orientalisée, avec une structure mystérique grecque et une éthique stoïcienne, il résulte de cette recherche qu’on doit considérer le culte de Mithra en Occident sous l’angle réceptif d’un culte romain, mais avec déjà, dans cette époque de transformation une forte propension à l’universalité. / The worship of Mithra finished settling down in the Roman Empire in the IIIth century. He prospered for a period of transfer of the religious practices. By dispensing by initiation an access to its rites, by applying theatralized tests of progress, by imposing the secret and by causing a relational experience with his god, his religious proposal joined the phenomenology of the antique mysteries. Mithra was received on Roman territory and in the western provinces of the Empire by men of varied geographical and ethnic horizons, but gathered by common characters as for their social and cultural standing. The motives which attracted them were able to be the attraction of a community network, the search for an existential valuation in this interactive network, the access to a spiritual initiation in an advanced cultural context or maybe the curiosity. The initiatory expressions transcribed by mithraea symbolize the liberation of the individual in the world, without advocating of questioning of the social order. Even if it lived to the rank of private or foreign cults in the imperial system, with a god of oriental origin, but rather staged under an orientalized shape, with a Greek mystical structure and a Stoic ethic, it results from this research that we have to consider the cult of Mithra in the West under the susceptible angle of a Roman cult, but with already, in this period of transformation, a strong propensity in the universality.
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Le dieu Sol dans l’empire romain des antonins à Julien l’Apostat. Conventions iconographiques, lecture symbolique et portée politique / The Sun god in the Roman Empire from the Antonines to Julian the Apostate. Iconographic conventions, symbolic and political readingRomagnan, David 11 January 2014 (has links)
Le dieu Sol, personnification de l’astre du jour, est documenté à Rome et en Italie bien avant l’avènement de l’empire. Dieu longtemps secondaire, ce n’est que durant l’Antiquité tardive qu’il gagne en importance, mais jamais au point de supplanter Jupiter et de devenir la divinité suprême. Cette étude a pour but d’offrir une approche renouvelée de l’interprétation de son image, en mettant en valeur la constance de son iconographie, l’uniformité des messages qui lui sont associés, son importance croissante dans l’idéologie politique impériale, et ensuite de les expliquer et de les réintégrer dans une perspective plus globale du IIe au IVe siècle. Cette présente thèse a ainsi pour but d’étudier les représentations du dieu Sol, à la fois personne divine et personnification de l’astre diurne, puis d’en déduire la nature du pouvoir cosmique du dieu, notamment par l’étude des documents dans lesquels il est mis en relation directe ou indirecte avec d’autres divinités, et de mettre en relief la spécificité de l’utilisation de l’image du dieu Sol dans un contexte impérial. / The Sun deity was documented in Rome and in Italy well before the advent of the Empire. Considered secondary for a long time, this god’s importance grows only during the late Antiquity.This study aims at offering a renewed approach of its image by emphasizing the constancy of its iconography, the uniformity of the messages associated to it, and its increasing importance in the imperial political ideology which we are to explain and place in a more global perspective from the 2nd to the 4th century.Within this thesis we will study the representations of the Sun deity, as a god and as the personification of the sun. From the analysis of its documented relationship to other divinities we will establish its cosmic power and the particular use of its image in an imperial context.
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Mithra et le pouvoir impérial romain de Néron à Julien II / Mithras and the Roman imperial Power from Neron to Julian the ApostateRallet, Jean-Marie 09 December 2010 (has links)
La relation qu’entretint la divinité mithriaque avec le pouvoir impérial romain fut longtemps négligée du fait de la rareté des sources directes, ne donnant lieu, le plus souvent, qu’à quelques lignes dans les ouvrages généraux consacrés à Mithra. Si le mithriacisme romain fut avant tout un culte à mystères, à ses origines, il n’était pas que cela. Son succès en Perse reposa d’abord sur une manifestation publique utile au pouvoir politique, dont le plus auguste témoignage est Persépolis. Assurément, le mithriacisme romain fut étroitement lié à ses racines perses. Souvent niée, parfois minorée, cette origine fut au cœur d’une ouverture doctrinale des mystes ce qui explique l’hellénisation philosophique du mithriacisme et prépara, plus tard, le terrain du succès politique du christianisme. La cosmogonie mithriaque influença aussi mythes, cultes et philosophies gréco-romaines. Dès lors, à Rome, la tendance du mithriacisme à sortir du cadre mystérique pour mieux s’attacher au pouvoir apparaissait logique. Plus lisible aussi, fut la proximité cultuelle de Cybèle/Mithra avec le couple Anâhitâ/Mithra dont nous avons démontré la réalité jusqu’au Phrygianum Vaticanum. Parallèlement la fusion de Mithra et de la figure de Sol invictus, origine de la mutation de la relation qu’entretint le pouvoir romain avec Mithra devenait indéniable. Seuls Aurélien et Julien correspondirent véritablement aux critères élevés de la morale mithriaque. Mais ils ne pouvaient à eux seuls inverser un mouvement devenu inéluctable. Le IVe siècle apparaît alors, dans l’histoire mouvementée de la religion romaine, comme le tournant dramatique qui mit fin aux espérances des mithriastes de l’Occident. / The relationship between the mithraic divinity and Roman imperial power has long been neglected because of the scarcity of direct sources, only allowing for rare lines in general works devoted to Mithras. If Roman mithraism was indeed a religion of mysteries at its origins, it was not limited to that. Its success in Persia was above all based on a public demonstration useful to those holding political power, whose most majestic testimony is Persepolis. Undoubtedly, Roman mithraism was closely linked to its Persian roots. Often denied, sometimes underestimated, this origin explains followers’ openness towards other doctrinal influences, which led to the philosophical hellenization of Mithraism and later laid the groundwork for the political success of Christianity. Mithraic cosmogony also influenced Greco-Roman myths, cults and philosophies. From that time on, in Rome, the tendency of mithraism to go beyond the mysteric framework in order to strengthen its link to political authority appeared logical. We also demonstrated that the worship of Cybele/Mithra was associated with that of Anâhitâ/Mithra up to the Phrygianum Vaticanum. In parallel, the fusion of Mithra and the figure of Sol invictus, at the origin of the evolution of the relationship between Roman imperial authority and Mithras, became undeniable. Only Aurelian and Julian the Apostate, corresponded truly to the exacting criteria of mithraic morals. But they could not alone reverse a movement that had become inescapable. The fourth century appears then, in the turbulent history of Roman religion, as the dramatic turning point which put an end to the hopes of western mithriasts.
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