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Approche computationnelle des mécanismes émotionnels test de l'hypothèse de polarité /Sander, David. Koenig, Olivier. January 2002 (has links)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Sciences cognitives. Psychologie : Lyon 2 : 2002. / Thèse : 2002LYO20054. Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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Neuropsychologie cognitive du vieillissement dans la schizophrénieSchuster, Caroline Danion, Jean-Marie. January 2008 (has links) (PDF)
Thèse de doctorat : Psychologie : Strasbourg 1 : 2008. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. p. 205-227.
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Le langage et l'action dynamique des liens fonctionnels unissant verbes d'action et contrôle moteur /Boulenger, Véronique Nazir, Tatjana. January 2006 (has links)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Neuropsychologie : Lyon 2 : 2006. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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L'apport des neurosciences à l'étude des processus d'apprentissageDworczak, Fabien. Avanzini, Guy. January 2000 (has links)
Thèse doctorat : Sciences de l'éducation : Lyon 2. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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Interactions audiovisuelles dans le cortex auditif chez l'homme approches électrophysiologique et comportementale /Besle, Julien, Giard-Steiner, Marie-Hélène, January 2007 (has links)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Sciences cognitives. Neurosciences : Lyon 2 : 2007. / Bibliogr.
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Bases neurophysiologiques des processus impliqués dans le traitement visuel des stimuli à forte connotation psychosociale chez l'homme (visage et mots)Mouchetant-Rostaing, Yolande. Pernier, Jacques. January 2001 (has links)
Thèse de doctorat : Psychologie cognitive : Lyon 2 : 2001. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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Kognitive Semantiktheorie und neuropsychologische Realität : repräsentationale und prozedurale Aspekte der semantischen Kompetenz /Schwarz, Monika, January 1992 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät--Köln--Universität, 1990.
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Role of retinoids in control of cognitive functions in the adult mouseWietrzych, Marta Krezel, Wojciech. Chambon, Pierre January 2008 (has links) (PDF)
Thèse doctorat : Aspects Moléculaires et Cellulaires de la Biologie.Neurobiologie : Strasbourg 1 : 2007. / Thèse soutenue sur un ensemble de travaux. Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. f. 178-215.
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Conséquences cognitives du sepsis :une étude longitudinale de la phase aiguë à 12 mois post-sepsisMaenhout, Christelle 08 September 2021 (has links) (PDF)
Background: Sepsis is defined as a life-threatening organ dysfunction caused by a dysregulated host response to infection1. One of the most commonly affected organ is the brain, leading to sepsis-associated encephalopathy (SAE). The prevalence of SAE widely varies between studies, between 10 to 75% of septic patients. It is characterized by a diffuse cerebral dysfunction ranging from delirium to coma, in the absence of direct brain damage or another cause of encephalopathy3–5. Despite improvements in critical care, SAE remains associated with increased mortality and cognitive disability. Sepsis is also associated with long term cognitive sequelae such as memory, attentional and executive functions deficits.Methods: Single-center prospective observational study of adult’s patients with sepsis without acute or chronic neuropsychiatric disorders and co-existing causes of encephalopathy between January 1, 2016, and August 30, 2020. During acute phase, we assessed the severity of sepsis, consciousness and arousal using four clinical scales (CAM-ICU, CRS-R, GCS and FOUR) and electroencephalography. Survivors underwent a cognitive assessment before hospital discharge with brief screening tools (MoCA and FAB scores) and a comprehensive neuropsychological assessment at 6 and 12 months after discharge.Results: We enrolled 109 patients, of which 61% had SAE during the first 48-h of the ICU stay. The most frequent clinical manifestation was fluctuation of arousal. Ten of the 52 ICU survivors that could be assessed showed persistent cognitive dysfunction at hospital discharge. Only the presence of SAE was associated with persistent cognitive dysfunction, in the whole cohort as well as in the subgroup of patients not receiving continuous sedation. At 6 months after discharge, 84% of survivors presented diffuse cognitive impairment (memory, attention, and executive functions were impaired), and high depression score. Cognitive deficit at 6 month was associated with cognitive disability at discharge, and severity of illness during ICU stay, but not with SAE. After 12 months, 82% of survivors presented cognitive difficulties in the same cognitive domains as at the 6-month follow-up. Presence of SAE or any other ICU associated variables were not associated with the severity of cognitive impairment. We found an evolution compared to middle-term assessment in broad cognition, but individual cognitive profiles were mixed.Conclusion: SAE occurs in most patients with sepsis, even in the absence of prior or concomitant causes of encephalopathy. Its detection requires testing patients for fluctuation in arousal. Also, long-term cognitive impairment and depression are observed in survivors. Therapeutics interventions to improve cognitive deficits are thus desirable, and it is also crucial to consider psychological health in those patients. / Doctorat en Sciences psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Étude du lien entre l'impulsivité et la distraction : le contrôle cognitif y joue-t-il un rôle?Lamirande, Joanie 27 January 2024 (has links)
Même si tout le monde sait ce qu'est l'impulsivité, aucune définition explicite n'existe dans les écrits. Certains auteurs proposent donc d'étudier l'impulsivité en fonction de plusieurs composantes comportementales, une de celles-ci impliquerait une susceptibilité à la distraction. Cette distractibilité accrue pourrait possiblement s'expliquer par des difficultés d'application du contrôle cognitif. Ainsi, le présent projet vise à examiner le lien entre l'impulsivité et la distractibilité et de vérifier si une plus grande susceptibilité à la distraction dans l'impulsivité serait liée à une difficulté d'application du contrôle cognitif. Pour ce faire, la distraction auditive est utilisée, puisque certaines formes sont reconnues comme étant affectées par l'application du contrôle cognitif, alors que d'autres ne le sont pas. Deux groupes d'impulsivité sont formés selon les résultats obtenus à l'aide d'un questionnaire. Une première expérience vise à examiner si les individus plus impulsifs sont affectés de la même façon par deux formes de distractions auditives, ou s'ils sont plus affectés par la forme relevant du contrôle cognitif. Les résultats montrent que les individus plus impulsifs ne sont pas plus sensibles à aucune des deux formes de distraction. La seconde expérience a pour but de manipuler directement le contrôle cognitif dans la tâche principale et ainsi vérifier si ce processus est lié à la distractibilité accrue des personnes plus impulsives. Les résultats montrent une absence de différence entre les groupes d'impulsivité, ce qui suggère que les individus plus impulsifs ne sont pas plus sensibles à la distraction. Ces résultats seraient cohérents avec les arguments de certains auteurs mettant de l'avant que le terme d'impulsivité devrait être mis de côté pour plutôt s'intéresser à ses composantes spécifiques. Cela implique qu'il serait davantage pertinent d'étudier les composantes référant aux manifestations décrites comme impulsives, plutôt que de vérifier si ces composantes font partie du construit peu utile que serait l'impulsivité.
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