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La relation entre l’importance accordée à la réussite scolaire par les parents et l’engagement scolaire des élèves d’origine haïtienne au primaire : l’effet modérateur de la relation maître-élève

Joseph, Maloune 08 1900 (has links)
No description available.
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La qualité de la relation parent-enfant suite à un traumatisme crânio-cérébral léger à l’âge préscolaire

Lalonde, Gabrielle 12 1900 (has links)
No description available.
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Sensibilité parentale et développement moteur et mental d'enfants de 12 mois nés avec une fissure labiale, palatine ou labio-palatine

Limoges, Sylvie 12 1900 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / Cette étude descriptive et corrélationnelle décrira d'une part la sensibilité parentale et d'autre part le développement moteur et mental d'enfants de 12 mois nés avec une fissure labiale (L), palatine (P) ou labio-palatine (LP). Puis, elle explorera les liens susceptibles d'exister entre ces variables. Le modèle conceptuel en sciences infirmières de McGill sera utilisé. Il met l'accent sur les compétences des familles pour accroître leur développement. Par ailleurs, le modèle théorique et écologique sur les déterminants du parentage de Belsky (1984) précise les éléments propices au développement de l'enfant et soutient les liens entre les variables de l'étude. Les 17 familles de cet échantillon de convenance proviennent du groupe de comparaison d'une étude longitudinale dont le but était d’évaluer l'adaptation des parents d'enfant ayant une déficience' à la suite d'un programme d'intervention précoce auprès de ces parents (Pelchat, Bisson, Ricard, Bouchard, Perreault, Saucier et Lefebvre, 1998). La sensibilité parentale est évaluée à partir de The Parent / Caregiver Involvement Scale (Farran, Kasari, Comfort & Jay, 1986), lors d'une interaction de jeu. Le développement moteur et mental des enfants est mesuré à 12 mois à l'aide d'une adaptation du The Bayley Scales of Infant Development (Bayley, 1969), le Bayley abrégé français version 2 (BAFV 2). Cette étude se distingue du fait qu'elle inclut les mères et les pères. En effet, il existe peu d'étude où le père est observé en interaction avec son enfant né avec une déficience. C'est aussi la seule étude, à notre connaissance, qui met en lien la sensibilité parentale et le développement moteur et mental d'enfants nés avec une fissure. Les résultats ont démontré que la sensibilité parentale est élevée chez les parents d'enfants de 12 mois nés avec une fissure L, P ou LP. L'implication physique des parents, particulièrement celle des mères, est très élevée. Quant au développement des enfants, il est considéré modéré pour les dimensions motrices et mentales, comparativement aux enfants de 12 mois sans déficience. Sur le plan statistique, notre étude n'a pu démontrer de lien entre la sensibilité parentale et le développement moteur ou mental d'enfants de 12 mois nés avec une fissure L, P ou LP. Elle révèle toutefois que la sensibilité des parents exprimée sous la forme du contrôle des activités est liée significativement au développement moteur des enfants. Cette même corrélation est retrouvée chez les mères. Nos résultats confirment les compétences des parents, particulièrement leur sensibilité envers l'enfant de 12 mois né avec une fissure L, P ou LP. Les recommandations pour la pratique en sciences infirmières proposent d'élargir notre perception de la compétence dans le parentage, particulièrement la sensibilité des parents d'enfants nés avec une fissure. Aidée du P/CIS, l'infirmière pourrait augmenter ses connaissances sur l'éventail de comportements sensibles afin de raffiner ses observations cliniques et soutenir les parents dans leurs compétences. Compte tenu de l'importance des interactions familiales, cette étude propose d'évaluer l'influence des différentes facettes des déterminants de la compétence dans le parentage sur le développement d'enfants nés avec une fissure, en distinguant le sexe et l'âge des enfants. Il serait aussi important de reprendre cette étude auprès d'un plus grand nombre de sujets et d'utiliser l’instrument créé pour cette étude, le BAFV 2, pour évaluer le développement des enfants. Des études à devis longitudinal pourraient également évaluer l'interaction parents-enfant en intégrant conjointement les parents lors d'une même interaction avec l'enfant et ce, à divers stades de son développement.
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La perception des parents non gardiens de leur lien avec leur enfant dans un contexte où les conflits parentaux perdurent à la suite de la séparation conjugale

Lafontaine, Isabelle 08 1900 (has links)
Il est connu que de nombreux enfants vivent la séparation conjugale de leurs parents. Suite à cette séparation, les enfants vivent majoritairement avec leur mère (parent gardien), tout en maintenant des liens avec leur père (parent non gardien). Bien que les principes de droit suggèrent que l’enfant ait le droit de préserver des liens avec chacun de ses parents à la suite de la séparation conjugale, ces liens ne sont plus assurés sur une base quotidienne et peuvent être affectés. Vivant la séparation de ses parents, l’enfant peut être exposé aux conflits parentaux puisque la séparation peut augmenter leur intensité. L’objectif de ce mémoire est de mieux comprendre la perception des parents non gardiens de leur lien avec leur enfant dans un contexte où les conflits parentaux perdurent à la suite de la séparation conjugale. Un sous-objectif est de documenter les facteurs qui influencent les liens entre les parents non gardiens et leur enfant à la suite de la séparation conjugal. Pour ce faire, des entrevues individuelles semi-directives ont été effectuées auprès de huit parents non gardiens. Une analyse de contenu thématique concernant leur perspective sur l’objet de recherche a été effectuée. Selon la perspective des parents non gardiens, les résultats montrent que la qualité de la relation entre eux et leur enfant se maintient positivement. Le facteur le plus prédominant est les conflits parentaux post-séparation. Il en ressort qu’ils alimentent d’autres facteurs, tels que les modalités de garde d’enfant et droits d’accès, la fréquence de contacts entre les parents non gardiens et leur enfant, les comportements des enfants à l’égard de leur parent non gardien, l’engagement parental des parents non gardiens ainsi que la relation parentale post-séparation. / It is known that many children are living with parents who are conjugally separated. With this in mind, following the separation the children mostly live with their mother (resident parent), while maintaining contact with their father (non-resident parent). Although the principles of law suggest that the child has the right to maintain ties with both parents after marital separation, these visits are not always done on a daily basis and the qyality of their relationship can be affected. Living the separation of his parents, the child may be exposed to parental conflict because the separation can increase their intensity. The objective of this thesis is to better understand the perception of the non-resident parents and their relationship with their child in a context where parental conflict persists after marital separation. A fundamental objective is to document the factors that influence the relationship between non-resident parents and their children after the marital separation. In order to achieve these objectives, eight non-resident parents were interviewed using individual, semi-directive interview techniques. An analysis of the thematic content pertaining to their perspective on this research subject was then conducted. From the perspective of the non-resident parents, the results have shown that the quality of the relationship between them and their child remains positive. The most dominant factor is post-separation parental conflict. It appears they feed on other factors such as, child care arrangements and access rights. Also, the frequency of visits between the non-resident parents and their child, the child's attitude towards their non-resident parent, the parental involvement of non-resident parents and the parental relationship post-separation, all have an impact.
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Profils individuels et dynamiques interactionnelles des parents et des enfants à risque d’aliénation parentale dans un contexte d’une rupture conjugale litigieuse

Alary, Brigitte 08 1900 (has links)
L’aliénation parentale (AP) est un phénomène connu des intervenants sociolégaux œuvrant auprès des familles éclatées chez lesquelles on retrouve un haut niveau de conflits parentaux. Ce phénomène est peu étudié empiriquement et sa définition et les balises l’entourant demeurent à ce jour non circonscrites et suscitent confusion et controverse. Cette recherche n’a pas comme objectif de trancher sur ce qui est ou n’est pas de l’aliénation parentale, mais porte plutôt sur l’étude du phénomène de Détérioration du lien parent-enfant (DLPE), qui inclut une rupture complète du lien comme dans les cas d’AP, lors de séparations conjugales litigieuses. Cette thèse doctorale a pour objectif principal d’élargir notre compréhension sur les différents facteurs qui interagissent et qui mettent en place une situation familiale de DLPE. Le présent ouvrage est composé de quatre articles, dont trois sont empiriques. Le premier article est une synthèse critique des écrits théoriques et empiriques permettant de dégager les différents facteurs, conduites ou contextes individuels et relationnels associés à une DLPE. Il ressort que la plupart des écrits proviennent de comptes rendus cliniques. De plus, peu d’auteurs abordent ce phénomène dans une perspective systémique incluant une vision multifactorielle de cette situation. Plusieurs aspects demandent à être étudiés davantage : les caractéristiques individuelles, les comportements inappropriés des acteurs et les dynamiques familiales. En définitive, il importe d’établir les facteurs de résilience. Les articles 2, 3 et 4 ont été réalisés suite à une analyse qualitative de 17 dossiers d’expertise psychosociale de familles séparées en litige autour des accès des enfants. Le second article a pour objectif d’apporter un éclairage fouillé sur les structures de personnalité des parents impliqués dans de tels litiges. Il se dégage de cette analyse que les parents contribuent différemment à la dynamique familiale en fonction de leur profil de personnalité. Quatre profils parentaux ont émergé et permettent de discerner en quoi les parents aux conduites aliénantes se distinguent des parents dénigrés au niveau des profils de personnalité et en quoi la personnalité de ces parents est respectivement différente selon qu’ils maintiennent ou pas la relation avec leur enfant. L’analyse approfondie des profils parentaux a permis de formuler certains facteurs de risque et de protection relatifs à la structure de la personnalité des parents à risque d’une DLPE. Le troisième article a pour objectif d’évaluer par une lecture psychodynamique les différentes caractéristiques individuelles des enfants dans l’optique d’établir des pistes pouvant élucider pourquoi un enfant est résistant à une DLPE ou, au contraire, ne l’est pas. L’analyse qualitative fouillée des dossiers d’expertise a permis d’extraire différents facteurs de risque et de protection d’une DLPE chez ces enfants. Le quatrième article cherche à modéliser les différents facteurs de risque ou, au contraire, qui atténuent le risque de DLPE. Trois trajectoires dénotant une dynamique de DLPE ont émergé. Une modélisation systémique reprend l’ensemble des facteurs (dynamiques personnelles et relationnelles, contexte familial, système sociojuridique, personnes tierces et temps) émergeant de l’analyse et leur déploiement spécifique à chaque trajectoire. / Parental Alienation (PA) is a widespread phenomenon among socio-legal professionals working with conflictual separated families. This phenomenon is rarely studied empirically and its definition and markers remain poorly circumscribed and arouse confusion and controversy. We will attempt to stay away from this controversy by focusing on the phenomenon of Deterioration of the Parent-Child Relationship (DPCR), including PA. This thesis main objective is to expand our understanding of the various factors that interact and set in place a family situation of a DPCR. This work consists of four articles, three of which are empirical. The first article is a critical review of the literature that identifies various factors, conduct or individual and relational context associated with DPCR. It appears that very few papers have address this phenomenon in a systemic perspective who could bring an in-depth and comprehensive understanding of this multifactorial phenomenon. Several aspects need to be further investigated: individual characteristics, inappropriate behaviors and family dynamics. Finally, resilience factors need to be addressed. Articles 2, 3 and 4 present the results of a qualitative analysis of 17 psychosocial expertise performed on separated families in litigation around the custody and access to children. The second article intends to provide a refined psychoanalytic insight on the personality profiles of the parents and how it contributes distinctively to the family dynamics. Four parental profiles emerged and helped differentiate parents with alienating behaviors from denigrated ones and, those who maintained a relationship with their child or those who did not. Risk and protective factors associated with the personality profile are formulated. The third paper intends to analyse through a psychodynamic lens, the individual characteristics of children with the aim to understand why a child is resistant to a DPCR or is not. Various risk and protective factors of a DPCR associated with the characteristics of the children are provided. The fourth article seeks to model the different contributing or mitigating variables to a DPCR. Three trajectories denoting a DPCR emerged. A systemic model is proposed and incorporates different factors (personal and relational dynamics, family background, socio-legal system, third parties and time) and their specific deployment to each trajectory.
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L'effet de la visite parentale chez le bébé placé en pouponnière : une étude exploratoire des réactions du bébé avant, pendant et après un contact avec ses parents / Effect of parental contact for babies placed in residential nursary : exploratory study of babies' reactions before, during and after contact with their parents

Déprez, Alexandra 06 November 2015 (has links)
Notre étude explore des réactions du bébé vivant en pouponnière à la visite parentale. Cette étude s'inscrit dans la continuité des études sur les effets de la carence de soins et de la séparation. Objectifs : savoir comment le bébé réagit à la visite de ses parents, si tous les bébés ont le même bénéfice à recevoir la visite de leurs parents, et quels sont les facteurs impliqués dans la réaction du bébé. Méthode : étude de la réaction d'un groupe de 15 bébés vivant en pouponnière (2-36 mois) à la visite de leurs parents sur 24 heures par un protocole de test-re-test du comportement de retrait relationnel (ADBB 5 fois), de la concentration de cortisol salivaire (8 fois),d'un indice de comportement difficile le jour et la nuit avant et après la visite. Ces variables ont été étudiées en lien avec les caractéristiques de l'enfant(âge, développement, genre, rang dans la fratrie), de l'interaction parents-enfants(sensibilité, synchronie dyadique), les caractéristiques de la visite (fréquence, durée), du placement (durée, raison, âge au moment du placement), ainsi que les caractéristiques parentales(âge, dépression, anxiété, sensibilité à l'évaluation, santé mentale, soutien social, traumatismes, représentations d'attachement). Résultats : Trois types de profils de bébés ont pu être mis en évidence en fonction de leurs réactions à la visite parentale : - celui des bébés qui réagissent bien au contact de leurs parents et qui souffrent à la séparation au retour de la visite. Ces bébés ont un meilleur développement, leurs parents sont plus sensibles que ceux des autres groupes et ils bénéficient des visites. Leur niveau de cortisol baisse à la visite et remonte à la séparation. -des bébés qui réagissent par davantage de retrait relationnel au contact de leurs parents : Ces bébés ne montrent pas de détresse à la séparation. Ils apparaissent mieux adaptés à la vie dans l'institution (moins de retrait relationnel). Leurs parents sont beaucoup moins sensibles que ceux des autres. Leur niveau de cortisol est élevé globalement et pendant la visite. Ces bébés sont placés plus tôt que les deux autres groupes. -les bébés qui ne montrent aucune réaction au contact avec leurs parents en termes de retrait relationnel. Ils ont des niveaux de cortisol salivaire les plus bas. Ils ne se distinguent pas particulièrement des autres pour ce qui concerne les autres caractéristiques évaluées hors la durée de visite. Ce groupe apparaît à risque psychopathologique puisqu' il montre un niveau constant et élevé de retrait relationnel associé à des niveaux plus bas de cortisol salivaire et la moindre réactivité de l'axe HPA. La recherche a aussi permis de mettre en évidence l'effet de différentes variables sur les réactions du bébé à la visite parentale. Les plus importantes semblent être la qualité des interactions parents-enfants, le développement des enfants, les caractéristiques du placement et de la visite. Différents effets ont pu être mis en évidence : -un effet de deuil au retour de la visite pour les enfants qui ont eu un bon contact avec leurs parents. -un effet d'anticipation du stress de la visite pour les bébés qui réagissent mal au contact de leurs parents. -un effet de soulagement au retour de la visite pour les bébés qui réagissent mal au contact de leurs parents. -un effet de contamination pour certains enfants le lendemain de la visite, tous appartenant au groupe des enfants qui réagissent mal au contact de leurs parents. -un effet positif de la visite pour les enfants qui réagissent bien en contact de leurs parents. L'ensemble des résultats est discuté par rapport à la littérature, aux implications de théorique et juridique de l'étude du maintien du contact pour les bébés séparés de leurs parents, ainsi que les applications en termes de recherche et de clinique. / Our research is an exploratory study of the reactions of the baby living in residential nursery to parental contact. This study is in continuaty with studies on the effects of early infant neglect and separation. Objectives: explore how babies react to parental contact if all babies have the same benefit to receive visits from their parents, and what are the factors involved in the baby's reaction to parental contact. Method: study of the reaction of a group of 15 infants/babies living in a residential nursery (2-36 months) to contact with their parents on a 24 hours test-re-test protocol evaluating relational withdrawal (ADBB 5 times) , salivary cortisol concentrations (8 times), index of difficult behaviour the day and the night before and after the visit. These variables have been studied in connection with the child's characteristics (age, development, gender, birth order), and those of the parent-child interaction (sensitivity, dyadic synchrony), of the visit (frequency, duration), of the placement (time, reason, age at placement), as well as with parental characteristics (age, depression, anxiety, sensitivity to evaluation, mental health, social support, traumatic experiences, attachment representations). Results: babies do react to parental contact. Three types of reactions have been identified: - babies who respond well to contact with their parents and suffer from separation. These babies have a better development, their parents are more sensitive than those of other groups and they enjoy the visits. Their cortisol levels drop to visit and rise back at separation. - Babies who react by more relational withdrawal in contact with their parents: these babies show no distress at separation. They appear better adapted to life in the institution (less relational withdrawal). Their parents are much less sensitive than the others. Their cortisol levels are generally high even during the visit. These babies are placed sooner than the other two groups. -Babies who show no reaction to contact with their parents in terms of relational withdrawal. They have generally lower concentrations of cortisol. They cannot be particularly distinguished from the other with regard of all characteristics that have been evaluated. This group appears at psychopathological risk since it shows a consistently high level of relational withdrawal associated with lower levels of salivary cortisol and lower reactivity of the HPA axis. The research also highlighted the effect of different variables on the baby's reactions to parental visit. The most important ones seem to be the quality of parent-child interaction, child development, and the characteristics of the placement and the visit. Various effects have been highlighted: - grief effect when returning from visit for children who have had good contact with their parents. - An anticipatory effect of stress of the visit for babies who react badly to contact with their parents. - A relief effect returning from visit for babies that react poorly to contact with their parents. - A contamination effect for some children the day after the visit, those babies belonging to the group of children who respond poorly to contact with their parents. - A positive effect of the visit for children who respond well in contact with parents. Results are discussed in relation to literature, and in terms forensic implications and of clinical and research applications of maintaining contact between babies and parents separated by placement in the field of child protection.
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Lecture de livres bilingues par six duos parent-enfant allophones du préscolaire : description des lectures et des interactions et relations avec l’acquisition du vocabulaire

Gosselin-Lavoie, Catherine 06 1900 (has links)
No description available.
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L'effet de la visite parentale chez le bébé placé en pouponnière : une étude exploratoire des réactions du bébé avant, pendant et après un contact avec ses parents / Effect of parental contact for babies placed in residential nursary : exploratory study of babies' reactions before, during and after contact with their parents

Déprez, Alexandra 06 November 2015 (has links)
Notre étude explore des réactions du bébé vivant en pouponnière à la visite parentale. Cette étude s'inscrit dans la continuité des études sur les effets de la carence de soins et de la séparation. Objectifs : savoir comment le bébé réagit à la visite de ses parents, si tous les bébés ont le même bénéfice à recevoir la visite de leurs parents, et quels sont les facteurs impliqués dans la réaction du bébé. Méthode : étude de la réaction d'un groupe de 15 bébés vivant en pouponnière (2-36 mois) à la visite de leurs parents sur 24 heures par un protocole de test-re-test du comportement de retrait relationnel (ADBB 5 fois), de la concentration de cortisol salivaire (8 fois),d'un indice de comportement difficile le jour et la nuit avant et après la visite. Ces variables ont été étudiées en lien avec les caractéristiques de l'enfant(âge, développement, genre, rang dans la fratrie), de l'interaction parents-enfants(sensibilité, synchronie dyadique), les caractéristiques de la visite (fréquence, durée), du placement (durée, raison, âge au moment du placement), ainsi que les caractéristiques parentales(âge, dépression, anxiété, sensibilité à l'évaluation, santé mentale, soutien social, traumatismes, représentations d'attachement). Résultats : Trois types de profils de bébés ont pu être mis en évidence en fonction de leurs réactions à la visite parentale : - celui des bébés qui réagissent bien au contact de leurs parents et qui souffrent à la séparation au retour de la visite. Ces bébés ont un meilleur développement, leurs parents sont plus sensibles que ceux des autres groupes et ils bénéficient des visites. Leur niveau de cortisol baisse à la visite et remonte à la séparation. -des bébés qui réagissent par davantage de retrait relationnel au contact de leurs parents : Ces bébés ne montrent pas de détresse à la séparation. Ils apparaissent mieux adaptés à la vie dans l'institution (moins de retrait relationnel). Leurs parents sont beaucoup moins sensibles que ceux des autres. Leur niveau de cortisol est élevé globalement et pendant la visite. Ces bébés sont placés plus tôt que les deux autres groupes. -les bébés qui ne montrent aucune réaction au contact avec leurs parents en termes de retrait relationnel. Ils ont des niveaux de cortisol salivaire les plus bas. Ils ne se distinguent pas particulièrement des autres pour ce qui concerne les autres caractéristiques évaluées hors la durée de visite. Ce groupe apparaît à risque psychopathologique puisqu' il montre un niveau constant et élevé de retrait relationnel associé à des niveaux plus bas de cortisol salivaire et la moindre réactivité de l'axe HPA. La recherche a aussi permis de mettre en évidence l'effet de différentes variables sur les réactions du bébé à la visite parentale. Les plus importantes semblent être la qualité des interactions parents-enfants, le développement des enfants, les caractéristiques du placement et de la visite. Différents effets ont pu être mis en évidence : -un effet de deuil au retour de la visite pour les enfants qui ont eu un bon contact avec leurs parents. -un effet d'anticipation du stress de la visite pour les bébés qui réagissent mal au contact de leurs parents. -un effet de soulagement au retour de la visite pour les bébés qui réagissent mal au contact de leurs parents. -un effet de contamination pour certains enfants le lendemain de la visite, tous appartenant au groupe des enfants qui réagissent mal au contact de leurs parents. -un effet positif de la visite pour les enfants qui réagissent bien en contact de leurs parents. L'ensemble des résultats est discuté par rapport à la littérature, aux implications de théorique et juridique de l'étude du maintien du contact pour les bébés séparés de leurs parents, ainsi que les applications en termes de recherche et de clinique. / Our research is an exploratory study of the reactions of the baby living in residential nursery to parental contact. This study is in continuaty with studies on the effects of early infant neglect and separation. Objectives: explore how babies react to parental contact if all babies have the same benefit to receive visits from their parents, and what are the factors involved in the baby's reaction to parental contact. Method: study of the reaction of a group of 15 infants/babies living in a residential nursery (2-36 months) to contact with their parents on a 24 hours test-re-test protocol evaluating relational withdrawal (ADBB 5 times) , salivary cortisol concentrations (8 times), index of difficult behaviour the day and the night before and after the visit. These variables have been studied in connection with the child's characteristics (age, development, gender, birth order), and those of the parent-child interaction (sensitivity, dyadic synchrony), of the visit (frequency, duration), of the placement (time, reason, age at placement), as well as with parental characteristics (age, depression, anxiety, sensitivity to evaluation, mental health, social support, traumatic experiences, attachment representations). Results: babies do react to parental contact. Three types of reactions have been identified: - babies who respond well to contact with their parents and suffer from separation. These babies have a better development, their parents are more sensitive than those of other groups and they enjoy the visits. Their cortisol levels drop to visit and rise back at separation. - Babies who react by more relational withdrawal in contact with their parents: these babies show no distress at separation. They appear better adapted to life in the institution (less relational withdrawal). Their parents are much less sensitive than the others. Their cortisol levels are generally high even during the visit. These babies are placed sooner than the other two groups. -Babies who show no reaction to contact with their parents in terms of relational withdrawal. They have generally lower concentrations of cortisol. They cannot be particularly distinguished from the other with regard of all characteristics that have been evaluated. This group appears at psychopathological risk since it shows a consistently high level of relational withdrawal associated with lower levels of salivary cortisol and lower reactivity of the HPA axis. The research also highlighted the effect of different variables on the baby's reactions to parental visit. The most important ones seem to be the quality of parent-child interaction, child development, and the characteristics of the placement and the visit. Various effects have been highlighted: - grief effect when returning from visit for children who have had good contact with their parents. - An anticipatory effect of stress of the visit for babies who react badly to contact with their parents. - A relief effect returning from visit for babies that react poorly to contact with their parents. - A contamination effect for some children the day after the visit, those babies belonging to the group of children who respond poorly to contact with their parents. - A positive effect of the visit for children who respond well in contact with parents. Results are discussed in relation to literature, and in terms forensic implications and of clinical and research applications of maintaining contact between babies and parents separated by placement in the field of child protection.
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L’influence de la qualité de la relation parent-enfant et du sexe sur l’apprentissage de la peur par observation chez les enfants

Bilodeau Houle, Alexe 08 1900 (has links)
L’apprentissage de la peur par observation est un phénomène très important lors de l’enfance, une période au cours de laquelle plusieurs peurs se développent et où l’environnement familial est fondamental. La qualité de la relation parent-enfant module les réactions de peur chez les enfants, mais son impact sur l’apprentissage de la peur par observation n’a pas été investigué. Ce mémoire s’est donc intéressé à l’influence de la relation mère-enfant et père-enfant ainsi qu’à son interaction avec le sexe de l’enfant sur l’apprentissage de la peur par observation. Soixante dyades parent-enfant ont été recrutées. La relation avec chaque parent était évaluée par un questionnaire auto-rapporté complété par les enfants (8 à 12 ans). Les enfants regardaient d’abord une vidéo de leur parent être exposé à un conditionnement de la peur, où un stimulus (SC+Parent) était associé à un léger choc et un autre stimulus (SC-) était présenté seul. Ensuite, les enfants regardaient une vidéo d’un étranger être exposé à un protocole similaire à l’exception qu’un stimulus différent était associé au choc (SC+Étranger). Par la suite, les trois stimuli étaient directement présentés aux enfants. Les niveaux de peur étaient mesurés par les réponses électrodermales. L’effet de la qualité de la relation père-enfant sur les niveaux de peur face au SC+Parent était modéré par le sexe des enfants, où les filles ayant une relation sécurisante avec leur père montraient des niveaux de peur plus faibles. La qualité de la relation mère-enfant n’influençait pas les niveaux de peur des enfants. Ces résultats suggèrent que la relation avec le père influence la façon dont les filles répondent aux stimuli liés à la peur au sein de l’environnement familial. Ces données soulignent certains facteurs de protection face à la vulnérabilité de développer des psychopathologies liées à la peur. / Observational fear learning is especially relevant during childhood, a period during which many fears develop and where the familial environment is salient. Parent-child relationship modulates fear reactions in children, but its impact on observational fear learning in the context of the familial environment has not been investigated. This master’s thesis therefore examined whether the mother-child and father-child relationship quality as well as its interaction with children’s sex influence observational fear learning. Sixty parent-child dyads were recruited. The relationship with each parent was assessed by a self-report questionnaire completed by the children (8 to 12 years old). Children first watched a video of their parent undergoing a fear conditioning procedure, where one stimulus (CS+Parent) was paired with a shock and one was presented alone (CS-). Then, children watched a video of a stranger undergoing a similar protocol except that a different stimulus was paired with the shock (CS+Stranger). Subsequently, the three stimuli were directly presented to children. Fear levels were measured by skin conductance responses. The effect of the father-child relationship quality on fear levels for the CS+Parent was moderated by children’s sex, where girls having a more secure relationship with their father exhibited lower fear levels. The mother-child relationship quality had no impact on the children’s fear levels. These results suggest that the relationship with the father influences how girls respond to fear-related stimuli within the family environment. These data highlight the existence of some protective factors that might influence the vulnerability of developing fear-related psychopathologies.
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L'effet de la visite parentale chez le bébé placé en pouponnière : une étude exploratoire des réactions du bébé avant, pendant et après un contact avec ses parents / Effect of parental contact for babies placed in residential nursary : exploratory study of babies' reactions before, during and after contact with their parents

Déprez, Alexandra 06 November 2015 (has links)
Notre étude explore des réactions du bébé vivant en pouponnière à la visite parentale. Cette étude s'inscrit dans la continuité des études sur les effets de la carence de soins et de la séparation. Objectifs : savoir comment le bébé réagit à la visite de ses parents, si tous les bébés ont le même bénéfice à recevoir la visite de leurs parents, et quels sont les facteurs impliqués dans la réaction du bébé. Méthode : étude de la réaction d'un groupe de 15 bébés vivant en pouponnière (2-36 mois) à la visite de leurs parents sur 24 heures par un protocole de test-re-test du comportement de retrait relationnel (ADBB 5 fois), de la concentration de cortisol salivaire (8 fois),d'un indice de comportement difficile le jour et la nuit avant et après la visite. Ces variables ont été étudiées en lien avec les caractéristiques de l'enfant(âge, développement, genre, rang dans la fratrie), de l'interaction parents-enfants(sensibilité, synchronie dyadique), les caractéristiques de la visite (fréquence, durée), du placement (durée, raison, âge au moment du placement), ainsi que les caractéristiques parentales(âge, dépression, anxiété, sensibilité à l'évaluation, santé mentale, soutien social, traumatismes, représentations d'attachement). Résultats : Trois types de profils de bébés ont pu être mis en évidence en fonction de leurs réactions à la visite parentale : - celui des bébés qui réagissent bien au contact de leurs parents et qui souffrent à la séparation au retour de la visite. Ces bébés ont un meilleur développement, leurs parents sont plus sensibles que ceux des autres groupes et ils bénéficient des visites. Leur niveau de cortisol baisse à la visite et remonte à la séparation. -des bébés qui réagissent par davantage de retrait relationnel au contact de leurs parents : Ces bébés ne montrent pas de détresse à la séparation. Ils apparaissent mieux adaptés à la vie dans l'institution (moins de retrait relationnel). Leurs parents sont beaucoup moins sensibles que ceux des autres. Leur niveau de cortisol est élevé globalement et pendant la visite. Ces bébés sont placés plus tôt que les deux autres groupes. -les bébés qui ne montrent aucune réaction au contact avec leurs parents en termes de retrait relationnel. Ils ont des niveaux de cortisol salivaire les plus bas. Ils ne se distinguent pas particulièrement des autres pour ce qui concerne les autres caractéristiques évaluées hors la durée de visite. Ce groupe apparaît à risque psychopathologique puisqu' il montre un niveau constant et élevé de retrait relationnel associé à des niveaux plus bas de cortisol salivaire et la moindre réactivité de l'axe HPA. La recherche a aussi permis de mettre en évidence l'effet de différentes variables sur les réactions du bébé à la visite parentale. Les plus importantes semblent être la qualité des interactions parents-enfants, le développement des enfants, les caractéristiques du placement et de la visite. Différents effets ont pu être mis en évidence : -un effet de deuil au retour de la visite pour les enfants qui ont eu un bon contact avec leurs parents. -un effet d'anticipation du stress de la visite pour les bébés qui réagissent mal au contact de leurs parents. -un effet de soulagement au retour de la visite pour les bébés qui réagissent mal au contact de leurs parents. -un effet de contamination pour certains enfants le lendemain de la visite, tous appartenant au groupe des enfants qui réagissent mal au contact de leurs parents. -un effet positif de la visite pour les enfants qui réagissent bien en contact de leurs parents. L'ensemble des résultats est discuté par rapport à la littérature, aux implications de théorique et juridique de l'étude du maintien du contact pour les bébés séparés de leurs parents, ainsi que les applications en termes de recherche et de clinique. / Our research is an exploratory study of the reactions of the baby living in residential nursery to parental contact. This study is in continuaty with studies on the effects of early infant neglect and separation. Objectives: explore how babies react to parental contact if all babies have the same benefit to receive visits from their parents, and what are the factors involved in the baby's reaction to parental contact. Method: study of the reaction of a group of 15 infants/babies living in a residential nursery (2-36 months) to contact with their parents on a 24 hours test-re-test protocol evaluating relational withdrawal (ADBB 5 times) , salivary cortisol concentrations (8 times), index of difficult behaviour the day and the night before and after the visit. These variables have been studied in connection with the child's characteristics (age, development, gender, birth order), and those of the parent-child interaction (sensitivity, dyadic synchrony), of the visit (frequency, duration), of the placement (time, reason, age at placement), as well as with parental characteristics (age, depression, anxiety, sensitivity to evaluation, mental health, social support, traumatic experiences, attachment representations). Results: babies do react to parental contact. Three types of reactions have been identified: - babies who respond well to contact with their parents and suffer from separation. These babies have a better development, their parents are more sensitive than those of other groups and they enjoy the visits. Their cortisol levels drop to visit and rise back at separation. - Babies who react by more relational withdrawal in contact with their parents: these babies show no distress at separation. They appear better adapted to life in the institution (less relational withdrawal). Their parents are much less sensitive than the others. Their cortisol levels are generally high even during the visit. These babies are placed sooner than the other two groups. -Babies who show no reaction to contact with their parents in terms of relational withdrawal. They have generally lower concentrations of cortisol. They cannot be particularly distinguished from the other with regard of all characteristics that have been evaluated. This group appears at psychopathological risk since it shows a consistently high level of relational withdrawal associated with lower levels of salivary cortisol and lower reactivity of the HPA axis. The research also highlighted the effect of different variables on the baby's reactions to parental visit. The most important ones seem to be the quality of parent-child interaction, child development, and the characteristics of the placement and the visit. Various effects have been highlighted: - grief effect when returning from visit for children who have had good contact with their parents. - An anticipatory effect of stress of the visit for babies who react badly to contact with their parents. - A relief effect returning from visit for babies that react poorly to contact with their parents. - A contamination effect for some children the day after the visit, those babies belonging to the group of children who respond poorly to contact with their parents. - A positive effect of the visit for children who respond well in contact with parents. Results are discussed in relation to literature, and in terms forensic implications and of clinical and research applications of maintaining contact between babies and parents separated by placement in the field of child protection.

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