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La ville viable comme projet intégrateur : regard sur sa mise en oeuvre entre la planification et le design urbainPetit, Christian January 2008 (has links) (PDF)
Cette recherche pose un regard sur la transversalité et l'interdisciplinarité du projet de ville viable, à travers la pratique du design urbain, pratique à saveur culturelle et dont les objectifs sont très rapprochés de ceux du développement durable en milieu urbain. D'une part, la culture, malgré les bonnes intentions, reste un domaine auquel on n'accorde pas l'importance qui lui revient. D'autre part, le discours concernant l'apport du design urbain à la ville viable fait souvent la preuve de la dominante environnementale sur le discours du développement durable: réduction du transport, densité, réduction de la consommation d'énergie, choix des matériaux de construction, etc. À l'ère de la « bonne gouvernance » et de la participation citoyenne, le rôle de négociation des professionnels du design urbain est de plus en plus important. IIs doivent être porteurs du projet de développement durable pour favoriser la construction collective de ce qui sera considéré comme un design urbain viable. Ainsi, leur propre perception du projet devient un facteur clé. Sur cette base, la recherche avait pour objectif de comprendre la dynamique existante entre la planifïcation de la ville viable et sa mise en oeuvre dans la pratique du design urbain, au moyen d'entretiens semi-dirigés auprès d'employés et élus municipaux. Sous forme d'études de cas, quatre villes ont été ciblées: Copenhague, Oslo, Montréal et Québec. Les résultats et l'analyse sont présentés en deux temps: d'abord selon les quatre cas à l'étude, puis selon les fonctions occupées par les personnes rencontrées lors des entretiens.
Premier constat: quatre villes à l'étude et autant de stratégies différentes pour atteindre la viabilité urbaine. Mais la perception du développement durable, et surtout celle de l'environnement, est fortement tributaire du discours environnementaliste, parfois au détriment de la flexibilité souhaitée. De plus, il existe des langages professionnels qu'il importerait de faire se rencontrer, et les urbanistes semblent avoir un rôle important à jouer à ce niveau. Enfin, l'esprit de la gouvernance a déjà fait sa marque; les gens de tous horizons semblent prêts à accepter l'expertise des autres. Il ne reste plus qu'à trouver de bonnes façons de favoriser le partage. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Ville viable, Développement durable, Design urbain, Interdisciplinarité, Transversalité, Culture, Processus, Perceptions, Information.
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Gouvernance des politiques de planification urbaine et gestion des inondations à Cotonou (Bénin)Danvide, Tameon Benoit 14 November 2015 (has links)
La pratique de la planification urbaine reste un défi dans les villes d'Afrique sub-saharienne et l'occupation de l'espace urbain se fait en grande partie en déphasage avec les normes urbanistiques. L'analyse du contexte de production et d'occupation de l'espace urbain ainsi que des conséquences qui découlent d'une planification urbaine inconséquente permet de faire un lien entre les problèmes de développement et les risques d'aggravation des inondations.A Cotonou, le phénomène est plus qu'inquiétant. Les problèmes de planification se posent en termes d'occupation des zones impropres à l'habitat, de fragilité des surfaces bâties et de qualité des ouvrages d'assainissement. Les conditions d'insalubrité de l'habitat et la situation sanitaire des zones potentiellement inondables ainsi que la gestion de l'environnement sont autant de défis pour les autorités locales ; l'occupation anarchique de l'espace, la perte progressive de contrôle et de régulation de l'action publique étant des causes de cette situation.Les propositions formulées dans cette recherche sont relatives aux contraintes physiques, pluviométriques, climatologiques et aux stratégies d’adaptation des populations face aux inondations. Elles intègrent également l'amélioration de la gouvernance urbaine, l'assainissement urbain et la gestion de l'environnement construit. / The practice of urban planning remains a key challenge in Sub-Saharan Africa cities since the urban land use is out of phase with the urbanistic standards. The analysis of the context of urban space production and occupation as well as of the consequences that result from an inconsistent urban planning allows us to draw a link between development problems and the risks of aggravating flood situations. The phenomenon is more than worrisome in Cotonou. The planning problems can be presented in terms of occupation of land that are unsuitable for habitat, of vulnerability of inhabited areas and of quality of wastewater facilities. The unhygienic conditions of the habitat and the sanitary situation of potentially flood-prone areas as well as the environment management are among the numerous challenges for cities councils, which are caused by the anarchic occupation of land, the gradual loss of control and regulation by the public hands.The proposals made by this research are related to the physical and climatological constraints and to the strategies for adaptation of the communities to floods. They include besides urban governance improving, urban sanitation and built environment management.
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La représentation numérique à l'épreuve de la complexité du projet de territoireCharef, Karim 03 1900 (has links)
Le projet de territoire n’aura jamais suscité autant de débats et de passions. Son devenir
mobilise à bien des égards la construction collective d’un dessein se matérialisant par des
formes qui informent des forces tout autant que par des forces qui investissent des
formes lesquelles traduisent les valeurs du moment. Par conséquent, cette projection
dans un avenir partagé amène des exigences sociales en matière d’édification du projet
de territoire mettant à l’ordre du jour la complexité d’une telle entreprise.
L’enchevêtrement d’actions et de logiques qui s’y opèrent et qui s’y expriment pour en
élaborer, dans la plus grande incertitude, les contours d’un futur souhaité nous presse de
s’y prononcer : la construction complexe d’un dessein territorial s’exhibant nous interpelle
quant à son évaluation voire quant à sa reformulation. Parmi les modalités d’expression
qui permettent une telle délibération, il y a l’énoncé visuel. Médiation discursive
privilégiée, elle autorise l’élaboration et la mise en scène collective d’un devenir territorial
possible. Or depuis quelques années, au couple projet / représentation, vient se
superposer une autre médiation, celle du numérique. Portée par le développement des
technologies de l’information, celle-ci s’invite dans le champ de l’édification du projet de
territoire. En s’alliant avec la puissance de l’image, elle recompose les représentations
d’un dessein territorial collectivement formulé, ouvrant un nouvel espace d’actions à
l’occasion d’une démarche de planification. Démarche de plus en plus complexe.
De surcroit, la présente recherche tient cette complexité non comme un mot «fourre-tout»
ou une tare dont il faudrait se débarrasser, mais se résout à l’affronter en s’inscrivant
dans un paradigme en pleine gestation, celui de la «pensée complexe». La fécondité
autant conceptuelle qu’opératoire d’une telle inscription permettra de jeter un regard
renouvelé sur une pratique à travers une de ses modalités discursives à la fois la plus
manifeste et la moins questionnée, à savoir l’énoncé visuel.
En fin de compte, les représentations notamment celles construites et véhiculées par le
numérique sauront-elles rendre compte et relever le défi de l’édification collective d’un
projet de territoire qui se pose dans toute sa complexité ? Telle est en substance le
questionnement dont cette recherche s’attellera à apporter des éléments de réponse et à
esquisser de nouvelles perspectives. / Land Planning has never given rise to so much debate and passion. It involves to a large
extent the materialization of a collective design through forms shaped by ideas and ideas
shaped by forms, embodying current values. This projection into a shared future carries
with it certain social requirements regarding its implementation, rendering the agenda
more complex.
Multiple actions and positions that are integrated in the planning process in order to
devise, within a context of uncertainty, the desired future’s contours push us into quickly
prescribing; this entails communication, debate, evaluation and even reformulation
The visual statement can be included among those modes of expression allowing such
deliberation. As a favoured discursive mediation, it authorizes the development and
collective staging of a possible territorial fate. In recent years this project/representation
duo has been complemented by another mediation, that of the digital. Buoyed by
information technology development, now it falls within the scope of the territorial
planning. Magnifying the power of the image, it renews the representation of collective
territorial intentions, opening up new possibilities in the planning process, thus making it
more complex.
Moreover, this research paper considers complexity not as a "catch-all” term or an
imperfection to get rid of but confronts it within an upcoming paradigm that of “complex
thought.” This approach, conceptually and operationally rich, makes it possible to take a
fresh look at land planning through its most visible and least questioned mean of
expression, namely visual statements.
Ultimately can these representations, especially those constructed and conveyed by
digital formats, fully render a complex territorial plan and support the challenge of its
collective implementation? These are in essence the issues taken on by this research
with the aim of providing at least some answers and opening up new perspectives.
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La représentation numérique à l'épreuve de la complexité du projet de territoireCharef, Karim 03 1900 (has links)
Le projet de territoire n’aura jamais suscité autant de débats et de passions. Son devenir
mobilise à bien des égards la construction collective d’un dessein se matérialisant par des
formes qui informent des forces tout autant que par des forces qui investissent des
formes lesquelles traduisent les valeurs du moment. Par conséquent, cette projection
dans un avenir partagé amène des exigences sociales en matière d’édification du projet
de territoire mettant à l’ordre du jour la complexité d’une telle entreprise.
L’enchevêtrement d’actions et de logiques qui s’y opèrent et qui s’y expriment pour en
élaborer, dans la plus grande incertitude, les contours d’un futur souhaité nous presse de
s’y prononcer : la construction complexe d’un dessein territorial s’exhibant nous interpelle
quant à son évaluation voire quant à sa reformulation. Parmi les modalités d’expression
qui permettent une telle délibération, il y a l’énoncé visuel. Médiation discursive
privilégiée, elle autorise l’élaboration et la mise en scène collective d’un devenir territorial
possible. Or depuis quelques années, au couple projet / représentation, vient se
superposer une autre médiation, celle du numérique. Portée par le développement des
technologies de l’information, celle-ci s’invite dans le champ de l’édification du projet de
territoire. En s’alliant avec la puissance de l’image, elle recompose les représentations
d’un dessein territorial collectivement formulé, ouvrant un nouvel espace d’actions à
l’occasion d’une démarche de planification. Démarche de plus en plus complexe.
De surcroit, la présente recherche tient cette complexité non comme un mot «fourre-tout»
ou une tare dont il faudrait se débarrasser, mais se résout à l’affronter en s’inscrivant
dans un paradigme en pleine gestation, celui de la «pensée complexe». La fécondité
autant conceptuelle qu’opératoire d’une telle inscription permettra de jeter un regard
renouvelé sur une pratique à travers une de ses modalités discursives à la fois la plus
manifeste et la moins questionnée, à savoir l’énoncé visuel.
En fin de compte, les représentations notamment celles construites et véhiculées par le
numérique sauront-elles rendre compte et relever le défi de l’édification collective d’un
projet de territoire qui se pose dans toute sa complexité ? Telle est en substance le
questionnement dont cette recherche s’attellera à apporter des éléments de réponse et à
esquisser de nouvelles perspectives. / Land Planning has never given rise to so much debate and passion. It involves to a large
extent the materialization of a collective design through forms shaped by ideas and ideas
shaped by forms, embodying current values. This projection into a shared future carries
with it certain social requirements regarding its implementation, rendering the agenda
more complex.
Multiple actions and positions that are integrated in the planning process in order to
devise, within a context of uncertainty, the desired future’s contours push us into quickly
prescribing; this entails communication, debate, evaluation and even reformulation
The visual statement can be included among those modes of expression allowing such
deliberation. As a favoured discursive mediation, it authorizes the development and
collective staging of a possible territorial fate. In recent years this project/representation
duo has been complemented by another mediation, that of the digital. Buoyed by
information technology development, now it falls within the scope of the territorial
planning. Magnifying the power of the image, it renews the representation of collective
territorial intentions, opening up new possibilities in the planning process, thus making it
more complex.
Moreover, this research paper considers complexity not as a "catch-all” term or an
imperfection to get rid of but confronts it within an upcoming paradigm that of “complex
thought.” This approach, conceptually and operationally rich, makes it possible to take a
fresh look at land planning through its most visible and least questioned mean of
expression, namely visual statements.
Ultimately can these representations, especially those constructed and conveyed by
digital formats, fully render a complex territorial plan and support the challenge of its
collective implementation? These are in essence the issues taken on by this research
with the aim of providing at least some answers and opening up new perspectives.
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Patrimoine urbain et urbanisme à Montréal : l'expérience du début des années 2000Garcia, Sylvain January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Vers un aménagement de l'Espace-temps - Enjeux et modalités de la prise en compte des vitesses de déplacements dans la planification urbaineZhuo, Jian 27 August 2007 (has links) (PDF)
L'actuelle augmentation des vitesses de déplacements, observée par les Enquêtes Globales des Transports en Île-de-France, constitue l'indicateur le plus significatif de la croissance de la mobilité urbaine. Cette accélération, générale et soutenue, ne réduit ni la durée des déplacements ni les écarts entre les vitesses des déplacements. Elle entraîne, en revanche, un allongement proportionnel de la portée des déplacements et une différenciation croissante des vitesses. Etroitement liée aux deux tendances majeures de l'urbanisation en cours - la motorisation et l'étalement urbain - l'évolution des vitesses de déplacement constitue un élément explicatif du développement urbain dans ses dimensions spatiale, économique et sociale. Fondé sur une analyse détaillée des caractéristiques de la croissance de la mobilité urbaine en Europe, ce travail de thèse s'intéresse aux possibilités d'intervention sur l'organisation de l'espace urbain offertes par le contrôle de la vitesse de déplacement. Il interroge d'abord les principes et les démarches des contrôles de vitesse mis en place par les pouvoirs publics. L'étude de la limitation réglementaire de la vitesse de circulation automobile montre que, même si l'actuel contrôle peut conduire à une baisse effective de la vitesse de circulation, il n'a pourtant que peu d'effets sur les vitesses de déplacement. La défaillance du contrôle public sur la vitesse de déplacement explique la faible capacité de la planification urbaine existante à orienter le développement de la ville contemporaine. Dans un contexte de relance de la planification urbaine en Europe, cette thèse tente de valoriser certaines expériences ayant explicitement appréhendé le contrôle de la vitesse de déplacement comme outil d'organisation de l'espace urbain. En soulignant les enjeux que le contrôle apporte pour la définition des objectifs et des problématiques de la planification territoriale, elle propose d'intégrer ce nouvel outil dans les dispositifs de gouvernance urbaine et met en avant des modalités d'insertion possibles.
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Développement urbain et insécurité routière: l'influence complexe des formes urbainesMillot, Marine 12 1900 (has links) (PDF)
La question des effets du développement urbain sur la sécurité routière a été peu traitée dans la littérature et peut être abordée au travers des formes urbaines qu'il engendre. Le lien entre urbanisme et sécurité routière est complexe. Il suppose de tenir compte du caractère dynamique des espaces urbains. Il nécessite le passage par l'analyse des propriétés des formes urbaines ayant une influence sur la sécurité. Ces propriétés sont obtenues et étudiées à partir d'analyses monographiques de formes urbaines typiques résidentielles. Elles relèvent de la morphologie et de la structure des formes urbaines ainsi que de leur aménagement. Le recours à ces propriétés permet d'expliciter les problèmes de sécurité engendrés par les formes urbaines et de s'interroger sur leur traitement possible. Il n'est pas apparu de forme urbaine plus sûre que d'autres. Mais certaines formes présentent une insécurité plus facilement gérable par l'aménagement que d'autres.
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Les centralités à Bogotá, entre compétitivité urbaine et équité territorialeBeuf, Alice 28 June 2011 (has links) (PDF)
Adopté en 2000, le premier Plan d'Aménagement Territorial de Bogotá (POT) définit un modèle territorial de ville polycentrique. En conformité avec les principes de la planification stratégique au niveau international, des centralités urbaines, existantes ou à créer, sont identifiées et délimitées. Elles doivent articuler au niveau spatial des objectifs de compétitivité urbaine et d'équité territoriale : insérer la ville dans les réseaux de l'économie mondiale et démarginaliser les périphéries. Cette étude a pour objet de mettre à l'épreuve ce projet urbain à partir d'une triple réflexion au niveau des discours, de l'action publique et des dynamiques socio-territoriales. L'analyse de la mise en œuvre du plan par l'action publique révèle des expériences innovantes mais des écarts importants par rapport au projet urbain. Elle identifie de multiples obstacles dans la prise en compte par les politiques urbaines de la dimension territoriale, ainsi que la redéfinition des arbitrages entre compétitivité urbaine et équité territoriale. L'étude de la production, des pratiques et des représentations des centralités qui émergent dans les périphéries populaires montre que ces dernières ne correspondent que très imparfaitement à la figure définie par le POT de " centralités d'intégration urbaine " permettant d'améliorer l'accès à la ville des citadins vivant dans les périphéries.
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Place publique contemporaine et devenir collectif : le cas de la reconstruction de la Place des Martyrs à BeyrouthÉthier, Guillaume January 2007 (has links) (PDF)
Cette recherche est une étude de cas du Concours d'idée en planification urbaine pour la reconstruction de la Place des Martyrs, un concours international tenu à Beyrouth en 2004-2005. Partant d'une posture sociologique, l'étude s'intéresse à l'architecture, et tout particulièrement à la transformation de la forme et du rôle de la place publique, comme étant autant de phénomènes révélateurs de l'évolution de la question mémorielle dans le contexte de la reconstruction nationale depuis la fin de la guerre civile libanaise en 1990. La Place des Martyrs, de par sa situation exceptionnelle au centre-ville de Beyrouth, et par son rôle historique de haut-lieu de la sociabilité, constitue le coeur de la nation libanaise et incarne, sur le plan symbolique, l'espoir d'une réconciliation d'envergure entre toutes les factions de la société libanaise. Cependant, le processus de reconstruction du centre-ville de Beyrouth prend un virage inattendu en étant confié, au milieu des années 1990, à une société foncière, ce qui menace de faire tomber dans la désuétude des enjeux de nature sociologique au profit d'une logique purement spéculative. Face à cette menace, cette recherche met en avant deux critères permettant de mesurer l'atteinte des objectifs de l'architecture quant aux enjeux propres à la reconstruction de la Place des Martyrs, et qui sont l'exigence de créer, simultanément, un lieu de mémoire et un lieu de rencontre. Les trois propositions gagnantes au concours font l'objet d'une analyse poussée s'effectuant en deux volets: une analyse de discours pour le texte accompagnant chaque proposition, et une lecture de l'espace des plans et des projections 3D. Les résultats de la recherche mettent en lumière trois modalités de traitement de l'espace qui constituent, en lien avec les textes justificatifs les accompagnant, de véritables discours sur la ville et la mémoire. Face au défi de reconstruire un espace public surchargé sur le plan symbolique, les équipes d'architectes à l'étude dans cette recherche choisissent, respectivement, de faire imploser la place publique, de la niveler et de la fragmenter, ce qui renvoie à des considérations générales quant à l'évolution de la pensée architecturale contemporaine. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Beyrouth, Liban, Place des Martyrs, Mémoire, Rencontre, Place publique, Espace public, Concours d'architecture, Reconstruction, Guerre civile, Architecture, Planification urbaine, Occultation, Lecture de l'espace.
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Société civile et représentations socio-spatiales de la ville : le cas du Centre d'écologie urbaine de Montréal (CEUM)Lozier, Nicolas 08 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire interroge la façon dont un acteur de la société civile intervient dans le devenir urbain. Il présente une étude des représentations socio-spatiales et discours sur le développement urbain construit par le Centre d'écologie urbaine de Montréal (CEUM), une organisation communautaire établie dans le quartier connu comme le « quartier Milton-Parc ». Son objectif consiste à voir dans quelle mesure un acteur de la société civile contribue au renouvellement des façons de penser et de faire le développement urbain. Dans le cadre de cette recherche, ont été interviewés 12 représentants du CEUM et une analyse documentaire a été réalisée. L'examen des résultats montre comment les représentations socio-spatiales du développement urbain montréalais produites par le CEUM, qui s'appuient sur des valeurs liées à l'écologie et à la démocratie participative, sous-tendent une vision du développement urbain à partir de laquelle s'arrime une combinaison de pratiques visant un changement politique et sociétal de la ville. Pour ce faire, l'appropriation des principes du développement durable et l'importance accordée à la participation des citoyens à la planification et à la gestion urbaines, basées sur une approche de l'écologie sociale, constituent les éléments sur lesquels reposent une façon de concevoir la production de son action. Dès lors, cette organisation de la société civile met de l'avant un projet urbain renouvelé qui s'appuie sur l'appropriation idéelle, matérielle et politique de la ville par les citoyens à la lumière des thématiques avec lesquelles le CEUM travaille.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Centre d'écologie urbaine de Montréal, quartier, Milton-Parc, développement urbain, représentations socio-spatiales, discours, développement durable, écologie, démocratie
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