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Mise en scène de la déambulation et écriture de la ville dans un corpus d'oeuvres du XVIIIe siècle / Staging of ambulation and writing on the city in a corpus of XVIIIth century works

Al-Mahyawi, Hussein 19 June 2012 (has links)
Dans le premier versant du XVIIIe siècle, la présence de Paris dans les œuvres littéraires demeure sous-jacente ou est seulement suggérée par un simple regard qui reste généralement distant. C’est notamment le cas dans Le Diable boiteux de Lesage où la déambulation dans la ville reste subordonnée aux priorités visuelles (depuis un lieu surplombant, le diable montre à son élève les différents aspects de la ville). C’est avec Rousseau qu’une problématique nouvelle de la déambulation apparaît. Dans ses écrits autobiographiques (Les Confessions, Les Rêveries du promeneur solitaire), le narrateur met en scène cette déambulation dans son parcours même : les marches ou les promenades propices à la rêverie, à la méditation et à la remémoration. Avec Rétif de Bretonne (Les Nuits de Paris) et Louis-Sébastien Mercier (Tableau de Paris), Paris apparaît comme l’espace par excellence d’une errance féconde. La capitale française cesse d’être à l’arrière-plan et devient un objet d’écriture à part entière. / In the first half of the eighteenth century, the presence of Paris in the literary works remains underlying or is merely suggested by a single and generally distant glance. This is notably the case in Lesage’s novel The Lame Devil where the wandering in the city remains subordinate to visual priorities (from an overlooking place, the devil shows his learner different aspects of the city). It is with Rousseau that a new problem on ambulation emerges. In his autobiographical writings (Confessions, Reveries of a Solitary Walker), the narrator portrays this ambulation in his very career: walks or promenades inspiring daydreaming, conductive to meditation and recalling memories. With Rétif de la Bretonne (Parisian Nights) and Louis-Sébastien Mercier (Panorama of Paris), Paris seems to be the ideal place for a fertile wandering. The French capital ceases to be in the background and becomes a subject of writing in its own right.
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Usages de l'épistolaire dans la littérature française du XVIIIe siècle (Crébillon fils, Rétif de la Bretonne, Laclos)

Pinon, Elsa 08 1900 (has links)
La scène littéraire du XVIIIe est marquée par la profusion des romans épistolaires et libertins, qui connaissent un succès parallèle. Par l'imposition d’une structure communicationnelle propre à la lettre, le roman épistolaire trouve la voie de l'introspection et de la subjectivité et prend progressivement certaines libertés quant à l'expression de la passion : si La Nouvelle Héloïse de Rousseau et les romans anglais tels que la Clarissa de Richardson contribuent à accroître la popularité du roman par lettres, la quantité de romans épistolaires qui délaissent le thème de l’amour « pur » au profit de la peinture des exploits libertins témoigne de l’engouement du public pour ce genre nouveau. Selon nous, le roman épistolaire libertin relève d’une association particulièrement probante qui fait de la lettre le support privilégié du récit des anti-héros libertins. La recherche d’authenticité en littérature fait de la lettre un moyen d’expression privilégié, tandis que les conséquences d’une société en pleine mutation occupent une place particulière dans les récits libertins. Nous postulons une adéquation spécifique entre les deux genres : la subjectivité de la lettre permet au libertin de s’exprimer sans filtre narratif, tandis que le principe libertin de l’intrusion d’un tiers (dans les aventures amoureuses ou, comme ici, dans la correspondance) permet au lecteur de prendre connaissance de l’ensemble des lettres. Notre étude portera sur trois romans qui associent de différentes façon la parole du libertin à l’épistolaire : Les Heureux Orphelins de Crébillon, Le Paysan et la Paysanne pervertis de Rétif de la Bretonne et Les Liaisons dangereuses, de Laclos. / The eighteen-century literary scene is marked by the success of both epistolary and libertine novels. Through the imposition of a communicational structure specific to letters, the epistolary novel deals with introspection and subjectivity, and takes some liberties with the expression of passion: if La Nouvelle Héloïse by Rousseau and English novels such as Clarissa by Richardson contribute to the popularity of the epistolary novels, the aforementioned novels forgo the theme of “pure” love in order to describe the exploits of libertine characters. This major shift provokes the interest of the public towards this new genre. We think that letters are used as the favoured medium for the libertine’s narrative because of the successful combination of epistolary and libertine novels. The search for authenticity in literature makes letters the most pertinent means of expression, while the consequences of a changing society occupy a particular place in libertine novels. We suggest a specific compatibility between the two genres: the subjectivity that is inherent in letters allows the libertine character to express himself without any apparent narrative filter, and the libertine’s principle of intrusion allows the reader to access all the letters. The novels in our study (Les Heureux Orphelins by Crébillon, Le Paysan et la Paysanne pervertis by Rétif de la Bretonne et Les Liaisons dangereuses by Laclos) each associate the libertine’s speech and epistolarity in a different way.
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Spiegel einer Gesellschaft im Umbruch / Zur französischen Erzählkunst im Jahrzehnt der Revolution (1789-1799) / Reflecting the changes of a society / About French Literature written during the French Revolution (1789-1799)

Schulze, Swantje 02 July 2001 (has links)
Les auteurs du XVIIIe siècle, en France, étaient soumis à une norme critique, la Doctrine classique, qui édictait les règles du «bon goût». On ne devait pas mêler des styles différents, ce qui supposait de ne décrire qu'une seule couche sociale. La plupart des romanciers du XVIIIe siècle se sont focalisés sur la vie des nobles. Il fallait éviter de recourir à un mode de description réaliste pour se cantonner à un «réalisme psychologique». Mais avec la Révolution de 1789, le peuple accéda au pouvoir et la noblesse perdit ses privilèges.Au plan littéraire, le bouleversement social se reflète entre autres dans le roman français du XIXe siècle. La description sans fard de la réalité a pris le dessus sur les aventures fantastiques et les histoires d'amour sentimentales.Ce travail a pris pour objet la période de transition, c'est-à-dire les années 1789-1799. Il se structure autour des interrogations suivantes : Est-il question de plusieurs couches sociales? L'auteur inclut-il dans la fiction romanesque des faits et des détails reliés à l?actualité et destinés à créer un effet de réel (sommes d'argent, descriptions de vêtements et de meubles, événements politiques, etc.)? Y a-t-il des passages humoristiques? Peut-on trouver de l'argot dans les romans? Nous commençons par «L'Emigré» de Sénac de Meilhan, qui, étant lui-même exilé, publia son roman en Allemagne. Nous procédons ensuite à une analyse du roman «La dot de Suzette» de Joseph Fiévée, qui fut un grand succès en France. Puis nous nous penchons sur «Trois Femmes» d'Isabelle de Charrière. Bien que d'origine hollandaise, elle résidait en Suisse avec son mari et fit paraître son roman à Londres. La quatrième uvre prise en considération s'intitule «Les Nuits révolutionnaires» et fut rédigée par Rétif de la Bretonne.
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La imagen literaria de París. Desde Mercier, Baudelaire y el surrealismo hasta Rayuela de Julio Cortázar

Hoyos, Camilo 23 March 2010 (has links)
El propósito de nuestra investigación es analizar la imagen del París surrealista para luego ver su posterior recepción y variación por parte de Julio Cortázar en Rayuela. Los criterios analíticos de nuestra investigación constan en la importancia de la promenade y la visión en la construcción de la imagen de la ciudad a manera de espacio interior. Para comprender los orígenes e inserción en la tradición por parte de los surrealistas, fue necesario establecer los orígenes de las poéticas urbanas de la ciudad de París a finales del siglo XVIII, comprender el auge de París como tema literario a mediados del siglo XIX, analizar la importancia de la tradición noctámbula y la incidencia de Baudelaire en el París moderno para situar a los surrealistas en su manera de comprender la ciudad como un espacio psíquico e interior. Por último, comprenderemos los distintos elementos surrealistas de la construcción de París en Rayuela de Cortázar gracias a los textos escritos durante su período de interés surrealista (1947-1949) y su posterior variación en Rayuela. / The purpose of our investigation is to analyze the image of Paris forged in four Surrealist texts published between 1926-1928 in order to understand the Surrealist elements that allowed Julio Cortázar to forge his own image of the city in the novel Rayuela. Our analytical criteria are the importance of the regard and the promenade in the construction of the city as an interior and personal space. To understand the importance of the Surrealist production, it was necessary to visit the origins of Paris as a literary text in the late eitheenth century, the importance of the tradition noctámbule in the XIXth century, the incidences of Baudelaire's work regarding the modern Paris and the change of century that allowed the Surrealist movement to understand the city as an interior and psychic space. Through the establishment of certain criteria and images, we analyzed Paris in Cortázar's novel Rayuela as a Surrealist product, even if Cortázar himself never felt as as a Surrealist writer.

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