Spelling suggestions: "subject:"reconnaissance dess lots"" "subject:"reconnaissance dess mots""
1 |
Validation d'épreuves d'identification de mots et de fluidité en lecture auprès d'élèves québécois francophones /Bisson, Virginie. January 2005 (has links)
Thèse (M.A.)--Université Laval, 2005. / Bibliogr.: f. [80]-84. Publié aussi en version électronique.
|
2 |
La reconnaissance visuelle des mots composés du françaisMiertescu, Madalina January 2007 (has links) (PDF)
En psycholinguistique, le fonctionnement et la structure du lexique mental représentent un domaine de recherche privilégié. Plusieurs études expérimentales abordent le rôle joué par la structure morphologique des mots dans la reconnaissance des formes morphologiquement complexes. Notre recherche porte sur la reconnaissance visuelle des mots composés du français. Nous nous proposons d'étudier un certain nombre de variables et leur interaction afin d'observer leur impact sur le traitement lexical de cette catégorie de mots morphologiquement complexes. L'idée de départ est que les mots composés ne sont pas représentés de la même façon dans le lexique mental. Dans une tâche de décision lexicale avec amorçage masqué, nous avons manipulé trois variables indépendantes: le type de mot composé (variable à trois niveaux: transparent, semi-transparent et opaque), la classe grammaticale des constituants du mot composé (variable à quatre niveaux: nom-nom, adjectif-nom, nom-adjectif et verbe-nom), le type d'amorce (variable à trois niveaux: amorce sur le premier composant, amorce sur le deuxième composant et amorce neutre). La variable dépendante a été le temps de réponse mesuré en millisecondes. Cette variable a été aussi doublée du score de réussite qui a servi de contrôle. À une étape préliminaire de notre expérimentation, 12 locuteurs natifs du français, adultes, étudiants au Département de linguistique et de didactiques des langues de l'Université du Québec à Montréal ont participé sur une base volontaire à un prétest sémantique afin de déterminer le caractère transparent ou opaque de 150 mots composés du français. Ensuite, 34 autres personnes adultes, étudiants de cycles supérieurs au même département de la même université ont participé à l'expérience proprement dite sur une base volontaire. Tous les sujets avaient le français comme langue maternelle et avaient fait leur cheminement scolaire en français. Les résultats de notre expérimentation ont montré que les mots composés opaques sont reconnus plus rapidement que les mots composés transparents et semi-transparents lorsqu'ils sont précédés d'une amorce non-liée. Par contre, dans la condition d'amorce liée, toutes les catégories de mots composés (opaques, semi-transparents et transparents) observent des effets de facilitation de leur reconnaissance par rapport à la condition contrôle (amorce non-liée). Les résultats obtenus ont montré aussi qu'en amorçage masqué, les deux constituants du mot composé peuvent faciliter la reconnaissance du mot entier. Un autre aspect issu de notre recherche est que la catégorie grammaticale des constituants des mots composés joue un rôle dans la reconnaissance de ces mots. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Mots composés, Accès lexical, Degré de transparence sémantique, Position d'amorce, Catégorie grammaticale.
|
3 |
Le rôle de la similarité visuelle des lettres dans la dyslexie lettre-par-lettreFiset, Daniel January 2003 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
4 |
Orthographic and phonological coding during L2 visual word recognition in L2 learners : lexical and sublexical mechanisms / Codages orthographique et phonologique en reconnaissance visuelle de mots en L2 chez des apprenants L2 : mécanismes lexicaux et sublexicauxCommissaire, Eva 30 November 2012 (has links)
L'acquisition des représentations orthographiques et phonologiques en anglais langue seconde (L2) chez des francophones (élèves en classe de 6ème et de 4ème, étudiants universitaires) était examinée dans ce travail. La technique d'amorçage masqué permettait de révéler la précision du codage orthographique lexical, après seulement deux années d'acquisition de l'anglais, et ce, indépendamment de la typicalité orthographique des mots (étude 1). Des éléments en faveur d'un accès au lexique non-sélectif à la langue étaient observés : un effet inhibiteur des mots cognates émergeait chez des élèves de 4ème dans une tâche de décision lexicale (étude 2). De plus, des expériences mettant en jeu l'effet d'amorçage orthographique inter-langue relevaien de la compétition lexicale inter-langue chez le groupe le plus compétent uniquement (étude 3). Un surprenant effet facilitateur en tâche de décision lexicale pour les mots L2 dont l'orthographe était partagée entre les deux langues, par rapport aux mots dont l'orthographe était spécifique de la L2, signalait l'influence de la typicalité orthographique en reconnaissance visuelle de mots en L2 (étude 4). Le codage graphémique semblait fonctionnel après quelques mois d'acquisition de la L2, bien que des différences émergeaient entre les différents groupes de niveaux au sujet de la typicalité orthographique des graphèmes (étude 5). Enfin, une co-activation des correspondances écrit-oral de chaque langue était mise en évidence chez ces apprenants L2 (étude 6) ainsi que l'influence des correspondances de la L1 sur la reconnaissance de mots en L2 (étude 7) / Orthographic and phonological coding during second language (L2) learning in a school context was examined in the present work. Masked priming techniques revealed that lexical orthographic representations were finely_tuned after only two years of acquisition and that this coding was comparable for words of varying orthographic typically (study 1). Evidence in favour of language non-selectivity during lexical access was uncovered : a cognate inhibition effect emerged in grade 8 for lexical decision (study 2). In addition, tests of cross-language orthographic neighbourhood effects using masked priming revealed cross-language lexical competition in the highest proficiency group only (study 3). Intriguing evidence of facilitation effects in lexical decision for L2 words whose orthography was shared across languages compared to words whose orthography was L2-specific signalled the influence of orthographic typicality during L2 visual word recognition (study 4). Grapheme coding was also shown to be functional after only a few months of L2 learning, though differences emerged across proficiency levels in relation to the orthographic typicality of graphemes (study 5). Finally, evidence was found for the parallel activation of print-to-sound correspondences from both languages in young L2 learners (study 6) and for the influence of first language correspondences on L2 visual word recognition (study 7)
|
5 |
L'influence de la forme typographique sur l'accès au lexique mental : la police de caractères dans une tâche de catégorisationBardissy, Farah 11 1900 (has links) (PDF)
Ce travail de recherche suppose qu'il existe un effet de la forme typographique du mot sur son traitement. C'est pourquoi nous proposons une étude empirique qui défend l'hypothèse holistique de la reconnaissance des mots. Cette hypothèse suppose un accès direct vers le lexique mental lors de la lecture. Aussi avons-nous voulu observer les effets de la police de caractères et ceux de la catégorie sémantique des items puis les interactions entre les propriétés allusives des polices de caractères et les propriétés sémantiques des mots en reprenant l'étude de Lewis et Walker (1989). Dans une étude préliminaire, les participants ont été soumis à une tâche d'évaluation de mots présentés hors contexte et de listes typographiques, afin d'objectiver, d'une part, les propriétés allusives des polices de caractères et d'autre part, les propriétés sémantiques des mots choisis pour l'expérimentation. Les résultats indiquent que les participants s'accordent tant sur les propriétés transmises par les polices, ce qui démontre leur nature allusive, que sur les propriétés sémantiques des items. Les items ont ensuite été employés dans une tâche de catégorisation. Chaque mot a été présenté dans deux polices qui possédaient des propriétés congruentes ou non congruentes avec celles de l'item. Les sujets ont répondu en considérant les items comme étant soit lourds ou légers, et soit lents ou rapides. Les résultats indiquent clairement une influence de la typographie sur les temps de réponse, attestant ainsi de son action sur le traitement des mots. La police de caractères influence donc l'accès vers le lexique mental. Les résultats révèlent également un effet de la catégorie sémantique des mots sur leur traitement. Ainsi, la catégorie sémantique des animaux favorise un traitement plus rapide vers le lexique mental que celle de véhicule. Toutefois, les résultats ne révèlent aucune interaction entre les codes typographique et sémantique. L'absence notable d'interaction entre ces variables nous conduit à réfuter l'existence éventuelle d'un effet d'interférence liée à la congruence typographique.
______________________________________________________________________________
MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : lexique mental, polices de caractères, congruence typographique, psycholinguistique.
|
6 |
Codages orthographique et phonologique en reconnaissance visuelle de mots en L2 chez des apprenants L2 : mécanismes lexicaux et sublexicauxCommissaire, Eva 30 November 2012 (has links) (PDF)
L'acquisition des représentations orthographiques et phonologiques en anglais langue seconde (L2) chez des francophones (élèves en classe de 6ème et de 4ème, étudiants universitaires) était examinée dans ce travail. La technique d'amorçage masqué permettait de révéler la précision du codage orthographique lexical, après seulement deux années d'acquisition de l'anglais, et ce, indépendamment de la typicalité orthographique des mots (étude 1). Des éléments en faveur d'un accès au lexique non-sélectif à la langue étaient observés : un effet inhibiteur des mots cognates émergeait chez des élèves de 4ème dans une tâche de décision lexicale (étude 2). De plus, des expériences mettant en jeu l'effet d'amorçage orthographique inter-langue relevaien de la compétition lexicale inter-langue chez le groupe le plus compétent uniquement (étude 3). Un surprenant effet facilitateur en tâche de décision lexicale pour les mots L2 dont l'orthographe était partagée entre les deux langues, par rapport aux mots dont l'orthographe était spécifique de la L2, signalait l'influence de la typicalité orthographique en reconnaissance visuelle de mots en L2 (étude 4). Le codage graphémique semblait fonctionnel après quelques mois d'acquisition de la L2, bien que des différences émergeaient entre les différents groupes de niveaux au sujet de la typicalité orthographique des graphèmes (étude 5). Enfin, une co-activation des correspondances écrit-oral de chaque langue était mise en évidence chez ces apprenants L2 (étude 6) ainsi que l'influence des correspondances de la L1 sur la reconnaissance de mots en L2 (étude 7).
|
7 |
Procédures morphologiques en lien avec les règles de formation des mots du français écrit chez des lecteurs sourds du primaireBerthiaume, Rachel January 2008 (has links) (PDF)
La maîtrise du code écrit du français n'est pas une tâche facile pour les apprenants sourds. Cette situation peut être expliquée, entre autres, par une utilisation moins efficace des procédures liées à la reconnaissance des mots, qui constitue l'un des aspects les plus fondamentaux de la lecture. Ces procédures ont surtout été perçues en termes de traitement phonologique. Or, si les lecteurs sourds perçoivent les signes orthographiques sur la page, ils ne perçoivent pas nécessairement les sons qui y sont associés. La recherche actuelle nous indique que d'autres unités sublexicales participent à la reconnaissance des mots et peuvent contribuer à une meilleure compréhension du développement de la lecture. C'est le cas du morphème. Depuis le milieu des années soixante-dix, de nombreux travaux ont montré que la structure morphologique des mots est prise en compte lors de leur reconnaissance par des lecteurs adultes. Récemment, d'autres études, menées auprès d'apprentis lecteurs, ont montré que ceux-ci prennent en compte, très tôt, la structure morphologique des mots lors de leur reconnaissance. Ces recherches, qui s'affichent explicitement comme faisant partie du grand domaine de la conscience morphologique, sont susceptibles de fournir des indications en ce qui concerne le rôle de la morphologie dans le développement de la reconnaissance des mots, en particulier en ce qui a trait à la morphologie dérivationnelle. La présente recherche a pour objectif général de vérifier si des enfants sourds gestuels québécois, âgés de 9 à 12 ans, analysent les mots du français écrit en fonction des unités morphologiques dérivationnelles qui les constituent. Les objectifs spécifiques sont d'observer la relation entre l'âge, le niveau de lecture et les connaissances morphologiques relatives aux règles de formation des mots du français. Dans cette perspective, une épreuve d'habiletés cognitives générales et une épreuve de lecture standardisée ont été administrées à un groupe d'élèves sourds. Par la suite, 21 de ces élèves ont été retenus et deux groupes contrôles ont été formés: un groupe de 24 sujets entendants du même âge un groupe de 22 sujets entendants du même niveau de lecture. Tous ces sujets ont réalisé quatre épreuves morphologiques. Afin de solliciter, de manière implicite, des connaissances de nature prélexicale, trois de ces épreuves impliquent le traitement de pseudo-mots. C'est le cas des épreuves implicites de jugement de plausibilité I et II et de jugement de ressemblance. Une quatrième épreuve, l'épreuve explicite de décomposition, requiert explicitement la segmentation des mots présentés en leurs constituants morphémiques. Les résultats obtenus indiquent que seules les épreuves de jugement de plausibilité l et II ont donné lieu à des résultats au-delà du hasard chez les sourds, et que seuls les contrôles âge obtiennent toujours des résultats significativement différents du hasard. Un effet lié au niveau de lecture a été observé chez les sujets sourds et les contrôles lecture pour les épreuves de jugement de plausibilité I et Il et de décomposition. Pour toutes les épreuves, on relève un effet lié au groupe, les sujets sourds et les contrôles lecture ne se distinguant pas et les contrôles âge obtenant toujours des résultats supérieurs. Aucune tendance n'a été observée en ce qui concerne le type d'affixe (préfixe ou suffixe). Globalement, ces résultats suggèrent que les élèves sourds qui ont participé à notre étude ont induit certaines règles de formation des mots, mais que le traitement morphologique n'est pas
indépendant du développement de la lecture chez ces sujets. Pour cette raison, il est possible de croire que le traitement morphologique est en développement chez ces élèves. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Lecture, Reconnaissance des mots, Conscience morphologique, Apprentis lecteurs sourds.
|
8 |
Les débuts de l'apprentissage de la lecture/écriture chez l'enfant sourd : expérimentation d'une approche pédagogique /Sirois, Pauline. January 2004 (has links)
Thèse (Ph. D.)--Université Laval, 2004. / Bibliogr.: f. [291]-306. Publié aussi en version électronique.
|
9 |
La catégorisation des lettres en consonnes et voyelles lors du traitement des mots écritsDrabs, Virginie 19 December 2016 (has links)
La reconnaissance des mots est une étape essentielle dans les processus de lecture. Il est largement admis que le lecteur ne lit pas un mot lettre par lettre mais analyse simultanément des unités plus larges. Une hypothèse récente propose que l’alternance entre consonnes et voyelles permettrait de structurer les mots écrits en unités perceptives. Par ailleurs, plusieurs études rapportent des différences dans le traitement des consonnes et voyelles. Ces études s’appuient sur l’idée qu’il existerait une représentation explicite de la catégorie des lettres (consonne vs. voyelle) mais aucune ne le démontre directement. L’objectif de la thèse était donc de déterminer s’il existe bel et bien une telle représentation. Dans une première partie, nous avons effectué plusieurs expériences dans lesquelles les participants devaient décider si deux lettres avaient la même identité (e.g. Aa) ou pas. Les tâches comprenaient des paires de lettres de même catégorie (e.g. AE) et des paires de catégories différentes (e.g. AC). Nous supposions que, s’il existe un codage explicite de la catégorie, les participants seraient plus lents pour rejeter les paires de type « AE » que les paires de type « AC ». Nous n’avons cependant pas mis en évidence une influence de la catégorie des lettres lors de tels jugements, ce qui suggère que lors du traitement des lettres, le système de reconnaissance visuelle des mots n’a pas accès à une représentation explicite de la catégorie qui serait disponible automatiquement. Une interprétation alternative suggère que la catégorie des lettres ne serait pas représentée de manière explicite mais que les consonnes et les voyelles diffèreraient par leur niveau d’activation. Dans la deuxième partie de cette thèse, nous avons donc voulu déterminer la nature de l’information perceptive à la base des différences entre consonnes et voyelles. Pour ce faire, nous avons mené un ensemble d’expériences avec différentes tâches dans lesquelles le lecteur voyait des pseudo-mots créés soit par le remplacement d’une lettre par une lettre de la même catégorie (e.g. carset pour carnet) soit par le remplacement d’une lettre par une lettre de l’autre catégorie (e.g. cariet pour carnet). S’il existe un codage explicite de la catégorie des lettres, les changements qui ne conservent pas la catégorie de la lettre (e.g. cariet pour carnet) devraient être plus perceptibles que ceux préservant la catégorie de la lettre (e.g. carset pour carnet) et ce, que la lettre remplacée soit une consonne ou une voyelle. Les résultats obtenus ne permettent pas de conclure à l’existence d’une représentation explicite de la catégorie des lettres, mais nous pouvons cependant suggérer que les consonnes et les voyelles auraient des niveaux d’activation différents. Plus précisément, dès le niveau pré-lexical du traitement des mots, les voyelles seraient plus actives que les consonnes. Elles seraient dès lors plus saillantes et traitées plus rapidement. Comme déjà suggéré dans la littérature, il serait donc pertinent d’adapter les modèles théoriques de la reconnaissance des mots, non pas en incluant un niveau de représentation dédié spécifiquement à la catégorie des lettres, mais en modulant le niveau d’activation des lettres en fonction de la catégorie à laquelle elles appartiennent. / Doctorat en Sciences psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished
|
10 |
The effect of a contextual and conceptual approach on word knowledge and comprehension of fifth grade studentsMcCann, Patricia 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2015
|
Page generated in 0.0949 seconds