Le propos de la thèse est de montrer qu’au cœur des problèmes que pose l’éducation aujourd’hui se trouve la question du connaître et de la mort du penser dans des structures mentales intellectuelles abstraites. Le triomphe du nominalisme a entraîné l’oubli de l’expérience de la vérité; la vérité est devenue dépourvue d’intérêt. Évacuée des préoccupations de la science, celle-ci lui préfère l’idée d’efficacité, de système fécond et saturé. Mais tout cela, dira Steiner, n’est qu’un rêve plaqué sur le réel car « l’intellect est pensée automatique et routinière » (La Rencontre des Générations, p. 40) et l’on ne saurait éduquer l’enfant avec cette « pensée automatique et routinière ». Avec les forces mortifères de l’intellect on tue la vie, la passion pour la vie. Alors comment donner place dans l’éducation à l’intellect, à la science, sans en nier les grandes conquêtes; comment concilier cette intelligence abstraite avec la joie qui naît de la liberté créatrice, la joie de l’enfant qui joue et fait de l’être humain pleinement un être humain selon Schiller? Voilà le défi éducatif d’aujourd’hui, un défi que nous n’avons pas su encore relever à l’échelle de nos sociétés modernes et celles-ci se meurent dans l’ennui, le vide, la misère de l’âme avec son cortège de pathologies physiques et psychiques, d’asservissement et de dépendances. Il y a urgence à changer de perspective, à ancrer le “ travail ” de l’école – l’école de la famille, l’école de l’école, l’école de la vie – dans une expérience cognitive holistique de l’être humain et du monde et c’est ce qui sera à montrer. Notre hypothèse de départ, c’est que Steiner a une contribution décisive à faire sur la question de l’éducation, de ses fondements épistémologique et éthique. Du constat des pathologies actuelles de l’éducation devenue elle-même pathogène (Chap. I Mozart assassiné), découle l’idée qu’un secret a été perdu pour la conscience moderne : le chemin qui va de l’apparaître à l’être; et la vie s’est éteinte dans l’abstraction des constructions mentales (Chap. II Le secret perdu). Héritiers de la philosophie kantienne, nous sommes restés paralysés sur l’échelle de la célèbre métaphore de Wittgenstein (Tractatus logico-philosophicus, Proposition 6.54) sans le courage de la rejeter au loin après y être monté – die Leiter wegwerfen –; on est resté avec cette fracture du réel entre l’être et l’apparaître. Pour une éducation holistique de l’être humain il faut une nouvelle gnoséologie, une nouvelle éthique; Steiner propose l’épistémologie goethéenne fondée sur le développement de l’appréhension intuitive de l’archétype et, de son côté, ce qu’il appellera “l’individualisme éthique”, fondé sur le développement de l’intuition morale, un véritable dépassement du kantisme dont les conditions de possibilité seront montrées. (Chap. III Fondements gnoséologiques pour de nouvelles perspectives en éducation). Sur ces fondements l’éducation devient processus de guérison selon les trois grandes étapes de l’enfance et de la jeunesse que sont le développement d’une “volonté connaissante” chez le petit enfant puis du “sentiment connaissant” chez l’enfant de la deuxième enfance et du pouvoir de l’imagination créatrice, (Chap. IV Le pouvoir de l’imagination); enfin du “connaître voulant” de la jeunesse mise en mouvement par la transformation des idées en idéaux (Chap. V Le courage de la vérité). Sciences et techniques de l’éducation sont devenues art de l’éducation, un art qui intègre rigueur de la science et efficacité de la technique, qui repose sur un sens aigu de la responsabilité morale de l’éducateur et de l’enseignant, une responsabilité morale qui exige liberté et collégialité au sein d’une école indépendante de l’état et de la politique, pour être au seul service des enfants et de leur développement. (Chap.VI Sens et responsabilité morale). L’école redevient skolê, lieu d’ “oisiveté” où le devoir de savoir se transforme en joie de connaître et d’agir pour le monde. Là est la raison essentielle pour laquelle les écoles dites Steiner-Waldorf progressent en nombre partout dans le monde de façon exponentielle. La méthode suivie sera davantage “monstrative” que démonstrative car c’est regarder qui fait voir et écouter qui fait entendre. Pour cela il faut abandonner le plus possible le schéma linéaire de la pensée discursive, amener couche par couche, des perspectives qui peu à peu se creusent et s’approfondissent pour conduire à un moment d’attention extrême et d’intuition de l’idée, c’est-à-dire d’un “être-avec-l’idée”. On a alors quitté l’échelle de Wittgenstein. En conclusion, nous sommes partis du constat d’échec de l’éducation aujourd’hui; nous y mettons en évidence la part de l’héritage kantien d’un côté, behavioriste de l’autre et proposons un dépassement gnoséologique et éthique à partir de l’approche goethéenne et steinerienne de la réalité humaine dans son rapport au monde, ouvrant ainsi de nouvelles possibilités pour une véritable éducation holistique qui confère à nouveau sens et propos à la vie, grandeur et dignité à l’être humain et fait de l’école un véritable lieu d’épanouissement et de croissance. / Le propos de la thèse est de montrer qu'au coeur des problèmes que pose l'éducation aujourd'hui se trouve la question du connaître et de la mort du penser dans des structures mentales intellectuelles abstraites. Le triomphe du nominalisme a entraîné l'oubli de l'expérience de la vérité; la vérité est devenue dépourvue d'intérêt. Évacuée des préoccupations de la science, celle-ci lui préfère l'idée d'efficacité, de système fécond et saturé. Mais tout cela, dira Steiner, n'est qu'un rêve plaqué sur le réel car "l'intellect est pensée automatique et routinière" (La Rencontre des Générations, p. 40) et l'on ne saurait éduquer l'enfant avec cette "pensée automatique et routinière". Avec les forces mortifères de l'intellect on tue la vie, la passion pour la vie. Alors comment donner place dans l'éducation à l'intellect, à la science, sans en nier les grandes conquêtes; comment concilier cette intelligence abstraite avec la joie qui naît de la liberté créatrice, la joie de l'enfant qui joue et fait de l'être humain pleinement un être humain selon Schiller? Voilà le défi éducatif d'aujourdřhui, un défi que nous n'avons pas su encore relever à l'échelle de nos sociétés modernes et celles-ci se meurent dans l'ennui, le vide, la misère de l'âme avec son cortège de pathologies physiques et psychiques, d'asservissement et de dépendances. Il y a urgence à changer de perspective, à ancrer le "travail" de l'école - l'école de la famille, l'école de l'école, l'école de la vie - dans une expérience cognitive holistique de l'être humain et du monde et c'est ce qui sera à montrer. Notre hypothèse de départ, c'est que Steiner a une contribution décisive à faire sur la question de l'éducation, de ses fondements épistémologique et éthique. Du constat des pathologies actuelles de l'éducation devenue elle-même pathogène (Chap. I Mozart assassiné), découle l'idée qu'un secret a été perdu pour la conscience moderne : le chemin qui va de l'apparaître à l'être; et la vie s'est éteinte dans l'abstraction des constructions mentales (Chap. II Le secret perdu). Héritiers de la philosophie kantienne, nous sommes restés paralysés sur l'échelle de la célèbre métaphore de Wittgenstein (Tractatus logico-philosophicus, Proposition 6.54) sans le courage de la rejeter au loin après y être monté - die Leiter wegwerfen-; on est resté avec cette fracture du réel entre l'être et l'apparaître. Pour une éducation holistique de l'être humain il faut une nouvelle gnoséologie, une nouvelle éthique; Steiner propose l'épistémologie goethéenne fondée sur le développement de l'appréhension intuitive de l'archétype et, de son côté, ce qu'il appellera "l'individualisme éthique", fondé sur le développement de l'intuition morale, un véritable dépassement du kantisme dont les conditions de possibilité seront montrées. (Chap. III Fondements gnoséologiques pour de nouvelles perspectives en éducation). Sur ces fondements l'éducation devient processus de guérison selon les trois grandes étapes de l'enfance et de la jeunesse que sont le développement d'une "volonté connaissante" chez le petit enfant puis du "sentiment connaissant" chez l'enfant de la deuxième enfance et du pouvoir de l'imagination créatrice, (Chap. IV Le pouvoir de l'imagination); enfin du "connaître voulant" de la jeunesse mise en mouvement par la transformation des idées en idéaux (Chap. V Le courage de la vérité). Sciences et techniques de l'éducation sont devenues art de l'éducation, un art qui intègre rigueur de la science et efficacité de la technique, qui repose sur un sens aigu de la responsabilité morale de l'éducateur et de l'enseignant, une responsabilité morale qui exige liberté et collégialité au sein d'une école indépendante de l'état et de la politique, pour être au seul service des enfants et de leur développement. (Chap.VI Sens et responsabilité morale). L'école redevient skolê, lieu d'"oisiveté" où le devoir de savoir se transforme en joie de connaître et d'agir pour le monde. Là est la raison essentielle pour laquelle les écoles dites Steiner-Waldorf progressent en nombre partout dans le monde de façon exponentielle. La méthode suivie sera davantage "monstrative" que démonstrative car c'est regarder qui fait voir et écouter qui fait entendre. Pour cela il faut abandonner le plus possible le schéma linéaire de la pensée discursive, amener couche par couche, des perspectives qui peu à peu se creusent et s'approfondissent pour conduire à un moment d'attention extrême et d'intuition de l'idée, c'est-à-dire d'un "être-avec-l'idée". On a alors quitté l'échelle de Wittgenstein. En conclusion, nous sommes partis du constat d'échec de l'éducation aujourd'hui; nous y mettons en évidence la part de l'héritage kantien d'un côté, behavioriste de l'autre et proposons un dépassement gnoséologique et éthique à partir de l'approche goethéenne et steinerienne de la réalité humaine dans son rapport au monde, ouvrant ainsi de nouvelles possibilités pour une véritable éducation holistique qui confère à nouveau sens et propos à la vie, grandeur et dignité à l'être humain et fait de l'école un véritable lieu d'épanouissement et de croissance.

Entre os anos de 1960 e 1978, diversos artistas europeus e norte-americanos recorreram em suas obras a práticas que remontam a antigos rituais de sacrifício religioso. Os documentos fotográficos e videográficos que restaram dessas ações chegam ao século XXI exercendo ainda, no encontro com as audiências do presente, uma notável performatividade que envolve a produção de rumores, sensacionalismos e mal-entendidos, mas também a produção de novas e novas performances do sacrifício. Esta tese propõe como ponto de partida metodológico uma arqueologia (Michel Foucault) da massa documental que envolve um nascimento da \"arte corporal\" na França e nos Estados Unidos entre as décadas de 1960 e 1970, afim de deslocar uma ontologia da performance (Peggy Phelan) que, ainda hoje, especialmente no âmbito dessas poéticas, evoca a noção de \"real\" para o centro das discussões que envolvem a relação entre documento e performance. Nesse sentido, a tese apresenta o conceito de monumento sacrificial: a imagem de um corpo sacrificado ou a imagem de um corpo sacrificante que exerce sobre o corpo histórico da performance art uma repetição, ao evocar esse \"real\" enquanto risco, asco, dor, morte, destruição, ferida que fere - sacrifício. Dividida em duas partes, a tese propõe como hipótese uma passagem, no âmbito de uma história primordial destas poéticas, do corpo sacrificante - corpo sob o signo do excesso - para o corpo sacrificado - corpo sob o signo do martírio -, ocorrida na virada dos anos de 1960 para 1970. O conceito de sacrifício, por sua vez, é aqui desenvolvido, de um lado, a partir dos escritos de Georges Bataille e da estranha posição que o escritor ocupa no curso de uma história das teorias do sacrifício religioso modernas; e de outro, a partir dos monumentos sacrificiais produzidos, na década de 1960, por quatro artistas austríacos associados ao chamado Acionismo de Viena. Acredito que a imaginação sacrificial de Bataille e os monumentos sacrificiais de Rudolf Schwarzkogler, Günter Brus, Hermann Nitsch e Otto Muehl propiciam um olhar crítico sobre as poéticas e as políticas do sacrifício ontem e hoje. / Between the years of 1960 and 1978, several European and American artists have employed in their works practices that go back to ancient rituals of religious sacrifice. The photographic and videographic documents that remain of these actions arrive at the 21st century still exerting, in the meeting with the audiences of the present, a remarkable performativity that involves the production of rumors, sensationalisms and misunderstandings, but also the production of new performances of sacrifice This thesis proposes as a methodological starting point an archeology (Michel Foucault) of the documentary mass that involves the birth of the \"body art\" in France and in the United States between the 1960s and 1970s, in order to displace an ontology of performance (Peggy Phelan) which, even today, especially in the context of these poetics, evokes the notion of \"real\" to the center of the discussions that involves the relationship between document and performance. In this sense, the thesis presents the concept of a sacrificial monument: the image of a sacrificed body or the imagem of a sacrificing body which exerts upon the historical body of performance art a repetition, evoking this \"real\" as risk, disgust, pain, death, destruction, a wound which hurts - sacrifice. Divided into two parts, the thesis proposes as a hypothesis a turn point, within a primordial history of these poetics, from the sacrificing body - body under the sign of excess - to the sacrificed body - body under the sign of martyrdom -, that occurred in the early 1970\'s. The concept of sacrifice, for its turn, is developed here, on the one hand, from the writings of Georges Bataille and the strange position that he occupies in the course of a history of theories of modern religious sacrifice; and on the other hand, the concept is developed from the sacrificial monuments produced in the 1960s by four Austrian artists associated with the so-called Viennese Actionism. I belive that Bataille\'s sacrificial imagination and the sacrificial monuments by Rudolf Schwarzkogler, Günter Brus, Hermann Nitsch and Otto Muehl provide a critical gaze on the poetics and politcs of sacrifice of the past and the present.

About work, life, death and immortality of Vladimír Rula, the naive filmmaker, and about the others, they were a part of amateur film movement in Czech Republic and Czechoslovakia.

The thesis is concerned with theoretical work of the Russian legal philosopher P. I. Novgorodtsev, focusing on the concepts of natural law, social ideal, individualism, liberalism, rule of law and democracy. Novgorodtsev's interpretation of these concepts is embedded into broader contexts of both Russian and Western political philosophy and philosophy of law. Novgorodtsev's work is analysed with regards to Russian liberal doctrine transformations from classical liberalism towards liberal socialism. The thesis discloses progressive moments in the author's thought demonstrating ways as to develop them. Problems in question are inquired into through the prism of A. Honneth's critical theory of society which enables to approach the subject matter in its historical variability and conditionality and, at the same time, maintaining normativity. The aim of the thesis is not only to assess Novgorodtsev's work topicality and contribution but also critically research into relevant problems in terms of the chosen topic, primarily metaphysical roots of liberalism and its limits as to the notion of man, state and law. The thesis shows that the Russian philosopher offered reformulations of old concepts not being able, however, to go beyond the liberal paradigm. Hence his texts cannot be utilized for overcoming...

This diploma thesis extends the bachelor thesis research that analysed selected anoikonyms which were used by the locals since the oldest times until the beginning of the 19th century. The goal of this thesis is to revise and complete the set of anoikonyms included in the bachelor thesis and compare it to younger evidences. By collecting the data and its formal and semantic analysis the thesis aims to present a relatively complete picture of anoikonyms of the area of interest while respecting its historical development.

En tant que préalable à l’appréciation d’une forme, le cadre demeure une question centrale en esthétique de l’image. Où débute une forme, où s’achève-t-elle ? Si le cadre délimite l’image en y circonscrivant un espace au regard, il peut jouer de ses plasticités et renverser ce présupposé en son contraire : la tendance all-over de l’expressionnisme abstrait montre bien des exemples où le cadre se défait dans une ouverture qui rend l’espace à son indétermination, fut-elle fixée à l’avant de notre regard. Le point de départ de cette recherche vient du concept établi par Meyer Schapiro du cadre comme « véhicule matériel » où il y fait distinction entre l’image-objet (absence de limites de surface et visibilité du support) et l’image-signe (limite de surface liée à la représentation). Faisant état de cette différence fondamentale, nous proposons un travail interdisciplinaire – le cinéma expérimental et sa relation avec les autres arts – où l’œuvre d’Andy Warhol servira de fil conducteur. A partir d’une première occurrence appelée cadre-surface, il semble important de revenir sur certains malentendus concernant le Pop art tant sur le plan historique, philosophique, qu’esthétique en proposant le concept de « ready-made illusionniste ». Dans un deuxième temps, le cadre-perception sera l’occasion d’affiner notre travail en revenant sur la position du spectateur face aux images à travers le concept de « Pensée visuelle » développé par Rudolf Arnheim. On verra de quelle façon le cinéma expérimental à tendance structurelle et matérialiste (Michael Snow, Paul Sharits, Peter Gidal) se nourrit de la relation figure-fond établit par la psychologie de la forme (gestalt). Par là, comment le film ouvre aux possibles phénoménologiques d’un autre rapport à l’image ? Enfin, la dernière partie situera le cadre à sa propre destitution physique dans un chemin qui va du cadre-écran au cadre-performance. Devant cette typologie quelque peu taxinomique, nous souhaitons moins y penser un cloisonnement entre les différents types de cadre qu’y trouver force circulaire afin de répondre à l’hypothèse suivante : en quoi la matérialité des premiers films de Warhol nous engage progressivement dans une réflexion ambiguë parce qu’ambivalente autour d’une image spectrale et dématérialisée ? / As a prerequisite to the assessment of a form, the framework remains a central issue in the aesthetics of the image. Where does a form begin, where does it end? If the frame defines the image circumscribing there a space for the eye to see, it can play of its plasticity and overturn this assumption into its opposite: the all-over pattern of abstract expressionism shows examples where the frame opens up to an undetermined space, whether it might have been fixed or not before we set eyes on it. The starting point for this research comes from the concept established by Meyer Schapiro of the frame as a "material vehicle" where he makes a distinction between the image-object (no surface boundaries and visibility of support) and the image-sign (surface boundary associated with the representation). Stating this fundamental difference, we propose an interdisciplinary work - experimental cinema and its relationship to the other arts - where Andy Warhol’s work will serve as a guideline. From a first occurrence called frame-surface, it seems important to revisit some misunderstandings about Pop art, historically, philosophically, and aesthetically, by proposing the concept of "ready-made illusionist". Secondly, the frame-perception will be an opportunity to refine our work by returning to the position of the viewer facing images through the concept of "visual thinking" developed by Rudolf Arnheim. We'll see how experimental film with structural and materialistic tendency (Michael Snow, Paul Sharits, Peter Gidal) feeds on the figre-ground organization established by the psychology of form (Gestalt). Then, how does the film open to the phenomenological possibilities of another connection to the image? The last part will place the frame over its own physical removal on a path that goes from frame-screen to frame-performance. Given this typology somewhat taxonomic, we wish to think of it less as a division between different types of frame than to find circular strength in it, in order to meet the following hypothesis: how does the materiality of early Warhol films progressively engage us in an ambiguous, since ambivalent, reflection around a spectral and dematerialized image?

Orientador: Enéias Júnior Forlin / Dissertação (mestrado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Filosofia e Ciências Humanas / Made available in DSpace on 2018-08-22T09:43:32Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Casagrande_GiulianoTommasini_M.pdf: 1136464 bytes, checksum: 6be19fea15ce2b7bb7c42051ab9192b0 (MD5) Previous issue date: 2013 / Resumo: Nas Meditações, Descartes faz uso de todos os argumentos céticos imagináveis com o objetivo de abalar as crenças em que se baseia a visão natural de mundo e descobrir se há alguma verdade infensa à dúvida. Após constatar a existência indubitável do eu pensante e determinar sua natureza, Descartes procura salvar, por meio da demonstração da existência de um Deus veraz, o valor objetivo das idéias sensíveis. Neste trabalho, partindo da premissa de que o único subjetivismo autêntico é originário de uma dúvida cética como a cartesiana, investigaremos a hipótese de que tal solo da subjetividade é desprovido de sentido porque a atitude crítica de avaliação do conhecimento de que ele resulta pressupõe uma ordem de generalização e de abrangência naturalmente insustentáveis. Para tanto, utilizaremos a crítica de Schlick e Carnap às proposições externas (globais). Com efeito, a dúvida cartesiana não diz respeito a uma parcela do mundo, mas ao mundo em sua totalidade. O problema estaria na extensão da dúvida e no caráter espiritual atribuído ao ego. De maneira análoga, o conceito de um Deus metafísico (indiferente aos elementos do sistema do mundo empírico) estaria sujeito à mesma acusação de falta de sentido formulada por Schlick-Carnap / Abstract: In his Meditations, Descartes employs all imaginable skeptical arguments in order to shake the beliefs that ground the natural worldview and to find if there is some truth beyond doubt. After discovering the indubitable existence of the thinking self and determining its nature, Descartes tries to save, by demonstrating the existence of a truthful God, the objective value of sensible ideas. In this work, assuming that the only genuine subjectivism comes from a skeptical doubt like Descartes', we will investigate the hypothesis that such subjectivism is devoid of any sense, because the critical attitude of evaluation of knowledge from where it results presupposes a naturally unsustainable generalization and scope. In order to do that, we will employ the critique of external (global) propositions developed by Schlick and Carnap. Indeed, the Cartesian doubt is not related to a part of the world, but to the world as whole. The problem would lie in the extent of doubt and in the spiritual character assigned to the ego. In the same way, the concept of a metaphysical God, indifferent to the elements of the empirical framework, would be subjected to the same accusation of lack of sense formulated by Schlick-Carnap / Mestrado / Filosofia / Mestre em Filosofia

This thesis deals with the philosophical works of Austrian thinker, Rudolf Steiner (1861-1925). Focusing mainly on his epistemological thinking, its main objective is to interpret Steiner's Theory of Knowledge. This work is structured in four chapters. After giving the reader insight into Steiner's life, it goes on to deal with the development of his thinking and work, with particular attention paid to the substance of his first and truly philosophical (not yet theosofical- anthroposofical) phase of working life. Following from this is a passage on his relationship with J. W. Goethe, whose intellectual (and especially scientific) legacy served as Steiner's main source of inspiration, while also laying out the basic form of Goethe's scientific methodology and its epistemological background, namely its empirical and simultaneously objective idealism, which deeply spoke to Steiner and motivated him to write his first philosophical work: Grundlinien einer Erkenntnistheorie der Goetheschen Weltanschauung (1886). The third chapter approaches this particular work, in which Steiner presents and describes the theory of knowledge, as aligned with that of Goethe. Analysed and interpreted are the three main successive sections of his work, in which he expresses his notion of experience, thinking and knowledge....

Iconography of wall paintings in the Straka Palace at Malá Strana in Prague Abstract This thesis "Iconography of wall paintings in the Straka Palace at Malá Strana in Prague" deals with the interpretation of the iconographic program of the decoration of the Straka's of Nedabylice palace on Malá Strana. The work deals primarily with the wall paintings made by Swiss painter Johann Rudolf Bys, ordered by Count Jan Petr Straka of Nedabylice for his Prague residence. Particular attention is paid to the main hall of the palace, which concentrates the most valuable and the most complicated part of the iconography painted decorations. Allegorical and mythological scenes related to historical events and celebrate the Emperor Leopold I. as the victor over the Turks and Louis XIV. The work also describes and interprets the murals and stucco decorations in other salons representative storey of the palace. The interpretation of these paintings is filed under the historical and political context of the time and knowledge of personality of Jan Petr Straka, who was anticipated customer and Inventor of the iconographic program . A separate chapter is devoted to the building and the historical development of the palace until nowadays and also mentions Prague activity of the painter Johann Rudolf Bys. Keywords Petr Jan Straka...

Die Broschüre informiert kurz und knapp über das Leben des Leipziger Graphikers Rudolph Brabandt und zeigt einige seiner Zeichnungen von Klinga sowie ein Selbstporträt.