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Étude contrastive des tournures concessives en français et en chinois / Contrastive studies on concessive markers in French and in Chinese

Huang, Ming 10 July 2019 (has links)
La concession est une relation logique « secondaire » complexe qui se nourrit de plusieurs notions de base : l’hypothèse, la temporalité, la causalité, la négation, l’intensité, la subjectivité, etc. En reliant toutes ces notions, nous traitons les quatre locutions concessives les plus utilisées ainsi que leurs homologues dérivés de la même série en chinois : ji shi « bien que » « même si », sui ran « bien que » « malgré » (et zong ran « bien que » « même si »), na pa « bien que » « même si », jiu shi « même si » (et jiu suan « bien que » « même si »). L’objectif de notre travail est d’explorer le mécanisme concessif dans ces deux langues typologiquement distantes et différentes. En nous inscrivant en principe dans la même ligne que A. Meillet (1912), R. Martin (1982 et 1987) et O. Soutet (1987, 1990 et 1992), etc., nos recherches démontrent non seulement l’évolution diachronique de ce marqueur concessif étudié, mais mettent également en évidence ses rapprochements avec certains connecteurs analogues français (tels que cependant, alors, si, ja, nonobstant, etc.) pendant leur processus de grammaticalisation d’une manière à la fois sémantico-logique et syntaxico-discursive. Notre étude comprend divers corpus allant du chinois archaïque au chinois moderne, ainsi que des méthodologies linguistiques pour classer et traduire les exemples choisis. Nous constatons une ressemblance frappante entre la combinaison des notions de base au cours de la formation du mécanisme concessif dans les deux langues étudiées. / The concession is a “secondary” or “composed” linguistic concept since it combines many fundamental linguistic notions: hypothesis, temporality, causality, negation, intensity, subjectivity, etc. By relating all these crucial notions, our research examines the four most used concessive markers as well as their homologues derived from the same series in Chinese: ji shi "although" "even if", sui ran "although" "despite" (and zong ran "although" "even if"), na pa "although" "even if", jiu shi "even if" (and jiu suan "although" "even if"), as well as their equivalents in French based on previous theories and analyses in the two languages. The aim of the work is to explore the concessive mechanism in these two languages that are typologically distant and different. In the same line as A. Meillet (1912), R. Martin (1982 and 1987) and O. Soutet (1987, 1990 and 1992), etc., our research not only demonstrates the historical evolution of the studied concessive markers, but also highlights its rapprochements with certain French concessive connectors (such as cependant, alors, bien, si, ja, nonobstant, etc.) during their grammaticalization processes from semantic-logical and syntactic-discursive points of view. Our study involves various corpuses from archaic to contemporary Chinese and French, as well as technical linguistic methodologies to categorize and translate the extracted examples. The results of our present research show surprising similarities in terms of the concessive evolution despite the enormous etymological and cultural divergences of the two studied languages.
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L'énoncé averbal en allemand et en kabyle (berbère) / Non-verbal utterance in German and Kabyle (Berber)

Bouzidi, Said 10 July 2015 (has links)
Cette étude compare le fonctionnement de l’énoncé averbal (EAV) en kabyle et en allemand, en prenant comme cadre théorique la triade sémantico-logique établie par Zemb (1978), i. e. le thème (ce dont on parle), le rhème (ce qu’on en dit) et le phème (lieu d’articulation de la modalisation et de la négation) appliquée par Behr et Quintin (1996) et Behr (2013) à la catégorisation des EAV de l’allemand. Nous postulons que chaque langue dispose de moyens morphosyntaxiques, contextuelles et situationnelles contribuant à la réalisation d’EAV et que ces moyens sont plus étendus en kabyle. Nous supposons qu’il existe des structures sémantico-logiques uniques qui pourraient s’exprimer à travers des structures morphosyntaxiques variées. Nous supposons enfin que les EAV réalisent toutes les modalités, disposent de moyens morphologiques et/ ou contextuels permettant de les localiser dans le cadre temporel. Parmi les résultats, nous avons constaté que les EAV sont plus fréquents en kabyle grâce aux structures prédicatives grammaticalisées, sauf l’EAV représentant une continuité syntaxique avec le segment de gauche dont la fréquence en allemand est due au scrambling. Au niveau syntaxique, la pré-/postposition du thème par rapport au rhème obéit à des contraintes liées à la langue, i. e. l’état du nom en kabyle et la définitude du GN en allemand ; des contraintes propres à l’EAV se manifestent dans la prédilection pour l’ordre rhème-thème en allemand. Les EAV expriment toutes les modalités, ils sont situés dans le temps par les circonstants, certains démonstratifs ou le contexte, et les nominalisations en tant que rhème existentiel expriment l’aspectualité télique et atélique. / The study compares the functioning of non-verbal utterances in German and Kabyle (Berber) using the Zemb’s (1978) semantico-logical triad as a theoretical framework, i.e. the theme (what is being talked about), the rheme (what is said about the theme) and the phème (place of articulation of modalisation and negation), applied by Behr and Quintin (1996) and Behr (2013) to categorisation of German non-verbal utterances. We posit that each language has morphosyntactic, contextual and situational means allowing the construction of non-verbal utterances and that these means are more extensive in Kabyle.We also hypothesise that there are unique semantico-logical structures which could be expressed through varied morphosyntactical structures. Finally, we presume that non-verbal utterances express all the modalities; they have morphological and/ or contextual possibilities which locate them within the temporal framework. We have observed, among other results, that the frequency of non-verbal utterances is higher in Kabyle due to grammaticalized predicative structures, except for those depending syntactically on a main sentence, which could be explained by the scrambling-process. At the syntactic level, the pre-/postposition of the rheme in relation to the theme is subject to language specific constraints, i.e. changes in the noun state in Kabyle, the determination and definiteness in German; constraints concerning non-verbal utterances appear in the preference of the rheme-theme order in German. Non-verbal utterances express all modalities; they are located in time by circumstances, by some demonstratives or by the context, and nominalisations as existential rheme express telic and atelic aspectuality.

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