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A phenomenological critique of the idea of social science

Tuckett, J. D. F. January 2014 (has links)
Social science is in crisis. The task of social science is to study “man in situation”: to understand the world as it is for “man”. This thesis charges that this crisis consists in a failure to properly address the philosophical anthropological question “What is man?”. The various social scientific methodologies who have as their object “man” suffer rampant disagreements because they presuppose, rather than consider, what is meant by “man”. It is our intention to show that the root of the crisis is that social science can provide no formal definition of “man”. In order to understand this we propose a phenomenological analysis into the essence of social science. This phenomenological approach will give us reason to abandon the (sexist) word “man” and instead we will speak of wer: the beings which we are. That we have not used the more usual “human being” (or some equivalent) is due to the human prejudice which is one of the major constituents of this crisis we seek to analyse. This thesis is divided into two Parts: normative and evaluative. In the normative Part we will seek a clarification of both “phenomenology” and “social science”. Due to the various ways in which “phenomenology” has been invented we must secure a simipliciter definition of phenomenology as an approach to philosophical anthropology (Chapter 2). Importantly, we will show how the key instigators of the branches of phenomenology, Husserl, Scheler, Heidegger, and Sartre, were all engaged in this task. To clarify our phenomenology we will define the Phenomenological Movement according to various strictures by drawing on the work of Schutz and his notion of provinces of meaning (Chapter 3). This will then be carried forward to show how Schutz’s postulates of social science (with certain clarifications) constitute the eidetic structure of social science (Chapter 4). The eidetic structures of social science identified will prompt several challenges that will be addressed in the evaluative Part. Here we engage in an imperial argument to sort proper science from pseudo-science. The first challenge is the mistaken assumption that universities and democratic states make science possible (Chapter 5). Contra this, we argue that science is predicated on “spare time” and that much institutional “science” is not in fact science. The second challenge is the “humanist challenge”: there is no such thing as nonpractical knowledge (Chapter 6). Dealing with this will require a reconsideration of the epistemic status that science has and lead to the claim of epistemic inferiority. Having cut away pseudo-science we will be able to focus on the “social” of social science through a consideration of intersubjectivity (Chapter 7). Drawing on the above phenomenologists we will focus on how an Other is recognised as Other. Emphasising Sartre’s radical re-conception of “subject” and “object” we will argue that there can be no formal criteria for how this recognition occurs. By consequence we must begin to move away from the assumption of one life-world to various life-worlds, each constituted by different conceptions of wer.
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Le Visible et l'Expression. Étude sur la Relation Intersubjective entre Perception Visuelle, Sentiment Esthétique et Forme Picturale

Hsu, Li-Hsiang 08 June 2009 (has links) (PDF)
La problématique de ce travail est liée à celle des théories de l'expression en art. Nous voulons savoir comment est possible la communication intersubjective à partir d'une expression originaire, primaire, reposant essentiellement sur les éléments formels, visuels et plastiques, sans l'intermédiaire de concepts, ni celui des éléments sémantiques, propositionnels. Nous voulons savoir quel rôle joue l'œuvre d'art dans la communication non verbale entre l'artiste-créateur et le spectateur-récepteur. Nous traitons cette problématique à partir de la relation triangulaire entre l'expression artistique, la forme signifiante et le sentiment esthétique. Nous essayons de résoudre le problème de l'expression originaire en art visuel en le déplaçant dans le contexte du jugement esthétique. La tâche essentielle pour nous est alors de traduire cette relation triangulaire en termes de formation du jugement de goût, d'expression du sentiment esthétique et de perception de la propriété esthétique que nous situions dans un contexte de l'interaction affect-cognition. Nous défendons alors une forme de réalisme esthétique appuyé sur le réalisme scientifique de l'affectivité, en particulier, la théorie James-Lange et les théories d'appraisal, à partir duquel nous déclarons que les propriétés affectives sont les propriétés qui ont affaire avec l'état du sujet percevant. Au sens fort du terme, elle sont réelles parce que leurs conditions de vérité sont les états neurophysiologiques du corps, observables et vérifiables par des moyens empiriques ; ou du moins, au sens faible, elles sont considérées comme les propriétés susceptibles de faire l'objet d'une programmation fonctionnelle, de la modélisation de l'esprit plus précisément, telle que suggèrent les théories d'appraisal de l'émotion. La version forte du réalisme de l'affectivité implique que, au lieu de nous donner une image fidèle du monde physique, l'émotion est la perception de l'état du corps dont la réalité n'est guère moins évidente que le monde perçu. La version faible de celui-ci implique que l'affectivité constitue du moins une modalité fonctionnelle de l'esprit. À partir de cette dernière, notamment à partir des théories d'appraisal de l'émotion, nous développons un modèle d'appraisal esthétique afin d'expliquer le traitement esthétique (à la fois perceptif et évaluatif) d'une œuvre d'art et les processus de « fabrique » de jugement esthétique dans notre esprit. Nous voulons montrer que, ensemble, le stimulus affectif/esthétique (l'œuvre d'art) et le sujet percevant (l'artiste et le spectateur) constituent les systèmes interactifs ultra complexes et qu'il existe certainement une corrélation relativement stable entre les propriétés physiques du stimulus et les réactions physiologiques et émotionnelles du sujet percevant. Nous cherchons les variables perceptives déterminant la réaction affective de l'individu à l'œuvre d'art. Ce sont avant tout les caractéristiques visuellement saillantes et esthétiquement pertinentes du stimulus, telles que la luminosité, le degré du contraste (lumineux ou chromatique), la séparation figure-fond, l'orientation de la composition picturale, que ce soit verticale, horizontale ou diagonale, l'organisation du centre et du pourtour du champ pictural, et ainsi de suite. Ce modèle a pour but d'illustrer le rapport des propriétés physiques (perceptives) de l'œuvre d'art et des propriétés affectives/esthétiques/évaluatives de celle-ci. De même que les scientifiques de l'émotion s'appliquent à développer des modèles théoriques pour expliquer comment une variété de contenus émotionnels se produit, comment les expériences émotionnelles se différencient selon les modèles distincts du traitement évaluatif, et comment elles sont déterminées en fonction de la façon dont les composantes cognitives, évaluatives et motivationnelles sont combinées, l'objectif de notre approche est de proposer les variables du jugement esthétique, ainsi que d'expliquer pourquoi dans telle ou telle condition l'objet esthétique est jugé beau ou sublime, gracieux ou élégant, et pourquoi dans telle ou telle condition il ne l'est pas.
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Le hasard et les sources de la variation biologique : analyse critique d'une notion multiple

Merlin, Francesca 08 June 2009 (has links) (PDF)
La notion de hasard en biologie fait l'objet de débats philosophiques et scientifiques depuis la deuxième moitié du XIXe siècle, notamment depuis la publication de L'Origine des Espèces de Darwin (1859). Dans l'état actuel de la recherche, elle est encore un objet de controverse : le fait que cette notion puisse prendre des significations et des rôles multiples la rend difficile à cerner, même dans un contexte très spécifique. Notre thèse consiste en une analyse épistémologique de la notion de hasard lorsqu'elle est utilisée par les biologistes dans la caractérisation des phénomènes à l'origine de la variation au sein des <br />populations naturelles. Plus exactement, nous abordons la question de savoir quelle notion de hasard est conceptuellement et empiriquement appropriée en ce qui concerne deux sources de variation biologique : les mutations génétiques et le bruit dans l'expression des gènes. Nous <br />apportons une clarification conceptuelle de cette notion, selon une perspective évolutionnaire et d'un point de vue moléculaire, sur la base des avancées récentes au sujet de ces deux causes de la variation. En vertu de la relation apparemment privilégiée entre la notion de hasard et les probabilités, nous traitons aussi la question de l'interprétation des probabilités dans les descriptions formelles de ces phénomènes biologiques. L'objectif principal de ce travail est de fournir un cadre conceptuel précis à l'utilisation de la notion de hasard en biologie.
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Éthique dans la recherche et démarcation. La scientificité de l'épidémiologie à l'épreuve des normes de confidentialité

Lechopier, Nicolas 27 September 2007 (has links) (PDF)
La recherche scientifique vise à produire des connaissances objectives, tandis que l'éthique s'intéresse à la réalisation des valeurs. Malgré l'éloignement de ces deux domaines, cette thèse vise à montrer de quelle façon sciences et valeurs se forment et s'informent mutuellement. <br />Ce travail s'appuie sur une étude de cas, celui de la constitution de fichiers de données à caractère personnel par les épidémiologistes, et vise à éclaire les problèmes éthiques et épidémiologiques que suscitent ces fichiers. Une approche historique permet de retracer l'émergence en France de la loi du 1er juillet 1994 qui encadre – c'est-à-dire à la fois permet et contraint – de telles pratiques à finalité scientifique. Les notions directrices du questionnement éthique sur la recherche avec l'être humain (mesures invasives, respect des personnes, consentement, respect du secret médical) sont alors retravaillées sous un jour nouveau. <br />L'épidémiologie est une science située à mi-chemin entre clinique et santé publique, entre action et recherche, et elle se révèle profondément hétérogène dans ses pratiques. Une approche de terrain, centrée sur l'activité évaluatrice du Comité Consultatif sur le Traitement de l'Information en matière de Recherche dans le Domaine de la Santé (CCTIRS), a permis d'analyser les normes de qualité scientifique en ce domaine. <br />Questionner philosophiquement la mise à l'épreuve de la scientificité de l'épidémiologie dans le cadre des normes de confidentialité conduit (1) à raviver le problème de la démarcation science/non-science et (2) à souligner le rôle que certaines valeurs constitutives de l'intentionnalité scientifique ont à jouer dans le partage entre l'authentique et l'inauthentique en matière de recherche.
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Le droit de vote des étrangers, état des lieux et fondements théoriques [Thèse 2006]

Andres, Hervé 09 February 2007 (has links) (PDF)
Cette thèse propose une étude des données (sociodémographiques, juridiques et politiques) et une réflexion sur les enjeux théoriques fondamentaux du problème du droit de vote des étrangers. <br />La recherche est centrée sur la France, mais une étude de droit comparé en la matière montre qu'au moins un tiers des Etats du monde ont une pratique du droit de vote des étrangers, et cette pratique ne peut donc plus être considérée comme exceptionnelle. Néanmoins, cette pratique est toujours limitée, ce qui montre la résistance du paradigme réservant le droit de vote aux ressortissants de l'Etat. L'étude détaillée du droit français, de ses contradictions internes, et des débats constitutionnels soulevés montre que les enjeux fondamentaux sont de nature politique. <br />Les termes du débat politique sont analysés selon une approche historique, une étude des arguments et celle d'un corpus de presse. Un regard comparatif est également porté sur le débat en cours aux Etats-Unis. Globalement, l'analyse du débat politique sur le droit de vote des étrangers révèle l'opposition entre une logique de domination et de fermeture, d'un côté, et une logique d'émancipation et d'ouverture de l'autre.<br />La réflexion théorique pose les enjeux fondamentaux du problème comme contradiction entre les principes de démocratie et de souveraineté. Le conflit sur le droit de vote des étrangers, qui se traduit dans la dialectique citoyenneté / nationalité, est ainsi interprété comme confrontation entre les logiques de politique et de police (Rancière). Ce qui est en jeu, ce n'est pas seulement le tracé des frontières de la communauté politique, mais la conception même de la communauté et de la politique.<br />La question du vote des étrangers, selon cette perspective, est donc construite comme un noeud symptomatique de la crise du modèle politique lié aux Etats démocratiques modernes, c'est-à-dire un point névralgique où le principe de souveraineté entre en contradiction avec une définition substantielle de la démocratie. La recherche consiste à dévoiler les apories propres au régime politique actuel, à ses alternatives internes, et invite à une refondation démocratique postsouverainiste.
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Recherches sur le sens moral, le sens commun, et l'association. Note de synthèse

Jaffro, Laurent 01 December 2003 (has links) (PDF)
Le dossier complet en vue de l'habilitation comprenait, outre la présente note de synthèse, un document en deux tomes (Sens commun et sens moral. Une veine stoïcienne dans les Lumières britanniques, 550 p. - I. La rhétorique du sens commun. II. La gymnastique du sens moral), un tome de Varia (109 p.) et trois livres publiés (1. Ethique de la communication et art d'écrire. Shaftesbury et les Lumières anglaises, Paris, PUF, 1998 ; 2. Shaftesbury, Exercices, trad. du manuscrit autographe des Askêmata, présent. et annot. par Laurent Jaffro, Paris, Aubier, 1993 ; 3. John Toland, La constitution primitive de l'Eglise chrétienne / The Primitive Constitution of the Christian Church, édition critique du texte anglais et d'un manuscrit français du 18e siècle, précédée de L'ecclésiologie de John Toland par Laurent Jaffro, Paris, Champion, 2003). Ce travail articule l'histoire de la philosophie britannique et la philosophie morale et politique, selon deux axes : 1. Les notions de common sense et de moral sense dans les Lumières anglaises et écossaises. 2. Une approche ecclésiologique de l'association.
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La fragmentation de la science à l'épreuve des start-ups.<br />Retour critique sur un constructivisme social au travers de l'étude des modes de coordination des pratiques scientifiques et marchandes lors des projets de création d'entreprise par des chercheurs du secteur public.

Lamy, Erwan 07 December 2005 (has links) (PDF)
Les sociologues des sciences "antidifférenciationnistes" annoncent ou décrivent l'effacement des frontières entre science et industrie. La figure archétypale de cette nouvelle science hétéronome serait le "chercheur-entrepreneur", imprégné d'un "esprit d'entreprise" qui lui permettrait de mieux communiquer avec le monde marchand, idée que l'on retrouve sous la forme d'une doxa dans certains discours politiques. Cet antidifférenciationnisme, très proche du constructivisme social, repose sur une radicalité épistémologique fort controversée qui s'offre en réponse aux échecs du fondationnalisme. L'objet de ce travail est de penser l'autonomie de la science en neutralisant les querelles métaphysiques qui découlent de cette radicalité. Il débouche sur la production d'une série de concepts que je mobilise pour l'analyse d'une enquête menée auprès de 81 chercheurs créateurs d'entreprises (complétée par une série d'études de cas), ce qui m'amène à nuancer les thèses antidifférenciationnistes.
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Making Sense of Mention, Quotation, and Autonymy. A Semantic and Pragmatic Survey of Metalinguistic Discourse

De Brabanter, Philippe 01 June 2003 (has links) (PDF)
This thesis sets out to do mainly two things. On the one hand, I wish to provide an overview of scholarship on natural metalanguage. On the other, I want to tackle some of the most interesting problems that emerge from the recent literature on the subject. As far as my first goal is concerned, I discuss the origin of the term and the notion of 'metalanguage' in logic (Ch 1); I review and criticise the various theories of mention or quotation (Ch 2, 4, 5) because these are the main theoretical upshot, in the area of the study of natural languages, of the logicians' discussions of metalanguage. As for the second goal, I discuss the problems linked to the reference of quotational sequences (Ch 4); I devise a typology of metalinguistic utterances (Ch 6), based on a conception of semantics and pragmatics that is set out in Ch 3; I examine where a natural metalanguage "fits" with respect to the rest of the language and review a number of concerns regarding, notably, the infiniteness of the lexicon (Ch 7); I explore some of the issues raised by complex cases of alleged simultaneous use and mention (Ch 8).
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Biographie d'une vision du monde : les relations entre science, philosophie et politique dans la conception marxiste de J.B.S. Haldane

Gouz, Simon 15 September 2010 (has links) (PDF)
Biologiste reconnu, notamment, pour sa contribution à la fondation de la génétique des populations, J.B.S. Haldane (1892-1964) est également membre du Parti Communiste de Grande-Bretagne entre 1942 et 1950 et, à partir de 1937, il défend avec force l'opinion que le marxisme est utile au travail scientifique. Notre étude porte sur les idées marxistes de Haldane et sur la manière dont elles sont historiquement produites. Elle examine d'abord son parcours intellectuel et propose de comprendre son adoption du marxisme dans le cadre d'une dynamique de recherche d'unité entre des conceptions des sciences, de la philosophie et de la politique. L'étude porte ensuite sur la manière dont fonctionne ce qui est caractérisé comme une vision marxiste du monde, c'est-à-dire un mode de production et de circulation de concepts. En particulier, l'assertion que fait Haldane d'un usage du marxisme dans son travail scientifique est confrontée à certains de ses travaux en génétique des populations, ainsi qu'aux idées qu'il émet concernant l'eugénisme. Cette confrontation permet de confirmer et de généraliser, contre Sarkar (1992) et Shapiro (1993), le résultat proposé par Hammond (2004) d'une effectivité du marxisme de Haldane dans ses sciences, et de préciser la manière dont elle se réalise. Finalement, nous proposons une compréhension du marxisme de Haldane comme un cas particulier de processus historiques plus généraux. Nous examinons l'histoire des idées marxistes sur les sciences et le phénomène d'engagement politique de scientifiques britanniques à cette époque, et interrogeons par là les racines politiques et sociales du marxisme de Haldane.
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Le Mot et la Chose Revisités: le Cas de la Polysémie Systématique

Arapinis, Alexandra 19 December 2009 (has links) (PDF)
La polysémie systématique, qui occupe une place grandissante dans les débats de sémantique lexicale depuis les années 1990, semble remettre à l'ordre du jour la question fondamentale du rapport entre les mots et les choses. Partant du constat que ces phénomènes de multi-sens n'impliquent pas de réel changement de référence, mais semblent au contraire mettre en jeu différentes parties ou aspects d'un même référent, ce travail propose une relecture métaphysique de deux modèles typés de la polysémie systématique (le Generative Lexicon de Pustejovsky et la Type Composition Logic de Asher), visant à clarifier les notions d'aspect/partie/constituant d'un objet, mobilisées dans la formulation des règles compositionnelles de génération des significations contextuelles.

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