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Q. Aurelius Symachus a political career between Senate and court /

Sogno, Cristiana, January 2002 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Yale University, 2002. / Includes bibliographical references (p. 215-222).
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Letters to the emperor : epistolarity and power relations from Cicero to Symmachus

Creese, Maggi January 2007 (has links)
Traditionally Latin prose letters have been classified in one of two ways: often they are seen as historical documents to be mined for political, historical and social information; otherwise they are viewed as literature, to be read with a consideration of the role of rhetoric and persuasion. These letters are only rarely approached as letters, and classical scholars have only just begun to discover the benefits of applying epistolary theory to these texts. My thesis examines epistolary exchange within the context of Roman power relations, offering a new interpretation of the correspondences between the most powerful political figure in a given period and one from among the senatorial class. Cicero, Pliny the Younger, Fronto and Symmachus each conducted an epistolary exchange with a powerful figure with whom he hoped to gain influence, and despite the significant differences between them in terms of political and social circumstances, each uses his letters in similar ways to that end. I approach these texts, never before treated together in a comparative study, with a consideration of epistolarity, ‘the use of the letter’s formal properties to create meaning’, a concept developed by J. G. Altman (1982). These properties are identified and examined by means of detailed stylistic analysis of the Latin text. The act of writing a letter is an act of self-definition; the sender constructs a self defined necessarily in relation to a particular addressee. Thus the letter also affords a sender the opportunity to define the You, to whom he addresses himself. In the context of power relations in Roman politics, the letter then becomes a flexible tool of self-fashioning, by which a senator may attempt to influence the emperor.
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L'épigramme et la lettre d'Ausone à Ennode de Pavie : étude stylistique, littéraire et historique d'une contiguïté générique dans l'antiquité tardive / The epigram and the letter from Ausonius to Ennodius of Pavia : a stylistic, literary and historical study of a generic contiguity in Late Antiquity

Bonnan-Garçon, Camille 16 November 2018 (has links)
D’Ausone à Ennode de Pavie, de nombreux hommes de lettres de l’Antiquité tardive ont conjugué une production épistolaire abondante avec la rédaction d’épigrammes.. Ennode de Pavie a d’ailleurs organisé le recueil complet de ses œuvres autour d’une alternance entre épigrammes et lettres, mettant ainsi en relief la relation étroite, véritable dialogue générique, qui se noue entre l’épigramme et la lettre. Cependant, malgré ces nombreux points communs, les travaux critiques ont dans l’ensemble négligé d’en conduire l’étude de façon parallèle. C’est à ce projet original que nous entendons consacrer notre thèse. Tout d’abord, nous nous penchons sur l’aspect stylistique de cette contiguïté générique, à travers les critères communs de breuitas et d’humilitas, ainsi que sur la prédominance d’une certaine forme de maniérisme. Nous penchant ensuite sur l’aspect social et communicationnel des deux genres, nous les rapprochons en tant que media adoptant un système communicationnel commun et des lieux de créations sociaux identiques. Enfin, comme terme de notre logique comparative, nous incluons la contiguïté entre lettre et épigramme dans une réflexion plus large sur le phénomène général d’hybridation qui sous-tend cette époque. Ce dernier mouvement consiste dans l’étude de formes hybrides, mêlant lettre et épigramme, dans une perspective à la fois stylistique, littéraire et ecdotique, mais également dans l’étude d’une autre forme d’hybridation littéraire présente dans les deux genres : le bilinguisme où grec et latin se mêlent et se réinventent dans une époque de transition culturelle. / From Ausonius to Ennodius of Pavia, including Paulinus of Nola, Symmachus and Sidonius Apollinaris, many men of letters, in late Antiquity, wrote both letters and epigrams. Besides, Ennodius himself has organized his complete work alternating epigrams and letters, and highliting the close connection between those two genres. However, despite theirs numerous common features, the critics did not bother to draw a parrallel between them. Thus, we want to devote ourselves to this original point of view. First of all, we study the stylistic aspect of this generic connection, through two main common criteria. One the one hand, the breuitas and the humilitas, and in the other hand, the predominance of a certain form of mannerism. Then, considering the social and communicational aspects of those genres, we bring them together as medias adopting a common communicationnal system, and using the same places of creation. Finally, we include our reflexion in a broader one, about the phenomenon of genre-switching in Late Antiquity. This final movement consists in a studic of hybrid forms, in an ecdotic, stylistic point of view, but also in the study of latin-grec bilingualism.
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L'arithmétique de Boèce : le transfert de savoir mathématique grec

Tamitegama, Nadiejda 11 1900 (has links)
Auteur romain du 6ème siècle connu pour ses traductions en latin des textes en grec d’Aristote, Boèce a aussi rédigé une traduction-adaptation d’un texte de Nicomaque de Gérase sur l’arithmétique. La première partie de ce mémoire de maîtrise est consacrée à l’étude de Boèce en tant que passeur de savoir. Sa relation avec son père adoptif est mise en valeur afin de soutenir l’hypothèse selon laquelle Boèce aurait acquis sa connaissance du grec et son éducation tout en restant à Rome, sans avoir séjourné dans les écoles athéniennes ou alexandriennes. La deuxième partie porte sur le contenu mathématique du De institutione arithmetica. Après avoir montré comment le De arithmetica était relié à l’oeuvre de traduction par Boèce des philosophes grecs, le choix de l’Introduction à l’Arithmétique de Nicomaque comme point de départ du traité d’arithmétique de Boèce est étudié. Un catalogue raisonné des concepts mathématiques présentés est ensuite proposé, organisé autour des notions de quantité en soi et quantité relative qui conservent l’opposition entre le Même et l’Autre et rappellent l’opposition fondamentale entre Limité et Illimité, si chère aux pythagoriciens. Ce mémoire se termine par une analyse de la transmission du De institutione arithmetica et de son influence sur les mathématiques et l’enseignement du quadrivium au Moyen-Âge. / Roman author of the 6th century known for his Latin translations of Aristotle’s Greek texts, Boethius has also composed a translation-adaptation of a treatise on arithmetics written by Nicomachus of Gerasa. The first section of this master’s thesis focuses on characterizing Boethius as a intermediary, transferring Greek knowledge to the Latin West. His relationship with Symmachus is highlighted in order to argue that Boethius had been able to learn Greek and reach such a high level of learning in Rome, without the need to study in the Athenian or Alexandrian schools of his time. The mathematical content of the De institutione arithmetica is the main topic of the second section. After showing how the De arithmetica is related to Boethius’ magnum opus – the Latin translation of the Greek philosophers – the choice of Nicomachus of Gerasa’ Introduction to Arithmetics as the source of Boethius’ treaty on arithmetics is studied. Then, a catalogue raisonné of the mathematical concepts showcased is provided, organized around the notions of quantity constant of itself and relative quantity which retain the opposition between the Same and the Other and stems from the pythagoricians’ fondamental opposition between the Limited and the Unlimited. This masters’ thesis ends with an analysis of the medieval transmission of the De institutione arithmetica and of its influence on medieval mathematics and education through the quadrivium.
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Éloge et critique de l’empereur chez Ambroise de Milan et Symmaque : au confluent de deux conceptions idéologiques du pouvoir impérial romain

Gamache, Valérie 05 1900 (has links)
L’expression idéologique du pouvoir impérial romain au IVe siècle apr. J.-C. fut profondément marquée par les contextes religieux, culturel et littéraire dans lesquels elle s’inséra et dans lesquels coexistèrent deux religions et donc deux systèmes différents de pensée et de représentation du monde, soit le paganisme, religion traditionnelle de l’État romain, et le christianisme, religion émergente qui s’imposa de plus en plus dans l’Empire, notamment à partir du règne de Constantin. Cette trame de fond, loin de signifier à cette époque la fin totale du paganisme – comme il a longtemps été admis – au profit de la religion chrétienne qui entretint, grâce au support impérial, une relation nouvelle avec le pouvoir politique, modela de nouveaux critères d’exercice du pouvoir et des conceptions de l’idéal impérial qui s’exprimèrent dans les discours d’éloge destinés à l’empereur. Miroir du prince et moyen de communication entre ce dernier et l’élite, les éloges d’Ambroise de Milan et de Symmaque s’insérèrent dans le débat politique de leur temps en élaborant un archétype de l’empereur et en déterminant ses devoirs. Pour mesurer toute l’ampleur de la symbolique véhiculée dans de tels discours, il importe, pour le IVe siècle, de considérer la mentalité des auteurs, chrétiens et païens, d’où émanaient les éloges – ou encore les critiques – de la personne impériale. Ce mémoire propose ainsi d’analyser l’idéologie du pouvoir impérial selon les discours chrétien et païen, à travers les éloges d’Ambroise et de Symmaque, afin de relever les points de rencontre, d’influence ou de divergence entre ces représentations du monde et, plus spécifiquement, du pouvoir impérial, qui ont longtemps été considérées comme totalement opposées et incompatibles. / The ideological expression of Roman Imperial power in the fourth century AD was profoundly marked by the religious, cultural and literary contexts of which it was a part, and within which two religions, and thus two different systems of thought and of representation of the world, co-existed: paganism, the traditional cult of the Roman state, and Christianity, increasingly ascendant throughout the Empire beginning notably during the reign of Constantine. Contrary to the long-held view, this framework, far from signifying a complete end to paganism to the benefit of the Christian religion (which, with Imperial support, engaged in a new relationship with political power), in fact conditioned new criteria for the exercise of power and for the conceptions of the Imperial ideal expressed in the panegyric discourse directed at the Emperor. As mirrors of the prince and means of communication between him and the elite, the encomia of Ambrose and Symmachus became part of the political debate of their time, constructing an archetype of the Emperor and determining his duties. To gauge the full scope of the symbolism conveyed by such discourse, it is important, with regard to the fourth century AD, to consider the mentalities of the authors, both Christian and pagan, who praised—as well as criticized—the Imperial person. In analyzing the ideology of Imperial power according to the Christian and pagan discourses through the encomia of Ambrose and Symmachus, the author seeks to discern points of contact, influence or divergence between these representations of the world—and, more specifically, of Imperial power—which have long been viewed as entirely antithetical and incompatible.
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Éloge et critique de l’empereur chez Ambroise de Milan et Symmaque : au confluent de deux conceptions idéologiques du pouvoir impérial romain

Gamache, Valérie 05 1900 (has links)
L’expression idéologique du pouvoir impérial romain au IVe siècle apr. J.-C. fut profondément marquée par les contextes religieux, culturel et littéraire dans lesquels elle s’inséra et dans lesquels coexistèrent deux religions et donc deux systèmes différents de pensée et de représentation du monde, soit le paganisme, religion traditionnelle de l’État romain, et le christianisme, religion émergente qui s’imposa de plus en plus dans l’Empire, notamment à partir du règne de Constantin. Cette trame de fond, loin de signifier à cette époque la fin totale du paganisme – comme il a longtemps été admis – au profit de la religion chrétienne qui entretint, grâce au support impérial, une relation nouvelle avec le pouvoir politique, modela de nouveaux critères d’exercice du pouvoir et des conceptions de l’idéal impérial qui s’exprimèrent dans les discours d’éloge destinés à l’empereur. Miroir du prince et moyen de communication entre ce dernier et l’élite, les éloges d’Ambroise de Milan et de Symmaque s’insérèrent dans le débat politique de leur temps en élaborant un archétype de l’empereur et en déterminant ses devoirs. Pour mesurer toute l’ampleur de la symbolique véhiculée dans de tels discours, il importe, pour le IVe siècle, de considérer la mentalité des auteurs, chrétiens et païens, d’où émanaient les éloges – ou encore les critiques – de la personne impériale. Ce mémoire propose ainsi d’analyser l’idéologie du pouvoir impérial selon les discours chrétien et païen, à travers les éloges d’Ambroise et de Symmaque, afin de relever les points de rencontre, d’influence ou de divergence entre ces représentations du monde et, plus spécifiquement, du pouvoir impérial, qui ont longtemps été considérées comme totalement opposées et incompatibles. / The ideological expression of Roman Imperial power in the fourth century AD was profoundly marked by the religious, cultural and literary contexts of which it was a part, and within which two religions, and thus two different systems of thought and of representation of the world, co-existed: paganism, the traditional cult of the Roman state, and Christianity, increasingly ascendant throughout the Empire beginning notably during the reign of Constantine. Contrary to the long-held view, this framework, far from signifying a complete end to paganism to the benefit of the Christian religion (which, with Imperial support, engaged in a new relationship with political power), in fact conditioned new criteria for the exercise of power and for the conceptions of the Imperial ideal expressed in the panegyric discourse directed at the Emperor. As mirrors of the prince and means of communication between him and the elite, the encomia of Ambrose and Symmachus became part of the political debate of their time, constructing an archetype of the Emperor and determining his duties. To gauge the full scope of the symbolism conveyed by such discourse, it is important, with regard to the fourth century AD, to consider the mentalities of the authors, both Christian and pagan, who praised—as well as criticized—the Imperial person. In analyzing the ideology of Imperial power according to the Christian and pagan discourses through the encomia of Ambrose and Symmachus, the author seeks to discern points of contact, influence or divergence between these representations of the world—and, more specifically, of Imperial power—which have long been viewed as entirely antithetical and incompatible.

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