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Between the scylla and charybdis of anarchy and despotism the state, capital, and the working class in the Great Depression, Toronto, 1929-1940 /

Klee, Marcus, January 1900 (has links) (PDF)
Thesis (Ph. D.)--Queen's University, 1999. / Includes bibliographical references.
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Some American approximations to Pius XI's "Industries and professions,"

Munier, Joseph David, January 1943 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Catholic University of America, 1943. / Bibliography: p. 135-144.
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Learning to be uncivil, class formation and feminisation in the Public Service Alliance of Canada, 1966-1996

Warskett, Rosemary January 1998 (has links) (PDF)
No description available.
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Support pending, the Canadian autoworkers' struggle for adjustment assistance at a time of industrial change, 1960-1965

Roy, James A. January 2000 (has links) (PDF)
No description available.
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Les conventions collectives du Front populaire : construction et pratiques du système français de relations professionnelles / The Popular Front Collective Agreements : the Building of the French System of Industrial Relations and its Practices

Machu, Laure 21 November 2011 (has links)
Pour comprendre les origines du système français de relations professionnelles, cette thèse revient sur l’un des épisodes majeurs de sa construction : la négociation des conventions collectives du Front populaire. Inscrite dans une perspective de moyenne durée allant du début du siècle jusqu’au vote de la loi de 1950, l’étude porte une attention particulière au contenu des conventions collectives, mais aussi aux pratiques des acteurs du système de relations industrielles. Enfin, elle adopte une perspective comparative, croisant l’étude de divers secteurs et de trois espaces : la Seine, le Nord et la région lyonnaise. En ce qu’il étend les conventions collectives à l’ensemble des secteurs, le Front populaire apparaît bien comme un moment fondateur. Mais les mutations à l’œuvre en 1936 sont également le produit d’un apprentissage qui révèle une implication précoce et croissante de l’Etat et des syndicats et d’une réflexion sur la réforme des relations professionnelles qui se noue autour du rapport Laroque en 1934. Trois registres s’en dégagent. La convention collective doit permettre d’établir un contrôle sur la gestion patronale de l’usine, d’organiser la profession, de pacifier et stabiliser les relations sociales. Loin de correspondre à ces attentes, les conventions du Front populaire sont avant tout des instruments de protection et de hiérarchisation des travailleurs. Toutefois, selon les secteurs, le sens accordé aux conventions collectives, leur contenu ne sont pas les mêmes, ce qui suggère l’importance des dynamiques sectorielles à l’œuvre dans la construction d’un modèle français de relations professionnelles. / To help understand the origins of the French system of industrial relations, this thesis focuses on one major phase of its building, namely the negotiation of collective agreements under the Popular Front. Covering a span of moderate length this study pays special attention not only to the content of collective agreements but also to the practices of parties in the industrial relations system. Last, it takes a comparative approach, cross-checking studies on several sectors in three major industrial areas: the Nord and Seine departments and the Lyon region. Inasmuch as it extends collective agreements to all sectors, the Popular Front must indeed be seen as a founding period. But structural shifts implemented in 1936 are also the result of a developing practice which testifies both that the Government and unions were involved quite early and ever more so, and that thorough consideration was given to ways of reforming industrial relations right after the Laroque report came out in 1934. Three aspects stand out: a collective agreement should permit to exercise control over the business management of a factory, to organize the profession, to pacify and stabilize labour relations. Far from achieving these aims, collective agreements brought into effect by the Popular Front were first and foremost devised to protect the workers and establish a hierarchy among them. Yet, depending on the sector, the meaning granted to these collective agreements and their content may vary, which suggests the important part sector dynamics play when it comes to building a French model of industrial relations.
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Les organisations étudiantes à vocation représentative : un modèle de représentation atypique sous influence du droit social / Student organizations with representative vocation : an atypical representation model under influence of social law

Pinatel, Thibault 12 December 2014 (has links)
L'augmentation croissante du nombre d'étudiants en France initiée au cours de la seconde moitié du XXème siècle a progressivement projeté les thématiques relatives à leur situation sociale et à l'enseignement supérieur au centre du débat politique. Afin de défendre les intérêts matériels et moraux de cette catégorie de la population, plusieurs organisations ont émergé. Longtemps cantonné à l'UNEF, le paysage de la représentation étudiante est dorénavant pluriel et divisé. Ces organisations étudiantes à vocation représentative, plus connues sous l'appellation de « syndicats étudiants », constituent un modèle atypique de représentation locale et nationale. Bien que structurées en tant qu'associations relevant de la loi de 1901, elles subissent l'influence indéniable du droit social. Cette influence se matérialise notamment par l'émergence d'un modèle associatif ambigu, oscillant volontiers entre syndicalisme et associationnisme, et par une dimension concurrentielle prégnante, articulée autour d'un système électoral visant à déterminer la représentativité de chaque organisation. L'attraction opérée par le droit social est également perceptible en ce que le droit positif reconnaît aux étudiants un droit d'action collectif permettant aux organisations de déployer une action militante et revendicative comparable à celle des syndicats professionnels. La présence étude a donc pour objet de proposer une analyse juridique globale des organisations étudiantes à vocation représentative et des normes qui leur sont applicables tout en s'appuyant sur l'attraction que constitue le droit social. / The increasing number of students in France initiated during the second half of the twentieth century has gradually projected themes related to social status and higher education at the center of political debate. To defend the moral and material interests of this population group, several organizations have emerged. Long confined to the UNEF, the landscape of student representation is now plural and divided. These student organizations with representative vocation, better known under the name of "student unions" are a unique local and national representation model. Although structured as associations of 1901 law, they face the undeniable influence of social law. This influence is notably the emergence of an ambiguous association model, oscillating between unionism and associationism, and a pregnant competitive dimension, articulated around a voting system to determine the representativeness of each organization. The attraction operated by the labor law is also evident in that the positive law gives students a collective right of action that allows organizations to deploy a militant action comparable to that of trade unions. Present study was therefore designed to provide a comprehensive legal analysis of the students in vocation representative organizations and standards that apply to them while relying on the attraction is the social right.
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Les salarié·e·s aux urnes : contribution à l’étude des ressorts collectifs et individuels des votes des salariés aux scrutins professionnels dans le secteur privé en France / Workers at the ballot box : contribution to the study of the individual and collective factors in employee voting at workplace elections in the French private sector

Haute, Tristan 29 November 2019 (has links)
Alors que le vote connaît un poids symbolique croissant dans le système français de relations professionnelles, notamment depuis la réforme de la représentativité syndicale de 2008, la science politique et la sociologie des relations professionnelles ne se sont que très marginalement intéressées à la pratique électorale dans le champ professionnel. Au croisement de ces deux disciplines, ce travail de thèse a pour ambition, en s'appuyant sur les modèles explicatifs du vote proposés par la sociologie électorale, de restituer les logiques individuelles, contextuelles et environnementales de la mobilisation et du choix électoral des salariés lors des scrutins professionnels.Pour ce faire, notre travail, qui se concentre sur les salariés du secteur privé, mobilise et croise des matériaux quantitatifs et, dans une moindre mesure, qualitatifs, collectés à plusieurs niveaux : la base de données électorales MARS (Mesure d'audience pour le calcul de la représentativité syndicale), les données des enquêtes REPONSE (Relations professionnelles et négociations d'entreprise) et SRCV (Statistiques sur les ressources et conditions de vie) ainsi qu'une enquête par questionnaire réalisée auprès d'agents de Pôle Emploi.A la lumière de ces matériaux, il apparaît que les comportements électoraux des salariés aux scrutins professionnels, loin d'être inexplicables, dépendent de logiques sociales. Toutefois, si les modèles proposés par la sociologie électorale s'avèrent relativement pertinents, il apparaît nécessaire de les adapter aux spécificités du champ professionnel. Ainsi, à l'image de ce qu'observe Daniel Gaxie dans le champ politique, un « cens caché » de la « démocratie sociale » apparaît. Mais les barrières invisibles mises en évidence sont bien plus liées aux conditions et aux contextes de travail des salariés qu'au capital scolaire dont ils disposent : ce sont les salariés les plus précaires, les moins intégrés professionnellement, les plus jeunes ou encore les salariés des petites entreprises qui sont à la fois moins confrontés au vote et qui, lorsqu'ils peuvent effectivement voter, s'abstiennent significativement plus. De la même manière, si la mobilisation et le choix électoral des salariés dépendent des contextes dans lesquels leurs votes sont produits, ce sont les interactions nouées dans le travail, entre les salariés et leurs représentants ou entre les salariés eux-mêmes, qui sont déterminantes.Mettre ainsi au jour les ressorts des votes des salariés aux scrutins professionnels permet de contribuer non seulement à l'étude des relations professionnelles, mais aussi aux discussions autour des modèles explicatifs du vote en sociologie électorale, d'autant plus que la participation aux scrutins politiques et la participation aux scrutins professionnels s'articulent fortement. / While the vote has a growing symbolic weight in the French system of industrial relations, especially since the reform of union representativeness in 2008, political science as well as industrial relations and labour studies have shown only marginal interest for electoral practices in the professional field. At the crossroads of these two disciplines, this thesis aims to render the individual, contextual and environmental logics of electoral mobilization and choice during workplace elections, building on the explanatory models of voting proposed by electoral political sociology.To this end, our thesis, which focuses on private sector employees in France, mobilizes and combines quantitative and, to a lesser extent, qualitative materials, collected at several levels: the MARS electoral database (Audience Measurement for the Calculation of Union Representativeness), the data from the REPONSE surveys (Industrial Relations and Company Negotiations) and from the 2010 SRCV survey (Statistics on Incomes and Living Conditions) as well as a questionnaire survey carried out among Pôle Emploi employees.In light of these materials, it appears that the workers’ electoral behaviour in professional elections, far from being inexplicable, depends on social logics. However, if the models proposed by electoral sociology prove relatively relevant, it appears necessary to adapt them to the specificities of the professional field. Thus, in the same way as Daniel Gaxie observed for the political field, there appears to be a "hidden census" in "industrial democracy". But the highlighted invisible barriers are much more related to the employees’ working conditions and contexts than to their educational capital: those who are both less likely to face workplace polls and, when they can actually vote, significantly more likely to abstain, are the most precarious employees, the least professionally integrated, the youngest as well as those employed in the smallest businesses. Similarly, if the employees’ electoral mobilization and choices depend on the contexts in which their votes are produced, what is decisive are the interactions in the workplace between the employees and their representatives or between the employees themselves.To reveal the reasons for employees' votes in professional polls helps to contribute, not only to the study of industrial relations, but also to the discussion on the explanatory models of voting in electoral sociology, especially since participations at political and workplace elections are closely linked.
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L'impact de la diversité des identités professionnelles sur la représentation syndicale : le cas de l'Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux (APTS)

La Sablonnière, Laurence de 24 April 2018 (has links)
Par une revue de la littérature et une enquête socio-démographique auprès des membres d'un syndicat, la recherche analyse l'impact de la diversité des identités professionnelles à l'égard de la représentation syndicale. En contexte de crise du syndicalisme et de renouveau syndical, émanent deux hypothèses : les catégories professionnelles ont une influence différenciée sur les besoins et attentes de représentation syndicale et les différents rapports au travail influencent les besoins et attentes de représentation syndicale. Il appert que la diversité des identités professionnelles a une influence sur la représentation syndicale. Également, la diversité des identités professionnelles commande qu'on ne peut opposer une représentation syndicale liée directement aux conditions de travail à une représentation syndicale élargie aux conditions de vie. La multitude d'intérêts des membres freine une classification des travailleurs selon leur identité professionnelle, qui s'avère multiple.
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La restructuration de la fonction publique québécoise : vers un nouveau modèle de prestation des services publics?

Hains-Pouliot, Jérémie 18 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2011-2012 / La Nouvelle gestion publique est un courant managerial qui vise à redéfinir le rôle de l'État dans la société. Dès les années 1980, dans le contexte de lutte aux déficits publics, elle a commencé à dominer l'ordre du jour des réformes du secteur public de plusieurs pays de l'OCDE. Le Québec n'échappe pas à cette tendance. Cette recherche analyse la restructuration de la fonction publique québécoise entreprise depuis 2003 par le gouvernement libéral dans le but de la catégoriser selon deux modèles théoriques : le modèle néo-étatique et néolibéral. Il apparaît que cette restructuration a eu des implications sur la gestion des effectifs, l'organisation du travail et la prestation des services publics et que conséquemment, elle s'inscrit dans un modèle hybride à tendance néolibérale. Nos résultats découlent d'informations obtenues suite à la distribution de questionnaires à des unités administratives syndiquées avec le Syndicat de la fonction publique du Québec.
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Négociations collectives du secteur public au Québec (2015) : enjeux, stratégies et facteurs associés au pouvoir de négociation de la partie syndicale

Bindele, Alphonsine 25 September 2019 (has links)
Dans tous les pays industrialisés, les syndicats du secteur public subissent l’attaque des politiques économiques néolibérales. Au Québec, cette politique économique a révélé ses effets néfastes à travers les mesures d’austérité financière dont l’application risquait d’entraîner la précarisation de l’emploi dans le secteur public et l’appauvrissement des salariés de l’État. Ces mesures suscitent des nouveaux défis chez les syndicats, obligés de trouver une réponse en termes de stratégies de contre-pouvoir politique. La renégociation de leurs conventions collectives a offert aux syndicats du secteur public québécois l’occasion d’instaurer un nouveau rapport de force avec l’État-employeur. Prenant pour objet d’étude la ronde de négociations de 2015, cette recherche tente de cerner les différents facteurs ayant exercé une certaine influence sur le pouvoir de négociation de l’acteur syndical. Prenant appui sur les théories de la négociation collective et du pouvoir de négociation, particulièrement le modèle de Chamberlain et Khun (1986), cette étude propose un modèle d’analyse basé sur les influences du contexte, des coûts du désaccord (stratégie) et des coûts de l’accord (intérêts et revendications) sur le pouvoir de négociation des syndicats. Une recherche documentaire nous a permis de collecter des données à partir des publications des centrales syndicales et de celles de la presse. Ces données ont été soumises à une analyse de contenu. L’analyse des discours des syndicats aux différentes étapes de la négociation nous a permis de cerner la visée qu’ils assignent à leurs stratégies ainsi que les intérêts défendus. L’analyse des données montre que, même si les résultats de la négociation ont été inférieurs aux attentes et la mobilisation somme toute faible, les syndicats ont exercé un pouvoir de négociation. Ce pouvoir a été renforcé par le contexte, la stratégie (coalition syndicale et avec les usagers) et l’articulation des intérêts professionnels aux enjeux sociaux.

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