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Impact d’une prise en charge par la relaxation psychothérapique sur l’ajustement émotionnel, la qualité de vie et l’image du corps de patients atteints d’un cancer hématologique, hospitalisés en secteur stérile pour une greffe de moelle osseuse / Impact of psychotherapeutic relaxation interventions on emotional adjustment, quality of life and body image in hematologic cancer patients hospitalized in a sterile hospital's area for a bone marrow transplantation

Kostopoulou-Grolleau, Panagiota 14 December 2015 (has links)
Introduction : La prise en charge psychologique de patients pendant le processus de greffe demoelle osseuse pour un cancer hématologique fait partie intégrante du parcoursthérapeutique. Cette étude a deux objectifs : (1) tester l’impact d’une prise en charge par larelaxation psychothérapique, Méthode Sapir à court et à moyen terme, auprès de cettepopulation (2) savoir si des variables dispositionnelles (alexithymie, optimisme) et desvariables transactionnelles (stratégies de coping, soutien social perçu) peuvent influencer cetimpact.Méthode : 39 patients ont été inclus. Le groupé expérimental (N=20) a bénéficié d’une priseen charge par la relaxation psychothérapique tandis que le groupe contrôle (N = 19) a eu unsuivi psychologique traditionnel. Les patients ont été évalués 4 jours avant la greffe (T1),puis 45 jours (T2) et 100 jours (T3) après la greffe. Les variables dispositionnelles(alexithymie, optimisme), les variables transactionnelles (coping, soutien social perçu) et lesissues à prédire (état émotionnel, image du corps et qualité de vie) ont été mesurées.Résultats : A T3, les patients du groupe expérimental sont significativement moins anxieux(p<0,001), éprouvent une meilleure satisfaction corporelle (p<0,01) et ont une meilleureQDV physique (p≤0,001) qu’à T1. Chez les patients du groupe contrôle aucun changementsignificatif n’est observé avec le temps. Par ailleurs, aucune différence significative entre lesdeux groupes n’a été trouvée aux trois temps de l’étude. A T3, les patients alexithymiques dugroupe expérimental sont significativement moins dépressifs (p<0,05), ont une meilleureQDV cognitive (p<0,01) et émotionnelle (p<0,01) qu’à T1.A T3, les patients les plusoptimistes du groupe expérimental rapportent une meilleure QDV physique (p<0,05) etémotionnelle (p<0,05) qu’à T1.Chez les patients du groupe contrôle aucune modération del’alexithymie et de l’optimisme sur l’ajustement au cancer n’est observée. Enfin, l’effet demédiation du coping et du soutien social perçu n’a pas été démontré dans cette étude.Conclusion : La prise en charge par la relaxation psychothérapique a une place auprès decette population. L’illustration de deux cas cliniques vient confirmer ces propos. Cependant,au regard du faible nombre de sujets, il convient de contre-valider ces résultats auprès d’unepopulation plus large. / Introduction: The psychological care of patients during the process of bone marrowtransplantation for a hematological cancer is part of the therapeutic process. This study hastwo objectives: (1) to test at a short and medium term the impact of psychotherapeuticrelaxation, Sapir’s method, on the psychological adjustment of patients with hematologiccancer hospitalized at a sterile hospital’s room for bone marrow transplantation; (2) toexamine weather dispositional variables (alexithymia, optimism) and transactional variables(coping, perceived social support) can influence this impact.Method: 39 patients were included. The experimental group (N=20) received a care ofpsychotherapeutic relaxation while the control group received a traditional psychologicalfollow-up. Patients were evaluated 4 days before transplantation (T1), 45 days aftertransplantation (T2) and 100 days post-transplantation (T3), respectively. Personalityvariables (alexithymia, optimism), adjustment of cancer variables (emotional state, bodyimage, quality of life) and transactional variables (coping, perceived social support) weremeasured.Results: The patients in the experimental group at T3 are significantly less anxious(p<0.001), experienced a better body satisfaction (p<0.01) and a better physical quality oflife (p≤0.001) than at T1. In patients of the group control, no significant positive or negativemovements are observed by the time on studied variables. Moreover, no significantdifferences are found between two groups on three times of study. The alexithymic patientsof the experimental group are significantly less depressed at T3 (p<0.01) and experienced abetter cognitive (0.01) and emotional (p<0.01) quality of life. The most optimistic patients ofthe experimental group have a better physical (p<0.05) and emotional (p<0.05) quality oflife. In patients of the control group, no moderation of alexithymia and optimism is observedon cancer adjustment. Finally, the mediating effect of coping and perceived social support isnot demonstrated in this study.Conclusion: The psychotherapeutic relaxation has an important place to this population. Thisis confirmed by the illustration of two cases. Finally, due to the small number of subjectsincluded, these results require validation on a larger population.
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Régulation émotionnelle et conduites alimentaires à risque : approfondissement du rôle de l’alexithymie et des émotions discrètes de types traits et états

Pugliese, Jessica 09 1900 (has links)
La forte prévalence des conduites alimentaires à risque (CAAR), par exemple la restriction alimentaire, les vomissements auto-induits ainsi que les crises d’hyperphagie boulimique de sévérité non diagnostique, et les conséquences importantes qu’elles peuvent entraîner ont amené les chercheurs à vouloir mieux comprendre les facteurs impliqués dans leur développement. Cette thèse s’intéresse à un phénomène à la base d’un nombre grandissant de théories sur les CAAR : la régulation émotionnelle. Le premier article se concentre sur le concept d’alexithymie, un trait de personnalité jouant un rôle clé dans la régulation émotionnelle ainsi que le développement, le maintien et la rechute des CAAR. Bien que l’association entre l’alexithymie et les CAAR soit bien établie, les études n’offrent pas d’explication quant aux facteurs qui contribuent à l’apparition de traits de personnalité alexithymiques qui, à leur tour, placent l’individu à risque de développer des CAAR. En explorant la documentation scientifique disponible, il est possible de constater que plusieurs psychanalystes ont autrefois proposé des concepts pour expliquer le développement de l’alexithymie (p. ex. refoulement primaire, expérience non formulée, déni), mais ces théories ont rarement fait l’objet d’études empiriques. L’objectif du premier article est donc de tester ces modèles en utilisant deux stratégies de régulation émotionnelle provenant du modèle de James J. Gross, soit la suppression expressive et la réévaluation cognitive. Un échantillon de 292 femmes provenant majoritairement d’une population non clinique universitaire a complété le Toronto Alexithymia Scale-20 items, le Emotion Regulation Questionnaire et le Eating Disorder Inventory-2. Les résultats des médiations proposent que la suppression expressive prédit positivement les traits de personnalité alexithymiques, ce qui prédit positivement les CAAR. Inversement, la réévaluation cognitive prédit négativement les traits de personnalité alexithymiques, ce qui prédit ensuite négativement les CAAR. Ces résultats suggèrent qu’il pourrait être pertinent d’intervenir sur certains mécanismes potentiellement précurseurs de l’alexithymie afin de favoriser la diminution d’agirs comportementaux comme les CAAR. Les résultats de cette première étude ouvrent la réflexion sur des pistes d’intervention concrètes pouvant être mises en application auprès des personnes souffrant de CAAR. En effet, les résultats de cette thèse suggèrent qu’il pourrait être important d’aider l’individu à diminuer l’évitement/la suppression de ses émotions pour plutôt encourager leur exploration. Il est possible d’émettre l’hypothèse que ce type d’intervention permettrait, avec le temps, la diminution des traits alexithymiques, ceci en favorisant la formation de représentations mentales des émotions. Conséquemment, la diminution de décharges somatiques comme les CAAR pourrait s’en suivre. L’implication des résultats pour les thérapies de différentes approches (p.ex. psychodynamique, cognitivo-comportementale et basée sur la mentalisation) est ensuite discutée. Afin de préciser l’étude de la régulation émotionnelle dans les CAAR, le second article a pour but d’identifier les émotions jouant un rôle particulier au sein de ces comportements. Pour ce faire, cet article, qui comprend deux études, s’intéresse aux liens entre les catégories émotionnelles distinctes du modèle des émotions différentielles d’Izard (p. ex. tristesse, joie) et les CAAR. La première étude a pour objectif d’explorer l’association entre les émotions-traits et les conduites alimentaires de recherche de minceur et boulimiques. Un total de 244 femmes provenant en majorité d’une population non clinique universitaire a complété le Eating Disorder Inventory-2 et le Differential Emotion Scale-trait version. Les analyses de régression démontrent que le modèle d’Izard prédit significativement les conduites de recherche de minceur et boulimiques. La contribution unique de chaque émotion-trait est ensuite étudiée. Les résultats indiquent que la honte est la seule émotion qui reste un prédicteur significatif des conduites de recherche de minceur et que seuls la culpabilité, le mépris et l’hostilité dirigée contre soi demeurent des prédicteurs significatifs des comportements boulimiques. Pour sa part, la seconde étude a pour but d’explorer l’association entre les émotions-états et les CAAR. Un total de 155 participantes provenant de l’échantillon de la première étude a complété un questionnaire leur demandant de rapporter par écrit un comportement de restriction ou de boulimie ayant eu lieu dans le passé. Elles ont ensuite complété le Differential Emotion Scale-state version. Les analyses descriptives démontrent que nonobstant la nature du comportement, la tristesse est l’émotion vécue la plus intensément par les participantes avant l’épisode rapporté. De plus, une comparaison de groupes a révélé que les personnes ayant décrit un épisode de boulimie ressentent significativement moins de joie et d’intérêt avant l’épisode que celles ayant rapporté un comportement restrictif. En résumé, les résultats suggèrent tout d’abord que les émotions négatives semblent jouer un rôle important au sein des CAAR. En ce sens, cet article appuie les recommandations de certains chercheurs à l’effet que l’intervention auprès des personnes ayant des CAAR nécessite d’inclure des volets dédiés à la régulation des émotions. Toutefois, ces études vont encore plus loin en proposant qu’il pourrait être pertinent de développer des interventions ciblées et concrètes permettant la gestion d’émotions ou de patrons d’émotions qui jouent un rôle prédominant auprès des différents CAAR. / The high prevalence of disordered eating (DE), for example food restriction, selfinduced vomiting or binge eating that are not of diagnostic severity, and the important consequences that they can entail have led researchers to further investigate the premorbid factors involved in them. The present thesis is interested in a phenomenon that is the basis of a growing body of theories on DE: emotion regulation. The first paper focuses on the concept of alexithymia, a personality trait that plays a key role in emotion regulation as well as in the development, maintenance, and relapse of DE symptoms. Although the association between alexithymia and DE is well established, current studies offer no explanation as to what factors contribute to the development of alexithymic personality traits, which in turn puts the individual at risk for DE. Several psychoanalysts have offered theoretical concepts to explain the development of alexithymia (e.g. primary repression, unformulated experience, denial), but these have not been submitted to empirical studies. The aim of the first study is to test these theories using two empirically established emotion regulation strategies taken from James J. Gross's model, namely expressive suppression and cognitive reappraisal. A sample of 292 women, the majority being undergraduated students, completed the Toronto Alexithymia Scale-20 items, the Emotion Regulation Questionnaire, and the Eating Disorder Inventory-2. The results of the mediation analyzes suggest that expressive suppression significantly and positively predicts alexithymic personality traits, which positively predicts DE. Inversely, cognitive reappraisal negatively predicts alexithymic personality traits, which then negatively predicts DE. These results suggest that it could be important to intervene on certain mechanisms that are potential precursors of alexithymia in order to promote the reduction of DE. More specifically, the results of this first study open up reflection on concrete lines of intervention that could be applied to vii people suffering from DE. Indeed, the results propose that it could be beneficial to encourage these individuals to explore their emotions rather then to avoid / suppress them. It can be hypothesised that these types of intervention will allow, over time, the reduction of alexithymic traits by promoting the formation of mental representations of emotions. Consequently, it is possible that the decrease in somatic discharges such as DE will follow. The implication of the results for different therapeutic approaches (psychodynamic, cognitive behavioral and mentalization-based) is then discussed. In order to further clarify the role of emotional regulation in DE, the second paper aims to identify emotions that play a key role in the disorder. This article, divided into two studies, focuses on the association between distinct emotional categories from Izard's differential emotions theory (e.g. sadness, joy) and pathological eating. The first study explores the relationship between trait-emotions and DE. A total of 244 women, the greater part being undergraduated students, completed the Eating Disorder Inventory-2 and the Differential Emotion Scale-trait version. Regression analyzes show that Izard's model significantly predicts both drive for thinness and bulimic behaviors. The unique contribution of each trait-emotion is then explored. The results indicate that shame is the only emotion that remains a significant predictor of drive for thinness and that only guilt, contempt and self-directed hostility remain significant predictors of bulimic behavior. As for the second study, a total of 155 participants coming from the first study sample completed a questionnaire asking them to report in writing an episode of restriction or bulimia that occurred in the recent past. They then completed the Differential Emotion Scale-state version. Descriptive analyzes reveal that regardless of the kind of DE, sadness is the emotion experienced most intensely by the participants before the reported episode. Furthermore, group comparisons indicate that people who report a bulimic episode felt viii significantly less joy and interest before the event than those who recalled a restrictive behavior. In summary, the results first suggest that people with DE experience more negative emotions on a daily basis. Thereby, this article supports the recommendations of certain researchers suggesting that interventions with people exhibiting DE should include components dedicated to the regulation of emotions. Moreover, these studies go even further by suggesting that it could be relevant to develop targets and concrete interventions allowing the regulation of specific emotions or patterns of emotions, which could play a predominant role with the various DE.
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L'impact de la création littéraire, en contexte d'aide, sur la symptomatologie psychophysiologique d'adolescents atteints d'une maladie chronique : étude interdisciplinaire et exploratoire

Salesse, Michèle S. 06 1900 (has links)
Thèse réalisée dans le cadre d'un Ph.D.interdisciplinaire en Psychologie, en création littéraire et en orthopédagogie. L'impact de la création littéraire a été étudié chez des adolescents atteints d'une maladie chronique au CHU Sainte-Justine de Montréal. Cette recherche est exploratoire car la création littéraire n'a jamais été étudiée dans cette perspective. Elle a été réalisée sous la direction de Catherine Mavrikakis, professeure et écrivain à la Faculté des arts et sciences au Département des littératures francophones de l'Université de Montréal et de Jean-François Saucier, psychiatre et anthropologue à la Faculté de médecine au Département de psychiatrie de l'Université de Montréal et chercheur au CHU Sainte-Justine. Interdisciplinary Study. / Recherche randomisée, exploratoire, quantitative, qualitative et interdisciplinaire (psychologie, création littéraire, orthopédagogie) qui a testé l’hypothèse que l’écriture littéraire (contes, nouvelles, poèmes) faciliterait l’expression des émotions et produirait des effets positifs sur la santé d’adolescents atteints d’une maladie chronique que l’écriture dite expressive (écriture au «je» où le participant exprime ses émotions face à un événement pénible). Testé dans plus de cent (146) recherches auprès d’adultes et huit (8) auprès des jeunes, l’écriture expressive procurait des effets thérapeutiques significatifs sur la santé. Objectif: étudier les effets de l’écriture littéraire sur la symptomatologie psychophysiologique d’adolescents atteints d’une maladie chronique. Méthodes: Trente-quatre adolescents atteints d’une maladie chronique, âgés de 12 à 18 ans, recrutés dans un centre hospitalier universitaire pédiatrique, ont participé à 8 séances d’écriture hebdomadaire d’une durée de 30 à 50 minutes, durant 8 semaines via un site informatique confidentiel, créé spécifiquement pour la recherche et comprenant un contexte d’aide. Les participants ont été répartis entre deux groupes, aléatoirement assignés. Un groupe expérimental de 20 participants, dont 15 filles (70%), était invité à utiliser l’écriture littéraire. Un groupe contrôle de 14 participants, dont 8 filles (64%), était invité à utiliser l’écriture expressive. Les participants ont été évalués à trois reprises avec les tests Beck-13 (dépression), STAI-forme Y (anxiété), échelle des symptômes (ASC) utilisée par Santé Canada, le TAS-20 (alexithymie) et le Kidcope (stratégies adaptatives) au temps 1 (avant les séances d’écriture), au temps 2 (une semaine après la fin des séances) et au temps 3 (4 mois après la fin des séances d’écriture). Deux cent soixante-douze (272) textes ont été produits et analysés qualitativement dans une perspective littéraire mettant en lumière l’articulation du discours comme objet de sens et de perception du rapport au monde de son auteur, via l’énonciation émotionnelle et les phénomènes de tension discursive. Résultats quantitatifs: Les résultats montrent que l’écriture littéraire ET l’écriture expressive seraient efficaces pour diminuer la dépression, l’anxiété et les symptômes physiologiques. Par contre, l’écriture expressive s’avèrerait plus efficace que l’écriture littéraire pour diminuer la dépression alors qu’il n’y aurait aucune différence entre les deux écritures pour diminuer l’anxiété et les symptômes physiologiques. L’écriture littéraire serait plus efficace pour diminuer l’alexithymie. On observe: un nombre accru de stratégies d’approches utilisées; une augmentation de l’efficacité des stratégies choisies; l’écriture étant l’une des stratégies adoptées. Enfin, les participants du groupe d’écriture littéraire seraient plus persévérants après la fin des séances d’écriture. Conclusion : L’écriture littéraire, en contexte d’aide, contribuerait à diminuer les symptômes psychophysiologiques chez les adolescents atteints d’une maladie chronique. Cette stratégie s’ajouterait à d’autres stratégies de coping. / The impact of creative writing, within a helping context, on the psychological and physiological symptoms of adolescents living with chronic disease. Interdisciplinary and exploratory study.- Background: Randomized, exploratory, quantitative, qualitative, and interdisciplinary (psychology, creative writing, remedial education) study which tested the hypothesis that literary writing (tales, short stories, poems) facilitates greater emotional expression and has a more positive impact on the physical and psychological well-being of adolescents living with chronic illness compared to “expressive” writing (first-person writing in which participants express their feelings about a painful event). Aims: The objectives of this study were to explore the facilitation of emotional expression through writing and to compare the impact of literary writing vs. expressive writing on the physical and psychological well-being of adolescents living with chronic disease. Methods: Thirty-four adolescents, aged 12-18 years, living with chronic illness (diabetes, Crohn’s disease, cystic fibrosis), were recruited in a university pediatric hospital and enrolled in eight weekly writing sessions of 30-50 minutes via a confidential Web site developed specifically for the study within a helping context. The thirty-four participants were randomized into two groups: an experimental group (literary writing), consisting of 20 participants with fifteen girls (70%), and a control group (expressive writing) consisting of 14 participants with eight girls (64%). Subjects were assessed at three times using five tests: the BDI-13 (depression), the STAI- Y (anxiety), the Health Canada ACS scale, the TAS-20 (alexithymia), and the KIDCOPE checklist (adaptive strategies). The tests were administered before writing began (T1), one week after sessions ended (T2), and four months after sessions ended (T3). Two hundred and seventy-two (272) texts were produced and analyzed qualitatively in a literary perspective emphasizing the production of discourse as an object of meaning and perception of the author’s relationship with the world through emotional expression. Quantitative results: Both types of writing were equally effective in decreasing anxiety and psychological symptoms. Expressive writing was more effective in decreasing depression. Literary writing was more effective in decreasing alexithymia. It was also noted that both types of writing increased the number of adaptive strategies with writing now part of the arsenal of coping strategies for both groups. Finally, more adolescents in the literary than in the expressive writing group continued writing. Conclusion: Literary writing, within a helping context, contributes to decreasing the various psychological symptoms of adolescents living with chronic illness and may provide them with an additional coping strategy in their stressful condition.

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