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L'Allemagne fédérale et la défense de l'Europe : Le débat sur les missions de la Bundeswehr, de la création de la RFA a l'unification allemande / The German Federal Republic and the Defence of Europe : The Debate on the Missions of the Bundeswehr, from the Creation of the FRG to German Unification

Badde-Revue, Magdalena Antonia 25 February 2010 (has links)
Du réarmement de l’Allemagne fédérale en 1955 jusqu’aux nouvelles missions actuelles à l’étranger mandatées par une organisation internationale et au nom de la défense des droits de l’homme, la Bundeswehr a accompli une évolution singulière, différente des armées des autres nations. Créée de toutes pièces, après la défaite de la 2e guerre mondiale, selon une conception tout opposée à la Wehrmacht et sous la contrainte qu’imposait la Guerre froide, elle s’est ensuite adaptée au gré des menaces et des détentes, mais sans jamais avoir d’autres missions que celle pour laquelle elle a été conçue : défendre l’Europe au sein de l’Alliance atlantique contre l’expansionnisme communiste. La RFA a cherché à se positionner parmi les nations non-nucléaires de l’OTAN et tout en tentant de participer la décision en matière nucléaire. Elle a cherché à faire valoir ses intérêts à travers l’influence que les gouvernements et les chanceliers de tous bords se succédant ont pu exercer sur les deux puissances à l’Est et à l’Ouest, mais aussi à travers l’engagement résolu pour la construction européenne, en concert avec la France. Elle a fait de même par les positions que ses ministres de la Défense et ses représentants civils et militaires ont occupées au sein de l’OTAN. Cette remarquable continuité a abouti à la chute du mur de Berlin et à la fin du monde bipolaire. La Bundeswehr a dû en conséquence à l’instar de son organisme de tutelle, l’Alliance atlantique, se redéfinir et prendre des responsabilités plus importantes dans les conflits européens et mondiaux, sans pour autant abandonner sa doctrine initiale liée à la « Loi fondamentale ». / From the rearmament of Western Germany in 1955 to the today « new missions » under UN mandate and on behalf of the protection of human rights, the “Bundeswehr”, i.e. the German Armed Forces, has been evolving in quite a different way from the other nations. As a matter of fact, the Bundeswehr was set up from scratch after the World War 2 defeat as an armed force based on a conception opposite of the previous Wehrmacht and under the constraints of the Cold War. It then tried to adapt to the various threats and policies of détente but without diverging from its fundamental mission: the defence of the European territory against communist expansion. At that time, Western Germany tried to find its place among the NATO non nuclear States while participating in the nuclear decision making process. It also pushed forward its national interests through the particular influence of its governments and prime ministers on both western and eastern nations and helped promote the EU construction in cooperation with France. It conducted the same policy within NATO. This remarkable political continuity led to the fall of the Berlin Wall and the end of the bipolar world. From that moment on, the Bundeswehr had, just as NATO, to redefine and accept wider responsibilities in European and world conflicts while maintaining its original political doctrine enshrined in its Fundamental Law.
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Ecriture de l'histoire et construction de soi : les textes de fiction de l'écrivain allemand Klaus Schesinger (1937 - 2001) / Writing history, construction oneself : the fictional texts of German author Klaus Schlesinger (1937-2001)

Argelès, Daniel 31 March 2014 (has links)
La présente thèse analyse les textes de fiction de l’écrivain berlinois Klaus Schlesinger sous l’angle de l’écriture de l’histoire. Né en 1937 à Berlin-Est, cet auteur important mais encore sous-estimé connaît cinq régimes différents au cours de son existence – l’Allemagne national-socialiste, l’Allemagne occupée, la RDA (de 1949 à1980), la RFA (de 1980 à 1989), l’Allemagne unifiée – et autant de ruptures majeures dont son œuvre rend compte : révélation de l’ampleur des crimes nazis, réorientations dans l’après-guerre et le socialisme en construction, instauration du Mur de Berlin, « dissidence » et passage à l’Ouest dans le sillage de l’affaire Biermann, puis chute du Mur, disparition de la RDA, réunification. Si un découpage en quatre grandes périodes d’écriture permet d’éclairer un itinéraire intellectuel et politique, l’analyse porte d’abord sur la façon dont Schlesinger représente ce demi-siècle d’histoire allemande, son impact sur les individus et les questions qu’il a soulevées (héritage du passé, place de l’individu dans le socialisme « réellement existant », les sociétés capitalistes ou la guerre froide, utopie, identité). Elle s’intéresse aux choix narratifs et formels opérés dans chaque texte et souligne les enjeux indissociablement historiographiques, moraux, politiques et identitaires dont ils ont été à chaque fois porteurs. Puisant à plusieurs sources théoriques (Ricœur, Foucault, de Certeau, Turner, Geertz), elle met en lumière la nature singulière des espaces souvent hétérotopiques ou liminaux où Schlesinger fait évoluer ses personnages et observe l’écriture de fiction comme un lieu privilégié d’appréhension et de construction de soi dans l’histoire. Centrée sur les textes de fiction, l’analyse exploite également les essais et les textes autobiographiques, ainsi que les archives du fonds Schlesinger de l’Akademie der Künste à Berlin (correspondance, ébauches et fragments, dossiers de surveillance de la Stasi, recensions et coupures de presse, entretiens). / This thesis analyses the fictional texts of Berlin author Klaus Schlesinger under the aspect of history-writing. Born in 1937 in East-Berlin, this important yet still under-estimated writer lived under five different regimes – national-socialist Germany, occupied Germany, the GDR (from 1949 to 1980), the FRG (from 1980 to 1989), unified Germany – and as many major changes that find reflection in his work: the revelation of the scope of Nazi crimes, the reorientations in the post-war era and under the socialist regime, the building of the Berlin Wall, political “dissidence” and exile in the West in the wake of the Biermann affair, then the fall of the Wall, the disappearance of the GDR and German unification. While the analysis falls into four chronological periods, thus allowing for an overview of his intellectual and political itinerary, the thesis primarily focuses on the way Schlesinger represented this half-century of German history, its impact on individuals and the questions that arose from it (the heritage of the past, the individual’s position in “real”-socialism, in capitalist societies or the Cold war, utopia, identity). It looks at the narrative and formal choices made in each text and underlines the historiographical, moral, political and personal-identity questions inextricably linked to them. Drawing from several theoretical sources (Ricœur, Foucault, de Certeau, Turner, Geertz), it underlines the specific nature of the often heterotopical or liminal spaces in which Schlesinger places his characters and interprets fictional writing as a privileged space of self-apprehension and self-construction in history. While focused on the fictional writings, the analyses also uses the author’s essays and autobiographical texts as well as the Klaus Schlesinger archives of the Akademie der Künste in Berlin (correspondence, first drafts, text fragments, Stasi surveillance files, reviews, interviews).
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Une histoire des Mouvements Unis de Résistance (de 1941 à l'après-guerre). Essai sur l'expérience de la Résistance et l'identité résistante

Vast, Cécile 10 November 2008 (has links) (PDF)
Il s'agit ici d'interroger la singularité d'une identité modelée par l'expérience de la Résistance, à travers l'ensemble formé par trois mouvements de résistance non communistes de la zone sud fondés en 1941 (Combat, Libération Sud et Franc-Tireur), regroupés en 1943 dans les Mouvements Unis de Résistance (MUR), puis en 1944 dans le Mouvement de Libération nationale (MLN). Ce cadre d'étude permet la multiplication des angles d'observation, et le choix dune démarche comparative rend compte de la diversité des composantes, des ancrages géographiques, des préoccupations et des vécus. Une place particulière est accordée au parcours d'Alban Vistel : responsable de Libération-Sud à Vienne puis chef régional des MUR, sa personnalité imprègne l'histoire des mouvements unis de la région de Lyon. L'approche par le détour de l'identité rompt avec la vision d'une Résistance conçue comme un bloc et confirme l'idée d'un édifice en construction. Entre 1941 et le début de 1943, c'est par référence à l'entité "mouvements" que s'exprime l'appartenance identitaire. Par la suite, jusqu'à la Libération, cette identité de groupe se transforme en identification totale à l'idée "Résistance". La pluralité des services et des lieux de résistance diversifie les modes d'appropriation de l'expérience et donne à cette identité résistante son caractère multidimensionnel. Quelques grands éléments constitutifs, inégalement mais peu à peu partagés, structurent la singularité de la Résistance : Témoignage, appropriation du temps, dimension légendaire, responsabilité sociale et élitisme, idéal unitaire, identification à la France comme idée, éthique de l'action.
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Fragmented identity, a comparative study of German Jewish and Canadian Mennonite literature after World War II

Schroeder, Elfrieda Neufeld January 2001 (has links)
No description available.
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Fragmented identity, a comparative study of German Jewish and Canadian Mennonite literature after World War II

Schroeder, Elfrieda Neufeld January 2001 (has links)
No description available.
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Sur l'interprétation Heideggérienne du chapitre "Du schématisme des concepts purs de l'entendement" de la critique de la raison pure de Kant

St-Aubin Fréchette, Laurence 08 1900 (has links)
Cette analyse porte sur le schématisme des concepts purs de l’entendement, tel que présenté par Emmanuel Kant dans la Critique de la raison pure et interprété par Martin Heidegger. La lecture proposée par Heidegger est critiquée par un bon nombre de commentateurs dans la mesure où ils considèrent que son interprétation ne lui sert qu’à faire valoir ses propres théories philosophiques au sujet du Dasein et de l’ontologie fondamentale. Notre approche se distingue de la leur dans la mesure où nous tentons de comprendre les raisons qui ont poussé Heidegger à défendre l’interprétation du schématisme qui est la sienne. Notre étude s’attarde au texte de Kant de manière à en souligner les éléments qui ont permis à Heidegger d’établir sa lecture, telle qu’il la présente dans son ouvrage de 1929, ayant pour titre Kant et le problème de la métaphysique. La méthode utilisée est comparative, car notre but est de démontrer la valeur de l’interprétation heideggérienne contre celle des commentateurs qui le critiquent pour des raisons insuffisantes. Bref, le thème du schématisme kantien est analysé de long en large et la conclusion à laquelle nous parvenons est que Heidegger a permis des avancées philosophiques considérables par son herméneutique de la Critique et qu’il est nécessaire de leur accorder l’attention qui leur est due. / The subject of this analysis is the schematism of the pure concepts of understanding, as presented by Emmanuel Kant in The Critique of Pure Reason and interpreted by Martin Heidegger. The reading proposed by Heidegger is criticized by a large number of commentators because they consider that his interpretation only serves to give value to his own philosophical theories on Dasein and on fundamental ontology. Our approach is different from theirs in that we are trying to understand the reasons that justify Heidegger in his interpretation of schematism. Our study dwells on Kant's text in order to extract the elements that allowed Heidegger to build up his thoughts, as he presented them in 1929 in Kant and the Problem of Metaphysics. The method used is comparative, since our goal is to demonstrate the relevance of Heidegger's interpretation against the commentators who have insufficient reasons to criticize him. In short, the theme of Kant's schematism is analyzed thoroughly and the conclusion we come to is that Heidegger allowed for considerable philosophical progress with his hermeneutics of the Critique and that it is necessary to give them the attention they deserve.
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"Quasi eingebettet in die Schrift" Der doppelte Erzählboden popmoderner Oberflächenbeschreibung und der ästhetische Fundamentalismus in Christian Krachts Roman 1979

Seelig, Arnim H. Alexander 08 1900 (has links)
Cette mémoire est une analyse du subtexte immanent dans le roman « 1979 » (2001) de Christian Kracht, auteur suisse, qui est le plus connu pour son début « Faserland » (1995). Ces oeuvres sont situées dans le mouvement de la littérature Pop allemande des années 1990 et en résultent en même temps. Dans ce contexte, le climat socio-politique après la réunification, notamment le Literaturstreit, jouera un rôle important dans mon interprétation comme fond de la poésie de Kracht. J’exposerai les difficultés que le discours de la littérature Pop porte en ce qui concerne l’œuvre de cet auteur, qui, même s’il est vu en général comme fondateur de ce genre littéraire en Allemagne, ne considère pas ses textes comme littérature Pop dans ses déclarations notoirement problématiques. Je devrais objecter que Kracht est en combat avec la littérature Pop d’une façon stylistique et pas rarement ironique, ce qui traverse la définition étroite dominante. Il fait cela en adoptant sur l’un côté le trait le plus signifiant du genre, à savoir le caractère superficiel extrêmement descriptif et en transmettant sur l’autre côté un message moral profond, ce qui rend impossible la classification de ses textes comme Pop, signifiant seulement le divertissement ou l’archivisme de Moritz Bassler. En fait, la fréquence de signifiants de Pop dans les textes de Kracht créent par leur arrangement un réseau de sens qui, dans le paradigme post- moderne, peut être décrit le mieux avec le terme « rhizome » de Gilles Deleuze et Félix Guattari. En faisant ça, Kracht suit une autre tradition qui traverse les limites de la littérature Pop, comme il se sert de la décadence, de l’esthétisme et du symbolisme du fin-du-siècle d’un Hugo von Hofmannsthal, d’un Stefan George et d’un Joris-Karl Huysmans avec leurs pointes de mise en garde contre les déficits du modernisme, du libéralisme et du capitalisme, d’une façon nommée « fondamentalisme esthétique » par le sociologiste Stefan Breuer. Cette recherche se référera aux interprétations originales des textes source, aux évaluations de littérature d’accompagnement, à savoir des manuels scolaires en critique littéraire, en sociologie et en histoire allemande, aux comptes rendu, dissertations et entrevues et aux textes philosophiques. Cette mémoire est écrit en allemand. / This master's thesis is an analysis of the subtext immanent in the novel "1979" (2001) by Swiss author, Christian Kracht, who is best known for his debut, "Faserland" (1995). These works are situated in and result from the 1990's movement of German pop literature. In that context, the socio-political climate after the re-unification, most notably the Literaturstreit, plays an important role in my interpretation as the background to Kracht's poetics. I delineate the difficulties that the pop literature discourse carries both, as a literary category and in regard to this author's work, taking into consideration his notoriously problematic statements to the effect that he does not consider his texts to be pop literature, in spite of being commonly regarded as the founder of this literary form in Germany. I shall argue that Kracht engages in a stylistic and more often than not ironic play with pop literature, which transgresses the dominant narrow definition of it. He does so by adopting on the one hand its most-defining feature of extreme descriptive superficiality, yet by conveying on the other hand a moral message of profound dimensions, which renders impossible the classification of his texts as pop, neither in the sense of mere entertainment nor in the sense of Moritz Bassler’s archivism. In fact, the very arsenal of pop signifiers present in Kracht's texts create through their arrangement a web of meaning, which in the post-modern paradigm can be best described with Gilles Deleuze's and Félix Guattari's term “rhizome." By doing so Kracht follows in the footsteps of another tradition which transgresses the boundaries of pop literature, as he reaches back to the aestheticistic décadence and symbolism at the fin-de-siècle of a Hugo von Hofmannsthal, a Stefan George, and a Joris-Karl Huysmans, with their strong undertones of warnings against the shortfalls of modernism, liberalism, and capitalism, in a fashion that is termed “aesthetic fundamentalism” by Stefan Breuer. This research draws on original interpretations of the source texts, on evaluations of secondary literature such as scholarly works in German literary criticism, sociology and history, on book reviews, essays and interviews, and on philosophical texts. The thesis is written in German. / Gegenstand der vorliegenden Arbeit ist der narrative Subtext im Roman 1979 (2001) des Schweizer Autoren Christian Kracht, der vor allem mit seinem Romandebüt Faserland (1995) bekannt wurde. Seine Texte stehen im Zusammenhang mit der Neuen Deutschen Popliteratur der 90er Jahre. In diesem Kontext hat auch das soziokulturelle Klima nach der Wiedervereinigung eine wichtige Rolle, das sich am prägnantesten im Literaturstreit äußerte, weshalb dieser in der hier vorgenommenen Intepretation von Krachts Poetik seinen Platz findet. Außerdem soll aufgezeigt werden, inwieweit die Neue Deutsche Popliteratur sowohl als gattungstechnische Kategorie als auch im Bezug auf Krachts Werk problematisch ist. Dies entspricht den Beteuerungen des Autors, dass er keine Popliteratur schreibe, obwohl er als ihr Gründer gilt. Das Argument dieser Arbeit ist, dass Kracht auf stilistische und oft ironische Weise mit Popliteratur spielt, wodurch er die bestehende enge Definition dieser transgressiert. Da er einerseits das bezeichnenste Merkmal von Popliteratur, nämlich die Oberflächenbeschreibung, übernimmt, andererseits aber dadurch eine tiefe moralische Aussage macht, lassen sich seine Texte nicht als Pop verorten,weder als Unterhaltung, noch im Sinne von Moritz Baßlers Archivismus. Vielmehr ergeben die von Kracht versammelten Pop-Signifikanten in ihrer Vernetzung ein Sinngebäude, das in postmoderner Parlanz mit Gilles Deleuze und Félix Guattari als „Rhizom“ bezeichnet werden kann. Indem Kracht so verfährt, knüpft er ebenfalls an eine Tradition jenseits von Popliteratur an, und zwar an die ästhetizistische décadence und den Symbolismus des fin de siècle eines Hugo von Hofmannsthal, Stefan George und Joris-Karl Huysmans, sowie deren Warnungen vor den Mängeln des Modernismus, Liberalismus und Kapitalismus, wobei diese Einstellung von Stefan Breuer als ästhetischer Fundamentalismus bezeichnet wird.
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Zwischen Inszenierter Wirklichkeit und realem Traum : Rolle und Problematik des Erzählers in den phantastischen Prosawerken von Leo Perutz und Alexander Lernet-Holenia

Dionne-Michaud, Mélisa 04 1900 (has links)
Souvent laissée pour contre par les théoriciens, longtemps associée à la littérature populaire, la littérature fantastique a su depuis se tailler une place parmi les grands genres de la littérature. Depuis le milieu du XXe siècle, les chercheurs et le public découvrent ou redécouvrent un genre qui a toujours fait parti du paysage littéraire. Une œuvre majeure contribuera à la redécouverte scientifique du genre : Écrite en 1970 l’œuvre de Tzvetan Todorov Introduction à la littérature fantastique donne tant au néophyte qu’au chercheur un ouvrage qui trouve encore des échos aujourd’hui. Sa définition du fantastique, son approche du rôle du narrateur et du lecteur sont une référence, un point de départ et surtout un incontournable pour ceux et celles qui désirent comprendre et apprendre le fantastique. Dans ce mémoire, nous nous concentrerons particulièrement sur le rôle et la problématique du narrateur dans l’œuvre de deux représentants majeurs de la littérature fantastique de langue allemande du début du XXe siècle : Leo Perutz (1882-1957) et Alexander Lernet-Holenia (1897-1976). Le narrateur semble jouer un rôle prédominant dans la littérature fantastique. En effet, par son discours souvent présenté au « je », il semble créer une dynamique très particulière : il manipule son propre discours, il agit sur le lecteur en étant narrateur et personnage dans le récit, il crée une tension entre les différentes couches narratives par son état instable. Bref, il semble contribuer à l’apparition du fantastique dans le texte et également provoquer une certaine hésitation chez le lecteur. Le texte joue également un rôle : Leo Perutz produit un modèle de texte qui semble marquer aussi son collègue Alexander Lernet-Holenia. La structure presque mathématique des textes de Perutz rappelle que le fantastique peut jouer même à l’intérieur de paramètres rigides avec l’ordre et le chaos, les frontières entre le réel et le rêve. Nous étudierons des œuvres de Leo Perutz et d’Alexander Lernet-Holenia qui ont été publiées entre 1915 et 1937. Les théories qui serviront à appuyer mon travail sont tirées entre autre des études de Tzvetan Todorov et Uwe Durst sur la littérature fantastique et de Gérard Genette sur le narrateur. / Often neglected by theorists and long associated with popular literature, fantastic literature is increasingly considered as an important literary genre. Since the beginning of the 20th century, researchers and the public have discovered or rediscovered this form of literature which is omnipresent in the literary landscape. A major piece of work that led to the scientific rediscovery of the genre is Tzvetan Todorov’s Introduction à la littérature fantastique. Written in 1970, this piece still offers a present-day echo to the scientist as much as the neophyte. Its definition of fantastic and its approach to the reader’s role are a reference, a great starting point for scientific study and a must for anyone desiring to explore fantastic literature. In this thesis, we will mainly focus on the role and problematic of the narrative writer throughout the work of two major representatives Austrian authors of the early 20th century fantastic literature: Leo Perutz (1882-1957) and Alexander Lernet-Holenia (1897-1976). The narrative writer seems to be playing a key role in fantastic literature: By addressing the reader at the first person, the author creates a particular dynamics. He influences the reader by being the narrator at the same time as a character in the story. He also creates a tension throughout the different narrative layers with his fragile state. The writer contributes to the outbreak of fantastic within the text and causes a reader’s hesitation. Leo Perutz produces a text model that also marks his colleague Alexander Lernet-Holenia. The almost mathematical structure of Perutz’s writings reminds that fantastic literature can play with order and chaos as well as with the frontier between dream and reality. We will study pieces by Leo Perutz and Alexander Lernet-Holenia published between 1915 and 1937. The secondary literature sources that will serve to support my work are that of Tzvetan Todorov and Uwe Durst on fantastic literature and Gérard Genette on the narrator. / Sehr oft von den Theoretikern außer Acht gelassen und lange mit der Trivialliteratur verbunden, hat die phantastische Literatur heute ihren Platz innerhalb der großen literarischen Genres gefunden. Seit den fünfziger Jahre haben Forscher und Leser diese literarische Gattung entdeckt oder wiederentdeckt, die immer zur literarischen Landschaft gehört hat. Ein wichtiges Werk trägt zur wissenschaftlichen Wiederentdeckung des Genres bei: Die 1970 von Tzvetan Todorov veröffentlichte Introduction à la littérature fantastique bietet sowohl dem Anfänger als auch dem Forscher eine bis heute gültige Einführung. Seine Definition der literarischen Phantastik, der Rolle des Erzählers und des Lesers sind eine Referenz, ein Ausgangspunkt und ein Muss für diejenigen, die die phantastische Literatur verstehen oder mehr über diese lernen wollen. In dieser Diplomarbeit konzentrieren wir uns auf die Rolle und die Problematik des Erzählers in den Prosawerken von zwei wesentlichen Vertreter der deutschen phantastischen Literatur des Anfangs des 20. Jahrhunderts: Leo Perutz (1882-1957) und Alexander Lernet-Holenia (1897-1976). Der Erzähler scheint eine bedeutende Rolle in der phantastischen Literatur zu spielen. Der Erzähler erzeugt mit einem Ich-Diskurs eine spezielle Dynamik: Er manipuliert seinen eigenen Diskurs, weil er gleichzeitig Erzähler und Figur in der Handlung ist, er beeinflusst den Leser, sein instabiler Zustand bewirkt eine Spannung zwischen den verschiedenen narrativen Ebenen des Textes. Der Erzähler trägt also zur Entstehung des Phantastischen im Text bei und hinterlässt beim Leser Unschlüssigkeit. Der Text spielt ebenfalls eine Rolle: Dazu produziert Leo Perutz ein Textmodell, das auch Einfluss auf die schriftstellerische Arbeit von Alexander Lernet-Holenia hat. Die fast mathematische Struktur der „perutzschen“ Texte ermöglicht es dem phantastischen Text, innerhalb eines strengen Rahmens mit der Ordnung und dem Chaos und mit den Grenzen zwischen dem Realen und dem Traum zu spielen. Wir behandeln Prosawerke von Leo Perutz und Alexander Lernet-Holenia, die zwischen 1915 und 1937 veröffentlicht worden sind. Um unsere Argumentation zu stützen, wird Sekundärliteratur unter anderem von Tzvetan Todorov und Uwe Durst über die phantastische Literatur und von Gérard Genette über den Erzähler verwendet.
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Influence et usage de la mémoire dans la vision officielle française de l’Allemagne réunifiée (1989-1995)

Giroux, Geneviève 08 1900 (has links)
Ce mémoire part du constat que l’histoire et, a fortiori, la mémoire ont été largement sollicitées par le discours officiel français au moment et au lendemain de la réunification allemande. La fin définitive de l’après-guerre et le retour à la souveraineté diplomatique de l’Allemagne suscitent en France des questions qui inquiètent – en raison notamment du souvenir de l’histoire – et raniment la volonté d’encadrer la puissance allemande dans la communauté européenne. Pour comprendre le rôle que la mémoire a pu tenir dans la diplomatie française, l’étude tente d’analyser l’usage que les responsables français ont fait du passé en tant qu’instrument de la politique étrangère et le poids qu’il a représenté dans la vision française de l’unification allemande. Ce mémoire démontre que l’entendement du passé se conforme, sous toutes ses expressions, à la politique européenne de la France. Il atteste également que la France se saisit de ce moment charnière pour structurer un espace européen qui fait écho aux principes universalistes issus de la Révolution française, lesquels doivent être désormais portés par le binôme franco-allemand. L’invention de la tradition et l’usage métaphorique du passé répondent d’une préoccupation politique de réconciliation franco-allemande et accompagnent la mise en place d’un patriotisme historique sur lequel pourront s’établir les identités civique et juridique européennes. La mémoire officielle, qui est entièrement orientée vers la promotion et la justification de l’avenir communautaire, dénature certaines données historiques de manière à exorciser le présent d’un passé encombrant. Les limites de la mémoire officielle se trouvent donc dans cette représentation d’un passé aseptisé; un passé n’étant pas une finalité, mais un moyen déférant à l’intérêt national. / This dissertation analyzes references to history and, a fortiori, to memory in the official French discourse during and after German unification. Partly because of history, the definitive end of the post-war years and the return of German diplomatic sovereignty caused concern in France, and revived the resolve to contain German influence in the European community. In order to understand the role played by memory in French diplomacy, this dissertation assesses how French leaders used the past as an instrument of foreign policy, and to what extent it influenced the French vision of German unification. It shows that the understanding of the past complies, in all its expressions, with France’s European policy. Furthermore, it confirms that France seized this turning point to structure a European space appealing to the universalist principles stemming from the French Revolution, which, it was hoped, would henceforth be carried by the French-German couple. The invention of tradition and the metaphoric use of the past echo a concern to foster Franco-German reconciliation and are essential to the creation of an historical patriotism on which to build a common European civic and legal identity. Entirely oriented towards the promotion and justification of the European future, official memory distorts some historical facts in order to exorcise the present of a cumbersome past. Rather than an end in itself but a means deferring to the national interest, this representation of the past shows the limits of the official memory.
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La nation anglo-allemande de l'Université de Paris pendant la domination anglo-bourguignonne (1418-1436)

Drolet, Sébastien January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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