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Ethnographie d'un monumentBeauchêne, Stephanie. Laplantine, François January 2001 (has links)
Thèse de doctorat : Sociologie et sciences sociales : Lyon 2 : 2001. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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Der Frieden von Bukarest 1918 /Bornemann, Elke. January 1978 (has links)
Texte remanié de: Dissertation--Geschichte--Bonn, 1975. / Bibliogr. p. 235-242.
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Régénération urbaine et renouvellement des pratiques d'urbanisation en Roumanie le cas du Centre historique de Bucarest /Blum, Ileana Sandu, Alexandru. Zimmermann, Monique. January 2007 (has links)
Thèse doctorat : Géographie, Aménagement, Urbanisme : Villeurbanne, INSA : 2007. / Le vol. 2 contient les annexes. Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. p. 280-293.
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L'extension périurbaine de Bucarest depuis 1989Ticana, Nicoleta 15 February 2013 (has links) (PDF)
La périurbanisation en Roumanie est assez récente et mérite une étude approfondie. La chute du régime communiste en décembre 1989 amène une libération des énergies dans tous les domaines, notamment dans l'immobilier et les mobilités. Il s'agit d'un phénomène marquant à Bucarest et dans les localités, urbaines et rurales, qui l'entourent : la première, la deuxième voire la troisième couronne de communes. Les signes de la périurbanisation, qu'elle soit en " tache d'huile ", en " tentacules " ou en " mitage ", s'observent depuis une dizaine d'années d'abord au nord et à l'ouest de la capitale, les deux étant assez bien desservies en axes de communications. Mais ce phénomène se réalise d'une manière assez chaotique car on manque de stratégies et d'outils d'urbanisme fiables. Le manque de concertation entre les acteurs est une autre cause majeure du désordre urbanistique bucarestois. Les réseaux d'infrastructures, ainsi que les axes et les infrastructures de transport sont insuffisants. La construction immobilière se porte d'abord dans un but spéculatif. Cela fait que dans certains endroits les prix sont inaccessibles à une majorité de Roumains. Le nord est plutôt destiné à la construction résidentielle et aux espaces de bureaux, pendant que l'ouest est marqué par l'apparition des centres de logistique ou des espaces commerciaux. On peut supposer que l'existence de l'autoroute A1 vers Piteşti, à l'ouest de Bucarest, est la principale raison pour l'apparition de ces entreprises, tandis que pour le nord la présence des lacs et des forêts, ainsi que la proximité des Carpates, poussent les promoteurs à construire des logements et les Bucarestois à quitter la capitale pour s'y installer. L'est et le sud sont assez délaissés, mais le nouveau contexte économique fait que ces parties commencent à être exploitées grâce aux prix des terrains encore bon marché. Deviendront-ils attractifs pour ceux qui veulent s'éloigner ou au contraire se rapprocher de Bucarest ?
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Nationalisme roumain et monumentalité. Le centre civique comme affirmation de réussite nationale / Romanian nationalism and monumentality. The civic center as an assertion of national successIosa, Ioana 01 December 2009 (has links)
La volonté d’inscrire l’apologie monumentale que représente le Centre civique de Bucarest dans une histoire urbaine et sociale nous a poussé à analyser les raisons qui ont guidé sa mise en œuvre et, plus largement, à reconstruire le fil narratif de l’histoire bucarestoise à travers l’héritage bâti prestigieux de la ville. C’est ainsi que nous nous sommes intéressés aux rapports entre édification des bâtiments et espaces remarquables et (re)construction d’une identité nationale roumaine, depuis de la déclaration d’indépendance jusqu’à l’intégration européenne perçue comme reconnaissance suprême de l’État roumain. Ce travail analyse donc les techniques d’instrumentalisation de la production architecturale et urbaine dans la définition et la promotion de l’identité nationale. Il complète également le peu d’études scientifiques traitant du Centre civique, à la fois emblème et stigmate en raison des efforts exceptionnels octroyés pour sa construction. Enfin, il aborde la question de la réception d’un ensemble « idéologiquement chargé » et, plus largement, les divers emplois faits des héritages urbains par les régimes politiques qui se sont succédés à la tête de la Roumanie. / This paper aims to place the monumental apology represented by the Civic Center of Bucharest in its urban and socio-political context. Therefore we have analysed the reasons and decisions that led to the way it was conceived and set up, and in addition we have tried to rebuild the narrative of the history of Bucharest through the city’s prominent built heritage. For this reason we have looked into the relations between the fact of erecting buildings and remarkable spaces and the (re)construction of a Romanian national identity, beginning with the Declaration of independence and ending with the European integration, the latter standing for the supreme legitimacy granted to the Romanian State. Therefore this research engages into the analysis of the mechanisms involved in using architectural and urban productions as instruments for defining and promoting national identity. In addition it fills a gap of almost non-existent scientific work dealing with the Civic Center, which is, due to the exceptional efforts engaged in its construction, in the same time Bucharest’s emblem and scar. Finally, it deals with the question of the reception of “ideologically charged” buildings, and more generally, with the fate of urban heritage inherited from totalitarian regimes.
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