Spelling suggestions: "subject:"cachexia""
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Cancer cachexiaSimons, Jean Paul François Henri Auguste. January 1997 (has links)
Proefschrift Universiteit Maastricht. / Met bibliogr., lit. opg. - Met samenvatting in het Nederlands.
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Métabolisme énergétique au cours de la cachexie cancéreuseJohnson, Gyasi Ritz, Patrick. January 2007 (has links)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Biologie cellulaire et moléculaire : Angers : 2007. / Titre provenant de l'écran titre. Bibliogr. f. 128-168.
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Energy metabolism in cancer patientsFredrix, Elisabeth Wilhelmina Hubertina Maria. January 1990 (has links)
Proefschrift Maastricht. / Met lit. opg. - Met samenvatting in het Nederlands.
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Nutritional inflammatory modulation of pulmonary cachexiaBroekhuizen, Roelinka. January 1900 (has links)
Proefschrift Universiteit Maastricht. / Met bibliogr., lit. opg. - Met samenvatting in het Nederlands.
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La Cachexie dans la vieillesse en hôpital gériatrique : à propos d'une étude comparative, 100 cachectiques âgés, 100 obèses âgés.Hémard, Michel, January 1980 (has links)
Th.--Méd.--Saint-Étienne, 1980. N°: 26.
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Anorexia and cachexia in cancer a study with special emphasis on central tryptophan and serotonin metabolism /Meyenfeldt, Maarten Frederik von. January 1900 (has links)
Proefschrift Maastricht. / Samenvatting in het Nederlands. Lit. opg.; samenv. i.h. Nederlands.
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Studies on tumor necrosis factor endogenous mediators of sepsis and cachexia /Debets, Jacobus Maria Hubert. January 1989 (has links)
Proefschrift Maastricht. / Met lit. opg. - Met samenvatting in het Nederlands.
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Individualisation de la surveillance ambulatoire après chimiothérapie par docétaxel en fonction du risque de toxicitéMontheil, Vincent. Alexandre, Jérôme January 2005 (has links) (PDF)
Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Paris 12 : 2005. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. f. 60-67.
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Etude de la masse musculaire, de l’état nutritionnel et de la cachexie du patient âgé cancéreuxDe Breucker, Sandra 16 June 2021 (has links) (PDF)
Les personnes âgées atteintes d’un cancer, quel qu’il soit, expérimentent fréquemment une perte non intentionnelle de poids corporel, qui se caractérise par une perte de masse musculaire, et parfois de masse adipeuse. Outre la sarcopénie primaire, qui est définie par une perte de masse musculaire liée au vieillissement physiologique, les patients âgés cancéreux souffrent également fréquemment de dénutrition protéino-calorique, d’anorexie et de cachexie, induites par leur fragilité gériatrique, la tumeur en elle-même, mais aussi les traitements anti-cancéreux, et qui vont aggraver cette atrophie musculaire. La sarcopénie fait l’objet d’un intérêt croissant au cours des dernières années, et notamment dans le cancer. Les concepts de sarcopénie, de dénutrition, et de cachexie ont fait l’objet de définitions de consensus, qui partagent des caractéristiques cliniques communes, ce qui ne permet pas de les distinguer l’un de l’autre et ainsi d’obtenir une approche thérapeutique ciblée. Or, il est à présent bien démontré que la sarcopénie augmente significativement le risque de complications post-opératoires, la toxicité à la chimiothérapie, et péjore la survie.Notre objectif primaire était de mettre en évidence par une analyse exploratoire les caractéristiques, cliniques ou biologiques, qui permettraient de différencier sarcopénie, dénutrition et cachexie cancéreuse chez des patients âgés. Nous avons également étudié comme objectifs secondaires les facteurs prédictifs de la mortalité, et l’évolution de la définition de la sarcopénie au cours d’un an de suivi.Nous avons exploré les caractéristiques musculaires, nutritionnelles et biologiques (hormonaux et inflammatoires) de 99 patients âgés de 70 ans et plus, présentant un cancer solide, avant l’initiation d’un traitement, dans deux centres universitaires, l’hôpital Erasme et à l’UZ Brussel. Quoique la masse musculaire médiane était normale, 10% étaient dénutris, 34% présentaient une cachexie, et 68% un stade avancé (III ou IV selon l’EORTC). Les patients dénutris présentaient plus de caractéristiques gériatriques (p<0.001), moins de masse et de force musculaire (p<0.005), et plus d’inflammation (p<0.05). Les patients cachectiques (selon la définition de Fearon) par contre, n’étaient pas différents des autres. Dans un modèle de régression multiple, les adipokines augmentaient entre autres significativement avec l’âge (adiponectine, p=0.008), l’index de masse corporelle (leptine, p<0.001) et la ghréline était, entre autres, inversement associée à la masse musculaire (p=0.007). La mortalité des patients était surtout expliquée par le taux d’IL-6, marqueur inflammatoire du vieillissement, et de la croissance tumorale (HR 1.04, CI95% 1.02-1.06, p<0.001).Vu le caractère transversal de cette première étude, et la grande diversité de cancers solides inclus, le travail s’est poursuivi par une étude prospective d’un an à l’hôpital Erasme, incluant 50 patients de 65 ans et plus et présentant un cancer gastro-intestinal. L’objectif était de suivre l’évolution de la sarcopénie (la masse musculaire a été analysée par mesure de l’aire musculaire squelettique en L3 au CT scanner abdominal) évaluée selon les critères de 2018 de l’European Working Group on Sarcopenia of Older People) ,de l’état nutritionnel, et de la cachexie. Nous avons observé que 42% présentaient une sarcopénie probable, et 8% une sarcopénie sévère. Les patients étaient à risque de dénutrition, 60% présentaient des stades avancés et 32% étaient cachectiques. En un an, les 35 patients ayant survécu ont présenté une prévalence croissante de sarcopénie et de sarcopénie sévère, de 11% et 17% respectivement (p<0.001), qui se caractérisaient principalement par une perte de force musculaire dans les 6 premiers mois et de masse musculaire dans les 6 mois suivants. L’état nutritionnel est resté stable, et la cachexie n’a pas augmenté significativement. Les seuls facteurs indépendamment associés à la mortalité à un an étaient le stade avancé du cancer (HR 6.5 (CI95% 2.12-20.13) et la qualité de vie évaluée par le score SarQol (HR 0.95 (CI95% 0.92-0.98), p=0.004).Sur base de ces observations, nous souhaitons poursuivre nos recherches par la mise en œuvre d’une évaluation systématique de la masse musculaire en routine clinique, en collaboration avec gériatres, oncologues et radiologues. Ceci pourrait être réalisé pour de nombreux cancers, sans devoir recourir à des examens supplémentaires à ceux réalisés en routine clinique. Le suivi de la masse musculaire, de la force musculaire, des performances physiques, et de la qualité de vie, permettrait d’étudier de nouveaux protocoles de traitements anti-cancéreux qui tiendraient compte de la sarcopénie. De même, le suivi des « survivants » du cancer revêt toute son importance, et devrait aussi faire l’objet d’un suivi musculaire, fonctionnel et nutritionnel. / Doctorat en Sciences médicales (Médecine) / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Composition corporelle et atteinte musculaire chez les patients atteint d'un cancer du poumon : mécanismes, impacts fonctionnels et réversibilitéCoats, Valérie 07 March 2019 (has links)
Avec 1,6 million de nouveaux cas diagnostiqués chaque année et 1,3 million de décès, le cancer du poumon est un problème de santé important se classant au premier rang mondial des cancers en ce qui a trait à la mortalité. Conséquence de la maladie elle-même ou de son traitement, l’atteinte musculaire fait souvent partie du tableau clinique habituel des patients atteints d’un cancer et peut se produire précocement dans le continuum de la maladie. Par ailleurs, celle-ci peut avoir des répercussions sur la capacité fonctionnelle, la qualité de vie et la survie des patients. Cependant, malgré son importance clinique, l’atteinte musculaire et les mécanismes sous-jacents de même que sa relation avec la capacité fonctionnelle au moment du diagnostic demeurent relativement peu documentés dans le cancer du poumon. Par conséquent, je me suis globalement intéressée dans cette thèse à étudier la composition corporelle, la fonction musculaire et la capacité fonctionnelle des patients atteints de cancer pulmonaire. De façon plus spécifique, j’ai voulu déterminer s’il y avait une atteinte de la composition corporelle et musculaire au moment du diagnostic chez les patients atteints de cancer du poumon et évaluer l’impact de cette atteinte sur la capacité fonctionnelle et la survie des patients. Ensuite, j’ai voulu aborder la problématique de l’atteinte musculaire des patients atteints de cancer du poumon en adoptant un point de vue plus fonctionnel et mécanistique en étudiant les voies de signalisation impliquées dans l’équilibre musculaire de ces patients au moment de leur diagnostic. En dernier lieu, je me suis intéressée au potentiel de réversibilité de l’atteinte musculaire en réponse à un programme de réadaptation dans le cadre d’un essai pilote de faisabilité de la téléréadaptation. L’ensemble des travaux effectués dans le cadre de cette thèse ont permis, dans un premier temps, de mettre en lumière qu’au moment du diagnostic, une atteinte musculaire était déjà présente chez une majorité de patients souffrant de cancer du poumon. Par ailleurs, nous avons aussi établi que cette dernière se traduisait de façon longitudinale par une diminution de la survie des patients. Toutefois, il semblerait, qu’en dépit des altérations morphologiques présentent dans le muscle, la fonction contractile du muscle en tant que tel soit préservée au moment du diagnostic offrant ainsi une fenêtre d’opportunité pour adopter des mesures visant à maintenir ou améliorer la fonction musculaire. À ce propos, nous avons aussi pu établir que la réadaptation était une modalité thérapeutique faisable, sécuritaire et qui semble efficace pour maintenir la fonction musculaire chez les patients atteints de cancer du poumon. Considérant le lien entre l’atteinte musculaire et les enjeux cliniques importants tels que la mortalité et la toxicité associée aux traitements antinéoplasiques, l'évaluation précoce de la composition corporelle et musculaire de même que des caractéristiques de la fonction musculaire peut permettre un dépistage plus efficace et une meilleure prise en charge des patients atteints de cancer du poumon. / With 1.6 million new cases diagnosed each year and 1.3 million deaths, lung cancer is a major health problem, ranking among the world's leading cancers in terms of mortality. As a consequence of the disease itself or its treatment, muscle impairment is often part of the usual clinical picture of cancer patients and may occur early in the disease continuum. In addition, it may have a significant clinical impact on muscle function, functional capacity, and decreased quality of life for patients. However, despite its clinical importance, muscle impairment and its underlying mechanisms as well as its relationship to muscle function remain relatively poorly documented in lung cancer particularly at diagnosis time. Therefore, my interest in this thesis was to study muscle impairment, body composition, muscle function and functional capacity of patients with lung cancer. More specifically, I wanted to determine whether there was an impairment of body and muscle composition at the time of diagnosis in patients with lung cancer and assess the impact of this impairment on patients’ functional capacity as well as survival. Then, I wanted to address the issue of muscle impairment in lung cancer patients by adopting a more functional and mechanistic point of view by studying the signaling pathways involved in the muscle balance of these patients at the time of their diagnostic. Finally, I have been interested in the reversibility potential of body and muscle composition impairment in response to a rehabilitation program carried out as a pilot study on telerehabilitation. First, our results highlighted that at the time of diagnosis, a muscle impairment was already present in a majority of patients suffering from lung cancer. In addition, we also established that the latter was manifested by a decrease in participation in physical activities and was reflected longitudinally by a decrease in patient survival. However, it would appear that, despite the morphological changes in the muscle, the contractile function of the muscle itself is preserved at the time of diagnosis providing a window of opportunity for adopting countermeasures to maintain or improve muscle function. In this regard, we have also been able to establish that rehabilitation is a feasible, safe and effective therapeutic modality for maintaining muscle function in patients with lung cancer. Considering the link between muscle wasting and important clinical issues such as mortality and chemotherapy related toxicity, early assessment of body and muscle composition as well as features of muscle function may allow more effective screening and better management of patients with lung cancer
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