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L'éducation de la foi des adultes dans une société socialiste : l'exemple de CubaPulido, Maria Cristina 30 August 2021 (has links)
En 1959, dans une île des Caraïbes appelée Cuba, un groupe de rebelles prenait le pouvoir. Depuis lors, on entend parler de la Révolution cubaine et inévitablement de son chef Fidel Castro. Louée par les uns, critiquée par d'autres, cette Révolution a déclenché un processus de transformation dans la société cubaine qui deviendra rapidement socialiste. L'Église du pays a vécu ces événements. Les bouleversements qui en ont résulté ont induit des changements dans les pratiques ecclésiales et plus précisément dans l'éducation de la foi des adultes. Comment a-t-on pu mettre en forme l'éducation de la foi des adultes? Quelles voies a prises l'éducation de la foi des adultes à partir de la Révolution? Quel est l'enjeu de l'éducation de la foi des adultes dans une société socialiste à caractère marxiste-léniniste? Voilà les questions de départ de notre recherche, questions auxquelles nous tenterons de répondre avec cette étude. Pour le faire, nous utiliserons les méthodes historique et théologique. Elles nous permettront, d'abord, de reconstruire l'évolution de la société cubaine au cours de la Révolution et parallèlement, d'examiner l'évolution de la vie ecclésiale cubaine et de l'éducation de la foi des adultes au cours de cette période. Puis, nous tenterons de dégager les conceptions de la Révélation, de la foi et de l'Église qui sont présentes dans les projets en éducation de la foi des adultes au cours de la période révolutionnaire 1959–1986.
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Lenguaje y Revolución en el discurso revolucionario de Delito por bailar el chachachá de Guillermo Cabrera InfanteCormier, Nicolas 19 April 2018 (has links)
Ce mémoire examine la concordance présente entre le langage et le discours révolutionnaire cubain dans Coupable d’avoir dansé le cha-cha-cha (1995) de Guillermo Cabrera Infante (1929-2005). L’examen du récit a été entrepris depuis une perspective qui approfondit ce que certaines études appellent « la parole ennemie » : cette parole qui questionne ce qui apparaît comme « réel » afin de montrer ce qui est caché. L’objectif principal de cette recherche consiste à établir une corrélation entre le dynamisme qui caractérise le langage du roman et celui qui correspond à la rhétorique révolutionnaire à partir de trois segments qui ont pour titres, « Une journée vers la déception », « Rupture et continuité du langage » et « Mémoire et antimémoire ». Ce schéma, qui comprend un trajet triple — utopique, linguistique et historique —, permet d’arriver à édifier une relation intime entre le langage de l’œuvre et celui du parcours révolutionnaire cubain. / Esta investigación examina la concordancia entre lenguaje y el discurso revolucionario cubano en Delito por bailar el chachachá (1995) de Guillermo Cabrera Infante (1929-2005). El análisis del texto se inició desde una perspectiva que profundiza lo que ciertos estudiosos llaman la “palabra enemiga”: esa palabra que busca cuestionar lo que pasa por “realidad” para desocultar lo ocultado. El objeto principal de este trabajo consiste en establecer una correlación entre el dinamismo que caracteriza el lenguaje de la novela y el que corresponde a la retórica revolucionaria a partir de tres segmentos que se titulan, “Una jornada hacia la decepción”, “Ruptura y continuidad en el lenguaje” y “Memoria y desmemoria”. Este esquema, que emprende un triple recorrido — utópico, lingüístico e histórico —, permite llegar a edificar una relación íntima entre el lenguaje de la obra y la jornada revolucionaria cubana.
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Conserver l'influence acquise : les États-Unis face à des dictatures amies en périlBéliveau-Beaulac, Victor Amadeus 25 October 2018 (has links)
La Maison-Blanche a toujours entretenu des relations diplomatiques privilégiées avec des dictateurs. Si l’avènement de ces amitiés est un truisme en vertu des avantages mutuels qu’elles confèrent aux deux parties en présence, lorsqu’une insurrection secoue un dictateur ami à l’interne, la décision de la Maison-Blanche d’opérer une rupture ou d’opter pour le prolongement de cette relation l’est beaucoup moins. De la Guerre froide au Printemps arabe, la Maison-Blanche a – à plusieurs reprises – tantôt continué d’appuyer des dictateurs amis en péril, tantôt choisi d’en abandonner d’autres, pourtant confrontés à des circonstances analogues. Comment expliquer cette dichotomie décisionnelle dans la politique étrangère de la Maison-Blanche dans ce type de crise? Notre recherche avance qu’il y a un calcul lié à la recherche constante de la conservation maximale de l’influence acquise (CMIA) permettant de décrypter cette apparente contradiction. Pour tester la validité théorique de cette hypothèse, nous l’appliquons à un échantillon de six cas empiriques à savoir : Batista à La Havane en 1959, Pahlavi à Téhéran en 1979, Mobutu à Kinshasa en 1990-1991, Suharto à Jakarta en 1998, Aliyev à Bakou en 2005 et enfin Moubarak au Caire en 2011.
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