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Le traducteur en tant que médiateur culturel - L'exemple de Rifâ'a Al-Tahtâwî (1801-1873) / The Traslator as Cultural Mediator - The example of Rifâ'a At-Tahtâwî (1801-1873)

Azab, Lamiss 15 January 2015 (has links)
Malgré l’ancrage de la médiation et de la médiation culturelle en traductologie surtout depuis le Tournant Culturel, il manque encore à ces notions une définition traductologique arrêtée. Partant des apports provenant de différents domaines – notamment la communication culturelle – et prenant appui sur une théorie causale de la traduction, nous proposons une réflexion en trois temps sur le traducteur comme médiateur culturel et sur ses interventions délibérées, dans une approche identitaire, textuelle et fonctionnaliste. Nous sondons la particularité de la construction identitaire du traducteur, acteur marqué par sa formation linguistique et par ses normes socioculturelles d’origine, mais très empathique envers l’Autre et son système normatif. Dans ce premier volet, les stratégies traductives sont étudiées en miroir des stratégies identitaires déployées par le traducteur pour préserver cohérence et valorisation de sa construction identitaire. Ensuite, nous considérons le texte et le type de texte à traduire comme des créations culturelles que le traducteur re-présente à sa communauté, en lui rendant la différence abordable aux niveaux formel, lexical et discursif. Pour ce faire, il déploie une panoplie de stratégies traductives variant de la norme rédactionnelle la plus conformisante à la plus différenciatrice. Dans ce deuxième volet, la préface du traducteur est étudiée comme un lieu de médiation directe, pour informer et recommander la lecture. Enfin, nous analysons deux finalités traductives par lesquelles le traducteur agit sur l’identité culturelle de sa communauté par le biais de sa re-présentation : la formation intellectuelle et la déconstruction/re-construction identitaire. Que ce soit à travers de simples textes ou des institutions à caractère éducatif, l’objectif premier du traducteur est d’informer le lecteur et, par cette information, il agit sur la re-définition de fondements essentiels de sa construction identitaire. / Though mediation and cultural mediation seem to be enrooted in Translation Studies especially since the Cultural Turn, a specialized definition of these notions is still missing. Based on their definitions in other different domains – especially cultural communication – and on a causal theory of translation, we present a three-fold thesis on the translator as a cultural mediator and on his deliberate interventions. The three axes we develop here are based on identity, textual and functionalist approaches. First, we analyze the specificity of the identity of the translator seen as a construction that is not only marked by the linguistic formation and the sociocultural norms of his original community, but also by the actor’s empathy towards the Other and his system of norms. In this first fold, translation strategies are studied as mirrors of identity strategies the translator follows in order to keep the coherence and the valorization of his identity construction. Then, the texts and types of texts are considered as cultural creations that the translator re-presents to his community through making cultural differences understandable on the formal, lexical and discourse levels. To do so, he uses different writing norms from the most conforming to the most differentiating one. In this second fold, the translator’s preface is seen as a privileged place for a direct mediation, in which he already informs his reader about the translation he’s about to read and recommends the reading. Finally, we study two translation functions through which the translator acts on the cultural identity of his community based on his re-presentation of the text: the intellectual formation of the reader and the de-construction/ re-construction of his identity. By the means of a simple text or of an educational institution, the translator’s first aim is to inform the reader, and through this information, he acts on the re-definition of essential foundations of his identity construction.
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L'Etat culturel et le droit : approche juridique des interventions culturelles de l'Etat en France / Cultural state and law : legal approach of cultural actions of the state in France

Voizard, Karl-Henri 21 October 2011 (has links)
La présente thèse fait l’hypothèse que l’analyse juridique doit permettre de dégager le sens des interventions culturelles de l’État. Par-delà l’extrême diversité des objets dont elles se saisissent, les règles qui composent le droit de l’action culturelle des pouvoirs publics présentent en effet des caractéristiques communes. Leur examen montre que les principes auxquels elles obéissent dessinent les contours d’une figure:celle de l’État culturel. La démonstration s’articule en deux temps. Il est d’abord montré par quels moyens juridiques les dispositifs classiques des interventions culturelles de l’État sont orientés pour renforcer la cohésion nationale : l’État produit des institutions dans le but de mettre les individus en contact avec la culture et de fédérer autour de celle-ci ; il protège dans le même temps les biens et agents indispensables à l’inscription de ces institutions dans la durée. Il est ensuite montré que les réformes de l’État et les modifications du droit applicable dans le secteur culturel n’ont pas vraiment fait plier la logique initiale : les formes juridiques de l’action sont certes plus nuancées, mais elles transforment l’État culturel plus qu’elles ne le remettent en cause. / This thesis assumes that legal analysis should enlighten the global meaning of cultural actions of the State. Beyond the wide variety of objects concerned, rules composing law oncultural activities of public authorities show common features. Their review shows that principles they follow draw the outlines of a figure: the one of the cultural State. The demonstration is organized in two phases. It is first shown what legal mechanisms are concerned when conventional means of cultural interventions of the State are focused tostrengthen national cohesion: the State produces institutions in order to link people withculture and unite around it. In the same time, it protects the property and agents necessaryto assure these institutions in the long term. It is then shown that the State reforms and cultural law changes did not really bend the initial logic: the legal forms of action are certainly more nuanced, but they change the State culture more than they challenge it.
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Propositions pour un paradigme culturel de la phono-cinématographie: des phono-scènes aux vidéoclips et au-delà

Gille, Quentin 26 May 2014 (has links)
La proposition centrale de cette thèse est double. D’une part, il s’agit de jeter les bases d’un modèle historique qui réunirait tous les dispositifs audiovisuels qui associent des images animées à une chanson populaire qui leur est préexistante sous un même paradigme culturel que nous baptiserons « phono-cinématographie ». Celui-ci aurait débuté vers la fin du XIXe siècle, avec l’invention du kinétoscope d’Edison, pour aboutir à nos jours avec l’émergence des vidéos musicales interactives sur Internet. D’autre part, il s’agit de nous interroger sur le rôle a priori central que les Beatles occupent au sein de cette histoire de la chanson populaire mise en image. Notre hypothèse principale est que le vidéoclip, tel qu’il s’est institutionnalisé au début des années 1980 pour ensuite se perpétuer jusque dans les années 2000, n’a rien d’une pratique culturelle (voir même d’un média) figé(e) :bien au contraire, cette pratique/ce média a été l’objet de réélaborations continues tant sur le plan de la production, de la diffusion que de la fonction.<p>Notre approche se situe à cheval sur l’histoire du cinéma, de la musique populaire et de la télévision. En nous appuyant sur certaines propositions théoriques et certains concepts formulés dans le champ des études cinématographiques ainsi que dans le champ des performance studies, nous serons particulièrement attentif aux questions de représentation qui se déploient dans ces différents dispositifs phono-cinématographiques :à savoir, les premiers films chantants (les phono-scènes Gaumont et les Vitaphone shorts), les juke-boxes équipés d’un écran (les Soundies et les Scopitones) et enfin les vidéos musicales télévisées (les films promotionnels et les vidéoclips). / Doctorat en Information et communication / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le cinéma italien en France : histoire, société et diffusion : étudiées à travers les œuvres de Emanuele Crialese, Matteo Garrone et Paolo Sorrentino / Italian cinema in France : history, society and the impact of its dissemination : studied through Emanuele Crialese's, Matteo Garrone's and Paolo Sorrentino's movies / Il cinema italiano in Francia : storia, società e impatto della sua diffusione : analizzate attraverso le opere di Emanuele Crialese, Matteo Garrone e Paolo Sorrentino

Cavaleri, Giuseppe 21 October 2017 (has links)
Nous pouvons appréhender le Cinéma comme un vecteur culturel capable de cristalliser les us et coutumes d’une société, ou comme un outil susceptible d’en manifester les aspirations. L’industrie cinématographique italienne demeure parmi celles qui ont su imposer dans l'imaginaire des publics des œuvres venues aussitôt enrichir le patrimoine culturel mondial. De nos jours, sa présence internationale est plus modérée, et le rayonnement de ses œuvres ne dépasse que rarement les limites nationales. Les quelques auteurs tels que Emanuele Crialese, Matteo Garrone et Paolo Sorrentino ont su gagner une visibilité désormais incontestable, leur permettant de devenir le symbole d’un cinéma italien contemporain renaissant. Les contenus de leurs filmographies sont le résultat de formes cinématographiques tout aussi riches que variées, et leur influence semble capable de modifier et de mettre à jour l’imaginaire des passionnés de culture italienne. Nos travaux veulent étudier et comprendre l’impact de leurs œuvres au sein d’un pays comme la France. À travers une étude qui se veut historique, sociologique et économique, nous analysons la représentation du réel dans l’histoire du cinéma transalpin, un idéal intellectuel qui semble intéresser particulièrement les publics français. Puis nous nous consacrons aux contenus de nos trois filmographies de référence, pour en extrapoler les données socio-politico-économiques. L’étude de l’impact de ces œuvres sur les critiques cinématographiques français conclut ces travaux, qui se penchent également sur la distribution et l’exploitation de ce cinéma, présent non seulement dans les salles de l'Hexagone, mais diffusé parallèlement au sein de nombreux festivals. / One may approach cinema as a cultural vector which can either give shape to the habits and customs of a given society or reflect its yearnings. The Italian film industry is one among those which have produced movies which entered the global cultural imaginary. Nowadays, its international presence has been reshaped and Italian films do not easily shine beyond the national frame. Artists such as Emanuele Crialese, Matteo Garrone or Paolo Sorrentino have managed to achieve an undeniable visibility, and have become the symbol of a reborn contemporary Italian cinema. The content of their filmographies are the result of film shapes that are as rich as they are diverse, and their influence seems able to alter and to update the imaginary of italian culture connoisseurs. The purpose of our work is to study and understand the impact of their masterpieces on the French audience. Through a historical, sociological and economical study, we will analyse the representation of reality in the history of Italian cinema : an intellectual ideal which seems to have been of interest especially to the French spectators. Then we will focus on the content of these three specific directors’ lifework in order to examine social, political and economical data. Finally, we will conclude by observing the impact these films have had on French experts such as film critics. This study also deals with the distribution and the running of these specific directors’ films not only in the cinemas but also when aired in various film festivals. / È possibile concepire il Cinema come un vettore culturale capace di materializzare gli usi e i costumi di una società, o suscettibile di manifestarne le aspirazioni. L'industria cinematografica italiana dimora tra quelle che hanno saputo imporre delle opere entrate istantaneamente nell'immaginario collettivo, e ciò su scala mondiale. Oggi, la sua presenza a livello internazionale è stata ridimensionata e la diffusione delle sue opere oltrepassa raramente i confini nazionali. I rari autori del calibro di Emanuele Crialese, Matteo Garrone e Paolo Sorrentino hanno saputo acquisire una visibilità oramai indiscussa, permettendo loro di diventare il simbolo d'un cinema italiano contemporaneo rinascente. I contenuti delle loro filmografie sono il risultato di forme cinematografiche tanto ricche quanto varie, e la loro influenza sembra capace di modificare e aggiornare l'immaginario degli appassionati di cultura italiana. Queste ricerche vogliono analizzare e comprendere l'impatto delle loro opere in un paese come la Francia. Attraverso degli studi storici, sociologici ed economici, queste ricerche analizzano le forme rappresentative legate al reale presenti nella storia del cinema italiano, un ideale intellettuale che sembra interessare in particolar modo i pubblici francesi. Inoltre, esse si consacrano all'estrapolazione dei dati socio-politico-economici contenuti nelle tre filmografie a cui facciamo riferimento. L'analisi dell'impatto di queste opere sui critici cinematografici francesi scelti come pubblici, concludono queste ricerche che si dedicano in egual modo alla distribuzione e alla commercializzazione di queste opere, presenti non solo in sala, ma diffuse inoltre in molti festival.
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Les intellectuels et la recomposition de l'espace public roumain après 1989. Le cas du Groupe pour le Dialogue Social. / Intellectuals and the reshuffled public space in Romania after 1989. The case of the Group for Social Dialogue

Runceanu, Camelia 21 December 2018 (has links)
Le but de cette recherche est de rendre compte de quelques dominantes de l’espace intellectuel roumain lors du passage du socialisme d’État à la démocratie représentative et des effets dans différentes sphères d’activité intellectuelle dus aux changements dans l’ordre social tenant de l’installation des du marché et de la disparition progressive d’une économie régie par l’État. Le terrain de la recherche est constitué par un groupement d'intellectuels mis en place les derniers jours de décembre 1989, au moment même des transformations politiques déclenchées par la chute du régime communiste en Roumaine. Le Groupe pour le Dialogue Social (GDS) fut le premier et resta le plus influent et stable groupement de la période postcommuniste ayant dans sa composition des auteurs ayant acquis leur reconnaissance sous le communisme, ainsi que de jeunes scientifiques formés également avant 1989. L’une des raisons de cette réussite consiste dans l’autorité culturelle accumulée par sa publication, l’hebdomadaire 22, qui se distingua parmi les publications intellectuelles et contribua de façon paradigmatique à la redéfinition de cet espace marqué après 1989 par l’intérêt accru pour des questions politiques et le monde politique. La nouveauté et la singularité du Groupe consistèrent en la durabilité du cumul des notoriétés : prestige obtenu par la majorité des membres comme auteurs de la période communiste, notoriété acquise par d'autres en tant que dissidents, mais aussi reconnaissance gagnée par certains autres à partir de 1990. Ces types de notoriété mis ensemble se sont manifestés par des engagements, collectifs et individuels, dont les formes furent multiples et diverses, consécutives et simultanées : textes publiés dans l'hebdomadaire du Groupe, interventions à l’occasion des rencontres avec des politiques, lettres ouvertes, expertise fournie aux organisations civiques ou à des structures politiques, articles publiés dans la presse spécialisée, essais et études politiques, participation à des associations civiques, enrôlement dans des partis politiques. La notoriété obtenue par bon nombre d’intellectuels du GDS, la durabilité du Groupe, sa tribune, 22, des investissements successifs dans la politique, du Groupe mais aussi individuellement, donnent du pouvoir à ses (re)présentations lorsque l’espace politique se structure autour du refus du communisme, l’« anticommunisme », et des anciens « communistes », membres de la nomenklatura surtout. Le GDS inclut des représentants des professions littéraires qui ont acquis leur reconnaissance et sont même devenus des figures notoires avant 1989, mais le GDS n’hésitera pas à intégrer aussi bien des journalistes que des juristes qui n’ont pas acquis leur reconnaissance comme auteurs, ne sont ni artistes ni scientifiques. L’hétérogénéité qui le caractérise, à travers une analyse de leurs trajectoires sociales et professionnelles et de leurs liens avec d’autres intellectuels et des politiques, permet d’esquisser des idées sur la situation et la place des intellectuels dans l’espace social pendant la période communiste mais surtout après 1989, et non seulement de ceux qui sont des membres de ce groupement. Ce travail traite des pratiques proprement intellectuelles, mais surtout discursives, dans une analyse des textes à visée scientifiques et des textes journalistiques, regardant du côté des modes et des moyens d’occuper l’espace public formé par ces discours et ceux qu’ils suscitaient. Empruntant une approche socio-historique et s’inscrivant dans une approche relationnelle, ce travail porte sur les diverses formes que prend la politisation au sein des champs spécifiques – militantisme, entrée en politique, mobilisation politique et démobilisation des intellectuels – et sur les professions intellectuelles à l’aube et à l’épreuve de la démocratie et au service du processus de démocratisation. / The purpose of this research is to account for some of the dominant features of the Romanian intellectual space in connection with the regime change that followed the collapse of state socialism. Transition to pluralism and representative democracy effected in different on the spheres of intellectual life, which echoed the transfiguration of the social order from a centralized and planned economy to new economic relations governed by the market. This research is focused on a group of intellectuals set up during the last days of December 1989 at the time of the political transformations triggered by the fall of the communist regime in Romania, and which avowed goal was to make sense of this dramatic change.The Group for Social Dialogue (GDS) has been the first such association to be established and remains the most influential and stable group of its kind. The group typically includes authors that acquired public recognition under the communist regime as well as young scientists that completed their academic and intellectual training in the last decade of state socialism. One of the reasons for their success was the cultural authority capitalized by the group’s weekly publication, 22, widely regarded as the most prominent intellectual outlets of post-communism. The regular contributors to the journal were instrumental in redefining a public space marked after 1989 by an increased interest for the political issues and politics. The distinctiveness and the sustainability of this venture were the cumulative result of the personal prestige abs cultural authority enjoyed by most of the members of the group either as well published and widely read authors of the communist period, or as former dissidents. This prestige and authority was gradually on other members, whose public career started after 1990. These types of notoriety, joined together, took many different forms of engagement, collective and individual, consecutive and simultaneous: texts published in the journal of the Group, public statements during various meetings with politicians, open letters, expertise provided to civic organizations or political structures, papers published in the specialised press, political essays and studies, participation in civic associations, political party enrolment. The personal notoriety gained by a considerable number of intellectuals of the GDS, the resilience of the Group, the circulation of its journal 22, sequential investments in politics, of the Group itself but also individually, conferred a significant amount of clout to its (re)presentations of politics at a time when the political realm was structured around the rejection of communism (the post-communist “anti-communism”), as opposed to the electoral and social influence exercised by former “communists”, especially by those members of the nomenklatura who succeeded to set the tone of post-communist politics. The Group included representatives of literary professions who achieved the recognition and have even become famous before 1989, but the GDS does not hesitate to integrate also journalists and lawyers who did not reach recognition as authors, artists or scientists. The research was by and large devoted to isolate and examine intellectual practices, especially discursive practices, in the analysis of scientific and journalistic texts, looking at ways and means deployed by intellectuals in order to occupy the public space. In a socio-historical approach and in a vision inspired nu the sociology of relations, this research was concerned with various forms taken by the politicisation within specific fields – militancy, entrance into politics, political mobilisation and demobilisation of the intellectuals –, and intellectual professions at the dawn of the democratic regime.
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At the Intersection of Tangible and Intangible : Constructing a Framework for the Protection of Indigenous Sacred Sites in the Pursuit of Natural Resource Development Projects

Steyn, Elizabeth A. 09 1900 (has links)
No description available.
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Extreme metal : subculture, genre, and structure

Pelletier, Samaël 04 1900 (has links)
No description available.
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Un effet de composition? : le rôle de la composition culturelle et économique des écoles secondaires fréquentées à 15 ans sur la faible diplomation à 25 ans

Gingras, Guillaume 08 1900 (has links)
L’objectif de ce mémoire est d’analyser le rôle de la composition culturelle et économique des écoles secondaires fréquentées à 15 ans sur l’échec scolaire à 25 ans. À partir des données de Statistique Canada (Enquête sur les jeunes en Transition), nous proposons une analyse originale portant sur l’inégalité des chances en matière de réussite scolaire ou plutôt de l’échec scolaire au secondaire à 25 ans. Théoriquement, nous mobilisons le cadre d’analyse théorique de la reproduction sociale de Pierre Bourdieu. L’originalité de notre approche est double. Nous prenons d’abord en compte à la fois des caractéristiques individuelles des élèves, mais aussi de la composition sociale des établissements qu’ils fréquentent. Nous intégrons par ailleurs à ces deux niveaux d’analyse une multiplicité d’indicateurs identifiés comme importants dans la réussite scolaire : multiplicité pouvant être culturelle, économique, sociale, ethnique et de genre. Nos résultats nous conduisent à constater l’existence d’un double primat du capital culturel en éducation dans la mesure où le niveau d’éducation des parents et le pourcentage de parents sans diplômes dans l’école sont de loin les deux facteurs explicatifs les plus déterminants de l’absence de diplomation du secondaire à 25 ans. Cela nous conduit à critiquer la production d’indices synthétiques de défavorisation par les acteurs scolaires : la proportion de familles monoparentales, divorcées ou vivant seuls, la proportion de chômeurs, le revenu moyen du quartier ou encore la proportion de gens sans diplômes dans l’agglomération d’une école. En plus de ne pas contribuer à prédire l’échec scolaire, ces indices pourraient contribuer à renforcer la stigmatisation des écoles. Enfin, nous montrons que le statut de l’école (public régulier, public enrichi et privé), le genre, l’origine ethnique et le revenu des parents conservent un impact significatif après contrôle du capital culturel au niveau individuel et de l’école. / The objective of this thesis is to study the role of the cultural and economic composition of elementary schools attended at age 15, on non-graduation at age 25. Using data from Statistics Canada (Youth in Transition Survey), we proposed an original analysis of the inequality of opportunities in terms of academic success or rather non-success in high school at age 25. Theoretically, we use Pierre Bourdieu's theoretical framework for social reproduction. The originality of our approach is twofold. We first take into account both the individual characteristics of the students, but also the social composition of schools they attend. We also integrate at these two levels a multiplicity of indicators identified as important in educational success: cultural, economic, social, ethnic and gender. Our results lead us to note the existence of a double primacy of cultural capital in education insofar as the level of parents' education and the percentage of parents without a diploma in school are by far the two most important explanatory factors of non-graduation from high school at age 25. The study allowed us to criticize the production of synthetic indices of deprivation by educational actors: the proportion of single-parent families, divorced or living alone, the proportion of unemployed, the average income of the district or the proportion of people without qualifications in the agglomeration. of a school, in addition to not helping to predict academic non-success in high school, could contribute to reinforcing the stigmatization of schools. Finally, we show that the status of the school (regular public, enriched public and private), gender, ethnicity and parental income retain a significant impact after controlling cultural capital at the individual and school level.
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Resilience and the cultural landscape : the case of the Lower Ninth Ward after Hurricane Katrina

Toueir, Nada 12 1900 (has links)
Le but de cette recherche est d’évaluer l’importance du paysage culturel dans la résilience des communautés urbaines post-catastrophes. Ce travail se concentre sur le quartier du Lower Ninth Ward dans la ville de La Nouvelle-Orléans (États-Unis) après le passage de l’ouragan Katrina en 2005. Les catastrophes naturelles prennent une envergure et causent des dommages considérables lorsqu’elles touchent des villes. La reconstruction post -désastre est donc très dispendieuse pour les villes et les gouvernements, d’autant que certaines régions sont dévastées au point qu’elles doivent être reconstruites au complet. Cependant, le coût le plus lourd à assumer reste celui en vies humaines et si rebâtir les éléments concrets d’une ville est une tâche difficile à entreprendre, reconstruire une communauté est considérablement plus complexe. Dans le but de comprendre une telle démarche, cette recherche se concentre sur les éléments intangibles, comme l’attachement au lieu et les réseaux sociaux, dont une communauté a besoin pour se reconstituer de façon durable et résiliente. Le concept de résilience est très contesté dans la littérature et plusieurs chercheurs se sont essayés à le mesurer. Cette recherche adopte une perspective critique sur le concept et le revisite d’un point de vue holistique pour mettre en lumière sa complexité. Cette démarche permet de remettre en question l’importance de mesurer un concept finalement en perpétuelle redéfinition dans le temps et selon les échelles géographiques. De plus, en établissant une relation entre résilience et paysage culturel, il a été possible de mieux comprendre la complexité de la résilience. Touchant à plusieurs disciplines (architecture de paysage, urbanisme et sociologie), cette recherche utilise une méthodologie qui reflète son aspect multidisciplinaire : les méthodes mixtes. Ces dernières permettent la collecte de données quantitatives et qualitatives qui produisent une vue globale de la situation post-Katrina à travers le regroupement de recensions statistiques, d’observations de terrain et d’articles de journaux. Parallèlement, des entretiens ont été réalisés avec des résidents du quartier ainsi qu’avec des professionnels pour mieux comprendre les différents points de vue. Cette méthodologie a permis de produire des résultats au niveau du cas d’étude autant qu’au niveau théorique. La recherche valide l’importance de prendre en compte le paysage culturel dans les situations post-catastrophes, (en particulier) dans la mesure où il s’agit d’un élément souvent négligé par les urbanistes et les acteurs locaux. En effet, les éléments constitutifs du paysage culturel tels que l’attachement au lieu et les réseaux sociaux, participent d’un sentiment d'appartenance (« home ») et d’une volonté, pour les résidents, de reconstruire leurs habitations, leur communauté ainsi que leur quartier. Toutefois, il faut reconnaître que ces éléments ne suffisent pas à retrouver ce qu’ils ont perdu. Ainsi, l’étude du paysage culturel permet non seulement de mieux comprendre la complexité de la résilience, mais démontre également que cette dernière est une construction sociale. / The purpose of this research is to determine the importance of using the cultural landscape in evaluating the resilience of an urban community after the occurrence of a natural disaster. The focus is on the neighborhood of the Lower Ninth Ward after Hurricane Katrina in 2005 in the city of New Orleans. Natural disasters are gaining significance and magnitude when they hit cities, which are becoming more and more populated over the years. The damage these disasters cause is colossal. It is very costly for cities to undergo major disasters and sometimes, large sections of cities need to be entirely rebuilt. The costliest price is the human life, and as history marks it, too many lives have perished due to disasters. While rebuilding is a challenging task, yet feasible, rebuilding a community is not as tangible as rebuilding the infrastructure. This research focuses on the many intangible aspects, like place attachment and social networks, a community needs to rebuild itself in a sound and resilient way. The concept of resilience is very contested in the literature and many have attempted to measure it. This research takes a step back and scrutinizes the concept of resilience from a holistic perspective, which highlights its complexity. This leads to questioning the importance of measuring the concept, especially that it changes with time and with the different scales of geography. In addition, a relationship between the cultural landscape and resilience is established, which allows for a better understanding of this complexity. Taking a little from multiple disciplines (Landscape Architecture, Urban Planning, and Sociology), this research resorts to a methodology that reflects its multidisciplinary aspect. The methodology is the mixed methods research design, which allows the collection of quantitative and qualitative data. The focus is to gather census data, newspaper articles, and observations to give a general perspective on the post-Katrina situation. Interviews are collected from residents and from professionals so as to tackle the research from different angles. This allows reaching results at the case study level as well as the theoretical level. This research validates the importance of using the cultural landscape in post-disaster situations as planners and government officials overlook it. Some of the elements that constitute it like place attachment and social networks motivate people to return to their original neighbourhoods and rebuild their homes and community. These elements, however, cannot by themselves give people back what they lost in the disaster. By relating the cultural landscape to the concept of resilience, it implies that resilience is a social construction.
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Nature et dimensions des actes recognitifs

Malkoun-Henrion, Aude 08 1900 (has links)
Thèse écrite en cotutelle (Université de Montréal ; Université Paris 1 - Panthéon Sorbonne) / Afin de mieux saisir le rôle de certains phénomènes affectifs au sein des rapports dits de reconnaissance - tels que les émotions de l’estime mais aussi la colère ou le sentiment d’injustice -, ce travail cherche à cerner la nature des actes recognitifs à partir de l’analyse conceptuelle d’énoncés idéal-typiques de reconnaissance. Qu’est-ce que représente un énoncé de reconnaissance ? Que se produit-il lors d’un énoncé de reconnaissance ? Ou, en d’autres termes, que dis-je et que fais-je lorsque j’énonce reconnaître x comme p ? De cette analyse, il ressort que les actes recognitifs correspondent à des actes communicationnels particuliers, en termes habermassiens, des actes régulateurs. Plus spécifiquement, elle permet de mettre en lumière que la reconnaissance fonctionne, au plan normatif, comme un concept régulateur des interactions humaines et, au niveau pratique, qu’elle représente une obligation éthique au sens développé par Hegel dans les Principes de la Philosophie du droit. Comprendre les actes de reconnaissance comme des processus d’attribution de statuts - via l’octroi logiquement antérieur d’une valeur - visant à instaurer un certain type d’interaction entre agents libres présente un double avantage. Le premier, de proposer une unification des différents sens attachés au concept de reconnaissance autour des notions de valeur et de statut. Le second, de permettre des hypothèses explicatives quant à la présence de phénomènes affectifs lors de ces processus. Ces derniers semblent découler, d’une part, du type de processus que sont les actes recognitifs et, d’autre part, de la double fonction que paraissent exercer ces émotions, entendues comme des « perceptions de valeur ». / In order to understand better the role of certain affective phenomena within the so-called relations of recognition - such as the emotions of esteem but also anger or the sense of injustice -, this work seeks to discern the nature of acts of recognition as of the conceptual analysis of the ideal-typical statements. What represents a statement of recognition? What is produced during a statement of recognition? Or, in other words, what do I say and what do I do as I state: “I recognize or acknowledge x as p”? It results from this analysis that the acts of recognition correspond to particular communicational acts, in habermassian terms, of regulatory acts. More specifically, at a normative level, it reveals that, recognition functions as a regulatory concept of human interactions, and at a practical level, it represents an ethical obligation in the sense developed by Hegel in the Elements of the Philosophy of Right. Understanding the acts of recognition as the process of attribution of status - through a prior logical bestowal of a value - aiming at establishing a certain type of interaction between free agents, features a double advantage. The first is to propose a unification of different meanings attached to the concept of recognition around the notions of value and status. The second is to allow some explicative hypotheses regarding the presence of the affective phenomena during those processes. The latter seem to stem, on the one hand, from a type of process that are acts of recognition, and on the other, from the double function that these emotions seem to be practiced, understood as “perceptions of values”.

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