• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 34
  • 4
  • 4
  • Tagged with
  • 50
  • 50
  • 44
  • 40
  • 39
  • 39
  • 37
  • 37
  • 11
  • 10
  • 8
  • 8
  • 7
  • 7
  • 7
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
31

La souveraineté alimentaire dans le système-monde : une étude comparative des structures agraires cubaine et mexicaine

Gurcan, Efe Can 12 1900 (has links)
Suite à l‘éclatement de la bulle des « subprimes » en 2008, le tournant décisif de cette période de crise, toutes les attentions se sont focalisées sur la crise de la « finance mondialisée », masquant d‘autres conséquences de la crise aussi lourdes et perverses que l‘essor du chômage et le resserrement du crédit (Carfantan 2009). Ce travail se consacre ainsi aux autres aspects de la crise tels que vécus à la campagne, en particulier la crise alimentaire et la crise des sociétés paysannes. Le point central de cette recherche porte plus particulièrement sur la montée de « l‘alternative de la souveraineté alimentaire » en réponse à la crise agraire de manière à poser un véritable défi au modèle agroalimentaire du néolibéralisme (Desmarais 2008; Holt-Giménez 2009). La présente recherche étudie donc les déterminants sociopolitiques qui conduisent à l‘édification des politiques de souveraineté alimentaire malgré la pression du régime alimentaire néolibéral. Ce mémoire avance que les politiques de souveraineté alimentaire sont issues de contre-mouvements paysans qui parviennent, en premier lieu, à établir une structure domestique agraire de nature « populaire-démocratique » et « antisystémique », et en second lieu, à transnationaliser cette structure de manière à défier le régime alimentaire néolibéral en crise. En adaptant la théorie intermédiaire de « structures domestiques » à l‘étude critique des structures agraires autour de trois différentes variables (Risse-Kappen 1999), le mémoire soutient que l‘émergence des politiques de souveraineté alimentaire nécessite la décentralisation de la prise de décision et la collectivisation du secteur agricole à travers une transformation agraire radicale et agroécologique (variable de « structure politique »), de même que l‘émergence d‘une structure sociétale agraire robuste construite sur des réseaux politiques consensuels, en présence d‘un État puissant et d‘une société civile agraire mobilisée (variables de « structure sociétale » et de « réseaux politiques »). Au niveau conceptuel, la recherche repose sur la théorie du système-monde, et consiste en une étude comparative modelée sur une étude de cas contrastes; le cas de Cuba, caractérisé par une forte résistance aux défis agroalimentaires du système-monde contemporain, et celui du Mexique, marqué par l‘adoption des politiques alimentaires néolibérales. / Following the bursting of the subprime bubble in 2008, which is considered to be the turning point of this period of crisis, much attention has been focused on the global economic meltdown, masking the other consequences of the crisis which are as heavy and perverse as the rise of unemployment and the credit crunch (Carfantan 2009). This research is dedicated to the study of other aspects of the crisis as it evolves in the countryside, mostly dealing with the socio-political consequences of the global food crisis and the crisis of peasant societies. The focal point of this study concerns in particular the rise of the "food sovereignty alternative" which mounts a serious challenge to the dominant agri-food model of neo-liberalism in crisis (Desmarais 2008; Holt-Giménez 2009). Therefore, the present study seeks to reveal the socio-political determinants leading to the establishment of food sovereignty policies despite the pressure of the neo-liberal food regime. This thesis maintains that food sovereignty policies originate from peasant counter-movements which engender, in the first place, the establishment of a new agrarian domestic structure of "popular-democratic" and "antisystemic" nature, and secondly, the transnationalization of this structure so as to challenge the neo-liberal food regime in crisis. By adapting the intermediary theory of "domestic structures" to the critical study of agrarian structures on the basis three different variables (Risse-Kappen 1999), the thesis argues that the emergence of food sovereignty policies requires the decentralization of the decision-making and the collectivization of the agricultural sector through a radical and agro-ecological agrarian transformation (the "political structure" variable), as well as the emergence of a potent agrarian societal structure which is built on consensual political networks, in presence of a strong state and a mobilized agrarian civil society (the "societal structure" and "policy networks" variables). At the conceptual level, the research draws on the world-systems theory, and consists of a comparative study modeled on a contrasted case study approach which includes the case of Cuba, characterized by a strong resistance to challenges posed by the neo-liberal food regime, and Mexico, marked by the adoption of neo-liberal food policies.
32

Le revenu de citoyenneté : entre émancipation et assujettissement. L'exemple du Basic Income Grant en Namibie.

Chalifour, Julie 04 1900 (has links)
De la capacité d’une société à repenser ses liens sociaux, dépend son développement à la fois politique, social et économique. L’État peut, pour contribuer de manière déterminante à la production de sens, développer des outils, entre autres des mécanismes de redistribution, susceptibles d’assurer la solidarité et la cohésion sociale. L’enjeu est d’importance pour certains pays comme la Namibie, dont l'histoire est marquée par le colonialisme et l'apartheid ─desquels il s'est libéré il y a à peine plus de vingt ans─ et qui sont construits sur une logique de séparation inégalitaire des droits et des ressources. À partir de l'exemple du Basic Income Grant (BIG), projet-pilote de revenu citoyen garanti mis en place dans un village de la Namibie entre 2007 et 2009, ce mémoire propose d'explorer l'apport du concept d'empowerment dans ce projet en tant qu'outil de déconstruction de ces structures inégalitaires. Après avoir exposé différentes conceptions des notions de pauvreté, de richesse et de développement, nous aborderons la question du revenu citoyen garanti et de la place qu'il peut prendre dans différents systèmes de protection sociale. Puis, nous tenterons de mieux cerner le concept d'empowerment pour finalement arriver à répondre à notre principal questionnement: le projet BIG permet-il effectivement l'émancipation ou au contraire, fait-il en sorte de renforcer le sentiment de dépendance et d'impuissance vécu par la communauté isolée, vivant dans des conditions d'extrême précarité? Des entrevues ont pour ce faire été conduites auprès de 15 participants, soit des membres du village d'Otjivero, des intervenants engagés dans le regroupement d'acteurs de la société civile namibienne étant à la source de l'initiative, et des représentants gouvernementaux. L’analyse de ces résultats est présentée en dernière partie de travail. / The political, social and economic development of a society depends on its ability to rethink its social ties. To contribute significantly to the production of meaning, the State may develop tools, among which redistribution mechanisms, capable of ensuring solidarity and social cohesion. The challenge may be greater for some countries − such as Namibia, whose history is marked by colonialism and the period of apartheid, which it freed itself of about twenty years ago − that are built around a logic of unequal separation of rights and resources. Based on our study of the implementation of the Basic Income Grant (BIG) pilot project in a Namibian village between 2007 and 2009, this paper proposes to explore the contribution of the concept of empowerment, within a basic guaranteed income project, as a tool for deconstructing these unequal structures. After describing different views of poverty, wealth and development, we will address the issue of basic guaranteed income and the role it can play in different social protection systems. Then we will try to better understand the concept of empowerment before finally focusing on our central question: does the BIG project actually enable emancipation or, conversely, does it strengthen the feelings of dependency and powerlessness experienced by the small isolated community living in extremely precarious conditions? To find an answer to this question, interviews have been conducted with 15 participants: members of the small community of Otjivero, Namibian stakeholders involved in the initiative from the beginning; and representatives from the government. Analyses of these results are presented in the final part of the paper.
33

Portrait et analyse des stratégies à base territoriale pour contrer la pauvreté et l'exclusion dans le territoire de La Petite-Patrie à Montréal. Conditions d’une action intégrée

Bamogo, Manegdo Alexis 12 1900 (has links)
L’objet de la présente thèse est la lutte contre la pauvreté. Elle cherche à identifier les conditions favorisant la sortie de la pauvreté dans un territoire urbain, ici le quartier de la Petite-Patrie. par une approche territoriale intégrée. S’inscrivant dans la mouvance des multiples initiatives de lutte contre la pauvreté et l’exclusion au Québec, le postulat qui fonde cette recherche est le suivant : la lutte contre la pauvreté par l’approche territoriale intégrée permet : 1) d’instaurer des conditions favorisant la sortie de la pauvreté et 2) de renverser les processus qui mènent à l’appauvrissement des personnes et, du même coup, d’améliorer les conditions et la qualité de vie de celles-ci dans un territoire particulier. Les résultats de cette recherche permettent : 1) de contribuer à la compréhension des dynamiques de lutte contre la pauvreté grâce à une approche considérant les acteurs agissant dans un territoire et, 2) d’éclairer les différents niveaux de conception et de mise en œuvre des politiques et des stratégies d’action, tant au niveau de l’État que de la société civile, sachant que les dispositifs d’intervention intégrés se créent à l’interface des initiatives locales ou régionales et des nouvelles formes de politiques publiques en matière de lutte contre la pauvreté. Les grandes conclusions qui émergent de cette recherche sont au nombre de trois : 1) Si la multidimentionnalité de la pauvreté est acceptée par plusieurs auteurs, on ne peut pas parler d’une seule pauvreté, mais de diverses pauvretés. Les visages de la pauvreté dans le territoire de La Petite-Patrie témoignent de cette diversité des pauvretés, et appellent une variété de stratégies d’action ; 2) Les personnes en situation de pauvreté, en fonction de leurs capacités d’agir, peuvent être appréhendées selon un double profil qui structure de façon importante leur processus de sortie de la pauvreté : le premier groupe rassemble les personnes en situation de pauvreté qui ont des initiatives découlant de leurs capacités d’agir, et le second groupe qui réunit les personnes en situation de pauvreté dont la capacité d’initiative est altérée, apparemment de façon durable, par leurs conditions de vie. Toute stratégie publique de sortie de la pauvreté dans un espace donné devrait alors considérer cette dimension relative aux capacités de rapprochement des individus et des ressources pour soutenir le développement d’une stratégie territoriale intégrée de lutte à la pauvreté plus efficace pour les personnes dont le processus de désaffiliation est plus avancé; 3) Les acteurs de lutte contre la pauvreté dans un territoire, pour réunir les conditions d’une action intégrée et mettre en place des conditions favorables de lutte contre la pauvreté, doivent s’appuyer sur la concertation, les alliances intersectorielles, le leadership inclusif et concerté, les passerelles formelles et fonctionnelles entre acteurs institutionnels, et sur une démarche hybride (emploi et défense des droits) qui constituent des ingrédients fondamentaux pour toute action ou intervention en faveur des personnes en situation de pauvreté vivant dans un cadre territorial défini et accepté par l’ensemble des acteurs locaux. Ce caractère hybride de la démarche permet d’agir de façon différenciée sur les deux groupes de la population. L’intégration est donc avant tout stratégique, c’est-à-dire fondée sur l’articulation d’une pluralité de logique d’action. / The subject of this PhD thesis is the fight against poverty. It aims at identify the conditions that promote transitioning out of poverty within an urban environment- in this case the Petite-Patrie district of Montreal-through an integrated territorial approach (ITA). This research fits into the various initiatives of fighting against poverty and exclusion in Quebec. This research is based on the following fundamental assumption: the use of an integrated territorial approach in the fight against poverty allows: (1) to implement conditions promoting a transition out of poverty and (2) to reverse the processes that lead to poverty, and, at the same time improve standards of living and quality of life of residents of a specific territory. The findings of this research make it possible: (1) to contribute to understanding the various mechanisms of the fight against poverty by considering the various stakeholders in a specific territory, and (2) to highlight the various types of designs and implementations of policies and development strategies, both at the State and Civil society levels, while taking into account that integrated intervention mechanisms should be developed where local and regional initiatives meet /interact with new types of public policies dealing with fight against poverty. The research led to three findings: (1) while most researchers agree that poverty has many dimensions, it is impossible to refer to only one poverty; there are many aspects or types of poverty. The various types of poverty encountered in the Petite-Patrie district support this assumption. It also calls for multiple and relevant strategies; (2) people living in poverty can be assessed according to their abilities to act or react and divided in two groups: the first group cover people living in poverty who take some initiatives according to their abilities to act; the second group cover people whose abilities to act have been reduced, may be permanently, by their living conditions. People’s abilities to act or the lack thereof, will impact the strategies implemented in the fight against poverty. Any public policy dealing with transitioning out of poverty in a specific territory must make sure there are resources available close to the people targeted, in order to support the development of a more effective integrated territorial approach in the fight against poverty when targeting people who are more disenfranchised. (3) In order to promote the prerequisites for an integrated approach in the fight against poverty in a specific territory, the relevant stakeholders must rely on collaboration, on alliances between the various sectors of society, upon an inclusive leadership and upon formal and functional linkages between the various institutions involved. There is also the need to use a dual approach -promoting employment and upholding human rights- two key factors in any intervention targeting people living in poverty in a specific territory, and taken into account by the local stakeholders. This dual approach allows intervening using different ways for the two groups defined. The integrated approach is essentially a strategy for coordinating a variety of measures.
34

Le revenu de citoyenneté : entre émancipation et assujettissement. L'exemple du Basic Income Grant en Namibie

Chalifour, Julie 04 1900 (has links)
No description available.
35

Entre l'adoption internationale et la gestation pour autrui: nouvelles filiations et nouvelles représentations

Gagné, Janie 08 1900 (has links)
No description available.
36

Essays on Intra-household Decision-making, Gender and Socio-Economic Development

Ngenzebuke, Rama Lionel 21 February 2017 (has links)
This dissertation comprises four chapters, which mainly deal with female's participation in household decision-making, a very important aspect of female's bargaining power within the household and closely linked to female's empowerment. The first three chapters, which all deal with female's participation in household decision-making, are two sides of the same coin, in that while the first one delves into the determinants of female's participation in household decision-making, the second and third chapters deal with its beneficial consequences. The fourth chapter is linked with Chapter 1. As a matter of fact, the data used in Chapter 1 has been collected in Rural Burundi, in the framework of the FNRS/FRFC-funded project “Microfinance Services, Intra-household Behavior and Welfare in Developing Countries: A Longitudinal and Experimental Approach”, which funded my PhD scholarship. In 2012, the project funded data collection in Rural Burundi. In respect to the experimental component of the project, these are baseline data. The 2012 household survey targeted a sample of rural households that have been interviewed in 1998 and 2007. This is where the longitudinal design of the project comes into play. Independently from the experimental research, the longitudinal nature of the data, that is to say three waves of data (1998, 2007 and 2012), had the advantage of allowing panel analysis of interesting and relevant issues in development, including for example the long-term welfare effects of shocks at either individual or household levels.In Chapter 1, entitled “The Power of The Family: kinship and Intra-household Decision-making in Rural Burundi” and co-authored with Bram De Rock and Philip Verwimp, we delve into the determinants of female's participation in household decision-making, by laying a particular emphasis on the role of female's kinship. We show that in rural Burundi the characteristics of the female's kinship are highly correlated with her decision-making power. First, a female whose own immediate family is at least as rich as her husband's counterpart enjoys a greater say over children- and asset-related decision-making. Second, the size, relative wealth and proximity of the extended family also matter. Third, kinship characteristics prove to be more important than (standard) individual and household characteristics. Finally, we also show that the female's say over asset-related decision-making is positively associated with males' education, more than with female's education per se. All these correlation patterns can inform policies aiming at empowering women or targeting children through women's empowerment.In Chapter 2, entitled “The Returns of I Do: Multifaceted Female Decision-making and Agricultural Yields in Tanzania?”, I use the third round of the Tanzanian National Panel Survey to investigate the effect of multifaceted female's empowerment in agriculture on agricultural yields. The classic approach in the empirical literature on gender gap in agriculture includes the gender of the plot's owner/manager as the covariate of interest and interprets the associated coefficient estimate as the gender gap in agricultural productivity. Unlike this classic approach in the analysis of productivity differentials, my approach lays emphasis on the overlapping and interaction effects of manifold aspects of female's empowerment in agriculture, including female plot's ownership, female plot's management and female output's control. I find significant productivity gaps, which the classic empirical approach does not bring out in the same context. As compared to plots (solely) owned, managed and controlled by male, (i) plots merely owned by female and (ii) those owned & managed (but not controlled) by female are less productive, but those owned, managed & controlled by female are not. Furthermore, the latter are the more productive among plots at least owned by female. All these productivity gaps are predominantly explained by the structural effect, that is differences in productivity returns to observable production factors. Our findings are robust along a number of dimensions and suggest that female's management and control rights are of prime importance. Therefore, female plot's owners should be entitled the rights to manage their plot and, subsequently and most importantly, the rights to control the (agricultural) output of their work, for their productivity to be enhanced and the gender gap in agriculture to be closed. In Chapter 3, entitled “Say On Income and Children's Outcomes: Evidence from Nigeria”, I delve into the effect of female bargaining power on child education and labor outcomes in Nigeria. Female bargaining power is proxied by “female say on labor income”, rather than by her income per se. This is motivated by the fact the female labor force participation might be low in some contexts, while control over income is by all means what matters the most. The empirical methodology accounts for a number of empirical issues, including endogeneity and sample selection issues of female say on labor income, the multi-equation and mixed process features of the child outcomes, as well as the fact that hours of work are left-censored. My findings are consistent with the overall idea that female say on income leads to better child outcomes, rather than female income earning per se. Nevertheless, the type of income under female control, child gender and child outcome matter. Chapter 4, entitled “Violence Exposure and Welfare Over Time: Evidence From The Burundi Civil War” and co-authored with Marion Mercier and Philip Verwimp, investigates the relationship between exposure to conflict and poverty dynamics over time. We use a three-wave panel data from Burundi, which tracked individuals and reported local-level violence exposure in 1998, 2007 and 2012. Firstly, the data reveal that headcount poverty has not changed since 1998 while we observe multiple transitions into and out of poverty. Moreover, households exposed to the war exhibit a lower level of welfare than non-exposed households, with the difference between the two groups predicted to remain significant at least until 2017, i.e. twelve years after the conflict termination. The correlation between violence exposure and deprivation over time is confirmed in a household-level panel setting. Secondly, our empirical investigation shows how violence exposure over different time spans interacts with households' subsequent welfare. Our analysis of the determinants of households' likelihood to switch poverty status (i.e. to fall into poverty or escape poverty) combined with quintile regressions suggest that, (i) exposure during the first phase of the conflict has affected the entire distribution, and (ii) exposure during the second phase of the conflict has mostly affected the upper tail of the distribution: initially non-poor households have a higher propensity to fall into poverty while initially poor households see their propensity to pull through only slightly decrease with recent exposure to violence. Although not directly testable with the data at hand, these results are consistent with the changing nature of violence in the course of the Burundi civil war, from relatively more labor-destructive to relatively more capital-destructive. / Doctorat en Sciences économiques et de gestion / info:eu-repo/semantics/nonPublished
37

Social consequences of the privatization in Bulgaria and socio-economic impact of the neo-liberal economic theory on the transition to free market and democracy in the period from 1989 to 2015

Toromanov, Evgueniy 05 1900 (has links)
Objectifs : Le mémoire examine la privatisation en Bulgarie à partir d'une certaine distance historique de 25 ans, pour démontrer les conséquences sociales présentement visibles, entre autres les inégalités sociales par rapport au développement économique; l’impact démographique aussi que les nouvelles structures et valeurs sociales. Méthode: Nous utilisons une approche à deux volets. Pour le développement socio-économique, nous étudions six variables constantes pour la période, telles que le nombre de personnes en dessous du seuil de pauvreté, le PIB, l'indice Gini, les dynamiques démographiques, le taux de chômage et l'indice de développement humain; Pour les changements sociaux, les nouvelles structures et les valeurs, nous utiliserons une approche qualitative, basée sur des entrevues, des questionnaires, des études de terrain, etc. Résultats: Nous constatons que les résultats obtenus par les deux méthodes, ceci comprenant leurs limitations, correspondent plutôt à notre hypothèse : la privatisation en Bulgarie était économiquement nécessaire, mais socialement destructive et a entraîné des conséquences sociales dévastatrices à long terme, principalement en raison des politiques et des pratiques de privatisation défectueuses. La privatisation a émergé de la théorie néo-libérale économique prédominant à l'époque. Les pratiques spécifiques utilisées dans la privatisation Bulgare ont favorisé principalement à court terme certains petits groupes sociaux, mais pas la société dans son ensemble. Conclusion: Nous constatons que la façon dont la privatisation bulgare a été menée a été socialement et économiquement nuisible avec des conséquences continues. À long terme, l'économie s'est rétablie, mais les divergences sociales ont toujours une tendance à croître. / Objectives : We look at the privatization in Bulgaria as defined above from a certain historical distance of 25 years, trying follow the visible now social consequences of the privatization, such as social inequality vs economic development; demographic impact and new social structures and values. Method: We use a two-prong approach. For the socio-economic development we study six constant variables for the defined period such as number of people below poverty line, GDP, Gini Index, demographic dynamcs, employment rate, and Human development index; for the social changes, new structures and values we use a qualitative approach, based on based on interviews, questionnaires, field studies, etc. Results: We find that results by both methods, with all the limittaions they have, rather align with our hypothesis that privatization in Bulgaria was economically necessary, but socially destructive and led to devastating social consequences, mainly as a result of flawed privatization policies and practices. It did emerge from the predominant at that time neo-liberal economic view and the specific practices used in the Bulgarian privatization favoured mainly in short term for some small social groups but for the society as a whole. Conclusion: We find that the way Bulgarian privatization was conducted was socially and economically damaging with long lasting consequences. In the long run the economy has recoverd, however the social divergences tend to grow.
38

Le plaidoyer de la Coalition montréalaise des tables de quartier dans le débat public montréalais de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale

Pillet, Amandine 06 1900 (has links)
Montréal est une Métropole où des populations de toutes origines, de tous niveaux de vie et d’éducation cohabitent. En tant qu’acteur de santé publique notre objectif est de faire en sorte que chacun ait droit à l’égalité des chances aussi bien sociales que sanitaires. Dans la Métropole, il est possible d’observer des inégalités dans différents domaines, tels : l’éducation, le travail, le logement, l’alimentation et bien d’autres encore. Ce mémoire est une étude de Cas portant sur le plaidoyer de la Coalition Montréalaise des Tables de Quartier (CMTQ) entre le 1er janvier 2011 et le 1er juin 2016 en faveur de la lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale et ayant pour but d’explorer comment est exercé cedit plaidoyer par les acteurs de la CMTQ. La CMTQ qui est un Organisme à But Non Lucratif (OBNL) positionne la population au centre de ses préoccupations, milite de sorte que Montréal soit une métropole juste et égalitaire et place la pauvreté et l’exclusion sociale dans ces objectifs sur lesquels il est important d’agir pour le bien-être de la communauté. L’Initiative Montréalaise de Soutien au Développement social local (IM) qui est un programme de la Direction de Santé Publique (DSP), de Centraide du Grand Montréal et de la CMTQ, permet d’offrir un soutien financier à des institutions telles que les Tables de concertation locales dans le but d’améliorer la qualité et les conditions de vie des Montréalais. La CMTQ agit en partenariat avec les tables de quartier en travaillant sur des enjeux soulevés par le développement social local, l’amélioration de la qualité et des conditions de vie des citoyens et la lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale. Cette étude a utilisé des données majoritairement qualitatives issues d’analyses de contenus d’entretiens semi-dirigés, de prises de position, de mémoires, d’apparitions dans les médias traditionnels (La Presse) ainsi qu’une analyse de contenus quantitatifs des réseaux sociaux, plus particulièrement Twitter. Les résultats de cette recherche ont permis d’identifier les porte-parole de la CMTQ sur la place publique et mettent en lumière les stratégies et les moyens utilisés par la CMTQ pour exercer leur plaidoyer ainsi que les messages contenus dans ces stratégies et la façon dont les acteurs s’y prennent. / Montreal is a metropolis where people of all origins, socio-economic background and education live. As public health advocates, our goal is to ensure that each person is afforded equal rights to both social opportunities and the benefits which make for a healthy life. In Montreal, it is possible to observe inequalities in areas such as education, work, housing, and food security, amongst many others. This thesis is a case study of CMTQ’s advocacy methods between january 1st 2011 and june 1st 2016 as well as their approach to fighting poverty and social exclusion (in the public debate). In addition this thesis will specifically explores how CMTQ activists apply their methods of advocacy in order to eliminate poverty and social exclusion. The Montreal Coalition of Neighborhood Round Tables (CMTQ) is a Non-Profit Organization (NPO) that places the population at the center of its campaigns and works to ensure that Montreal is a fair and egalitarian city that prioritizes issues of poverty and social exclusion. The Montreal Initiative of Support for Local Social Development (IM), a program of the Montreal Public Health Department (DSP), the Centraide of Greater Montreal and of the CMTQ, provides financial support to institutions such as local round tables with the purpose of improving the quality and living conditions of Montrealers. The CMTQ works in partnership with neighbourhood councils by working on issues raised by local social development and also by working on ways to eradicate poverty and social exclusion in order to better the quality and living conditions of citizens. This study uses primarily qualitative data derived from the analysis of semi-structured interviews, the examination of official positions held by the organizations, thesis publications and discussions in traditional media (The Press), as well as a quantitative content analysis found on social medias especially Twitter. The results of this research permitted the identification of the CMTQ’s advocates and also shed light on the strategies and tools used by the CMTQ as well as the contents of theses strategies and message and the way activists apply these tools.
39

Les décisions d'hospitalisation et de soins psychiatriques sans le consentement des patients dans des contextes clinique et judiciaire: une étude du pluralisme normatif appliqué

Bernheim, Emmanuelle 03 1900 (has links)
No description available.
40

La revitalisation urbaine des quartiers défavorisés de l’Île de Montréal à travers le programme de revitalisation urbaine intégrée : une étude de cas de la démarche d’Hochelaga-Maisonneuve

Simamonika, Pearce 09 1900 (has links)
La revitalisation urbaine est une politique publique qui vise principalement les quartiers les plus défavorisés en s’attaquant en priorité à la pauvreté locale, à l’exclusion sociale et au cadre bâti dégradé. L’objectif de cette politique est de faire en sorte que les quartiers visés puissent jouir d’un environnement sain et moins contrasté avec le reste de l’agglomération. Ce type d’intervention connait un succès varié, car il existe une grande variété de programmes de revitalisation urbaine, dont celle que nous allons traiter dans ce mémoire. La revitalisation urbaine intégrée est un programme de lutte contre la pauvreté territorialisée, d’initiative locale, qui s’attaque aux îlots de pauvreté sur l’île de Montréal. Ce programme dispose de plusieurs démarches à Montréal, toutes fonctionnant sur le même modèle décentralisé de participation citoyenne, de concertation, et d’autonomie, dans le but de lutter contre la pauvreté et l’exclusion grâce à des initiatives locales. Ce mémoire propose d’interroger la contribution du programme RUI à la revitalisation urbaine dans le cadre de la démarche développée dans le quartier d’Hochelaga-Maisonneuve. L’intérêt de cette recherche est multiple, 1) la transformation d’un espace soumis à une spatialité avec laquelle il ne partage pas les mêmes valeurs 2) le risque que le programme RUI participe au développement de la gentrification malgré lui, 3) le rôle de la participation citoyenne dans l’exercice de concertation 4) la contribution du programme RUI à la revitalisation d’Hochelaga. L’analyse de la démarche RUI d’Hochelaga porte principalement sur les entrevues semi-directives recueillies auprès des membres du comité local de revitalisation et d’habitants du quartier. Leurs discours révèlent un manque de consensus dû à la diversité des acteurs, des lacunes dans l’exercice de la participation citoyenne, et un financement très limité. Certains regrettent même un manque d’actions concrètes contre la pauvreté. Mais dans l’ensemble, l’initiative est saluée par tous, car à défaut de lutter contre la dimension économique de la pauvreté, elle permet d’améliorer la qualité de vie et d’accroitre la capacité d’agir des habitants. / Urban revitalization is a public policy which focuses on poor neighborhood and fights local poverty, social exclusion and degraded environments. The goal of this policy is to put the poor neighboorhoods on the same scale as the rest of the agglomeration. This type of intervention has varying degrees of success because there are a wide range of urban revitalization programs, including the one we will be talking about in this thesis. Integrated Urban Revitalization (RUI) is a program fighting territorial poverty which targets impoverished areas on the island of Montreal. This program has taken several actions throughout Montreal, and each of them operate on the same decentralized model of citizen participation, concertation and autonomy in order to fight poverty and exclusion via local initiatives. This dissertation proposes a questioning of RUI’s contribution on urban revitalization within the framework of procedures developed in the Hochelaga- Maisonneuve neighborhood of Montreal. There are many areas of interest in this study, specifically (1) the contrast between the transformation of this space and the extant values in the area, (2) the risks posed by the RUI program and its participation in the development of a gentrification program in spite of its original goals, (3) the role of the citizen participation in consultation, and (4) The contribution of the RUI program on urban revitalization in Hochelaga-Maisonneuve. The analysis of the RUI program is mainly based on interviews collected with members of a local revitalization committee and citizens of the neighborhood. Their discourses reveal a lack of consensus ascribed to the wide variety of actors, gaps in the process of participation and limited funding. Some citizens resent the lack of concrete actions taken against poverty. Overall, the initiative is praised by all participants, because while fighting economic dimensions of poverty, it allows for the improvement of living conditions and the ability to take action.

Page generated in 0.0957 seconds