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FROM THE ASHES: ONE STORY OF THE VILLAGE OF PINKWI MIHTOHSEENIAKIIronstrack, George Michael 26 July 2006 (has links)
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La théâtralisation du pâtir dans la pièce de théâtre L’Île de la Demoiselle et dans le roman Kamouraska d’Anne HébertLéger-Bélanger, Eve 08 1900 (has links)
La passion est un élément central dans les œuvres d’Anne Hébert. Chez les personnages hébertiens, la passion se traduit par une rhétorique distinctive: la rhétorique du pâtir. L’Île de la Demoiselle, pièce de théâtre radiophonique diffusée en 1974, ainsi que Kamouraska, roman publié en 1970, sont des exemples de la construction textuelle du pâtir. Cette forme de souffrance est particulière dans le cas des deux œuvres, car elle semble à la fois subie et voulue par les protagonistes. Notre mémoire porte sur un outil de théâtralisation spécifique, la parole dans le texte, et ce, principalement celle des héroïnes Marguerite de Notron et Elisabeth d’Aulnières. Nous étudions comment le discours construit un pâtir en partie subi, mais aussi maîtrisé et voulu par les protagonistes par le biais de la théâtralisation de la parole. À l’image du théoricien Jean-Pierre Richard, nous effectuons pour chacune des œuvres des microlectures d’extraits, afin de montrer comment le pâtir se déploie dans la parole au fil des phrases. Ces microlectures servent de tremplin à une ouverture sur l’ensemble du texte. Nous appuyant sur la théorie du langage d’Austin, nous analysons le discours, afin de montrer comment il y a performativité de la parole chez les protagonistes, même si les personnages en proie à la passion semblent inactifs. Notre objectif est de montrer comment la mise en scène de la parole est la même dans les deux œuvres. / Passion is a vital element in Anne Hebert’s work. This passion results in a peculiar rhetoric for the characters: the rhetoric of suffering. L’Île de la Demoiselle, theater radio broadcast in 1974, and Kamouraska, novel published in 1970, are prime examples of the textual construction of suffering. In the case of those two works, this kind of suffering is distinctive because it seems to be altogether sustained and desired by the protagonists. This master thesis focuses on one specific tool of dramatization, speech, primarily by the main characters Marguerite de Notron and Elisabeth d’Aulnières. We study how the speech builds sustained, mastered and desired suffering of the main characters via dramatization. For each work, we make microlectures, like the theorician Jean-Pierre Richard did, to study how the suffering unfolds in the speech throughout the text. We use the theory of Austin on language to analyze with various textual themes how there is performativity of speech even if the main characters seem inactive. Our goal is to show how speech staging is the same in both works.
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La théâtralisation du pâtir dans la pièce de théâtre L’Île de la Demoiselle et dans le roman Kamouraska d’Anne HébertLéger-Bélanger, Eve 08 1900 (has links)
La passion est un élément central dans les œuvres d’Anne Hébert. Chez les personnages hébertiens, la passion se traduit par une rhétorique distinctive: la rhétorique du pâtir. L’Île de la Demoiselle, pièce de théâtre radiophonique diffusée en 1974, ainsi que Kamouraska, roman publié en 1970, sont des exemples de la construction textuelle du pâtir. Cette forme de souffrance est particulière dans le cas des deux œuvres, car elle semble à la fois subie et voulue par les protagonistes. Notre mémoire porte sur un outil de théâtralisation spécifique, la parole dans le texte, et ce, principalement celle des héroïnes Marguerite de Notron et Elisabeth d’Aulnières. Nous étudions comment le discours construit un pâtir en partie subi, mais aussi maîtrisé et voulu par les protagonistes par le biais de la théâtralisation de la parole. À l’image du théoricien Jean-Pierre Richard, nous effectuons pour chacune des œuvres des microlectures d’extraits, afin de montrer comment le pâtir se déploie dans la parole au fil des phrases. Ces microlectures servent de tremplin à une ouverture sur l’ensemble du texte. Nous appuyant sur la théorie du langage d’Austin, nous analysons le discours, afin de montrer comment il y a performativité de la parole chez les protagonistes, même si les personnages en proie à la passion semblent inactifs. Notre objectif est de montrer comment la mise en scène de la parole est la même dans les deux œuvres. / Passion is a vital element in Anne Hebert’s work. This passion results in a peculiar rhetoric for the characters: the rhetoric of suffering. L’Île de la Demoiselle, theater radio broadcast in 1974, and Kamouraska, novel published in 1970, are prime examples of the textual construction of suffering. In the case of those two works, this kind of suffering is distinctive because it seems to be altogether sustained and desired by the protagonists. This master thesis focuses on one specific tool of dramatization, speech, primarily by the main characters Marguerite de Notron and Elisabeth d’Aulnières. We study how the speech builds sustained, mastered and desired suffering of the main characters via dramatization. For each work, we make microlectures, like the theorician Jean-Pierre Richard did, to study how the suffering unfolds in the speech throughout the text. We use the theory of Austin on language to analyze with various textual themes how there is performativity of speech even if the main characters seem inactive. Our goal is to show how speech staging is the same in both works.
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From the ashes one story of the village of Pinkwi Mihtohseeniaki /Ironstrack, George Michael. January 2006 (has links)
Thesis (M.A.)--Miami University, Dept. of History, 2006. / Title from first page of PDF document. Includes bibliographical references (p. 57-62).
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Amour et sexualité dans La fraise noire et La demoiselle sauvage de Corinna BilleMichel, Amélie 24 April 2018 (has links)
Ce mémoire s'intéresse au traitement des thèmes de l'amour et de la sexualité dans les recueils La Fraise noire et La Demoiselle sauvage, de Corinna Bille. Privilégiant une approche thématique, inspirée de la démarche de Jean-Pierre Richard, l'analyse vise à montrer que les nouvelles inscrivent les thèmes de l'amour et de la sexualité dans la perspective plus vaste d'une quête d'unité, qui à la fois leur donne forme et les dépasse. Amour et sexualité seraient ainsi pensés en fonction d'une communion idéale de conscience et de corps avec l'aimé, qui permettrait aux personnages de renouer avec une unité d'avant la faute. L'échec de cette tentative, manifesté par la désillusion amoureuse et la mort finale des amants, amène à interroger les rapports entre innocence et connaissance, fantasme et désillusion, origine et fin, qui structurent l'ensemble des nouvelles. L'hypothèse démontrée au fil du travail est que la quête d'unité reproduit une logique cyclique : confrontés dans le monde terrestre à l'impossibilité de rejoindre l'autre, les personnages tendent vers une mort pensée non seulement comme fin, mais également comme possibilité de renouer avec l'unité primordiale. Dans un premier temps, l'analyse se concentre sur les présages de la désillusion amoureuse disséminés à même la quête d'unité des personnages, et révèle que l'idéal poursuivi porte en lui son propre échec. Dans un deuxième temps, le mémoire s'efforce de relever les diverses réappropriations textuelles de la chute chrétienne, pour montrer comment la désillusion amoureuse s'articule autour de la dichotomie biblique entre innocence et connaissance, et comment les personnages parviennent à la dépasser dans leur quête d'un au-delà terrestre ou céleste.
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La « jeune fille » et sa représentation dans le roman catholique en France (1880-1914)Plet, Charles 12 1900 (has links)
Cotutelle de thèse entre l'Université de Montréal et l'Université Paris 3 Sorbonne-Nouvelle / Parallèlement à la construction progressive du concept d’« adolescence » par certaines disciplines telles la sociologie et la psychologie, la catégorie de la jeune fille prend une importance de plus en plus marquée dans la réalité sociale et la littérature française des années 1880-1914. Et pourtant : malgré son importance tant quantitative que « qualitative » dans le roman tournant-de-siècle, force est de constater que le personnage-personne de la jeune fille n’a reçu que très peu d’attention critique au cours des dernières décennies. C’est encore plus vrai du personnage de la jeune personne tel qu’il est représenté dans le « roman catholique » des années 1880-1914, cette étiquette de même que l’immense espace d’hétérogénéité générique constitutive qu’il représente ayant somme toute fait l’objet de peu de travaux. L’objectif de cette thèse consiste donc à préciser les caractéristiques que revêt la jeune fille de papier en régime catholique d’écriture ainsi que l’utilisation à des fins politiques, socioéducatives et idéologiques qui est faite d’elle par les romanciers catholiques de l’ère 1900 – autrement dit par les différents pôles d’un sous-champ littéraire catholique en construction et en mouvement. Pour ce faire, et au croisement de l’histoire littéraire, de l’histoire culturelle et de la sociologie de la littérature, il convient d’abord de définir les exigences, normes et valeurs diffusées au sein du sous-champ, toutes liées à la jeune fille historique et sociale et qui conditionnent les postures et les pratiques d’écriture de l’ensemble des agents. Seulement après analyserons-nous les représentations de la « jeune fille » inscrites dans les principaux sous-genres investis par les romanciers catholiques du temps – le roman d’amour, le roman traditionaliste et le roman de vocation spirituelle. On verra alors qu’en plus de rendre visible un conflit de représentations fictionnelles qui réfracte les débats sociaux entre laïcs-républicains et catholiques, les personnages de jeunes filles mis en récit par le roman catholique révèlent les conflits qui opposent différents acteurs à l’intérieur même du sous-champ et, plus largement, du monde catholique de la période 1880-1914. C’est poser que la « jeune fille » est à la fois l’un des enjeux et l’un des instruments fondamentaux du sous-champ des romanciers catholiques tournant-de-siècle : sa représentation littéraire permet en effet aux écrivains catholiques d’alors, en fonction de leur position (dominante-orthodoxe ou dominée-hérétique) dans le sous-champ et des intérêts qui y sont associés, de prendre position dans le sous-champ littéraire catholique, autrement dit de conserver telle quelle ou de subvertir profondément la structure du sous-champ, et donc par extension la structure du champ des formes et des contenus romanesques. / The girl is more important than ever in Fin-de-Siècle France : the rising conflict between the Third Republic and the Church puts the spotlight on this now unavoidable fictional character. And yet, very few studies have focused on her. The same could be said of the Catholic Novel, which has not received much critical attention over the last decades. This study thus aims at describing the features of the girl in French turn-of-the-century Catholic literature, and the ways she is used by Catholic writers to undermine the basis of the new (anticlerical) Republic. But Catholic writers are far from agreeing on the ways the girl should be depicted : some believe that her fictional representation should have moral and ideological effects on the readers (romance and traditionalist writers such as M. Maryan, Henry Bordeaux, René Bazin and Paul Bourget), while others think it should inspire in them the love of the Passion of Jesus (spiritual writers like Barbey d’Aurevilly, Léon Bloy and Émile Baumann). In short, this study shows how, in Fin-de-Siècle French literature, the girl becomes one of the major instruments of the conflicts between Catholics and Republicans, but also between Catholics.
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