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Vivir para morir: la cultura de la muerte en Etruria entre los siglos X y I a.C.: características y transformaciones

Barros Germain, Martín January 2017 (has links)
Informe de Seminario para optar al grado de Licenciado en Historia
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The Iconographic Program of the Architectural Terracotta Relief Plaques from Zone F at Acquarossa

Beyer, Jennifer Marie 17 April 2003 (has links)
No description available.
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Greek myths abroad : a comparative regional study of their funerary uses in fourth-century BC Apulia and Etruria

Riedemann Lorca, Valeria January 2015 (has links)
This dissertation presents a regional comparative study of the uses of Greek heroic stories as illustrated on funerary monuments of Apulia and Etruria in the fourth century BC. Founded on the grounds of contextual archaeology and reception theory, it approaches a group of Apulian red-figure vases, Etruscan sarcophagi and tomb-paintings from both regions as a means of investigating the cultural significance of the myths presented in the grave by different peoples in Italy. Moreover, this study emphasises the possible ways in which viewers engaged with the images depicted on these monuments by defining a cultural frame ('horizon of expectations') for their interpretation of the images. Further contributions include the development of a model for the interpretation of the myths depicted on Apulian red-figure vases and the prominence of the corpus of Etruscan mythological sarcophagi, a type of monument often neglected in Etruscan studies. At the end of the dissertation, it will become clear - it is expected - that there were regional preferences for particular myths and differences in both the media and the ways in which Greek myths were used and displayed during the funeral.
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Herakles iconography on Tyrrhenian Amphorae

Thomsen, Megan Lynn. January 2005 (has links)
Thesis (M.A.)--University of Missouri-Columbia, 2005. / The entire dissertation/thesis text is included in the research.pdf file; the official abstract appears in the short.pdf file (which also appears in the research.pdf); a non-technical general description, or public abstract, appears in the public.pdf file. Title from title screen of research.pdf file viewed on (December 20, 2006) Includes bibliographical references.
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La danse étrusque (VIIIe-Ve siècle avant J.-C.) : étude anthropo-iconologique des représentations du corps en mouvement dans l'Italie préromaine / Etruscan Dance (8th-5th cent. B.C.) : Anthropological and Iconological Study of the Representations of Body Movements in Preroman Italy

Gouy, Audrey 08 December 2017 (has links)
A partir de la seule documentation disponible, à savoir l’iconographie, il a été dressé un corpus de 526 objets, tous supports confondus, à partir de l’Etrurie tyrrhénienne, de l’Etrurie campanienne et de l’Etrurie padane. Cette thèse propose dans un premier temps, en plus de justifier et de délimiter le corpus des scènes de la danse étrusque et de poser les fondements historiographiques, de penser et définir la représentation même de la danse. Quels éléments dans l’image permettent de définir une scène de danse comme telle ? S’agit-il véritablement de danse ? La confusion que l’on note dans les textes grecs et latins entre pratiques dansées, sportives et guerrières se rencontrent aussi dans l’image, ce qui a amené à appréhender la danse au sens large, en termes de performance et d’évènement. Cette première définition permet de délimiter les scènes de danse par rapport aux scènes de cortège, de parade, de duel, et de distinguer les danseurs d’autres personnages récurrents de l’iconographie étrusque comme les « orants ». Dans un second temps, l’étude typologique et l’analyse sérielle des scènes de danse permet de dresser un répertoire étrusque de 2143 positions corporelles, et ainsi de préciser la définition de l’image de la danse. Cet axe permet d’identifier les différentes positions corporelles, ainsi que les gestes, les accessoires des acteurs, leurs caractéristiques physiques, et les objets et les lieux de la danse. Cette identification systématique est accompagnée de l’étude des interactions corporelles, gestuelles, vestimentaires, ou colorés. Délimiter le répertoire iconographique de la danse étrusque implique aussi d’en définir les modalités d’élaboration et la porosité. Les données sont ainsi replacées dans un contexte géographique et historique afin de repérer les particularités de l’iconographie étrusque, de distinguer les modèles étrangers et les réélaborations. La mise en série révèle que la comparaison avec l’iconographie grecque s’impose pour certaines postures. Mais les imagiers sélectionnent et agencent selon une disposition qui s’adapte aux pratiques étrusques de l’image. Les Étrusques ont ainsi puisé dans un répertoire grec des postures puis les ont adaptées et enrichies, à l’image de l’adaptation de l’alphabet grec en Étrurie. La diffusion des éléments constitutifs de l’image étrusque de la danse d’une cité étrusque à une autre permet de délimiter un répertoire iconographique préromain commun, mais aussi des choix locaux. Nous relevons en particulier les cas de Chiusi et de Tarquinia. A côté d’un répertoire commun, les deux cités ont développé chacune des solutions différentes qui répondent à des constructions propres de l’image. Dans un dernier temps enfin, sont étudiés les différents types de danse relevés, ainsi que le statut et la fonction des différents acteurs. Il s’agit de comprendre, par une orientation historique et anthropologique, et lorsqu’il est possible de le relever, l’enchaînement de ces danses, leur fonction, leurs différentes phases et leur place dans les pratiques rituelles de l’Italie préromaine. De cette étude découlent des questions quant à l’utilisation de l’image étrusque de la danse. Il s’avère en effet qu’une sélection des types de danse et des postures est opérée par les imagiers. Dans ce cadre, c'est sur le fonctionnement et le système de l'image, comparée à un langage, que nous avons mis l'accent. La direction adoptée dans ce troisième axe est aussi iconologique et vise à déchiffrer l'image de la danse étrusque en s'orientant vers le structuralisme et la sémiotique. L’étude a abouti à la conclusion selon laquelle les postures et les éléments visuels qui composent l’iconographie étrusque de la danse étaient sélectionnés et agencés dans des programmes iconographiques donnés, selon leur signification, leur portée discursive, et la fonction et la temporalité du rituel auquel ils font référence, puis adaptés à la fonction rituelle du médium sur lequel ils sont agencés. / From the iconographical sources, the only available, a corpus of 526 objects has been selected, irrespective of the medium, and from Tirrenian, Campanian and Po plain Etruria. Besides explaining and delineating the corpus of the representations of Etruscan dance and posing the historiographical bases, this thesis proposes in the first instance to think and define the representation itself of dance. Indeed, which elements in pictures permit to define a scene of dance as such ? Can we really consider it as dance ? The confusion we note in Greek and Latin texts between danced, sports and war practices are also present in pictures. This brings to consider dance in a large sens, in terms of performance and event. This first definition permits to delineate the scenes of dance from the scenes of processions, of dueling, and to draw a distinction between dancers and other recurrent actors in the Etruscan iconography such as the « orans ». In a second phase, the typological and serial analysis of representations of dance has permitted to raise an Etruscan repertoire of 2143 body postures, and thus to precise the definition of the pictures of dance. This axis has thus contributed to identify the different body positions, but also the gestures, the actors’ props, the actors’ physical features, the objects and places of dance. This systematic identification is accompanied by the study of coloured, clothing, gestural, and body interactions. Delineating the iconographical repertoire of Etruscan dance also implies to define the conditions of its elaboration and its porosity. The datas are thus replaced in a geographic and historic – Ancient Mediterranean – context in order to identify the foreign patterns and the reworked ones. The connection in series reveal that the comparison with Greek iconography is necessary to better understand some body positions. But the painters select and dispose according to the Etruscan practices of pictures making. Thus, the Etruscans digged into a Greek repertoire for some postures and then adapted and enriched them, such as their adaptation of the Greek alphabet in Etruria. The spread of the constitutive éléments of the Etruscan pictures of dance from a city to another permits to delineate a mutual and shared Preroman iconographical repertoire, but also local choices and adaptations. On this point, the cases of Tarquinia and Chiusi has been studied. Besides a common iconographical repertoire, in the two cities different visual solutions has been developped, linked to own pictures constructions. As a final step, the different types of dance previously delineated are studied further, such as the status and the function of the different actors. It aims to understant, thanks to an anthropological and historical approach – and when it’s possible –, the sequences and chaining of the different dances, their diffent phases and their place in the ritual practices of Preroman Italy. From this point, the question of the use of the Etruscan pictures of dance has been raised. And it has been highlighted that a precise selection of types of dance and of body positions has been made by the artists. In this frame, it’s the functioning and the system of the pictures – compared to a language –, which have been emphasized. The orientation taken in this third axis is also iconological and aim to decrypt and better understand the Etruscan pictures of dance in which the visual elements and the body postures are selected and disposed, in the iconographical program in which they are used, according their signification and their discursive dimension, and adapted to the ritual function of the medium on which they are disposed.
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Recherches sur les chasses étrusques, latines et italiques : une préhistoire des chasses romaines ? / Researches on Etruscan, Latin and Italic hunts : a prehistory of the Roman hunts ?

Nazarian-Trochet, Marlène 31 January 2017 (has links)
La chasse est l’un des sujets dominant l’iconographie étrusque dès l’émergence des premières représentations figurées. S’intégrant au décor des armes et parures des premières élites protohistoriques, elle s’enrichit bientôt de nouveaux modèles importés des cultures proche-orientales et helléniques dont elle intègre à la fois le bestiaire et les schémas de mise en scène. Cette prédominance des scènes cynégétiques invite à se poser la question de leur utilisation symbolique, sur le mobilier comme sur les monuments publics et privés commandés par les aristocraties étrusques, et conduit à s’interroger sur la place de la chasse dans une « idéologie du pouvoir » dont nous ne possédons que des témoignages figurés. Un large cadre d’étude allant du VIIIè au IVè siècle av. J.-C. permettra de saisir les mutations de ce thème, parallèlement aux changements sociaux et politiques traversés par les différentes cités. Plus largement c’est une imagerie traitant du rapport entre l’homme et l’animal comprenant des chasses animalières, des scènes d’élevage, voire des exemples d’apprivoisement d’animaux sauvages, qui sera prise en compte pour tenter de saisir l’importance du thème de la maîtrise du monde animal en Etrurie. La singularité de la culture étrusque semble en effet s’exprimer par l’importance quantitative et la variété de ce type de représentations qui trouve un accueil favorable sur le mobilier comme dans les monuments funéraires. La chasse, qu’elle revête une dimension réaliste, héroïque, mythique ou funéraire est donc l’objet d’une mise en scène importante à des fins idéologiques ou rituelles. La confrontation entre le corpus étrusque et d’autres répertoires, empruntés au monde grec mais aussi aux autres cultures du territoire italique, latine et lucanienne notamment, invite ainsi à repenser la question de la symbolique de la chasse dans l’imaginaire de l’Italie préromaine, avant que ne se développent les chasses spectacles romaines. / Hunting is one of the dominant subjects of Etruscan iconography as soon as the first figurative representations emerged. It fitted perfectly in the scenery of weapons and the jewellery of the first protohistoric elites. Furthermore, hunting was quickly enhanced by new methods coming from Middle Eastern and Hellenic cultures, in which the bestiary and the staging patterns are both included. This predominance in hunting scenes tempts to make us wonder about their symbolic use, on the furniture or on the private and public monuments ordered by Etruscan aristocrats. It also arouses our interest about the place of hunting in an “ideology of power” of which we only have figurative testimonies. Thus, the long period studied –from the VIIIth to the IVth century B.C.- will allow us to understand the various mutations of this topic, as well as the social and political changes through the different city-states. More broadly, an imagery about the relationship between humans and animals- including animal hunts, farming scenes and even the taming wild animals- will be taken into account to try to understand the relevance of the topic of mastery of wild animals in Etruria. Indeed, the singularity of the Etruscan culture seems to be expressed through the various and numerous representations usually seen on furniture as well as funerary monuments. Hunting, be it with a realistic, heroic, mythic or funerary dimension is thus the object of an important staging for ideological or ritual purposes. The consideration of the Etruscan corpus against other collections- taken from the Greek civilisation but also from other cultures such as Italic, Latin or Lucanian- encourages us to reconsider the question of the symbolic of hunting in the imaginary of this pre-Roman Italy, before the Roman hunt performances had developed.
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Roman policies in Etruria and Umbria from the conquest to the early empire

Harris, William Vernon January 1968 (has links)
No description available.
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Brown impasto at San Giovenale : Technological change and use of a fine-ware ceramic during the Orientalizing period (730–580 BCE) / Brun impasto från San Giovenale : Teknologisk förändring och användning av ett keramiskt fingods under den Orientaliserande perioden (c. 730–580 f. Kr.)

Linusson, Viktor January 2022 (has links)
Brown impasto is a fine, commonly burnished ceramic ware in use during the Orientalizing period in South Etruria. In previous scholarship, it has only been described, and understood mainly from funerary contexts. This thesis sets out to unravel the performance and use of the ware, targeting a local understanding at San Giovenale, the settlement whose published brown impasto assemblage is arguably the largest. A statistical approach is applied within a framework of behavioural archaeology in order to understand why brown impasto technology and use changed over time and between use contexts. To elucidate patterns of change clearly, the analysis is carried out on three different scales: from side-wide, to context-specific, to artefact-specific levels. The results expose the complexity of the published material but open up brown impasto to new interpretations. Aware of the caveats of San Giovenale’s recorded archaeology, the thesis suggests ways forward to test the validity of the new findings made. / Brun impasto är ett keramiskt fingods som användes under Södra Etruriens Orientaliserande period. Godset har enbart beskrivits i tidigare forskning, dessutom endast i gravsammanhang. Den här uppsatsen reder ut dess materialegenskaper och användningsområden i boplatskontexten av San Giovenale, vars utgrävda mängd brun impasto bör ses vara större än andra undersökta Etruskiska boplatser. En statistisk analys inom ramarna av Michael Schiffers beteendearkeologi har tillämpats för att närma sig en förståelse om varför brun impasto-teknologi och dess användning förändrades med tiden och emellan de utrymmen godset användes i. För att tydligt påvisa förändringsmönster har analysen delats in i tre olika steg: ett allmänt, ett kontextspecifikt, och inom det senare, ett föremålsspecifikt. Resultaten belyser problematiken med det undersökta materialet men öppnar brun impasto för nya tolkningar. Med den stundtals bristfälliga dokumentationen av San Giovenale-materialet i åtanke, föreslår uppsatsen framtida forskningsriktningar att validera de gjorda upptäckterna med.
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Troilos Infelix: The Prevalence of the Achilles and Troilos Death Myth on Attic "Tyrrhenian" Group Neck-Amphorae and in the Etruscan Pictorial Tradition

Sampson, David Douglas Quarles 23 September 2009 (has links)
This thesis will look at the depiction of the Achilles and Troilos death myth on the Attic Black-Figure “Tyrrhenian” Group and its possible influence in Etruria from the mid 6th century BC to the Hellenistic period. The appearance of this Attic-made export ware in Etruscan sites of the 6th century BC, distribution of extant group pots with known provenance along with the emulation of the “Tyrrhenian” neck-amphora style and narrative frieze content in mid to late 6th century BC Etruscan pottery supports evidence for the popularity of the group amongst the Etruscan population. I will approach my investigation in Chapter Three by first giving an overview of the construction and decoration of the Attic-made “Tyrrhenian” Group and listing the variety of traits that characterize this group as being a true case of Athenian export product to Etruria. In Chapter Four I will focus on the appearance of the Achilles and Troilos myth on pots of the “Tyrrhenian” Group and trace the development of the myth’s iconography in Greek art starting in the mid 7th century BC. In Chapter Five I will focus on the appearance of the myth in Etruscan art in the mid 6th century BC and its subsequent development in Etruscan mythology through the analysis of Etruscan-made specimens. I will also attempt to give a reasoning behind the Etruscans’ adaptation of the Greek myth into their corpus. / Thesis (Master, Classics) -- Queen's University, 2009-09-22 13:27:11.548
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La céramique à paroi fine de Musarna (Étrurie méridionale) : typologie, production, circulation / The thin-walled ware from Musarna : typology, production, circulation

Léone, Julie 07 March 2014 (has links)
La céramique à paroi fine est un groupe de vaisselle romaine parmi les plus représentés sur les sites archéologiques. Un échantillonnage important (environ 25000 fragments) a été mis au jour dans les différents secteurs fouillés de la cité étrusco-romaine de Musarna (territoire de Tarquinia). Son étude a permis d'identifier cinquante-huit formes de vases et de retracer leur évolution technique. Leur comparaison avec le matériel provenant des sites voisins, de l'Étrurie, de toute la péninsule italique, et des territoires conquis a conduit à l'identification de plusieurs zones de production. Divisés en six phases chronologiques, leur datation s'étend entre le dernier tiers du IIe siècle av. J.-C. et le IIe siècle ap. J.-C. / The Thin-walled ware is one of the most represented class of vessel ceramic found on roman archaeological sites. An important batch (around 25000 shards) has been found in the various areas explored in one of the etrusco-roman cities of Tarquinia's territory: Musarna. The study of that Corpus allowed us to identify fifty-eight forms of vases and to trace their technological evolution. The parallels found with the material coming from others sites in Etruria, in the whole Italy and in the conquered territories have evidenced the existence of several productions areas. The Thin-walled ware from Musarna can be divided in six chronological phases, distributed between the last third of the II century B.C. and the II century A.D.

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