• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 2
  • Tagged with
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Biographie et correspondance de J. K. Huysmans. Les trente premières années : 1848-1878 / Biography and correspondence of J.-K. Huysmans. The first thirty years : 1848-1878

Barascud, Philippe 06 January 2012 (has links)
Depuis 1955, date à laquelle Robert Baldick a publié The Life of J. K. Huysmans, traduit en français en 1958, aucune biographie scientifique de l’auteur d’À rebours n’a été produite. En un peu plus d’un demi-siècle de recherches, l’information sur le sujet s’est considérablement développée. Pierre Lambert, mort en 1969, a légué sa collection de documents huysmansiens à la bibliothèque de l’Arsenal. Des inédits ont été retrouvés, des lettres notamment. La recherche sur Huysmans dispose aujourd’hui d’une documentation très riche, notamment de la correspondance générale classée et saisie, ouvrant la perspective d’une nouvelle biographie, mieux informée.Huysmans a vécu cinquante-neuf ans, de 1848 à 1907. Ma thèse couvre la première moitié de sa vie. Elle s’articule autour de deux volumes complémentaires : un essai de biographie, conduisant le lecteur de la naissance de l’écrivain au jour de ses trente ans ; une édition de sa correspondance, de sa première lettre connue, un placet adressé au ministère de l’Intérieur en 1866, à une lettre envoyée à son principal correspondant du moment, Théodore Hannon, à la fin de novembre 1878. Huysmans pratique largement et délibérément l’autobiographie romancée, ce qui rend délicat le travail du biographe, mais l’enrichit de tous les récits de vie livrés par l’écrivain lui-même. / Since the 1955 publication of Robert Baldick’s The Life of J-K Huysmans, translated into French in 1958, no scientific biography of the author of À Rebours has been produced. In a little over half a century of research, however, information on this subject has grown considerably. Pierre Lambert, who died in 1969, bequeathed his collection of documents to the Bibliothèque de l’Arsenal. Unedited texts have been unearthed, letters notably. Research on Huysmans has as its disposal today a rich variety of documentation, notably a classified correspondence, and this opens up the opportunity for a new, better-informed biography.Huysmans lived for fifty-nine years, from 1848 to 1907. My thesis covers the first half of his life. It is comprised of two complementary volumes: a biographical essay, leading the reader from Huysmans’s birth to his thirtieth birthday, and an edition of his correspondence from his first known letter, a petition addressed to the Ministry of the Interior in 1866 to a letter sent to his major correspondent of the time, Théodore Hannon, at the end of November 1878. Huysmans practised deliberately and carefully a kind of novelistic autobiography, which perhaps complicates the task of the biographer, but nonetheless also enriches it with all the life-stories delivered by the writer himself.
2

La controverse autour du périple d'Hannon

Houndjahoué, Michel 11 April 2018 (has links)
Le Périple d'Hannon, tel que nous le connaissons par un manuscrit de Heidelberg du IX siècle, est un récit de voyage d'un amiral carthaginois sur les côtes africaines. Le voyage, qui s'inscrit dans le contexte général des relations entre le monde méditerranéen et l'Afrique noire dans L'Antiquité, n'a pas fini d'être un sujet de controverse. Plusieurs érudits tels que H. Tauxier, G, Germain, R, Cornevin et R. Mauny estiment que le texte n'est pas de l’amiral carthaginois et qu'il a été fabriqué par un faussaire au premier siècle de notre ère. Point de vue que nous ne partageons pas, parce que le texte était connu déjà au IIIe et au Ile siècle avant notre ère: Théophraste et Eratosthène y faisaient allusion. Le point central du débat est le parcours de notre navigateur. Les conclusions sont loin de s'accorder sur l'emplacement du "CHAR DES DIEUX", point ultime du périple. Aujourd'hui nous nous trouvons en face de sept hypotheses: Le mont Atlas sur la côte marocaine, le Teide aux. îles Canaries, les Mamelles au Cap Vert, le Kakoulima en Guinée, les monts de Sierra Léone, les monts de Monrovia et le mont Cameroun. P.J.F. Gosselin et R. Mauny, du temps où ce dernier croyait encore à l'authenticité du périple, le limitaient aux côtes marocaines, invoquant des arguments liés aux conditions des navigations dans l'Antiquité et aux manques de vestiges archéologiques de cette époque au sud du Sahara. Ceux qui limitent le périple aux côtes occidentales de l’Afrique estiment qu’Hannon ne disposait pas du temps nécessaire pour aller au-delà du Kakoulima ou des monts de Monrovia. Un dernier groupe d’historiens, parmi lesquels on remarque notamment St. Gsell, J. Carcopino, G. CH. Picard, E. Mveng, J. Ramin etc., estiment que le terme du voyage est le mont Cameroun. Les arguments invoqués par les uns et les autres sont tirés de textes anciens et notamment du fait que la seule montagne volcanique qui soit connue sur la côte ouest africaine est le mont Cameroun. Nous estimons que cette conclusion est juste. La localisation du "CHAR DES DIEUX" est déterminante pour la situation des autres colonies créées par Hannon et notamment Cerné, dont le site varie, selon les savants, des côtes marocaines à l’île Marguérite. Ces principaux points ont relégué au second plan d’autres problèmes relatifs au périple tels que la date, le point de départ, les motifs du voyage, le nombre des colons et des navires, questions auxquelles nous avons essayé de répondre. Nous estimons que le périple d’Hannon n’est pas un faux et que le "CHAR DES DIEUX" est le mont Cameroun. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012

Page generated in 0.0434 seconds