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La croisée des Empires : Monnaie et formes de pouvoir en Lydie aux époques hellénistique et impériale : (336 avant J.C. - 268 de notre ère) / The crossroads of Empires : currency and forms of power in Lydia to Hellenistic and Imperial periods : (336 BC - AD 268)

Hochard, Pierre-Olivier 26 November 2015 (has links)
L’étude de la Lydie antique s’est traditionnellement concentrée sur deux points : les recherches sur les origines de la monnaie et la période lydo-perse d’une part, et la cité de Sardes d’autre part. Cette recherche propose d’étudier cette région à partir d’un corpus numismatique, afin d’établir l’histoire de la Lydie à travers les différentes expériences impériales des époques hellénistique et romaine. Avec la conquête d’Alexandre le Grand et l’installation de l’ordre séleucide, la Lydie entre pleinement dans le monde grec. Avec l’extension de la puissance pergaménienne, et donc la rivalité croissante entre les Attalides et les Séleucides, les cités lydiennes se trouvent au coeur des grands enjeux internationaux de la période. Malgré l’installation romaine à la fin du IIe siècle avant J.-C., la Lydie reste troublée par les tensions de la basse époque hellénistique. L’étude de la période impériale ouvre d’autres perspectives : questionner la rupture traditionnelle entre période hellénistique et romaine, appréhender les conséquences la réforme monétaire d’Auguste, étudier les relations entre hellénisme et romanité et apporter un éclairage nouveau sur la « crise » du IIIe siècle. Cette étude propose d’inscrire la Lydie dans un temps long permettant de questionner les modalités de son intégration aux espaces impériaux qui la dominent et d’interroger les processus d’hellénisation et de romanisation d’une région orientale au passé prestigieux / The study of antique Lydia has traditionally been focused on two lines: research on the origin of the money and the Lydo-Persian period on the one hand, and the city of Sardis on the other hand. The aim of this research is to study the history of this region from a collection of numismatic sources, to establish the story of Lydia through the different imperial experience of the Hellenistic and Imperial areas. With Alexander’s conquest and the installation of the Seleucid’s organisation, Lydia completely joined the Greek world. With the extension of Pergamon’s power, and the rising rivalry between the Attalids and the Seleucids, Lydian cities found themselves at the heart of the time period’s major international issues. Despite the Roman settlement in Asia Minor at the end of the second century B.C., Lydia experienced tensions from lower Hellenistic period on. The study of the imperial period opens up other perspectives: disregarding the traditional separation between the Hellenistic and the Roman periods, grasping the consequences of Augustus’s monetary reform, reviewing the links between Hellenism and Romanity, and providing a new light upon the “crisis” of the Third century. This study would fit Lydia into a long time period, questioning its integration into imperial spaces which prevail over, and questioning the process of Hellenisation and Romanisation of a region which has a glorious past
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La Macédoine grecque, populations, migrations et territoires depuis le début du XXème siècle

Tzimakas, Menelaos 09 April 2014 (has links) (PDF)
L'objet de l'étude est l'évolution de la composition et de la répartition géographique de la population de la Macédoine grecque de l'année 1913 (fixation de frontières actuelles) à nos jours. Les principales populations étudiées sont les populations grecque, musulmane, bulgare, population macédonienne orthodoxe de langue slave, juive, valaque, albanaise (selon les acceptions courantes qui seront définies). Cette évolution sur un siècle se décompose en cinq périodes, chacune étant liée à un ou plusieurs événements qui ont provoqué des migrations. Les causes, la modification de la composition des populations, les problèmes en découlant ainsi que des cartes et des statistiques sont présentées. Une synthèse permet de tirer des conclusions sur l'évolution de la population de la Macédoine et les problèmes associés à l'intégration des différentes minorités.
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La Macédoine grecque, populations, migrations et territoires depuis le début du XXème siècle / Greek Macedonia, populations, migration and territories since the beginning of the twentieth century

Tzimakas, Menelaos 09 April 2014 (has links)
L'objet de l'étude est l'évolution de la composition et de la répartition géographique de la population de la Macédoine grecque de l'année 1913 (fixation de frontières actuelles) à nos jours. Les principales populations étudiées sont les populations grecque, musulmane, bulgare, population macédonienne orthodoxe de langue slave, juive, valaque, albanaise (selon les acceptions courantes qui seront définies). Cette évolution sur un siècle se décompose en cinq périodes, chacune étant liée à un ou plusieurs événements qui ont provoqué des migrations. Les causes, la modification de la composition des populations, les problèmes en découlant ainsi que des cartes et des statistiques sont présentées. Une synthèse permet de tirer des conclusions sur l'évolution de la population de la Macédoine et les problèmes associés à l'intégration des différentes minorités. / The object of my research is the evolution and repartition of the composition of the population of the Greek Macedonia of the year 1913 (fixing of the today’s borders) to our days. The main populations studied are: Greek, Muslim, Bulgarian, Orthodox Macedonian population of Slavic language, Jewish, Vlachs, Albanians (according to definitions that will be explained). This evolution over a century is divided into five periods, each relating to one or more events provocating migrations. The causes, the modification of the composition of the populations, the problems while resulting as well as mappings (cartographies) and statistics are presented. A synthesis allows us to draw from conclusions on the evolution of the population of Macedonia and the problems associated with the integration of various minorities.
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La cité de Séleucie-sur-le-Tigre aux époques séleucide et arsacide

Weyland, Raphaël 11 1900 (has links)
La cité de Séleucie-sur-le-Tigre fut fondée au 4e siècle avant J.-C. par Séleucos Ier, prétendant à la succession de l’empire d’Alexandre le Grand. La taille des ilôts créés lors de cette fondation est inégalée dans le monde hellénistique et témoigne de l’ambition manifestée par le nouveau dynaste. La cité prospéra pendant plusieurs siècles et acquit le statut de résidence royale et de centre administratif. Elle fut cependant conquise par les Arsacides, dynastie rivale, en 129 avant J.-C. Bien que le développement de Séleucie n’en ait pas été immédiatement affecté, la ville se mit à décliner à partir du 2e siècle et disparut vers 200. Pour expliquer ce retournement de situation, la critique moderne a insisté sur la culture des souverains la dominant. Dirigée par les Séleucides, ses fondateurs macédoniens, Séleucie aurait prospéré. Conquise par les Arsacides iraniens, elle aurait été traitée avec défiance et persécutée par ces derniers jusqu’à son effondrement. Cette idée repose notamment sur la mention du caractère grec de la cité par certains auteurs antiques et sur l’influence de ceux-ci sur les analyses des premiers archéologues à avoir fouillé le site. Cette thèse se propose d’étudier les rapports entre la cité et ses souverains tout au long de son histoire afin d’évaluer la part que cette rivalité culturelle supposée y joua. Elle repose sur la comparaison entre la tradition littéraire, essentielle pour établir un canevas chronologique mais orientée par des intérêts politiques, et les découvertes archéologiques des expéditions menées entre 1927 et 1989 à Séleucie. Celles-ci ont mis au jour de nombreux monuments et objets (monnaies, statuettes, sceaux) permettant de nuancer l’idée que la population de la cité ait été au départ ou ait conservé à travers les siècles un caractère grec qui lui aurait valu l’inimitié des Arsacides. D’autres facteurs expliquant le déclin et l’abandon de la ville, comme le déplacement du fleuve ou l’évolution du contexte géopolitique, sont donc proposés. / The city of Seleucia on the Tigris was founded in the 4th century BCE by Seleucos I, one of Alexander’s empire’s Successors. According to the size of it’s original dwelling-blocks, it was designed from the start to be a large and important city. It flourished for some time and became an administrative center and royal residence. In 129 BCE, it was conquered by the Arsacids, a rival dynasty. Seleucia’s development continued unbroken, but the city eventually declined and disappeared around 200 CE. To explain this change, historians underlined the importance of the perceived culture of its old and new sovereigns. Ruled by the Macedonian Seleucids, the city prospered. Under the Iranian Arsacids’ hostile administration, it was ill-treated until it got abandoned. Such analyses have been based on some passages of ancient texts insisting on the Greek character of Seleucia and its inhabitants. Those also influenced the interpretation of the results of the first archaeological digs conducted on the site. This thesis comes back on the relations between the city and both its Seleucid and Arsacid kings in order to evaluate the importance of this supposed cultural rivalry in the development of Seleucia. It compares the written tradition, essential but biased by political imperatives, and the buildings, coins, seals and figurines discovered by American, German and Italian archaeologists between 1927 and 1989. Our results suggest that the city and its population were of a mixed cultural backround and that its supposed Greek character did not play much of a role in its decline. We therefore suggest that other factors explain the disappearance of Seleucia, such as the Tigris changing bed and an evolution in the geopolitical situation of the Near East around 200.

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