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La doctrine de la science de Fichte : idéalisme spéculatif et réalisme pratique

Roy, Manuel January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Le concept d’aliénation de Rousseau à Marx : continuités et transformations / The concept of alienation from Rousseau to Marx : continuities and transformations

Foufas, Nikolaos 12 October 2015 (has links)
La présente étude s’interroge sur le concept d’aliénation, et plus spécifiquement sur sa genèse, son déploiement, son histoire particulière, ses configurations complexes, ses multiples transformations. Trois auteurs sont privilégiés : Rousseau, Hegel, Marx. La tentative d’examiner la notion d’aliénation dans sa forme rousseauiste, hégélienne et jeune-marxienne, a comme point de départ la critique d’Althusser selon laquelle ce concept relèverait d’une vision abstraite, métaphysique, de l’histoire et de l’activité des agents humains. D’après Althusser, l’aliénation est en effet l’expression humaniste d’une philosophie du retour aux origines et de la réunion avec une essence humaine qui se serait perdue. La philosophie de l'aliénation contractuelle (comme fondement de l’institution d’une communauté politique chez Rousseau), la mise en question de la positivité historique dans les écrits du jeune Hegel, et finalement la critique du travail aliéné forgée par le jeune Marx dans ses Manuscrits de 1844, ne seraient-elles toutes au fond que des variations autour d’une même conception essentialiste de l’histoire humaine ? S'écartant d'une telle disqualification indifférenciée, la thèse se propose de mettre en valeur la réflexion originale et singulière que chacun de ces trois auteurs élabore au sujet de l’aliénation, tout en essayant de mettre en lumière ce qu’ils partagent, malgré leurs différences. Car en parlant d'aliénation, il s'agit toujours d'interroger la perte mutilante d’un rapport à soi, à autrui et au monde socialement induite. Et il s'agit toujours aussi de concevoir des conditions historiques jugées dégradantes que l'on doit pouvoir dépasser. En d’autres termes, ce travail se propose de montrer non seulement que l’aliénation ne se réduit pas à une notion abstraite et naïvement humaniste, mais qu’elle forme également un repère incontournable, dès lors qu’elle prend au sérieux la tâche de penser l’impossibilité, pour certains groupes ou certaines classes sociales, de se réaliser et de s'épanouir, sur fond d'une privation durable de ce que peuvent apporter des rapports à soi, aux autres et au monde suffisamment riches et variés. / This study examines the concept of alienation, and focuses more specifically on its genesis, its deployment, its particular history, its complex configurations, its multiple transformations. Three authors are highlighted: Rousseau, Hegel, Marx. The attempt to examine the concept of alienation in the forms that Rousseau, Hegel and the young Marx give it, has as its starting point the criticism of Althusser according to whom this concept rises from an abstract, metaphysical vision of history and from the activity of human agents. According to Althusser, alienation is indeed the humanistic expression of a philosophy of the return to the origins and of a reunion with a human essence that might have been lost. The philosophy of contractual alienation (as the basis for the institution of a political community in Rousseau), the questioning of the historical positivity in the writings of the young Hegel, and finally the critique of alienated labor forged by the young Marx in his Manuscripts of 1844, would they basically all be variations around the same essentialist conception of human history? Diverging from such an undifferentiated disqualification, the thesis proposes to develop the original and singular reflection that each one of these three authors is developing on the subject of alienation, while trying to highlight what they share, despite their differences. Because, speaking of alienation, is always here to question the socially induced mutilating loss of a relation to oneself, to others and to the world. And it is also always a subject to conceive historical conditions considered degrading that must be overcome. In other words, this study intends to not only show that alienation cannot be reduced to an abstract and naively humanist concept, but that it also forms a key benchmark, since it takes seriously the task of thinking of the impossibility for certain groups or certain social classes to achieve self-realization and thrive, amid a sustained deprivation of what can be provided by sufficiently rich and varied relations to oneself, to others and to the world.
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L'aliénation ou l'intelligence de l'autre : l'appauvrissement de l'expérience chez Walter Benjamin / Alienation or in understanding with the other : the impoverishment of experience in Walter Benjamin

Bessat, Caroline 10 December 2013 (has links)
Aux lendemains de la Première Guerre, le bouleversement est social, politique et culturel. Cela se traduit, chez Walter Benjamin, par une pensée de l'appauvrissement de l’expérience. La pensée rationnelle, elle-même, est dans l'impasse. Au regard de la situation, comment dire un monde qui disparaît et celui qui reste ? Nous sommes, avec Benjamin, en présence d'une radicalité qui ne cède rien à la désespérance. Le messianisme est rejoué, à contre-courant du capitalisme et du fascisme qui édictent un sens de l'avenir. C'est une réflexion au gué du temps, qui se tient entre le temps venu d'un changement nécessaire, politique et intellectuel, et le temps où l'on peut dire qu'un changement a eu lieu. Ainsi, à partir de l'appauvrissement de l’expérience, c'est la question des rapports entre théorie et pratique qui est reposée. Il s'agit de penser, et de penser le politique autrement, en faisant intervenir le théologique. Or, le sauvetage de l’expérience demande de retrouver l'étincelle toujours recommencée de la transmission, que nous proposons de dire : être dans l'intelligence de l'autre. / Just after the First World War, political, social and cultural disruptions are in the forefront. In this situation, Walter Benjamin is led to a reflection on the impoverishment of experience. Even rationality has reached deadlock. How to seize by words the world that has disappeared and the one that remains ? With Benjamin, one is confronted with a radicality which concedes nothing to despair. Messianism is reenacted against capitalism and fascism, which both firmly set the direction of the future. One is faced with a‛time-fording’ thought, halfway between the time of an upcoming – both political and intellectual – necessary change, and the time of a new regime of thought. Thus, from the impoverishment of experience arises anew the question of theory and practice. The stake is to think, to think politics in another way, which involves theology. The salvation of experience, nevertheless, demands to revive the ever-rekindling spark of transmission, that is : being in understanding with the other.
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Raison, délire et critique : psychanalyse et critique de la raison chez Adorno et Horkheimer / Reason, madness and critique : psychoanalysis and Critique of Reason by Adorno and Horkheimer / Vernunft, Wahn und Kritik : Psychoanalyse und Vernunftkritik bei Adorno und Horkheimer

Grivaux, Agnès 11 June 2018 (has links)
Nous proposons dans ce travail une interprétation de la référence à la psychanalyse chez Adorno et Horkheimer, en partant de son usage dans un champ inattendu, quoique central : la critique de la rationalité. Adorno et Horkheimer affirment, notamment dans la Dialectique de la raison, que la raison, concept à la fois central et structurant pour la société moderne capitaliste, entre en conflit avec elle-même jusqu'à son autodestruction, qui doit être comprise comme passage dans la folie. Nous entendons soutenir que cette affirmation peut être comprise de manière non-métaphorique par le recours à la psychanalyse, à partir d’une double lecture de leurs écrits, à la fois génétique et micrologique. Nous situons la genèse du croisement entre psychanalyse et critique de la rationalité dans leurs premiers travaux, au moment de traiter du rapport entre psychologie et théorie de la connaissance, d’abord dans une perspective philosophique néokantienne, puis dans le cadre du programme de recherches interdisciplinaires des années trente. Ce croisement précoce conduit Adorno et Horkheimer à s’intéresser tant à la part inconsciente qui travaille les processus de connaissance, qu’à la logique des phénomènes apparemment les plus irrationnels. Nous réinterprétons ainsi les travaux des années trente et quarante comme la mise au jour d’une conjonction de formes spécifiques de rationalisation sociale avec la montée de phénomènes sociaux particulièrement irrationnels, notamment liés à l’émergence du fascisme. Cette conjonction mène alors à la thématisation psychanalytique de l’autodestruction de la raison. Notre thèse est que la mise au jour de ce paradigme critique singulier – qui associe approche psychanalytique, critique de la raison et théorie de la connaissance – révèle de façon cohérente et globale la fonction attribuée à la psychanalyse par ces auteurs : rendre compte de la déraison comme effet de la logique contradictoire que la société moderne capitaliste établit entre nature et histoire. Nous pouvons ainsi conclure notre travail en analysant à quelle condition une théorie de la connaissance dialectique et critique est susceptible de ne pas reconduire l’écueil que la psychanalyse a permis d’identifier au niveau social, à savoir la réduction du rapport entre histoire et nature à un rapport de domination. Nous entendons ainsi montrer les potentialités critiques de ce paradigme dans le cadre des débats contemporains sur les pathologies de la raison. / In this study, we will propose an interpretation of the psychoanalytic references in the works of Adorno and Horkheimer, by starting from the way they are used in an unexpected, and yet central, field: the critique of rationality. Especially in Dialectics of Enlightenment, Adorno and Horkheimer affirm that reason, a concept that is both central and structuring to the modern capitalist society, comes into conflit with itself to the point of its self-destruction, which should be understood as a passage to madness. We intend to defend that this affirmation can be understood, by having recourse to psychoanalysis, in a non-metaphorical manner, starting from a double reading, both genetic and micrologic, of their writings. We situate the genesis of the intersection between psychoanalysis and the critique of rationality in their early works, when they were dealing with the relationship between psychology and the theory of knowledge, at first in a neo-Kantian perspective, then within the framework of the program of interdisciplinary research in the thirties. This precocious intersection led them to become interested as much in the unconscious part which works through the process of knowledge, as in the logic of phenomena which are apparently the most irrational. We therefore interpret their works from the thirties and forties as the unveiling of a conjunction of specific forms of social rationalization with the rising of particularly irrational phenomena, especially related to the emergence of fascism. This conjunction then leads to the psychoanalytical thematisation of reason’s self destruction. Our thesis is that by disclosing this singular critical paradigm – which links together the psychoanalytical approach, the critique of reason, and the theory of knowledge – the function attributed to psychoanalysis by these authors can be revealed in a global and coherent fashion: accounting for unreason as an effect of the contradictory logic that the modern capitalist society establishes between nature and history. We can therefore conclude our work by analyzing on what condition a dialectical and critical theory of knowledge is likely to avoid the pitfall that psychoanalysis has allowed to identify at the social level, i.e. the reduction of the relation between history and nature to a relation of domination. In this way, the critical potentials of this paradigm within the framework of contemporary debates on the pathologies of reason can be brought to light.
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Le roman, poème du monde. Victor Hugo, Theodor Fontane, Thomas Hardy / The Novel, Poem of the World. Victor Hugo, Theodor Fontane, Thomas Hardy

Panter, Marie 15 November 2013 (has links)
Cette thèse porte sur la poétique du roman de Victor Hugo, Theodor Fontane et Thomas Hardy en s'appuyant plus spécifiquement sur l'étude de L'Homme qui rit (1869), Errements et Tourments (1888) et Tess d'Urberville (1891). En rapprochant ces trois romanciers majeurs mais tenus à l'écart des théories générales du roman, il s'agit de montrer le maintien d'une conception du roman moderne comme forme poétique du monde, s'inscrivant dans un horizon de pensée idéaliste, progressiste et critique. Hugo, Fontane et Hardy, romanciers qui se disent avant tout poètes, font le choix de faire du roman une tragédie, forme poétique du monde qui va à l'encontre du prosaïsme moderne et romanesque théorisé par Lukacs, à la suite de Hegel. Face au nihilisme et aux théories du roman réaliste qui voient le jour dans la seconde moitié du XIXe siècle et tentent de définir – au sens restrictif du terme – le genre romanesque, ils retrouvent le modèle du roman romantique et le redéfinissent face au roman réaliste. Leur poétique est alors fondée sur la « poiétisation » de la prose, autrement dit, sur l'imagination, le symbolique et le métaphorique. Ils affirment ainsi la spécificité et la possibilité d'une expérience poétique, c'est-à-dire subjective, héroïque et morale du monde, ainsi que la capacité du roman à produire un savoir poétique sur le monde et l'histoire. / This thesis deals with the poetics of the novel in Victor Hugo, Theodor Fontane and Thomas Hardy, with a specific focus on The Man who Laughs (1869), Trials and Tribulations (1888) and Tess of the d'Urbervilles (1891). By bringing together these three novelists who are widely acknowledged as major writers yet ignored by general theories of the novel, this study will show how a vision of the modern novel as a poetic rendition of reality, with an idealist, progressive and critical background, has maintained itself. Hugo, Fontane and Hardy, three novelists who considered themselves to be poets first and foremost, opted to turn the novel into a tragedy, a poetic rendition of reality which stands in contrast with Lukacs’ post-Hegelian theories of the modern novel as a prosaic literary genre. In the face of nihilism and the theories of the realist novel which surfaced in the second half of the XIXth century and attempted to define – in the restrictive sense of the word – the genre of the novel, they turned back to the model of the Romantic novel and reinvented it at a time when the realist novel was preeminent. Their poetics was therefore based on the “poietisation” of prose, in other words, based on the imaginary, the symbolic and the metaphoric. This enabled them to assert the specificity and possibility of a poetic, that is to say subjective, heroic and moral experience of the world, as well as the ability of the novel to generate poetical knowledge about the world and history.
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Pragmatism and Christian Realism in the Political Thought of Reinhold Niebuhr : An Analysis and Evolution of American Liberalism / Pragmatisme et réalisme chrétien dans la pensée politique de Reinhold Niebuhr : une analyse et évolution du libéralisme américain

Doughty, James 08 December 2017 (has links)
Ce travail visera à analyser la pensée politique du théologien et politologue américain Reinhold Niebuhr (1892-1971), et plus particulièrement la façon dont le Pragmatisme a pu influencer son oeuvre. Critique à l’égard de l’idéalisme libéral de John Dewey (1859-1952), et plus spécifiquement à l’encontre de l’optimisme dont faisait preuve le pragmatisme politique vis-à-vis de la nature de l’homme, Niebuhr n’arriva pourtant pas à échapper à l’influence du pragmatisme, d’où le sujet de ce travail de recherche : les influences du Pragmatisme politique, celui de John Dewey plus particulièrement, sur l’oeuvre de Reinhold Niebuhr et sur son réalisme chrétien. Cette thèse rassemblera les grandes oeuvres des deux penseurs pour comparer la pensée politique de chacun. Selon Niebuhr, la pensée de Dewey n’était qu’une continuation de l’idéalisme des Lumières ; Dewey restait figé dans un optimisme injustifié à propos de la vision globalement bonne de la nature humaine. Néanmoins, malgré cette critique, Niebuhr fut influencé par ce dernier. L’objectif de cette thèse est de souligner ces influences sur le travail de Niebuhr afin de montrer que la pensée niebuhrienne est un prolongement de la pensée pragmatiste de Dewey, démontré par le Pragmatisme chrétien, et que Niebuhr fait partie du courant de pensée libérale malgré lui. Au mépris des différences fondamentales entre les deux hommes, nous allons donc tenter de démontrer que Niebuhr s’inscrit dans une tradition intellectuelle typiquement américaine, le Pragmatisme étant considéré comme le seul mouvement philosophique authentiquement américain, afin de parvenir à une plus grande connaissance de ces deux penseurs majeurs, mais, aussi, du paysage politique américain. / This work aims to analyze the political thought of the American theologian and political scientist Reinhold Niebuhr (1892-1971). More specifically, it will analyze the way in which Pragmatism was able to influence Niebuhr’s writings. Critical towards the liberal idealism of John Dewey (1859-1952), Niebuhr’s Christian realism was a counter against the optimism that political Pragmatism demonstrated in regards to the nature of man. Despite these criticisms, Niebuhr was unable to escape Pragmatism’s influence. This influence is the reason for this research: how political Pragmatism, specifically that of John Dewey was able to have an impact on Reinhold Niebuhr’s works and his Christian realism. This thesis will study the major works of these two thinkers in order to compare the political thought of each thinker. Younger than Dewey, Niebuhr had for a long time considered Dewey’s thought as nothing more than an idealized and outdated continuation of Enlightenment optimism which was incapable of accurately analyzing the contemporary world. Nevertheless, Niebuhr was influenced by Dewey. This thesis’s goal is to highlight the influences of Pragmatism in Niebuhr’s works in order to show that Niebuhrian thought is a continuation of Dewey’s pragmatic thought, specifically through the notions of Christian Pragmatism and therefore, fits within an overall framework of American Liberalism. In spite of the fundamental differences in thought, we are going to attempt to show that Niebuhr was a part of the typically American intellectual tradition, that is to say, Pragmatism; considered to be a uniquely American philosophical movement. It will be analyzed in order to achieve a greater understanding of these important thinkers, but also, of America’s political landscape.
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Le Théâtre de Joséphin Péladan : répertoire analytique de l’œuvre du dramaturge & contribution à l’histoire des idées et à l’étude de l’évolution dramatique de la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle / The complete theatrical works of Joséphin Péladan : analytical repertoire of the playwright’s work and contribution to the history of ideas and the study of the evolution of dramamatic works from the late nineteenth century to the early twentieth century

Darcq, Laure 01 December 2016 (has links)
La thèse, composée de quatre volumes, propose l’ensemble de l’œuvre du dramaturge, à savoir les quinze pièces – dont sept sont inédites –, selon ses différentes caractéristiques : théâtre idéaliste (collaboration artistique), renouvellement de la tragédie antique (scènes de plein air), drames historiques (volonté d’accéder aux théâtres nationaux), adaptations dramatiques (traduction et translation). Les pièces, retranscrites, annotées (variantes et notes), sont accompagnées d’études (introduction et notice). L’introduction générale permet de présenter et de saisir le théâtre de l’écrivain, ses expériences scéniques ainsi que ses considérations sur l’art dramatique. L’édition critique a pour but de donner à lire l’œuvre injustement négligée, en rappelant le rôle important de ce théâtre dans l’histoire des idées et dans l’évolution artistique et littéraire de la fin du XIXe siècle jusqu’au début du XXe siècle. / This is to prepare the scientific edition of the complete theatre work of Joséphin Péladan. The thesis in four volumes offers all of the work of the playwright, namely fifteen plays – seven of which are unpublished – according to its different characteristics: idealistic theater (artistic collaboration), renewal of ancient tragedy (outdoor scenes), historical dramas (willingness to access the national theaters), dramatic adaptations (translation and transposition). The plays, transcribed and annotated (variants and notes), are accompanied by some analysis (introductions and detailed descriptions). The general introduction presents the playwright and allows to understand his complete work, his stage experience and his reflections on the art of drama. The critical edition of the theatrical works of Joséphin Péladan aims to render accessible his plays unjustly neglected in spite of his profound influence on the theatre creation during the late 19th century and the early 20th century.
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L'autodéfinition de l'état canadien : une tentative de mise en évidence de l'influence de l'idéalisme de Michael Ignatieff et de John Ralston Saul dans le discours du Juge en chef de la Cour suprême et dans celui du Gouverneur général du Canada

Richez, Emmanuelle 11 April 2018 (has links)
Le mémoire s'intéresse à l'État et à la pensée idéaliste au Canada, de même qu'à la relation qu'entretiennent ces deux concepts. Plus précisément, il cherche à rendre compte de la structure institutionnelle de l'État canadien et du développement de la pensée idéaliste au Canada, ainsi qu'à s'interroger sur la possibilité que l'Etat canadien se définisse lui-même, par le biais de ses représentants, au moyen de concepts idéalistes. Pour résoudre cette problématique, l'étude de cas est la stratégie de recherche retenue. Celle-ci tentera de mettre en évidence l'influence de l'idéalisme de Michael Ignatieff et de John Ralston Saul dans le discours de Beverley McLachlin, Juge en chef de la Cour suprême, et dans celui d'Adrienne Clarkson lorsqu'elle était Gouverneure générale du Canada.
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Les dialectes de la dialectique: sens et usage du langage chez Hegel

Lejeune, Guillaume 25 February 2012 (has links)
La thèse s’intéresse au sens et à l’usage du langage chez Hegel à travers une reconstruction de la dialectique et de ses dialectes. <p>Dans la première partie, nous avons reconstruit la théorie implicite du langage à partir des occurrences du thème et de la structure de la philosophie hégélienne. Après une étude génétique et systématique du langage chez le philosophe, nous avons abordé le rapport du langage à la logique. Nous avons alors montré que Hegel essaye moins de construire un langage pour la pensée comme c’est souvent le cas dans les formalismes logiques que de montrer comment la pensée se fait discours dans le langage. A l’issue de cette première partie, il est donc apparu que le langage était moins étudié comme un objet à décrire analytiquement que comme l’élément dans lequel la pensée devenait le discours de l’auto-constitution du sens.<p><p>Une fois ce sens du langage dégagé, nous avons analysé dans la seconde partie, la façon dont Hegel usait du langage pour faire ressortir son discours visant à articuler le sens en son absoluité. Notre démarche essentiellement propédeutique a alors pris un tour problématique, puisque nous avons fait ressortir qu’il y avait une tension entre les textes de philosophie et les textes sur la philosophie. En effet, si le discours philosophique exprime le sens tel qu’il se forme dans le langage, il semble inopportun de faire précéder ce discours de textes tels que des préfaces où des introductions qui ne donnent qu’un point de vue indirect sur la chose. Plus précisément, la dialectique du savoir se formant dans le langage semble perdre dans les textes en marge du système l’intimité requise d’un sens se faisant expérience. Hegel en formulant la philosophie première comme une dialectique autoréférentielle du concept serait pris dans le dilemme suivant :le système interdirait tout texte référentiel (préface, introduction) tout en les nécessitant pour se laisser communiquer. En bref, l’autoréférence au fondement de l’horizon du sens chez Hegel se contredirait dans la communication que vise à établir l’aspect dialogique des préfaces et des introductions. La question que nous avons alors essayé de résoudre est celle de savoir si dialectique et dialogique étaient vraiment à opposer. Après avoir montré que des penseurs comme Schlegel ou Schleiermacher pensaient ces deux concepts ensemble, nous avons fait apparaître que le concept de dialogique pensé dans son historicité s’était vu délimiter concurremment à la grammaire et à la rhétorique des bornes variables. Nous avons alors soutenu la thèse selon laquelle cette plasticité pouvait également s’attacher à la notion de dialogique. Plus précisément, l’opposition apparente de ces deux termes chez Hegel a été mitigée à l’aune d’un concept de dialogique basé sur une relation « Je-Nous ». En montrant que chez Hegel le dialogique des préfaces référait à un « Nous » englobant, le problème de la communication de sa philosophie à travers des textes exotériques n’est plus apparue comme contredisant la structure autoréférentielle du système. Nous avons, par là, fait apparaître que la dialectique de l’élaboration dans le langage pouvait se décliner en des dialectes dialogiques qui, prenant place dans l’espace autoréférentiel de la relation « Je-Nous », n’infirmaient pas le concept d’expérience du sens. <p><p>En guise de conclusion, nous avons esquissé de façon prospective le potentiel d’une telle théorie dans un contexte plus contemporain. Nous avons à cet égard voulu répondre aux critiques de Habermas ou de Gadamer taxant le système hégélien de monologue de l’absolu oublieux du caractère dialogique de la parole et de la communication en montrant l’intérêt qu’une vue plus nuancée sur la pensée dialectique hégélienne pouvait avoir pour la pensée contemporaine.<p> / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Luc-Olivier Merson (1846-1920) : de la peinture d’histoire à la peinture décorative / Luc-Olivier Merson (1846-1920) : from History Painting to Decoration

Stevenin, Anne-Blanche 27 November 2009 (has links)
Élève de l’École des beaux-arts de Paris, Luc-Olivier Merson obtient en 1869 le premier grand prix de Rome de peinture d’histoire, titre qui lui permet de parfaire sa formation pendant quatre années en Italie. Artiste reconnu de son vivant, Merson expose régulièrement au Salon parisien, avant d’ouvrir l’éventail de son talent à la décoration et à l’illustration. Au-delà de son goût pour la peinture monumentale, il affirme sa dilection pour l’art religieux dont il bouscule les conventions, grâce à des sources iconographiques recherchées et des sujets rares. Entre Académisme et Symbolisme, Merson confirme sa prédisposition pour le dessin, privilégiant la ligne, tout en entretenant un caractère coloriste subtil et recherché. En s’affranchissant de l’influence de son père Olivier Merson, critique d’art, et en dotant ses réalisations d’archaïsme et d’idéalisme, Luc-Olivier Merson est désormais considéré à juste titre comme l’un des précurseurs du Symbolisme. L’étude de la vie et de l’œuvre de Luc-Olivier Merson permet de comprendre les choix esthétiques et les audaces d’un artiste, trop souvent – et hâtivement – qualifié de Pompier par l’historiographie du vingtième siècle. / In 1869, when a student at the École des Beaux-Arts de Paris, Luc-Olivier Merson received the Rome Prize in history painting. The award allowed him to complete his training with four years of study in Italy. A well-known artist in his own time, Merson showed regularly at the Paris Salon before broadening the scope of his creative activity to include decorative painting and illustration. Beyond his taste for monumental painting, he evinced a keen interest in religious art, whose conventions he overturned, making use of recondite iconographic sources and unusual subjects. Suspended between Academism and Symbolism, Merson displayed a penchant for drawing, always privileging line, even as he maintained a subtle and refined sense of color. Having emerged from the shadow of his father, the art critic Olivier Merson, and endowed his work with a self-conscious archaism and idealism, Luc-Olivier Merson might justly be classed among the precursors of Symbolism. By studying the life and work of Merson, we may come to understand the aesthetic choices and the audacity of an artist too often—and too hastily—termed “Pompier” in twentieth-century art historiography.

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