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Michael Tangl (1861-1921) und seine Schule : Forschung und Lehre in den Historischen Hilfswissenschaften /Schaller, Annekatrin. January 1900 (has links)
Diss.--Berlin--Humboldt-Universität, 2001. / Bibliogr. p. 351-363. Bibliogr. des publications de Michael Tangl, p. [364]-375.
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L'avant-garde russe face à la "terreur de l'histoire" : historiosophie et historiographie dans les Doski sub'by de Velimir Xlebnikov et dans l'art analytique de Pavel FilonovCloutier, Geneviève January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Le contextualisme en histoire des idées politiquesLapointe, Alexis January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'avant-garde russe face à la "terreur de l'histoire" : historiosophie et historiographie dans les Doski sub'by de Velimir Xlebnikov et dans l'art analytique de Pavel FilonovCloutier, Geneviève January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Vom Ende der Geschichte : Rekonstruktionen zum Posthistoire in kritischer Sicht /Jung, Thomas, January 1989 (has links)
Diss.--Osnabrück--Universität Osnabrück, 1989.
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Force et résistance dans la philosophie politique de Hegel / Force and resistance in Hegel's political philosophyBurgess, James Peter 26 March 2010 (has links)
L’objet de la recherche est de développer une interprétation du couple conceptuel de « force » et de « résistance » comme déterminant de l’unité entre les deux grands domaines du Système de la Science de Hegel, celui de la logique et celui de l’histoire. Le point de départ du travail est l’ambition du projet hégélien qui vise à mettre en évidence la nécessité systématique et la cohérence historique de toute la réalité empirique. A travers tout le Système de la Science Hegel trace la montée d’un même esprit à travers les étapes d’un unique parcours dialectique. Le présupposé du projet est donc l’homogénéité conceptuelle des termes et la continuité du champ de l’objet. Le défi de Hegel consiste à relier, sous la même égide, tout ce qui est. L’hypothèse centrale de la recherche est que la dialectique hégélienne ne se laisse réduire ni à une logique purement métaphorique de « force » et de « résistance », ni à une logique purement physique ou mécanique de ce même couple. Cette hypothèse est conforme au projet de Hegel. / The aim of the research is to develop an interpretation of the conceptual pair ‘force’ and ‘resistance’ as a determinant of the unity between to major areas of Hegel’s System of Science, namely, logic and history. The point of departure for the work is the ambition of the Hegelian project, which seeks to clarify the systematic necessity and historical coherence of all empirical reality. Hegel traces, across the entire System of Science, the ascension of a single spirit following all the stage of the dialectical progress. The presupposition of the Hegel project is the conceptual homogeneity of the terms and the continuity of the of object’s field. Hegel’s challenge consists of uniting under the egis, everything that exists. The central hypothesis of the research is that the Hegelian dialectic can neither be reduced to a purely metaphorical logic of ‘force’ and ‘resistance’, nor to a purely physical or mechanical logic of this pair. This hypothesis stands in conformity with Hegel’s project.
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Le discours historique comme objet politique : regard sur l'enseignement de l'histoire du Québec du niveau secondaire de 1967 à 2012Lemieux, Olivier January 2014 (has links)
Ce mémoire traite de la présence des grands courants idéologiques et des grandes générations historiographiques au sein des programmes et des manuels scolaires d’histoire du Québec de 1967 à 2012. Plus précisément, il interroge les trois principaux programmes d’histoire du Québec, et les manuels qui en découlent, ayant vu le jour depuis la création du ministère de l’Éducation du Québec, soit le programme de 1967, de 1982 et de 2007. Pour ce faire, il joint à certaines méthodes d’évaluation de programmes, à la fois le codage appliqué à l’analyse de discours, la lexicométrie et l’analyse statistique. Par ce processus, il a été possible de relever les continuités et les ruptures des visées des programmes et du discours des manuels. Ainsi, ce mémoire se penche-t-il sur un certain nombre de thématiques et de prémisses mises de l’avant lorsqu’avait lieu la polémique entourant le programme du cours d’Histoire et éducation à la citoyenneté en 2007. Accusé souvent d’utilitariste, d’ultralibéral, de multiculturaliste ou de socioconstructiviste, ce programme est en effet au cœur d’une transformation paradigmatique. Cependant, s’il y a bel et bien un changement idéologique, ce mémoire démontre que ce changement s’est fait en continuité avec les programmes et les manuels précédents. En fait, la seule véritable rupture pouvant faire office d’un changement paradigmatique est en matière d’historiographie : non seulement assistons-nous à la disparition de l’historiographie québécoise au sein de ce programme, mais aussi à sa diminution flagrante dans les manuels. Par le fait même, nous en venons à la conclusion que la polémique entourant le programme de 2007 fut surtout – bien plus que ce que l’on a voulu l’avouer – une confrontation de nature disciplinaire.
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Apprendre en histoire à l'école élémentaire : analyse didactique de l'activité cognitivo-langagière en classe / Learning in history at elementary school : didactic analysis of the cognitive and linguistic activity in the classroomSouplet, Catherine 01 October 2012 (has links)
Dans le champ de la didactique de l'histoire, cette thèse vise à enrichir la question des apprentissages des élèves à l'école élémentaire. En s'appuyant sur un corpus de données construit à partir de l'observation non participante des leçons d'histoire dans une classe de CM1 durant une année scolaire, ce travail de recherche permet de mieux comprendre l'activité mobilisée par les élèves en situation. Les constats proposés sont issus de l'analyse didactique des productions langagières, essentiellement orales, des acteurs que sont les élèves et le professeur. Cette analyse est menée à partir d'une méthodologie qui mobilise des notions théoriques issues de la didactique de l'histoire, de l'épistémologie de l'histoire scientifique, de la didactique du français langue maternelle, de la psychologie sociale. Le lien langage-apprentissage y est examiné en fonction des contraintes induites par la discipline histoire. L'interprétation des données permet de mettre en évidence la configuration des savoirs élaborés dans la classe et les modalités d'élaboration de ces savoirs tant au niveau collectif qu'aux niveaux individuels, en soulignant les particularités de l'activité cognitive mobilisée par les sujets apprenants. S'ils attestent de l'empreinte de la discipline dans les processus observés, les constats de cette recherche spécifient également la discipline scolaire histoire en la situant à l'école élémentaire / In the field of history didactics, this thesis aims to broaden and enrich the question of pupils' learning processes in elementary school. Based on a corpus of data built thanks to the non-participating observation of history lessons in a CM1 class (9 year-old children) during a school year, this research work enables to better understand the type of activity used by pupils in a learning situation. The suggested conclusions stem from the didactic analysis of linguistic productions, mostly oral, from the actors, i.e. the pupils and the teacher. This analysis is based on a methodology referring to theoretical notions developed in history didactics, scientific history epistemology, didactics of French as a native language. and social psychology. The link between language and learning is studied contingent on the constraints created by History as an academic subject. The interpretation of data highlights the configuration of knowledge formed in the classroom, and the modality of elaboration of this knowledge both at the collective and individual levels, emphasizing the particularity of the cognitive activity employed by the learning subjects. If they reflect the importance of the topic studied in the observed processes, the conclusions from this research also define the academic subject "History" by situating it in elementary school
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La philosophie de l'histoire chez Marcel Gauchet : les apports théoriques de la phénoménologie, du structuralisme et de l'herméneutiqueMorisset, Charles January 2009 (has links) (PDF)
Le pari que nous avons pris ici, consiste à éclairer la question de la philosophie de l'histoire chez Marcel Gauchet à l'aide d'une analyse des apports de trois sources théoriques qui déterminent l'anthroposociologie transcendantale soit la phénoménologie, le structuralisme et l'herméneutique. Notre hypothèse se situe dans le désir de vérifier la justesse des thèses qui imputent une philosophie de l'histoire déterministe et téléologique à la pensée historique de Marcel Gauchet. Si tel était le cas, l'histoire serait alors réduite à être celle d'un processus structural qui, en dernière analyse, déterminerait de manière absolue les possibles des phénomènes politiques aussi différents que la religion chez les peuples primitifs et la modernité politique. Notre intuition fut que braquer l'analyse sur la question de l'origine abolirait la thèse selon laquelle, au terme d'une succession progressiste de l'histoire, l'hétéronomie mènerait nécessairement à l'autonomie. Ainsi, une analyse de la philosophie de l'histoire chez Gauchet demande de s'interroger sur la condition de possibilité de l'histoire, soit l'ontologie du social historique qui sous tend, chez Gauchet, le devenir historique du politique au sein du monde social-humain. Pour y arriver, nous avons pris une distance par rapport aux interprétations qui étaient faites jusqu'alors de la pensée de Marcel Gauchet. En effet, celles-ci se limitaient principalement à deux types d'analyses, soit son approche politique du fait religieux, soit son interprétation de l'histoire comme avènement progressif des sociétés de l'autonomie. Nous avons plutôt décidé de replacer la pensée gauchetienne au coeur des débats théoriques et épistémologique plus fondamentaux qui touchaient la philosophie et les sciences humaines françaises de la deuxième moitié du XXe siècle. L'oeuvre de Gauchet est donc replacée d'emblée au sein des débats qui touchent la pensée française des années 1960-70 -débats qui avaient pour enjeux principal le statut de l'hégélano-marxisme. Au delà d'une ressaisie détaillée du devenir historique et de sa mécanique, la philosophie de l'histoire est à comprendre chez Gauchet en fonction des apports théoriques et des débats entourant l'influence de la phénoménologie, du structuralisme et de l'herméneutique au sein des sciences humaines. Comprendre ces apports théoriques s'avère nécessaire afin de ressaisir le sens originaire, ontologique et historique que prend le fait social et politique chez Gauchet. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Gauchet, Structuralisme, Phénoménologie, Herméneutique, Origine.
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Relations entre le cadre normatif et les dimensions téléologique, épistémologique et praxéologique des pratiques d'enseignants d'histoire et éducation à la citoyenneté : étude multicasDemers, Stéphanie 11 1900 (has links) (PDF)
Cette thèse s'intéresse au système des pratiques enseignantes dans un contexte de changement paradigmatique sur le plan épistémologique. Au Québec, ce changement est formalisé par le renouvèlement des injonctions curriculaires et des finalités normatives qui les sous-tendent. Or, la recherche sur les changements curriculaires témoigne des relations complexes entre la nature du changement et les réactions des acteurs (Perrenoud, 1999). Elle démontre notamment que les curricula restent des prescriptions vides de sens et inopérantes si elles ne tiennent pas compte des logiques de fonctionnement des pratiques enseignantes. Ces dernières, en tant qu'actions sociales structurées et structurantes, impliquent que les enseignants, tant par leur conscience pratique (dont font partie les savoirs expérientiels et les normes intériorisées telles les croyances épistémologiques) que par leurs propres finalités et en fonction des conditions de leur action, évaluent la légitimité et la validité des énoncés curriculaires (Habermas, 1987). Chez les enseignants québécois du domaine Histoire et éducation à la citoyenneté, les changements au curriculum global ont été conjugués à un changement paradigmatique qui a engendré un débat sur la légitimité et la validité des finalités explicites de la discipline et de son apprentissage, particulièrement en ce qui concerne l'histoire nationale (Dagenais et Laville, 2007). C'est dans ce contexte que les enseignants d'histoire nationale doivent se construire une représentation de leur travail, donner un sens au programme de formation et interpréter les finalités qui s'y trouvent (Lessard et Tardif, 2002; Schutz, 1987). Il est toutefois difficile de savoir comment se joue cette dynamique dans la pratique enseignante au quotidien et de façon concrète. Dans le cadre de cette recherche, nous avons fait du système des pratiques enseignantes notre objet d'étude afin de comprendre par quels moyens les enseignants d'Histoire et éducation à la citoyenneté (HEC) au deuxième cycle secondaire concilient les finalités du programme avec la forme scolaire, les attentes sociales qui balisent leurs pratiques enseignantes et leurs schèmes subjectifs. La question de la dynamique entre les finalités curriculaires du programme d'HEC et le système des pratiques enseignantes a été abordée sous l'angle des pratiques sociales, plus particulièrement par le biais de la théorie de la structuration de Giddens (1979), qui s'inscrit dans une perspective culturaliste praxéologique. Le recours à cette perspective théorique a permis d'appréhender les pratiques enseignantes selon la double herméneutique qui caractérise la négociation entre le singulier (l'enseignant comme agent social) et le générique (la structure curriculaire, scolaire et culturelle). Afin de rendre compte de la complexité du système de la pratique sociale qu'est l'enseignement de l'histoire, nous avons privilégié une étude multicas d'orientation interprétative. Les croyances épistémologiques de 26 enseignants d'HEC du deuxième cycle secondaire ont été identifiées à l'aide d'un questionnaire portant sur les croyances relatives à l'enseignement et à l'apprentissage de l'histoire (Maggioni, VanSledright et Alexander, 2009). L'analyse des résultats issus de ce questionnaire a permis d'identifier quatre cas typiques et trois cas atypiques. Des entrevues semi-dirigées réalisées auprès de chacun de ces sept enseignants, portant sur leurs finalités subjectives et soumises à une analyse thématique (Paillé et Mucchielli, 2003), suivies de l'observation par vidéoscopie de deux séances de cours par enseignant, également soumises à l'analyse thématique, ont permis de générer un portrait de chaque système des pratiques de ces enseignants. Ces systèmes ont été comparés les uns aux autres (Yin, 2003) afin de dégager les patterns communs aux pratiques, ainsi que leurs dimensions singulières, puis une analyse situationnelle phénoménologique et structurale (Paillé et Muccchielli, 2003) de ces patterns a permis de saisir des logiques culturelles globales des pratiques. Ces résultats ont mis en lumière certains facteurs culturels structuraux et contextuels qui agissent sur l'évaluation par les enseignants de la non-légitimité du curriculum et de ses fondements, ainsi que sur la persistance de pratiques transmissives et magistrocentrées.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : pratiques enseignantes, épistémologie, analyse structurale, enseignement de l'histoire, histoire nationale
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