• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 3
  • 1
  • Tagged with
  • 4
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Langue et identité en Lozère : singularités sociolinguistiques à l'aune d'un positionnement de chercheur de terrain-résident. / Language and Identity in Lozère : sociolinguistic singularities with regard to the positioning of a field researcher/resident.

Sacleux, Patrick 11 December 2015 (has links)
Lorsqu'un chercheur s'installe sur un terrain de recherche durablement, en tant que résident, il est à même d'obtenir des réponses plus véridiques, de la part de ses enquêtés, que s'il était uniquement de « passage ». L'analyse thétique a été de mesurer le lien entre la faculté des natifs Lozériens de communiquer en langue vernaculaire avec leur sentiment identitaire dans une situation diglossique où la péjoration du « patois » n'est plus aussi prégnante que dans le passé. Dans le département le moins peuplé de France où la ruralité ne rime pas nécessairement avec l'isolement rural, les influences séculaires des départements limitrophes, ainsi que le mode de vie ancestral des Lozériens, ont forgé une identité commune ancrée autour de l'entraide, la convivialité, la générosité des propos, le partage des valeurs traditionnelles et l'accueil de l'Autre. L'utilisation du cadre théorique de l'interaction symbolique permet d'encadrer cette recherche pour cerner des représentations sociolinguistiques liées à la culture occitane. L'histoire de la Lozère, sa géographie, les zones géolinguistiques définies pour les enquêtes par entretiens, sont autant d'éléments épistémologiques qui permettent de mettre en exergue la ruralité, l'enclavement et la survie des populations autochtones et de tenter d'endiguer la substitution linguistique pour assurer une transmission de la langue d'héritage dans les générations futures afin d'éviter de répéter le traumatisme qu'ont subi les « anciens » lorsque l'emploi du « patois » était réprimandé dans le cadre d'une hégémonie linguistique en français à l'école. / When a researcher settles for a long time, as a resident, in his research field, he is able to obtain answers, from his/her interviewees, that are more truthful, than if he were to simply stay for a limited time there. The analysis of this dissertation was to measure the link between the ability from Lozerian natives to communicate in the vernacular language with their sense of identity in a diglossic situation where the stigmatization of that dialect is not longer as pregnant as in the past. In the least populated area in France where rurality does not necessarily mean rural isolation, the secular influences of nearby areas, as well as the ancestral way of life of the Lozerian natives, have forged a common identity anchored around mutual assistance, conviviality, the generosity of discourse, the sharing of traditional valeues and the welcoming of the Other. The use of the theoretical framework of symbolic interaction allows us to structure this research to grasp sociolinguictical representations linked to the Occitan culture. The history of Lozère, its geography, the geolinguistic zones defined for the field research, are all epistemologic elements that permit to showcase rurality, isolation and the survival of indigenous populations in order to try to contain the linguistic substitution to ensure the transmission of the heritage language in future generations so that we prevent the repetition of the trauma that older folks have felt when the use of the regional dialect was prohibited in the linguistic hegemonic framework in French, while in school.
2

Dynamique holocène du paysage et mobilités des pratiques territoriales au mont Lozère (Massif central, France) : Approche paléoenvironnementale multi-indicateurs à haute résolution spatio-temporelle / Evolución del paisaje holoceno y movilidad de las prácticas humanas en el Mont Lozère (Macizo Central, Francia) : Estudio paleoambiental multi-proxy a alta resolución espaciotemporal

Servera-Vives, Gabriel 12 December 2014 (has links)
Un total de cinq séquences a été étudié sur le Mont Lozère afin de reconstruire la dynamique paysagère et les usages du sol sur la longue durée. L’approche multiproxy utilisé a permis de déterminer les principaux rythmes d’anthropisation et de déterminer son caractère régional et/ou local. Ce travail mené à haute résolution spatiale, chronologique et analytique a permis d’intégrer les résultats avec les données obtenus dans le cadre du PCR-Mont Lozère, afin de caractériser les modes d’occupation de la montagne qui ont modelé ce paysage culturel depuis le Néolithique jusqu’à nos jours. Une longue histoire des interactions socio-environnementales a été mise en évidence au Mont Lozère, avec une première phase à caractère agropastoral dès le Néolithique ancien, vers ca. 4550-4400 cal BC. Le Néolithique final est une période clé caractérisée par un important impact agropastoral fondé sur l’utilisation du feu pour l’ouverture de clairières. Pendant l’Âge du Fer, un déboisement marqué dans les espaces d’altitude et de piedmont coïncide avec un développement des activités agropastorales et métallurgiques. Le Haut Moyen Âge se caractérise par l’amplification des déforestations, contemporaines d’un essor des activités agropastorales. Durant le Moyen Âge Central, un système diversifié d’exploitation des ressources naturelles inclue de la métallurgie, l’agriculture, le pastoralisme, l’extraction minière et le charbonnage. Le développement agropastoral du Bas Moyen Âge aboutit à une déforestation marquée du massif qui s’étend jusqu’à la moitié du 19ème siècle, quand commencent la déprise agropastorale et les reboisements au Mont Lozère. L’histoire de la nardaie qui caractérise les espaces sommitaux suit ces phases majeures de l’anthropisation et dévoile le rôle clé qu’a joué l’agropastoralisme dans la genèse et l’évolution de ce paysage culturel de moyenne montagne. / Five sedimentary sequences have been studied in the Mont Lozère with the aim to reconstruct the landscape dynamics and the land-use through the longue durée. The use of a multi-proxy analysis has allowed us both to identify distinct rhythms of human-induced landscape shift and to establish the local/regional extent of these changes. The use of high spatial, chronological and analytical resolution has enabled a correct integration of the results of this research with those supplied by the PCR-Mont Lozère project. As a result, a series of land-uses in a mountain environment from the Neolithic to present time has been proposed. A long history of socio-environmental interactions in Mont-Lozère is evidenced. A first shepherding phase in Early Neolithic (4550-4400 cal BC) has been evidenced. During Late Neolithic pastoral practices and related slash-and-burn strategies attain its highest activity. In the Iron Age Period a noticeable deforestation of both foothills and higher environments takes place as a consequence of the overall increase farming and metallurgical activities. Forest clearances increase even more during High-Medieval times, at the same time that farming activities reinforce. During the Middle Ages a more complex and diversified land-use system, including farming, metallurgy, mining and charcoal production, is recorded. The development of farming activities in the Late Medieval resulted in a more evident forest clearance of the Massif. This area remained unchanged until the 19th century, when the decay of agriculture and shepherding occurs and forest replanting in Mont Lozère is recorded. The history of highland herb communities of Nardus stricta correctly matches the main phases of land-use and underlines the key-role of farming in the genesis and evolution of this cultural landscape. / Se han estudiado cinco secuencias sedimentarias en el Mont Lozère con el objetivo de reconstruir la dinámica paisajística y los usos del suelo en la longue durée. La utilización de un análisis multiproxy ha permitido determinar los principales ritmos de antropización y establecer su carácter regional y/o local. La alta resolución espacial, cronológica y analítica hapermitido la integración de resultados con aquellos obtenidos en el marco del PCR-Mont Lozère y proponer los usos de la montaña que han modelado el paisaje cultural desde el Neolítico hasta la actualidad. Se ha evidenciado una larga historia de las interacciones socioambientales en el Mont Lozère, con una primera fase de carácter agropastoral en el Neolítico Antiguo, en ca. 4550-4400 cal BC. El Neolítico Final es una fase de marcado impacto agropastoral en la que se generalizan las quemas para abrir claros en el bosque. En la Edad del Hierro se inicia una marcada deforestación en el piedemonte y los espacios de altitud, coincidiendo con un desarrollo agropastoral y metalúrgico. En el periodo altomedieval se amplifican las deforestaciones coincidiendo con un marcado incremento de las actividades agropastorales. En la Plena Edad Media se evidencia un sistema diversificado que implica metalurgia, agricultura, pastoreo, minería y carboneo. El desarrollo agropastoral de la Baja Edad Media supone una marcada deforestación en el macizo que se extiende hasta mitad del s. XIX, momento en que se inicia el declive del agropastoralismo y empiezan las reforestaciones en el Mont Lozère. La historia de las formaciones herbosas con Nardus stricta de los espacios somitales sigue estas principales fases de antropización y revela el papel clave del agropastoralismo en la génesis y evolución de este paisaje cultural.
3

Mettre en débat l’état de référence. Analyse des représentations des dynamiques paysagères au prisme des services écosystémiques

Moreau, Clémence 15 March 2019 (has links) (PDF)
Dans les territoires de montagne en Europe, les paysages évoluent sous l’effet d’une double dynamique : l’augmentation du couvert forestier et l’intensification des paysages agricoles. A partir d’un cas d’étude, le Mont Lozère, nous montrons comment ces deux dynamiques peuvent rentrer en tension, en explorant la question des choix sociaux liés aux dynamiques paysagères. Nous développons dans cette thèse un cadre conceptuel original, qui associe le concept de service écosystémique avec celui de l’état de référence, que nous avons mis en oeuvre par une démarche compréhensive et un dispositif de recherche-action. A travers l’étude des représentations, nous avons mis à jour un glissement de l’état de référence au sein des paysages agricoles, perçu différemment par les acteurs. Nous avons ensuite révélé les mécanismes sous-jacents aux choix liés aux dynamiques des paysages agricoles, ce qui nous a permis d’identifier un besoin de concertation autour de l’état de référence. Nous y avons répondu par une proposition concrète à travers un jeu de rôles, destiné à mettre les acteurs en situation d’apprentissages et à les accompagner vers des choix plus concertés. Notre contribution porte à la fois sur la question de la conciliation de différents objectifs dans les aires protégées, le rôle de l’état de référence dans la gouvernance des paysages et la plus-value scientifique et opérationnelle du concept de service écosystémique.
4

Les céramiques en territoire arverne et sur ses marges de l'antiquité tardive au haut moyen âge (fin IIIe - milieu VIIIe siècle) : approche chrono-typologique, économique et culturelle / [Ceramics in arvern territory and its margins from late antiquity to early middle ages (end of IIIrd century - mid VIIIth century) : chrono-typological, economical and cutural approach]

Chabert, Sandra 25 November 2016 (has links)
La méconnaissance de l’Auvergne durant l’Antiquité tardive tient en partie à l’absence de référentiels chrono-typologiques. La découverte récente d’ensembles céramiques conséquents et la reprise de données anciennes permettent aujourd’hui de combler ce vide documentaire. Ce travail se propose ainsi de dresser un nouveau panorama du territoire arverne durant l’Antiquité tardive et le très haut Moyen Âge (fin IIIe-milieu VIIIe siècle), d’un point de vue économique et culturel par l’étude de la céramique. L’évolution des répertoires montre que les faciès antiques persistent jusqu’au VIe siècle de même que les pratiques culinaires et les manières de table. Diversifiées jusqu’au Ve siècle, les formes et les catégories céramiques s’uniformisent au VIe siècle et, à partir du VIIe siècle, les productions réductrices et les récipients fermés à usage culinaire prédominent. L’étude d’ensembles funéraires des IVe et Ve siècles montre l’insertion du territoire arverne dans l’évolution des pratiques funéraires alors en cours en Gaule. L’Auvergne se démarque néanmoins par le nombre élevé des vases céramiques déposés dans les tombes et par la préférence donnée aux récipients à solides dans la composition du repas funéraire.Les importations indiquent que le territoire arverne est bien inséré dans les circuits commerciaux à la fin de l’Antiquité. Leurs quantités parfois faibles suggèrent cependant un approvisionnement parcimonieux, qui place l’Auvergne aux confins des aires de diffusion de la plupart des productions commercialisées, comme en « bout de circuits ». Les correspondances établies avec les céramiques des IVe et Ve siècles des autres régions de Gaule du Centre montrent l’existence de traditions de fabrication communes et l’ensemble de ces territoires pourrait appartenir à une même entité économique et culturelle. Le sud du territoire arverne apparaît en revanche tourné vers les régions méridionales, comme l’a montré l’étude des céramiques des VIe et VIIe siècles du site lozérien de La Malène, influencées par les faciès de Gaule du Sud / The sparse knowledge of the late antiquity in Auvergne is partly due to the absence of chronological typology for this period. The recent uncovering of significant ceramic assemblages and the reassessment of pastdata make it possible today to fill this research gap. This thesis attempts to bring new light to the Arverne territory, its economy and culture, in the late antiquity and the early middle ages (from the late 3rd century to the mid-8th century), through the study of its pottery. The evolution observed in the repertory shows that the antique facies remained until the 6th century, as well as the culinary practices and table manners. Until the 5th century,forms and types of ceramics are very varied, becoming more standardized in the next century, and finally starting in the 7th century, closed culinary vessels are predominant.The study of funerary assemblages from the 4th and 5th centuries, demonstrates how the Arverne territory participated in the general evolution of funerary practices in Gaul. However the Auvergne region stands out by the considerable number of ceramic vases found in tombs and the clear preference for solid food vessels in funerary repasts.The presence of imported goods is evidence that the Arverne territory was part of the commercial routes by the end of Antiquity. However the small amounts of importations imply a parsimonious procurement, which would mean that the Auvergne region was actually located on the outer limits of the distribution areas of most industrial productions. The correlations established with 4th and 5th century pottery from other areas of Central Gaul could be proof of a common tradition of production, and how such territories could have possibly belonged to a same cultural and economic entity. The South of the Arverne territory seemed however more influenced by southern Gaul as shown by the study of 6th and 7th century pottery from the lozerian site of La Malène

Page generated in 0.0347 seconds