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Évaluation de l'effet de la perturbation du sol de l'entre-rang sur la répartition des mauvaises herbes chez le maïs et le soyaTardif-Paradis, Corinne 19 April 2018 (has links)
La détection des mauvaises herbes en temps réel permettrait de faire des économies d’herbicides. Actuellement, les technologies de détection en temps réel ne permettent pas de différencier les mauvaises herbes de la culture de façon rapide et précise. Il serait cependant possible d’utiliser l’entre-rang, là où la culture est absente, dans le maïs et dans le soya pour estimer les mauvaises herbes. L’objectif de cette recherche est de vérifier si le recouvrement, la biomasse et le dénombrement des mauvaises herbes sur l’entre-rang sont représentatifs de ceux sur le rang suite à une perturbation. Les perturbations testées incluaient le passage du semoir, de la roue de tracteur, d’une roue plombeuse et d’une dent. Dans le maïs, le couvert de mauvaises herbes est inférieur sur l’entre-rang alors que dans le soya il est légèrement supérieur dans l’entre-rang. L’entre-rang non perturbé lors du semis dans le soya et l’entre-rang perturbé par la roue de tracteur dans le maïs pourraient être utilisés pour détecter le couvert de mauvaises herbes sans générer de biais par rapport au rang. / Site-specific weed management using real time detection can reduce herbicide use. At present, this technology is not able to discriminate weeds and crop plants with enough precision and speed to be implemented. However, in corn and soybean, the inter-row, where there is no crop, could be use to detect weeds. The goal of this research is to determine if weed cover, biomass and density on rows and interrows are equivalent after different disturbances. Tested disturbances included planter, tractor wheel, press wheel and tooth. In corn, there are fewer weeds in the undisturbed inter-row than on the row while the opposite is observed in soybean. The undisturbed inter-row in soybean and the tracked interrow in corn could be used to detect weeds without underestimating weed cover.
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Épidémiologie du champignon Chondrostereum purpureum, agent de maîtrise biologique de la reproduction végétative des feuillus de lumière en milieu forestier = Epidemiology of the fungus Chondrosterum purpureum, a biological control agent of the asexual reproduction of deciduous tree species in forest environment /Goulet, André. January 1998 (has links)
Thèse (M.Sc.)--Université Laval, 1998. / Bibliogr.: f. 81-94. Publié aussi en version électronique.
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Structure spatiale des populations de mauvaises herbes dans les champs de maïs et mesure du potentiel pour le désherbage localiséLongchamps, Louis 18 April 2018 (has links)
Les mauvaises herbes sont souvent distribuées en îlots dans les champs agricoles. Cette disposition est propice au désherbage localisé. Cependant, cette pratique agricole est peu adoptée par les producteurs agricoles et plusieurs défis restent à relever pour sa mise en pratique fiable et économique. Cette thèse tente de répondre à trois questions fondamentales qui ont peu été étudiées, et qui sont nécessaires pour l'élaboration de plusieurs stratégies de mise en pratique du désherbage localisé. Les données utilisées sont des photos numériques de la couverture par les mauvaises herbes acquises sur la totalité de la surface de 19 parcelles de 1 ha en maïs grain. Le premier objectif était de vérifier si des capteurs optiques pouvait être utilisés dans les entre-rangs pour déterminer les besoins en herbicide sur le rang de maïs adjacent. Les résultats de ce chapitre ont démontré qu'en moyenne il n'y avait pas de différence entre la couverture par les mauvaises herbes du rang et de l'entre-rang dans 61 % des champs visités, mais qu'en comparant les zones adjacentes une à une, une erreur d'inférence de plus de 27 % s'en suivait. La deuxième partie consistait à vérifier le lien existant entre la structure spatiale d'un couvert multi-espèces et les types de mauvaises herbes présents. Les résultats de cette partie ont démontré que la structure spatiale d'un couvert multi-espèces n'est pas liée à la dominance d'un type de mauvaises herbes en particulier, que les monocotylédones et les dicotylédones sont associées de façon aléatoire et que le fait de distinguer les types de mauvaises herbes permet de détecter une structure en îlots dans 32 % des cas comparativement à 21 % dans les cas sans distinction des types de mauvaises herbes. Finalement, une technique a été développée permettant d'identifier les champs ayant un meilleur potentiel pour le désherbage localisé par un échantillonnage systématique sommaire. Les résultats de ce chapitre ont permis d'élaborer une technique utilisant la ségrégation spatiale et le niveau d'infestation pour déterminer le potentiel d'un champ pour le désherbage localisé. Nos estimés suggèrent que cette technique pourrait prendre moins de 6 minutes par hectare à l'aide d'un véhicule tout terrain.
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Doses minimales biologiquement efficaces pour le désherbage dans la rotation de maïs-soya tolérants au glyphosate et au glufosinateRouane, Sébastien 16 April 2018 (has links)
Une étude ayant pour objectif d'évaluer différentes séquences d'herbicides en condition de doses réduites, a été mise en place à la station agronomique de l'Université Laval pendant trois ans. Huit séquences culturales de maïs (Zea mays) et de soya (Glycine max) tolérant au glyphosate et au glufosinate ont été testées avec quatre doses d'herbicides. Les résultats montrent que l'emploi du glufosinate trois ou deux années de suite en remplacement d'une utilisation continue du glyphosate paraît difficilement envisageable. Des problèmes de répression et des baisses de rendement sont visibles en présence d'une flore mixte (présence de graminées annuelles en particulier). L'utilisation de doses réduites de glufosinate n'est pas conseillée pour les mêmes raisons. Concernant le glyphosate, une réduction d'un quart de la dose homologuée semble réalisable du point de vue des rendements des cultures, mais présente toutefois un risque d'augmentation de la banque de graines au bout de deux années d'utilisation répétée.
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Utilisation du seigle d'automne (Secale cereale) comme culture de couverture dans la lutte contre les mauvaises herbes dans la citrouille (Cucurbita pepo) au QuébecBuhler, Susanne 16 April 2018 (has links)
Des expériences au champ ont été réalisées en 2004 et 2005 afin de bien connaître le stade et la méthode de destruction du seigle d'automne (Secale cereale) en vue d'optimiser le contrôle des mauvaises herbes et de minimiser la compétition avec la citrouille (Cucurbita pepo). Le seigle d'automne contrôle les mauvaises herbes par son action combiné d'allélopathie et de barrière physique. Le contrôle des mauvaises herbes est meilleur peu de temps après la destruction de seigle. La biomasse sèche moyenne des mauvaises herbes totales a été réduite de 82% dans les parcelles où le seigle a été laissé intact comparativement aux parcelles sans seigle. Les méthodes de destruction du seigle influencent le contrôle des mauvaises herbes. Selon mes résultats, le seigle d'automne devrait être enfoui avant le semis de citrouille et la largeur de la bande devrait être de 80 cm et plus. Une largeur de 40 cm et moins réduit considérablement la croissance, le développement et le rendement en citrouilles vendables.
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Évaluation de méthodes de désherbage dans le maïs-grain (Zea mays) avec culture intercalaire de ray-grass annuel (Lolium multiflorum) et de trèfle incarnat (Trifolium incarnatum)Roch, Philippe 10 February 2024 (has links)
Une culture intercalaire composée de ray-grass annuel et de trèfle incarnat dans le maïs-grain peut apporter de nombreux bénéfices environnementaux. Cependant, l’utilisation de ce mélange de cultures intercalaires est peu documentée avec les herbicides résiduels, le désherbage mécanique et intégré, ce qui rend la pratique très dépendante de l’usage du glyphosate. Des essais au champ ont été mis en place en 2017 et 2018 dans le maïs-grain, intercalé de ray-grass et de trèfle incarnat pour évaluer différentes méthodes de désherbage. Le volet A évalue l’utilisation de différents herbicides résiduels aux doses recommandées sur l’étiquette des produits pour l’établissement du mélange d’intercalaires. L’isoxaflutole + atrazine procure un désherbage et un établissement adéquats de l’intercalaire sur un sol sableux à 2 % d’argile, mais de la chlorose sur le trèfle apparaît sur un sol à 7 % d’argile. La mésotrione en postlevée du maïs avec le glyphosate semble causer peu de dommages aux intercalaires, tout en procurant un bon désherbage. Le volet B évalue différentes combinaisons d’isoxaflutole + atrazine à demi-dose, de désherbage mécanique avec une hersepeigne, de tembotrione/thiencarbazone et de glyphosate. L’isoxaflutole + atrazine cause des dommages au trèfle sur un loam, mais pas sur un loam sableux. La herse-peigne utilisée en prélevée et postlevée procure un désherbage de bonne qualité et un établissement d’intercalaires non négligeable sur un loam sableux, mais n’est pas adaptée au loam. / Intercropping annual ryegrass and crimson clover in grain-corn can bring many environmental upsides. However, the use of this intercropped mix with residual herbicides, mechanical and integrated weeding is sparsely documented. Thus the practice is mainly dependant on the use of glyphosate for weeding. In-field trials were made in 2017 and 2018 in grain corn, intercropped with ryegrass and incarnate clover to assess different weeding techniques. The part A of this experience assessed the use of different residual herbicides at label dose to establish this intercropped mix. Isoxaflutole + atrazine provides a good weeding and intercrop establishment in a 2 % clay soil, but causes chlorosis to incarnate clover in a 7 % clay soil. Mesotrione + glyphosate at corn preemergence seems to provide a good intercrop’s establishment and weeding quality. Part B assess different combinations of half-dosed isoxaflutole + atrazine, mechanical weeding with spring-tine weeder, tembotrione/thiencarbazone and glyphosate. Isoxaflutole + atrazine causes chlorosis to incarnate clover on a loam soil but not on a sandy loam. Spring-tine weeder can provide a good weeding and a fair establishment of intercrop on a sandy loam but is unable to do so on a loam.
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Évaluation de la vesce velue (Vicia villosa Roth.) et du seigle d'automne (Secale cereale L.) comme paillis de couverture pour maîtriser les mauvaises herbes dans les cucurbitacéesMiville, David 23 April 2018 (has links)
L’utilisation d’un paillis de couverture de seigle d’automne (Secale cereale L.) a un énorme potentiel pour maîtriser les mauvaises herbes. Cependant, sa dégradation cause une immobilisation de l’azote dans le sol. Des essais ont été mis en place en 2012-13 et 2013-14 chez les cucurbitacées (citrouille et courge spaghetti) (Cucurbita pepo L.) afin d’évaluer si l’ajout de vesce velue (Vicia villosa Roth.) au seigle est un moyen efficace pour contrer cette immobilisation. Les essais ont démontré que, par sa faible survie à l’hiver, la vesce velue n’apporte aucun bénéfice. Les paillis formés à la pleine floraison du seigle procurent une excellente maîtrise des mauvaises herbes tout au long de la saison. L’utilisation de glyphosate préalablement au passage du rouleau crêpeur est nécessaire pour obtenir une croissance et un rendement adéquats des cucurbitacées. La combinaison de ces deux facteurs permet d’obtenir des résultats comparables à un traitement témoin désherbé sans paillis.
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Planification d'une stratégie de lutte contre le myriophylle à épis (Myriophyllum spicatum)Gagné, Vincent 10 February 2024 (has links)
Le myriophylle à épis (Myriophyllum spicatum) est une plante aquatique exotique envahissante présente dans près de 200 plans d'eau au Québec et ailleurs en Amérique du Nord. Cette plante aquatique submergée à des effets sur la biodiversité et nuit aux usages des lacs. Les objectifs d'une lutte contre le myriophylle ne visent pas l'éradication de la plante, mais plutôt la réduction de sa biomasse. J'ai émis l'hypothèse que dans le cas d'un lac de dimensions modestes, il est possible de réduire de 95 % la superficie couverte par le myriophylle en déployant une stratégie mettant à profit les techniques de bâchage et d'arrachage manuel. J'ai testé cette hypothèse en 2020 et en 2021 au lac des Abénaquis (région de Chaudière-Appalaches, Québec) où on trouvait (2019) près d'un hectare d'herbiers de myriophylle. Au lac des Abénaquis, un bâchage avec toiles en fibre de verre a éliminé la presque totalité des tiges de myriophylle (-99 %) et a favorisé le retour rapide des plantes vasculaires indigènes. L'arrachage a réduit également la densité des tiges de myriophylle (-88 %) et a permis de maintenir un couvert en plantes vasculaires indigènes qui, autrement, disparaîtrait au profit de l'envahisseur. Le choix d'une méthode de lutte (bâchage, arrachage avec sacs-filets ou arrachage avec système de remontée par succion) dépend de la densité et de la superficie des herbiers, mais aussi de la présence d'obstacles (roches, troncs d'arbre, etc.), de plantes aquatiques indigènes et de la distance à parcourir entre les plants à arracher. Des règles de décision sont proposées dans ce mémoire. Le myriophylle colonise de nouveaux sites dans un lac grâce à sa propagation végétative par élagage naturel. Même en très faible abondance, il peut produire des milliers de fragments. Au lac des Abénaquis, près de 30 % des fragments de tiges développent des racines avant ou après s'être détachés d'un plant - les possibilités de réenvahissement sont donc élevées. La lutte nécessite un investissement important lors des premières années (lutte intensive), ainsi qu'un investissement plus modeste, quoique récurrent, lors d'une deuxième phase de travaux (lutte de maintenance). La lutte efficace contre le myriophylle est possible, mais elle est coûteuse et doit être minutieusement planifiée pour se voir couronnée de succès.
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Comparaison de cultures intercalaires pour la répression des adventices et la stabilité des agrégats du sol dans la vigne semi-rustique en implantation au QuébecMinville, Audrey-Kim 27 January 2024 (has links)
Au Québec, la température hivernale atteint -35 °C et les cépages non-rustiques (Vitis vinifera L.) doivent être protégés du gel par l'installation de géotextiles ou par buttage qui consiste en un travail du sol intensif et bisannuel pour recouvrir et découvrir les vignes. Ces conditions restreignent l'implantation de cultures intercalaires : (1) leur établissement et leur croissance sont limités à la saison de production, (2) le buttage détruit la végétation intercalaire à l'automne et (3) l'installation de géotextiles permet la culture d'espèces pérennes, mais elle est plus coûteuse. Au Québec, l'adoption de cultures intercalaires demeure donc marginale, malgré les bienfaits reconnus de ces cultures, dont le contrôle des adventices et l'atténuation de l'érosion hydrique. Leur impact sur la croissance et la production de la vigne sont également méconnus sous le climat continental du Québec. Une expérience en blocs aléatoires complets a été établie (2018-2020) dont l'objectif était de comparer l'effet du désherbage mécanique à deux mélanges de graminées intercalaires (annuelles vs pérennes) sur le contrôle des adventices et leur diversité, la stabilité des agrégats du sol ainsi que la croissance et la productivité de la vigne durant la période d'implantation. L'expérience incluait aussi un témoin enherbé (adventices). Le désherbage mécanique a mieux contrôlé les adventices, et a diminué la richesse et la diversité de la flore comparativement aux couverts végétaux. La densité des adventices annuelles et vivaces n'a pas diminué sous cultures intercalaires et le recouvrement des adventices au sol surpassait les 50 % en fin de saison. Néanmoins, la biomasse aérienne des adventices est demeurée en-dessous de celle du traitement enherbé durant les deux premières années. En fin de saison, la stabilité des agrégats du sol était plus élevée sous couvert végétal comparativement au désherbage mécanique. Ni le rendement, ni la qualité des raisins n'ont été affectés par la régie de culture dans l'entre-rang. / Non-hardy grapevine varieties require winter protection in southern Quebec because temperature can drop to –35 °C and cause irreversible frost damage. Winter protection is provided either by geotextiles or hilling, the latter generating intensive soil disturbance twice a year. These constraints limit the adoption of intercrops because 1) their establishment and growth are concurrent with the crop, 2) hilling destroys intercrops every fall, and 3) the use of geotextiles allows the adoption of perennial intercrops but is more expensive. Although it can control weeds and mitigate soil erosion, intercropping in Quebec vineyards is limited. Moreover, grapevine response to intercropping is poorly documented under Quebec's continental climate. A randomized complete block design experiment was conducted (2018-2020) to compare mechanical weeding to two grass mixture intercrops (annual vs perennial), during vineyard establishment. Variables tested included weed control and diversity, soil aggregate stability, vine growth, and grape yield. A weedy control was also included. Cultivation was more efficient at controlling weeds than both intercrops but decreased plant species richness and diversity in comparison to other treatments. Weed density did not decrease over time and weed cover was relatively high (> 50% at the end of the growing season) under intercrops. Nevertheless, weed shoot biomass was lower under intercrops than in the weedy control during the first two years. Cultivation was also detrimental to soil structure, it showed lower aggregate stability compared to vegetated treatments by the end of the season. None of the interrow management methods had an impact on vine yield fruit quality.
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Le désherbage sélectif de l'amarante à racine rouge dans la culture du concombre de transformation au QuébecThibault, Catherine 13 April 2018 (has links)
Des expériences au champ et en serre ont été réalisées en 2005 et 2006 afin de déterminer si l'utilisation du halosulfuron serait avantageuse pour les producteurs de concombre de transformation (Cucumis sativus L.) québécois. Au champ, le halosulfuron employé seul en prélevée a procuré une meilleure répression des mauvaises herbes que son utilisation en postlevée. Le halosulfuron appliqué seul en prélevée a mieux réprimé l'amarante à racine rouge (Amaranthus retroflexus L.) que le clomazone lorsque la population d'amarante était importante. L'application de halosulfuron seul en prélevée a procuré de meilleurs rendements en fruits vendables que son utilisation en postlevée lorsque la pression des mauvaises herbes était élevée et que l'application de clomazone lorsque la pression des graminées annuelles était modérée. En serre, l'application de fortes doses de halosulfuron a causé une augmentation linéaire des symptômes visuels de phytotoxicité et une augmentation linéaire et quadratique du retard de croissance des plants.
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