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Politik als NaturlehreHäußler, Ursula 02 November 2006 (has links)
Diese Arbeit trägt mit ihrem speziellen Interesse für die Organologiemetapher als diskursprägende sprachliche Form eine neue Fragestellung an die Ideenwelt der ersten Hälfte des 19. Jahrhunderts heran. Untersucht wird, inwieweit die Gleichsetzung von Staat und Gesellschaft mit einem lebenden Körper als Ausdruck eines kollektiv geteilten Weltmodells zu verstehen ist, das das politische Denken der beginnenden Moderne prägte und kanalisierte. Wie die in dieser Arbeit durchgeführte synchrone Diskursanalyse zentraler Grundlagentexte der sechs maßgeblichen politischen Bewegungen des Vormärz - des Kommunismus, der demokratischen Bewegung, des Liberalismus, der Frauenbewegung, des Konservativismus und des politischen Katholizismus - zeigt, ist dies eindeutig der Fall: Mit Hilfe der demiurgischen Kraft der Organologiemetapher werden Welt, Staat und Gesellschaft in sämtlichen politischen Philosophien so entworfen, dass sie als Organismen erscheinen, die durch weitgehend unbeeinflussbare Natur-Triebe in ihrer Entwicklung vorangetrieben werden. Ebenso wird der Aufbau von Staat und Gesellschaft von allen nach dem Vorbild eines Organismus modelliert, in dem sich Teil und Ganzes wechselseitig bedingen. Auch die Positionierung von Mann und Frau im Kollektivkörper wird auf Erkenntnisse der Naturlehre, speziell auf in den Geschlechtern wirkende Natur-Kräfte, zurückgeführt. In dieser Arbeit werden zuerst diese Diskursgemeinsamkeiten vorgestellt, die auf eine grundlegende Mentalität der beginnenden Moderne schließen lassen. Anschließend werden die einzelnen Diskursvarianten und ihre Implikationen - nach den politischen Bewegungen geordnet - detailliert dargestellt. / With its specific interest in the organology metaphor this study creates a new way of understanding political ideas of the first half of the 19th century. It points out that the comparision of state and society with a living body is not only a stylistic pattern but a collectively shared fundamental mentality that influenced the political philosophy of the beginning modern age. This is shown by a synchronic analysis of essential and fundamental texts of the six important political movements of the first half of the 19th century - Communism, the democratic and the women''s movement, Liberalism, Conservatism and the political Catholicism. All political philosophies use the demiurgic power of the organology metaphor to design world, state and society in a way that they appear as organisms, which are propelled in their development by hardly influencable natural powers. Likewise all philosophies mould the organisation of state and society according to the pattern of a living organism, in which the whole body and its parts mutually depend on each other. By supposing different natural forces working in men and women also the sexes are positioned differently in the collective body. This study first presents these common uses of the organology metaphor through all political movements and the fundamental mentality of the beginning modern age shown by these. After that it focusses on the specific uses of the organology metaphor and their implications in each text.
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Geste et instrument dans la musique électronique : organologie des pratiques de création contemporaines / Gesture and instrument in electronic music : organology of contemporary creative practicesBacot, Baptiste 18 December 2017 (has links)
Les moyens technologiques de la musique électronique reconfigurent les pratiques musicales. Du fait des procédures de computation et d’automation inhérentes aux machines qui médiatisent le phénomène sonore, ces moyens ont notamment la particularité d’introduire une rupture dans le rapport causal entre le geste instrumental et le son produit. Que signifie alors jouer de la musique électronique ? Comment comprendre ici les concepts de geste et d’instrument de musique qui sont traditionnellement mobilisés pour analyser les pratiques musicales ?Pour répondre à ces questions, nous avons mené entre 2010 et 2016 un travail de terrain auprès de musiciens professionnels dans des contextes musicaux variés : musique savante avec électronique en temps réel, performance audiovisuelle et musique électronique populaire. Cette approche, focalisée sur l’instrument, permet de questionner la matérialité des pratiques électroniques en la plaçant au premier plan, par-delà les esthétiques musicales. Ce travail consiste donc en une « enquête organologique » sur les pratiques des musiciens ou des groupes suivants : Robert Henke, Alex Augier, Brain Damage, High Tone, Pierre Jodlowski, Jesper Nordin, John MacCallum et Teoma Naccarato, Nicolas Mondon, Greg Beller et le collectif Unmapped. La méthode ethnographique permet de circonscrire l’usage particulier des technologies musicales à différents moments du processus de création : conceptualisation de l’œuvre, collaboration technique, réalisation artistique et performance scénique. À partir de l’analyse de l’activité musicale au prisme des configurations instrumentales, nous proposons une typologie des instruments électroniques dont le critère de classification est le geste, unique résidu du modèle acoustique de l’interaction instrumentale. L’activité corporelle permet donc d’ordonner la diversité matérielle des technologies musicales en même temps qu’elle constitue un vecteur stratégique d’expression de l’interaction instrumentale. / Technological means of electronic music reconfigure musical practices. Because of the machines’ computation and automation capacities that mediate the sonic phenomenon, the causal relationship between instrumental gesture and sound is altered. Therefore, what does it mean to play electronic music? The concepts of gesture and musical instrument are traditionally employed for the analysis of musical practices, but how should they be understood in this context? To address these issues, we conducted an extensive fieldwork between 2010 and 2016 with professional musicians in various contexts: art music with real-time electronics, audiovisual performance, and popular electronic music. Our instrument-focused approach allows us to consider the materiality of electronic music itself, beyond aesthetics. Thus, this work is an “organological inquiry” on the following musicians or bands: Robert Henke, Alex Augier, Brain Damage, High Tone, Pierre Jodlowski, Jesper Nordin, John MacCallum and Teoma Naccarato, Nicolas Mondon, Greg Beller, and the Unmapped collective. The ethnographic method sheds a light on the use of music technologies at different stages of the creative process: conceptualization of the work, technical collaboration, the making of the music and its performance. From this analysis of musical activity captured through instrumental configurations, we offer a typology of electronic music instruments, based on a gestural criterion, which is the only residual aspect of the acoustic instrumental interaction model. The corporeal activity leads to organise the material diversity of music technologies, as well as it constitutes a strategic way to express instrumental interaction.
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Le clavecin en France aux XVIIe et XVIIIe siècles : découvertes organologiques et nouvelles techniques de l’interprétation / The harpsichord in France in the 17th and 18th centuries : organological discoveries and new playing techniquesMathis, Thierry 24 June 2013 (has links)
La musique française pour clavecin des XVIIe et XVIIIe siècles est-elle jouée de nos jours telle qu’elle devrait l’être ? De quelles sources disposent musicologues et musiciens pour approcher au plus près l’authentique sonorité du clavecin, la technique de son jeu, et la compréhension de son répertoire ? Cette approche nous a conduit à discerner neuf points déterminants, essentiels à la compréhension de la facture du clavecin. La mesure d’octave des claviers français de l’époque était inférieure à celle des instruments des pays voisins, et notamment inférieure à celle appliquée dans la facture de nos jours. Pour mémoire, cette mesure conditionne l’écartement entre le pouce et l’auriculaire, lequel écartement influence le jeu. Si l’écart est de moindre taille, les doigts sont plus rapprochés, et de ce fait, la main gagne en décontraction. Le jeu à la française se distingue aussi depuis ses origines par l’extrême souplesse de l’harmonisation, le peu de tension des cordes et le diapason bas (le La3 à 392 – 406 Hz). Par ailleurs, nous avons pu révéler l’existence de clavecins à trois claviers, la présence du seize pieds et du jeu nasal dans certains instruments (alsaciens notamment), et la paternité française de l’éclisse courbe en forme de « S ». Concernant les claviers, l’évolution de l’ambitus de l’instrument depuis le début du XVIIe jusqu’à la fin du XVIIIe siècle est bien connue des musicologues et des musiciens. Toutefois, aucune étude de cette évolution n’a été réalisée pour démontrer l’élargissement des claviers depuis le premier livre imprimé en 1670, les pièces de clavecin de Chambonnières, jusqu’à l’ambitus définitif des cinq octaves imposées dans les pièces de clavecin en concerts de Rameau en 1741. Notre étude s’est également étendue aux cordes, par la vérification de leur épaisseur et des matières dont elles étaient faites. Il s’avère que les facteurs de l’époque utilisaient des diamètres inférieurs à ceux des cordes actuelles, et qu’elles n’ont jamais été en cuivre dans les basses. Seul le laiton à forte teneur en cuivre était considéré comme satisfaisant pour la sonorité des cordes les plus graves. Quant aux cordes des trois cinquièmes supérieurs du clavier, elles étaient faites en fer mou qui n’avait qu’une faible tension. Il va sans dire que l’acier, employé de nos jours, était inconnu à cette époque. Enfin, il est admis aujourd’hui que le clavecin, une fois le tempérament posé, s’accorde en octaves pures, alors qu’il en était tout autrement au XVIIIe siècle, ainsi que nous l’avons établi à travers un texte de Corrette. / Is French harpsichord music of the 17th and 18th centuries played today as it should be ? What sources can help musicologists and musicians to reproduce the authentic harpsichord sound and playing techniques of that epoch, and understand its repertoire, as faithfully and fully as possible ? The mere fact that this music went unplayed for so long prompts that question. In fact, the harpsichord was forgotten overnight. The favoured instrument of court and fashionable society under the ancien régime, it had aristocratic associations which doomed it when the Revolution came. A century later, in June 1889, the noble, silvery sound of its plucked strings made a first, hesitant comeback, thanks to Louis Diémer. But it was only in the 20th century, between the two world wars, that Wanda Landowska’s tireless enthusiasm gave this baroque keyboard instrument a new lease of life. Interest in building “old-style” harpsichords, using traditional techniques, first developed in the late 1950s, and their popularity has grown steadily ever since. Today’s enthusiasts want to go back to the origins, and revive old ideas and techniques, but they still have a long way to go. At an earlier stage, techniques used in making pianos were extended to harpsichords - and some of these “alien” elements and additions are still present. We felt the time had come to clarify the picture by consulting certain contemporary texts, which had been unduly neglected. We found indeed that these were at odds with twentieth- century improvements, had been mistranslated or misunderstood, or were, quite simply, hard to find.Anyone wishing to form an idea of the original harpsichord sound must start with organology, and the various instruments used by French musicians in the 17th and 18th centuries offer valuable clues. X-ray examination reveals their design and shows how they were regulated (keys, jacks, plectra).Thanks to this approach, we have identified nine essential factors which illuminate the design and construction of these instruments. French manuals of the time had a narrower octave span than those of instruments made in neighbouring countries - or today. Span, of course, determines the distance between thumb and little finger, which itself affects playing. The smaller the gap, the closer the fingers, and the more relaxed the hand. From the beginning, the French sound was also distinguished by its highly flexible harmonies,low-tension strings and low pitch (A3 at 392-406 Hz.). We also found that some harpsichords had three manuals, that some (particularly Alsatian instruments) had 16 foot stops and a lute stop, and that the S-shaped bentside was a French innovation. Musicologists and musicians already know in general terms how manuals evolved from the early 17th to the late 18th century, but no specific research has been done on the process by which they became wider, between 1670, when the first book, Chambonnière’s Pièces de clavecin, was published, and 1741, when Rameau’s Pièces de clavecin en concerts made five octaves the norm.We have also studied strings, their thickness and the materials of which they were made. We have found that string diameter was smaller than it is now, and that bass strings were never made of copper. Only brass with high copper content was thought to give the deeper strings a satisfactory sound. Strings on the upper three-fifths of the manual were made of soft iron, which had little tension. Steel, which is used today, was obviously unknown.Finally, harpsichords, once their temperament is established, are today tuned in pure octaves –which, as a text by Corrette has shown us, was far from being the case in the 18th century.
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Vaughan Williams, song, and the idea of 'Englishness'Owen, Ceri January 2014 (has links)
It is now broadly accepted that Vaughan Williams's music betrays a more complex relation to national influences than has traditionally been assumed. It is argued in this thesis that despite the trends towards revisionism that have characterized recent work, Vaughan Williams's interest in and engagement with English folk materials and cultures remains only partially understood. Offering contextual interpretation of materials newly available in the field, my work takes as its point of departure the critical neglect surrounding Vaughan Williams's contradictory compositional debut, in which he denounced the value of folk song in English art music in an article published alongside his song 'Linden Lea', subtitled 'A Dorset Folk Song'. Reconstructing the under-documented years of the composer's early career, it is demonstrated that Vaughan Williams's subsequent 'conversion' and lifelong attachment to folk song emerged as part of a broader concern with the intelligible and participatory quality of song and its performance by the human voice. As such, it is argued that the ways in which this composer theorized an idea of 'song' illuminate a powerful perspective from which to re-consider the propositions of his project for a national music. Locating Vaughan Williams's writings within contemporaneous cultural ideas and practices surrounding 'song', 'voice', and 'Englishness', this work brings such contexts into dialogue with readings of various of the composer's works, composed both before and after the First World War. It is demonstrated in this way that the rehabilitation of Vaughan Williams's music and reputation profitably proceeds by reconstructing a complex dialogue between his writings; between various cultural ideas and practices of English music; between the reception of his works by contemporaneous critics; and crucially, by considering the propositions of his music as explored through analysis. Ultimately, this thesis contends that Vaughan Williams's music often betrays a complex and self-conscious performance of cultural ideas of national identity, negotiating an optimistic or otherwise ambivalent relationship to an English musical tradition that is constructed and referenced through a particular idea of song.
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Methoden zur Untersuchung und Dokumentation der Geigen am Museum für Musikinstrumente der Universität LeipzigHeller, Veit 26 February 2018 (has links)
Die vorliegende Arbeit widmet sich der Beschreibung und Kritik der am Museum für Musikinstrumente der Universität Leipzig für die Erfassung von Streichinstrumenten, insbesondere Geigen, angewendeten Methoden. Objektive Kriterien werden sowohl auf die Erfassung klangrelevanter Komponenten angewendet als auch auf die stilistische Ebene der Geigenbeschreibung ausgeweitet. Im Fokus stehen dabei vor allem die metrologischen Techniken und ausgewählte bildgebende Untersuchungsmethoden. Ziel ist die methodische Präzisierung und Standardisierung, um die diffizilen individuellen Eigenschaften von Geigen in Daten erfassbar und sammlungsübergreifend auswertbar zu machen.:Inhaltsverzeichnis
EINFÜHRUNG 9
1 GESCHICHTLICHER HINTERGRUND UND AUSGANGSLAGE 15
Methoden und Dokumentationen in der Geschichte der Sammlung des heutigen Museums für Musikinstrumente der Universität Leipzig 15
1.1 Dokumentation durch Paul de Wit: Kataloge und Geigenzettel-Publikationen 15
1.1.1 Paul de Wit und die Leipziger Musikinstrumentensammlung 15
1.1.2 Paul de Wits Bildband von 1892 und die Kataloge von 1893, 1893–1896 (Nachträge) und 1904 17
1.1.2.1 Der Bildband 17
1.1.2.2 Die Kataloge 20
1.1.2.2.1 Beschreibung der Einzelinstrumente 27
1.1.2.2.2 Maßangaben 27
1.1.2.2.3 Abbildungen 28
1.1.3 Bezüge zwischen Paul de Wits Geigenzettel alter Meister und seiner Sammlung 29
1.2 Dokumentation durch Georg Kinsky: Der Katalog von 1912 35
1.2.1 Wilhelm Heyer und das Musikhistorische Museum in Köln 35
1.2.2 Bestand an Streichinstrumenten im Museum Wilhelm Heyers 36
1.2.3 Die Beschreibung der Streichinstrumente durch Georg Kinsky im Katalog von 1912 42
1.2.3.1 Julius Rühlmanns Geschichte der Bogeninstrumente als Quelle für Georg Kinsky 42
1.2.3.2 Gedanke der Höherentwicklung 43
1.2.3.3 Aussagen zum Klang 44
1.2.3.4 Beschreibungsschema der Streichinstrumente 50
1.2.3.5 Angabe der Orientierung 57
1.2.3.6 Allgemeine Bewertung 57
1.2.3.7 Lack 59
1.2.3.8 Schalllöcher 61
1.2.3.9 Angaben über den Zustand und erfolgte Veränderungen 62
1.2.3.10 Wölbung 63
1.2.3.11 Material 64
1.2.3.12 Korpus 65
1.2.3.13 Typisierende Vergleiche 66
1.2.3.14 Wirbelkasten 66
1.2.3.15 Abbildungen 67
1.2.3.16 Abbildungen von Geigenzetteln 67
1.2.3.17 Angabe von Maßen 69
1.2.3.18 Angaben zu Vorbesitzern 75
1.2.4 Einfluss des Katalogs von Georg Kinsky auf Curt Sachs und Weiterführung der Systematik 81
1.3 Sammlungsentwicklung und inventarisierende Sammlungsdokumentation von 1945 bis 1995 87
1.3.1 Inventar-Kartei 87
1.3.2 Dokumentenordner 90
1.3.3 Sammlungsentwicklung nach 1945 im Spiegel der Erwerbsdokumente 90
1.3.4 Die Situation um 1985 96
1.3.5 Restaurierungsunterlagen 97
1.3.5.1 Dokumentationsweise und Inhaltsübersicht der Restaurierungsakten 98
1.3.5.2 Zustandsdokumentation 102
1.3.5.3 Rubriken der Beschreibung und Vermaßung 102
1.3.5.4 Maßangaben 105
1.4 Grundzüge der Methodenentwicklung 107
1.5 Exkurs: Zur Typenbildung von Merkmalen 112
2 METROLOGIE 115
2.1 Geschichte der Metrologie im Geigenbau und in der Instrumentenkunde 115
2.1.1 Das Maß im Geigenbau ab 1780 – Vorbilder, Empfehlungen, Normen 115
2.1.1.1 Überblick zur Bagatella-Rezeption 118
2.1.1.2 Aus Empfehlungen werden Normen 121
2.1.1.3 Normmaße der modernen Geige 123
2.1.1.4 Metrologie als schöpferische Methode im Geigenbau 126
2.1.3 Metrologie in der Instrumentenkunde 128
2.1.2.1 Inventarergänzende und systematisierende Maße 131
2.1.2.2 Messen für die Maßanalyse 132
2.1.2.3 Vermessen von stil- und klangrelevanten Merkmalen 133
2.1.3 Messtoleranzen und Fehlerquellen bei traditionellen Messtechniken 134
2.1.3.1 Vergleich von Maßstäben und Maßbändern 134
2.1.3.2 Messen „direkt“ oder „über die Wölbung“ – Verschiedene Methoden, verschiedene Ergebnisse 135
2.1.3.3 Messung über die Wölbung – Werteabweichungen gegenüber der direkten Messung 137
2.1.3.4 Weitere Messfehler 140
2.1.3.5 Bewertung der Messmethoden „über die Wölbung“ und „direkt“ und Konsequenzen für die Auswertung 141
2.3.3.6 Aussagekraft von Grundmaßen am Beispiel der Lira MfM 780 144
2.1.3.7 Verortung von Maßen 148
2.1.3.8 Rekonstruktion von Formmaßen 153
2.1.4 Zusammenfassung 156
2.2. Koordinatenmessung – 3D-Laserscan 157
2.2.1 Evaluation von Messtechniken 157
2.2.1.1 Moiré-Topografie 157
2.2.1.2 Streifenprojektionsmesstechnik 158
2.2.1.3 Fotogrammetrische Techniken 159
2.2.1.4 Mechanisches Koordinatenmessen 159
2.2.2 Koordinaten-Laser-Messung 162
2.2.2.1 Beschreibung und Geschichte der Laser-Messung 162
2.2.2.2 Adaption und Verwendung der Laser-Messung am Museum für Musikinstrumente der Universität Leipzig 164
2.2.2.3 Prototyp 3D-Messbrücke 1997 164
2.2.2.4 Weiterentwickelter 3D-Messtisch 166
2.2.3 In der Praxis zu erreichende Genauigkeit des 3D-Laser-Messtischs am Leipziger Museum 166
2.2.3.1 Fehlerquellen und Fehlerkorrektur 169
2.2.3.2 Fehlerentstehung und Fehlervermeidung an lackierten Oberflächen 170
2.2.3.3 Kantenerkennung bei Laser-Messung 171
2.2.3.4 Laserscanner des Instituts für Mineralogie, Kristallographie und Materialwissenschaft an der Universität Leipzig 173
2.2.4 Bestand an 3D-Laserscans am MfM 174
2.2.4.1 Bestand an Oberflächenscans und Wölbungskurven 175
2.2.4.2 Bestand an Umriss-Daten 177
2.2.5 Möglichkeiten und Anwendungen der optischen Laservermessung 178
2.2.5.1 Anwendungsbeispiele zu Formen und Umrissen 178
2.2.5.2 Verdeutlichen von Asymmetrien 179
2.2.5.3 Vergleich unterschiedlicher Baugrößen 181
2.2.5.4 Rand und Einlagespan – Ist-Maße und Soll-Maße 183
2.2.5.5 Flächen 185
2.2.5.6 Schnitte, Profile – Vergleich der Erfassung von Wölbungsprofilen in analoger, zeichnerischer Übertragung und als Koordinatenmessung im Laserscan 189
2.2.5.7 Anwendungsbeispiele zu Profilen und Schnittdarstellungen 194
2.2.5.8 Erfassen feinster Oberflächenstrukturen 199
2.2.5.9 Ausblick – zukünftige Auswertungen 199
2.3.6 Bearbeitung von Messkurven 201
2.2.6.1 Geometrische Entzerrung von Messkurven 201
2.2.6.2 Fehler bei der grafischen Darstellung von Oberflächen 202
2.2.7 Bewertung der Laser-Koordinatenmessung 203
2.3 Techniken zur Stärkenmessung an Resonanzplatten 205
2.3.1 Evaluation der Techniken zur Stärkenmessung 205
2.3.1.1 Durchlicht-Methode am Lichttisch 205
2.3.1.2 Mechanische Abtastungen 206
2.3.1.3 Magnetische Methode 207
2.3.1.4 Elektronisch-magnetische Methode 207
2.3.1.5 Messung mit Ultraschall 208
2.3.1.6 Zusammenfassung zu den Techniken der Stärkenmessung 209
2.3.2 Erfassung und Dokumentation von Holzstärken am Leipziger Museum 210
2.3.2.1 Bestand an Holzstärkenmessungen nach Erfassungsschema 1 (punktuell) am Leipziger Museum 210
2.3.2.2 Bestand an Holzstärkenmessungen nach Erfassungsschema 2 (vollflächig) am Leipziger Museum 211
2.3.3 Möglichkeiten und Anwendungen der feinaufgelösten, flächigen Holzstärkenerfassung 215
2.3.3.1 Praktisch vorkommende Typen der Holzstärkenverteilung 215
2.3.3.2 Holzstärkenkonzepte – Lehrmeinungen und praktische Befunde 225
2.3.3.3 Holzstärken – Arbeitsweise und Konstruktion 230
2.3.3.4 Holzstärken und Klang 231
2.3.3.5 Zeit- und werkstattspezifischer Umgang mit Holzstärken 233
2.3.3.6 Nachvollziehen und Dokumentieren von Veränderungen 234
2.3.3.7 Rekonstruktion möglicher früherer Zustände 235
2.3.3.8 Sicherheit: Identifikation einzelner Instrumente 238
2.3.3.9 Zusammenfassende Betrachtung und Ausblick zur Messung und Kartierung von Holzstärken 239
3 FOTOGRAFISCHE TECHNIKEN 242
3.1 Bilder vor der Fotografie 243
3.2 Das Verhältnis von Abbild und Maß 245
3.3. Allgemeine geometrische Abbildungsfehler und Auswertungsmöglichkeiten von Fotografien 246
3.4 Fotostandards für die Aufnahme in der Instrumentenkunde 247
3.5 Fotografische Techniken am Museum für Musikinstrumente der Universität Leipzig 250
3.5.1 Bildtypen im Fotobestand des Leipziger Museums 250
3.5.2 Glasnegative 253
3.5.2.1 Geschichte und Technik der Glasplattenfotografie 253
3.5.2.2 Bestand von Glasnegativen am Leipziger Museum 254
3.5.2.3 Entstehungszeit und Entstehungszweck der Glasnegative 259
3.5.2.4 Bildauflösung der Glasnegative 264
3.5.2.5 Metrische Auswertungen von Glasnegativen 265
3.5.2.6 Bewertung der Glasnegative 269
3.5.3 Sicherheitsfotos 270
3.5.3.1 Sicherheitsfotos vom Typ 1, von etwa 1970 bis 1995 271
3.5.3.2 Bestand an Sicherheitsfotos vom Typ 1, um 1970 bis 1995 271
3.5.3.3 Sicherheitsfotos vom Qualitätstyp 3, 1996 bis 1999 272
3.5.3.4 Bestand an Sicherheitsfotos vom Qualitätstyp 3, 1996 bis 1999 273
3.5.3.5 Angewendete Aufnahmestandards für die Sicherheitsfotos vom Qualitätstyp 3 274
3.5.3.7 Ausblick zur Formerkennung durch Bildauswertung am Beispiel der Schneckenformen 278
3.5.4 Endoskopie 286
3.5.4.1 Bestand an endoskopischen Fotografien am Leipziger Museum 286
3.5.4.2 Anwendungsbeispiele der Endoskopie 289
3.5.5 UV-Licht-Fotografie 292
3.5.5.1 Bestand an UV-Fotografien am Leipziger Museum 293
3.5.5.2 Anwendungsbeispiele der UV-Fluoreszenz und ihrer fotografischen Dokumentation 294
3.5.5.3 Bewertung des bestehenden UV-Foto-Bestands und Ausblick 298
3.5.6 Zusammenfassende Bewertung der Bildquellen und Ausblick 298
4 RADIOLOGIE 300
4.1 Röntgenbilder 300
4.1.1 Beschreibung der Röntgenuntersuchung 300
4.1.1.1 Röntgenuntersuchung in der Instrumentenkunde und speziell am MfM 302
4.1.1.2 Vergleich unterschiedlicher Röntgentechniken bei der Anwendung für instrumentenkundliche Untersuchungen 304
4.1.2 Bestand an Röntgenbildern und Röntgendokumentationen am Leipziger Museum 308
4.1.2.1 Analoge Röntgenbilder auf Filmen 308
4.1.2.2 Digitale Röntgenbilder 308
4.1.2.3. Röntgendokumentationen in Abfotografien, Zeichnungen und in Schriftform 309
4.1.3 Möglichkeiten der Röntgenuntersuchung an Beispielen 312
4.1.3.1 Grundsätzliches zur Interpretation von Röntgenbildern 312
4.1.3.2 Messen an Röntgenbildern 317
4.1.3.3 Konstruktion und Technologie 318
4.1.3.4 Reparatur und Umbau 321
4.1.3.5 Material und Bildvorlage für die Dendrochronologie 324
4.1.4 Bewertung des Röntgens 325
4.2 Computertomografie 326
4.2.1 Beschreibung und Techniken der Computertomografie 326
4.2.2 Bestand an computertomografischen Untersuchungen am Leipziger Museum 328
4.2.3 Möglichkeiten computertomografischer Untersuchungen an Beispielen 330
4.2.3.1 Möglichkeiten der Darstellung und Auswertung 332
4.2.3.2 Auflösungsgenauigkeiten und Vermessungen 333
4.2.3.3 Bild- und Messfehler 335
4.2.3.4 Beurteilen von Konstruktion und Materialverbindungen 338
4.2.3.5 Beurteilen von Materialien 340
4.2.4 Bewertung radiologischer Untersuchungen und Ausblick 342
5 SKIZZEN UND TECHNISCHE ZEICHNUNGEN – ZUSAMMENFÜHRENDE DOKUMENTATIONEN 344
5.1 Allgemeine Betrachtungen zu Skizzen und technischen Zeichnungen 344
5.2 Skizzen als Arbeits- und Dokumentationshilfe am Museum für Musikinstrumente der Universität Leipzig 345
5.3 Geschichte und Bestand von technischen Zeichnungen am Museum für Musikinstrumente der Universität Leipzig 350
5.3.1 Informationsgehalt der Technischen Zeichnungen 353
5.4 Zusammenfassende Bewertung von Skizzen und Zeichnungen 355
6 KLANGERLEBEN UND KLANGDOKUMENTATION 357
6.1 Zum Bestand der Klangdokumentationen 357
6.2 Die Geige als Objekt akustischer Forschungen im 20. Jahrhundert 358
6.3 Wörtliche Klangbewertungen in den Erwerbsunterlagen 361
6.4 Anspielproben 1997 – analytische Hörtests mit Worturteil 363
6.4.1 Ablauf, Möglichkeiten und Aussagewert der Tondokumentationen von 1997 364
6.5 Physikalisch-akustische Untersuchungen 371
6.5.1 Ergebnisse der akustischen Messungen und deren Bewertung 372
6.6. Zur Geschichte von Klangerleben, Klangforschung und Klangdokumentation am Museum für Musikinstrumente der Universität Leipzig 373
6.7 Bestand an Klangdokumentationen von Geigeninstrumenten des Museum für Musikinstrumente der Universität Leipzig 378
6.7.1 Abwägung einer Tonaufnahme – Beispiel Violoncello piccolo MfM 918 381
6.7.2 Produzierte und auf Tonträger veröffentlichte Tonaufnahmen mit nachweisbarer Verwendung von Sammlungsinstrumenten bis 1990 382
6.7.3 Aufnahmen mit rekonstruierbarer Instrumentenzuweisung und möglicher Verwendung von Sammlungsinstrumenten 384
6.7.4 Aufnahmen ab 1999 386
6.7.4.1 Tonaufnahmen für CD und 3D-Raumklang-System im Projekt Entwurff einer wohlbestallten Music 386
6.7.4.2 Tonaufnahmen für CDs mit den Kopien der Freiberger Renaissancegeigen 390
6.8 Zusammenfassung 395
6.8.1 Auditive Klangdokumente; Klangbewertung nach musikalischem Erleben und analytischem Hören 395
6.8.2 Zur Notwendigkeit von Klangerleben und Klangbeschreibungen – am Beispiel der Geigen im Freiberger Dom 397
6.8.3 Akustische Messungen 398
6.8.4 Bewertung und Ausblick 398
ZUSAMMENFASSENDE SCHLUSSBETRACHTUNG UND AUSBLICK 401
LITERATUR 406
ABBILDUNGSVERZEICHNIS 425
ERKLÄRUNG 426
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