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Essai d'approche socio-historique de l'évolution statutaire de l'art et de l'artiste : parcours de construction et de dilution esthétiques de la représentation

Madelaine, Henry-George January 2010 (has links) (PDF)
Ce travail est fondé sur le constat d'un malaise -profond du milieu professionnel de la culture et le postulat de son lien avec la dissolution du concept moderne de l'art. Elle s'accompagne d'une dilution généralisée de ses modalités particulières dans le procès d'esthétisation du monde qui emporte son être même. Sa virtualisation répond à une radicalisation de la représentation, qui était le lieu propre de l'art, assumé en tant que fiction révélatrice. Elle amène l'être humain à se résoudre au statut de pur spectateur; étranger face au spectacle d'un monde ayant renoncé à son ontologie, synthétique et pleinement symbolique. C'est dans une perspective progressive-régressive articulée sur une approche socio-historique qu'est abordé en premier lieu le procès d'autonomisation statutaire de l'artiste et de l'art sous l'égide de la construction de son concept moderne puis celui des multiples appropriations et récupérations dont il fait progressivement l'objet. L'art en tant qu'art exprimait son concept moderne, son lieu particulier, son statut, le fait que, tout comme l'artiste, il était devenu sujet mais dans sa présente diffusion esthétique, on en arrive à penser qu'il est passé au statut de sujet de conversations. Anne Cauquelin évoque l'idée fertile d'une « rumeur théorique » qui les environne et les conversations à propos de l'art et de l'artiste sont nourries, jusqu'à l'indigestion parfois, de traces dont certaines sont très anciennes. Ce travail s'inscrit donc dans une approche socio-historique pour rendre compte d'une accumulation contrastée de sens et d'exploitations divers autour d'un concept central. II souhaite d'abord exprimer le constat que, de manière originale, autour du mot art se préserve un ensemble de théorisations et d'opérationnalisations, complémentaires mais aussi souvent contradictoires, qui ajoutent des dimensions au débat premier. Elles se sont en effet superposées et mélangées plutôt que remplacées et, pour en décrire la puissance ou la vacuité, en pour ou en contre, elles posent toujours la question de la représentation artistique de et dans la société et le monde, de son caractère éventuellement anticipateur, y compris pour décrire leur insaisissable cybernétisation. Dans une partie introductive, il sera traité de la construction du concept moderne de l'art qui demeure un repère essentiel de notre compréhension contemporaine. On verra qu'il porte encore les traces des sens anciens de ce mot et que ce parcours accompagne la définition progressive des figures de l'individu, de la philosophie et de la science telles qu'elles ont été consacrées dans leur autonomie par la pensée des Lumières. Sans méconnaître l'enjeu individuel lié à la reconnaissance plénière du statut de l'artiste, on y recherchera l'une des composantes de la dimension essentiellement institutionnelle de l'évolution de l'art dans la modernité. Pour me permettre de mieux les situer, j'ai fait le choix de traiter chacune des principales étapes de ce parcours dans son contexte privilégié d'émergence, tant géographique, historique que disciplinaire. Le développement sera ensuite articulé autour des différentes appropriations de ce concept, une fois son autonomie solidement fondée. La première partie sera consacrée à ce que l'on pourrait appeler l'épanouissement intellectuel de ce sujet. C'est la philosophie, via la création de la discipline esthétique, qui contribuera d'abord à l'achèvement de son élaboration et aussi à l'ouverture irréductible des débats qui y sont associés dans des approches qui se spécialiseront de plus en plus. Ce mouvement commence principalement par l'interrogation kantienne du jugement de goût qui demeure référentielle même si on oublie souvent qu'elle se situe aussi plus largement dans la réflexion de l'auteur sur un mode d'accès au monde basé sur la raison et séparant ses modalités cognitive, normative et esthétique. Cette rationalisation, et tout le procès d'abstraction qui suivra, est fondamentalement négatrice d'une participation ontologique originelle, de l'humain et non de l'individu, au monde et à la société, réalisée à travers la sensibilité et le symbolique. Pourtant, elle hérite elle-même des apports d'une réflexion millénaire sur les fondements d'une pensée qui s'est déjà penchée, depuis l'Antiquité, sur les principaux thèmes d'une réflexion et d'une étude qui seront porteuses de nombreux débats, voire de conflits. Ils seront exacerbés par le fait qu'ils sont situés dans des contextes culturels et idéologiques auxquels ils participent directement. C'est le cas de cette philosophie allemande, dont l'apport est majeur sur ce sujet et qui se trouve, de même que l'art, au fondement d'une identité nationale reposant sur l'idée d'une culture partagée. Ces questionnements, que l'on pourrait dire culturellement localisés, ont pourtant une portée universelle et sont intimement associés à la stabilisation d'autres institutions modernes telles que l'université. C'est en effet en son sein que se créent des disciplines qui débutent la parcellisation de son étude. Je reprendrais enfin l'idée d'une « rumeur théorique » pour argumenter le caractère doxique de l'accumulation de sens et d'interprétations produite autour des concepts d'art et d'artiste ainsi que sa poursuite pouvant culminer dans l'incertitude du relativisme contemporain. La seconde partie s'intéressera à l'établissement progressif de ce que l'on peut appeler un monde de l'art, ses dimensions, ses enjeux et leur évolution jusqu'à l'époque contemporaine. II sera d'abord traité de la question des avant-gardes en tant que moteur primordial de la novation esthétique et symptôme majeur des mutations d'un questionnement autour de l'art pour l'art. À la stabilisation des critères permettant de cerner socialement la figure de l'artiste, correspond celle des différents acteurs d'un milieu qui s'ouvre, se transforme aussi peu à peu en marché et se trouve soumis à différentes exploitations. Au travers de l'étude de la création d'institutions publiques, et notamment celle d'un ministère spécialisé au sein de l'administration française, on pourra voir comment se construit cette acception spécifique de la notion de culture dans son opposition à celle d'éducation populaire. Elle montre également la subsidiarisation progressive du concept d'art au sein de celui de culture via l'opérationnalisation croissante de ce dernier. L'exemple des politiques culturelles portées par l'UNESCO permettra de considérer sa généralisation et la dilution d'un propre de l'art dans des enjeux périphériques auquel il participe pourtant hautement. Enfin, c'est autour de la question initiée déjà par Hegel que s'achèvera ce parcours. Je tenterai de comprendre pourquoi cette idée de « la mort de l'art », si mal comprise, a tellement d'audience et comment elle peut emporter également les références fondatrices de ce que l'on pourrait appele le « site de l'esthétique ». Le raisonnement sera alors articulé autour de la double question d'une possible dissolution accompagnée d'une dissémination infinie sous la forme d'une esthétisation du monde. La conclusion, après une synthèse de ce parcours de recherche, un retour sur les options théoriques qui l'articulent et une revendication critique de ses limites mêmes, reviendra principalement sur l'un des aspects majeurs de cette étude socio-historique : le thème de la représentation. Elle est la permanente compagne de ce cheminement et ses enjeux sont multiples. Elle interroge directement notre rapport au monde; sa possibilité même. Elle questionne sa construction intellectuelle et sensible mais se présente également comme la proposition de modalités formelles successives et pleines d'influence sur notre conception du réel. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Art, Esthétique, Post-modernité, Représentation, Symbolique.
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Aux abords de l'identité latino-américaine /

Olivera Grotti, Gladys. January 2003 (has links)
Texte remanié de: Th. doct--Litt. et civilisation latino-américaines--Toulouse 2, 2002. Titre de soutenance : Le problème de l'identité dans la philosophie latino-américaine. / Bibliogr. p. 311-317. Index.
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Postmoderne, postkoloniale Konzepte der Autobiographie in der französischen und maghrebinischen Literatur : Autofiction, nouvelle autobiographie, double autobiographie, aventure du texte /

Gronemann, Claudia. January 2002 (has links)
Diss.--Leipzig, 2002. / Bibliogr. p. 204-221. Notes bibliogr.
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Technique narrative et statut du récit dans l'œuvre en prose d'Adolf Muschg

Cailleux, Dorothée Colombat, Rémy January 2008 (has links)
Thèse de doctorat : Etudes germaniques : Paris 4 : 2008. / Titre provenant de l'écran-titre.
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Innenansichten der Postmoderne : zur Dichtung John Ashberys, A.R. Ammons', Denise Levertovs und Adrienne Richs /

Reichardt, Ulfried. January 1991 (has links)
Gekürzte und überarbeitete Fassung von: Diss.--Neuere Fremdsprachliche Philologien--Berlin--Freie Unversität, 1988.
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Zeitgeist populär, seine Darstellung in deutschsprachigen postmodernen Songtexten bis 1989 /

Giessen, Hans W. January 1992 (has links)
Diss.--Saarbrücken--Universität, 1992.
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Tradition und Transformation - der fiktionale Dialog mit dem viktorianischen Zeitalter im (post)modernen historischen Roman in Grossbritannien /

Deistler, Petra, January 1999 (has links)
Diss.--Freiburg(Breisgau)--Univ., 1998. / Bibliogr. p. 279-295.
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Les Sentiers qui bifurquent : hasard, combinatoire et divination dans le roman expérimental des années 1960 : (I. Calvino, J. Cortázar, Ph. K. Dick, M. Saporta) / Forking Paths : randomness, combinatory and divination in the experimental novel of the 1960's : (I. Calvino, J. Cortázar, Ph. K. Dick, M. Saporta)

Wit, Sébastien 09 December 2016 (has links)
Composition no 1 de Marc Saporta, Marelle de Julio Cortázar, Le Château des destins croisés d'Italo Calvino et Le Maître du Haut Château de Philip K. Dick. Écrits entre 1962 et 1973, ces quatre romans ont pour point commun l'usage qu'il font de la tradition divinatoire. Dans les trois premiers, la forme romanesque se délite en adoptant la forme des tarots. Quant au dernier roman cité, il fonde son écriture sur des consultations du Yi King, l'oracle de la tradition chinoise. Tant sur le plan politique que littéraire, le moment des années 1960 coïncidence avec une remise en cause radicale de l'autorité. Précédant la mort de l'auteur prophétisée par Barthes, des artistes s'emparent du hasard afin d'affranchir la création de tout arbitraire auctorial. Cette thèse envisage la manière dont les quatre romanciers du corpus exploitent les théories jungiennes (synchronicité, archétypes, etc.) afin de reconsidérer les rôles de l'auteur et du lecteur. En déconstruisant les formes de la linéarité romanesque, ces romans proposent une littérature expérimentale faisant fi des structures usuelles du genre. Entre poétique ludique et mysticisme, l'usage du hasard divinatoire transforme les œuvres en complexes hypertextuels. Mettant au cœur de leur poétique le sujet interprétant, ces romans donnent l'occasion d'interroger les modalités cognitives de l'interaction littéraire ; ce faisant, ils permettent d'appréhender de façon privilégiée les relations transmédiatiques entre littérature et écriture numérique. / Marc Saporta's Composition no 1, Julio Cortázar's Hopscotch, Italo Calvino's Castle of Crossed Destinies, and Philip K. Dick's Man in the High Castle. Written between 1962 and 1973, these four novels have as common denominator their use of oracular traditions. In the first three literary works, the novel form is broken by becoming one with tarot cards. In the last novel mentioned, the Chinese oracle – the I Ching – is the source of the writing process. In both political and literary fields, the 1960's consist in a radical questioning of authority. Prior to Barthes' prophecy of the Death of the Author, artists make use of chance and randomness in order to liberate creation from the arbitrary power of the author. This thesis studies the way the four aforementioned writers try to reconsider the dynamics between reader and writer by using the Jungian theories (synchronicity, archetypes, etc.). By deconstructing the linearity of the novel form, the four books are representative of an experimental literature which shows disregard to genre conventions. Between ludic poetic and mysticism, the novels are made hypertextual by oracular randomness. Focusing on the interpreting reader, the novels investigate the modalities of literary interaction ; this way, they are key materials in understanding the transmedia relations between literature and digital literacy.
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Esthétique des Ruines et Dystopie dans le roman Anglais postmoderne : une lecture de Riddley Walker, (1980) de Russel Hoban, Cloud Atlas, (2004) de David Mitchell et The Book of Dave (2006) de Will Self. / Aesthethic of Ruins and Dystopia in Postmodern English Novels : a reading of Russel Hoban's Riddley Walker (1980),David Mitchell's Cloud Atlas (2004) and Will Self's The Book of Dave (2006.

Diop, Babacar 19 November 2016 (has links)
Les concepts de dystopie et de postmodernisme ont pris une dimension nouvelle depuis une vingtaine d’années environ.Ces concepts, qui ont fait l’objet d’études multiples tant sur le plan littéraire qu’historique, pour ne citer que ces deuxdomaines-là, ont révélé d’autres perspectives qui, de notre point de vue, n’ont pas encore été abordées. Il s’agit parexemple du rapport entre la dystopie et les ruines. A travers cette thèse, nous avons étudié les concepts de dystopie et deruines tel qu’ils apparaissent dans trois oeuvres (Riddley Walker, (1980) de Russel Hoban, Cloud Atlas, (2004) de DavidMitchell et The Book of Dave (2006) de Will Self) à la lumière des évènements contemporains et en rapport avec lepostmodernisme. Ce corpus a permis de souligner des liens entre dystopie et postmodernisme grâce à la valeuresthétique, éthique, poétique et politique des ruines dont l’ubiquité nous a fait considérer les oeuvres dystopiquescomme un portrait du monde où nous vivons. Cette thèse a par ailleurs permis de souligner le comportementautodestructeur de l’homme, en rapport avec la notion de progrès qui est constamment remise sur le métier, devenantplus une illusion qu’une réalité au moyen de scènes de violence dont les principales illustrations restent les deux conflitsmondiaux avec la Shoah et les bombes atomiques larguées sur Hiroshima et Nagasaki ainsi que l’utilisation des armeschimiques. En plus d’être un trait d’union entre dystopie et postmodernisme, les ruines s’érigent en témoin du passésinistre de l’homme vers lequel elles guident les contemplateurs tout en leur rappelant la vanité de leur vie etl’évanescence de toute existence. L’ubiquité des ruines ne cesse de plonger survivants et contemplateurs dans unemélancolie à laquelle s’ajoute le trauma lié à la perte et la menace de répétition du passé. Les ruines deviennent alorsune forme d’expression, un langage pour les dystopies postmodernes et, à travers elles, les disparus prennent la parole.Les traces de ce qui a été sont ainsi devenues des médias par lesquels le silence des ruines devient la parole de ceux quine sont plus, révélant de manière continue la présence du passé. / The concepts of dystopia and postmodernism have taken a new dimension for the past two decades. These conceptshave been explored in multiple studies from both literary and historical viewpoints, to name but these two areas thathave revealed other perspectives, which, to our knowledge, have not yet been addressed. This is the case, for example,of the relationship between dystopia and ruins. The present work explores the concepts of dystopia and ruins as theyappear in the three books (Riddley Walker (1980) by Russell Hoban, Cloud Atlas (2004) by David Mitchell and TheBook of Dave (2006) by Will Self) in the light of contemporary events and in connection with postmodernism. Thiscorpus was used to discover the links between dystopia and postmodernism through the aesthetic, ethical, poetic andpolitical values of ruins, the ubiquity of which brought us to consider the dystopian works as a depiction of the world inwhich we live. The present study has also helped highlight the destructive behavior of Man in relation to the notion ofprogress that is constantly questioned, thus becoming more of an illusion than a reality because of scenes of violencemainly illustrated by the two World Wars with the Shoah and the atomic bombs dropped on Hiroshima and Nagasaki,as well as the use of chemical weapons, commonly called mass destruction weapons. Besides being a bridge betweendystopia and postmodernism, ruins stand as witnesses of Man’s sinister past toward which they direct contemplatorswhile reminding them of the vanity of their lives and the evanescence of any existence. The ubiquity of the ruinsrelentlessly plunges survivors and contemplators into a melancholy supplemented by the trauma associated to thefeeling of loss and the threat of a repetition of the past. The ruin thus becomes a form of expression, a language forpostmodern dystopias and through it, the departed speak. The traces of what has been have thus become media through
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Colson Whitehead : vers une esthétique postraciale? / "Colson Whitehead : Towards a Postracial Aesthetic?"

Ba, Souleymane 30 November 2015 (has links)
Cette thèse est une monographie de l'œuvre romanesque de Colson Whitehead (1969– ) replacée dans la perspective de la tradition littéraire noire américaine. Elle pose une question d'ordre esthétique et politique : Whitehead est-il un écrivain postracial ? Dans The Intuitionist (1999), la rivalité entre les personnages noirs et le jeu de masques mettent à mal une politique identitaire qui repose sur la race. La déconstruction du discours mythique qui célèbre le sacrifice d'un travailleur acharné désacralise le héros noir de John Henry Days (2001). Apex Hides the Hurt (2006) offre une réflexion sur le langage, son rapport au pouvoir et à l'appartenance raciale. La deuxième partie explore le paradoxe de l'identité « postblack » face aux stéréotypes raciaux dans Sag Harbor (2009). Enfin, la dernière partie signale un effort de redéfinition de l'humain dans Zone One (2011) où l'invasion des zombies permet de transcender la construction binaire Noir/Blanc dans un monde post-apocalyptique. L'analyse s'appuie sur la critique postmoderne car la notion de « race » et le racisme y sont abordés à travers l'ironie d'un texte qui met en scène et joue avec l'idée d'une société américaine postraciale. / This dissertation is a monograph on Colson Whitehead's fiction and nonfiction from the perspective African American literary tradition. It raises an aesthetic and political question: is Whitehead a postracial writer? In The Intuitionist (1999), the rivalry between black characters and the game of camouflage undermine racial identity politics. The deconstruction of the myth celebrating the sacrifice of a relentless worker desacralizes the black hero of John Henry Days (2001). Apex Hides the Hurt (2006) offers a reflection on language, its relationship to power and racial belonging. The second part explores the paradox of a “postblack” identity with regards to racial stereotypes in Sag Harbor (2009). Finally, the last part signals an effort to redefine the human in Zone One (2011) where an invasion of zombies enables the transcendence of the Black/White binary construct in a post-apocalyptic world. The analysis relies on postmodern criticism since the notion of “race” and racism are addressed through the irony of a text that dramatizes and plays with the idea of a postracial American society.

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