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Ecocriticism and Science Fiction Theory: the Role of Environments and Representations of Post-Nature in Starfish, Maelstrom and Behemoth by Peter Watts and The Road by Cormac McCarthy / Écocritique et théorie de la science-fiction : le rôle des environnements et des représentations de la postnature dans Starfish, Maelstrom et Behemoth de Peter Watts et The Road de Cormac McCarthyLafontaine, Tania January 2014 (has links)
(Résumé) Ce mémoire propose une analyse des représentations de la nature et de l’environnement dans deux œuvres de science-fiction: la trilogie des Rifters—de l’auteur canadien Peter Watts—, qui comprend trois romans en quatre tomes: Starfish (1999), Maelstrom (2001), Behemoth B-Max (2004) et Behemoth Seppuku (2005); et le roman The Road (2006) de l’auteur américain Cormac McCarthy. Cette étude vise à théoriser les implications critiques et littéraires de ces représentations. Pour ce faire, un survol de quelques-unes des principales théories de la science-fiction précède l’analyse des romans. L’intégration de ces théories et des concepts qu’elles mettent de l’avant à l’analyse des romans me permet d’articuler le fait que, dans les récits choisis, les novums science-fictionnels entraînent la défamiliarisation de la nature et de l’environnement, ce qui produit un effet d’étrangeté.
En effet, dans ces récits la nature est soit hybride— transformée par l’intervention des humains et de la technologie—, soit malade, mourante, détruite, ou absente et pleurée par les personnages, qui se la remémorent en rêve. Dans les deux cas, la nature est ré-imaginée, l’environnement est recontextualisé et des mondes post-naturels sont présentés d’une façon qui implique des stratégies littéraires semblables, mais une différence critique importante: la trilogie de Watts met en évidence les conséquences tragiques possibles de notre échec à surmonter les enjeux environnementaux de notre époque. Le roman de McCarthy dresse le portrait de la destruction de la société et de la planète tels que nous les connaissons, mais en tait les causes. // (Abstract) This thesis analyzes the representations of nature and environments in two works of science fiction: the Rifters Trilogy, by the Canadian author Peter Watts, comprised of three novels in four volumes: Starfish (1999), Maelstrom (2001), Behemoth B-Max (2004), and Behemoth Seppuku (2005); and the novel The Road (2006), by the American author Cormac McCarthy, in order to theorize their critical and literary implications. To do so, some significant theories in the field of science fiction theory are explored and appropriated in order to develop analyses of the novels. The integration of these theories and their concepts in the analyses allows me to articulate how nature and environments are defamiliarized and generate an estrangement effect within the selected narratives because of their respective sf novums and the consequences they entail. Nature is presented in the primary texts as hybrid — transformed by human intervention and technology — but also as sick, dying, destroyed, and as something lost, absent, mourned and virtually only remembered in dreams. Both works re-imagine nature, re- contextualize environments, and ultimately present post-natural worlds in ways that evidence similar literary strategies. However, they offer a major critical difference: for the Rifters trilogy points out the possible tragic consequences of the failure to overcome environmental issues in our time, while The Road portrays the destruction of society and the planet as we know them but silences the causes.
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"On fait ça en public" : engagement, interface, interactivité chez Moment FactoryDesrochers Ayotte, Alexandre 08 1900 (has links)
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