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Caractérisation clinique et cognitive des troubles psychotiques d'apparition tardive

Girard, Caroline 17 April 2018 (has links)
Les symptômes psychotiques sont communément observés au sein de la clientèle âgée. Bien qu'ayant des répercussions directes sur la prise en charge et le traitement, l'identification de leur étiologie demeure souvent ardue et incertaine, particulièrement lorsque ces manifestations surviennent pour la première fois à un âge avancé. S'agit-il alors de symptômes primaires d'une psychopathologie d'apparition tardive ou encore de symptômes secondaires d'une condition neurodegenerative, neurologique ou médicale sous-jacente? Bien que des études aient été réalisées dans l'objectif de caractériser les troubles psychotiques d'apparition tardive et d'offrir ou non une validation nosologique au concept de schizophrénie à début tardif, les résultats issus de ces travaux demeurent parcellaires et controversés. Cinq chapitres adressant chacun des objectifs bien définis composent ce travail doctoral. Le Chapitre I constitue d'abord une introduction générale à la problématique de la schizophrénie à début précoce (SDP : < 40 ans) et à début tardif (SDT > 40, 45, 50, 60 ans dépendamment des études). Le Chapitre II présente les résultats d'une étude rétrospective de dossiers médicaux, laquelle conclue notamment à une faible prévalence des troubles psychotiques d'apparition tardive (TPT : > 40 ans) et très tardive (TPTT : >60 ans) en plus d'exposer peu de caractéristiques distinctives de ces deux entités nosologiques proposées par un Consortium d'experts (International Late-Onset Schizophrenia Group) en 2000. Le Chapitre III rapporte les résultats de l'étude contrôle visant à caractériser les profils cliniques et symptomatiques de patients âgés avec symptômes psychotiques tardifs (SPT : > 50 ans) et schizophrénie à début précoce (SDP : < 40 ans). La comparaison de 17 individus avec SPT et 17 patients avec SDP suggère quelques différences aux plans sociodémographique et médical entre ces deux groupes de patients actuellement bien contrôlés au plan psychiatrique (peu de symptômes positifs actifs et quelques symptômes négatifs résiduels). Certaines différences au niveau des profils de symptômes positifs et négatifs passés sont mises en évidence, lesquelles demeurent toutefois difficilement interprétables compte tenu d'une non équivalence de la période passée considérée entre les groupes. Le Chapitre IV rapporte les données de l'étude contrôle visant à caractériser le profil cognitif et l'évolution naturelle de sujets avec SPT et SDP. Les résultats obtenus suggèrent des profils cognitifs hétérogènes et possiblement caractérisés par des déficits exécutifs de même qu'une fragilité mnésique chez plusieurs individus avec SPT. Par ailleurs, une évolution défavorable accrue ne peut être assumée avec certitude chez les sujets SPT mais certains indices semblent en faveur d'une potentielle vulnérabilité vasculaire/neurodégénérative chez un sous-groupe de patients. Finalement le Chapitre V analyse et critique l'ensemble des données recueillies dans le cadre de la présente thèse et discute en outre des implications/perspectives cliniques et de recherches futures associées.
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Modulation de la violence conjugale émise, selon les traits psychopathiques et les représentations d'attachement chez les hommes de la communauté

Smith, Sabrina 23 April 2018 (has links)
La violence conjugale constitue un phénomène d’intérêt public préoccupant qui semble la norme plutôt que l’exception dans la société québécoise (Institut de la statistique du Québec, 2011). De nombreux auteurs stipulent que la violence conjugale résulterait d’une insécurité face à l’attachement. De plus, plusieurs affirment que les traits de personnalité inadaptés, tels que les traits psychopathiques, sont associés à des comportements antisociaux, tels que la violence conjugale. Par ailleurs, l’attachement inadéquat jouerait un rôle dans l’étiologie des traits de personnalité psychopathiques, selon les écrits scientifiques disponibles. Toutefois, les liens spécifiques entre ces trois variables n’ont que rarement été étudiés simultanément et jamais auparavant chez les hommes de la communauté. La recherche actuelle s’attarde donc à vérifier de quelles manières les traits psychopathiques (primaires et secondaires) et les représentations d’attachement (anxiété face à l’abandon et évitement de l’intimité) modulent l’émission de violence conjugale (psychologique et physique) auprès d’un échantillon de 316 hommes provenant de la communauté. Afin d’augmenter la validité des informations recueillies et de réduire les risques de biais documentés dans ce domaine, seules les réponses rapportées par les conjointes sont prises en compte pour l’émission de la violence conjugale. Les résultats obtenus révèlent que seuls les traits psychopathiques secondaires expliquent l’association observée entre l’anxiété face à l’abandon et la perpétration de violence conjugale psychologique seulement, chez les hommes de la communauté. Les résultats obtenus sont discutés à la lumière des études disponibles à ce jour sur le sujet.
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La mentalisation à l'adolescence et les traits de personnalité limite et narcissique

Duval, Josée 24 April 2018 (has links)
De par ses apports au niveau de la compréhension de la psychopathologie et du traitement psychologique des enfants, des adolescents et des adultes, la mentalisation est un construit pour lequel un intérêt grandissant est observé dans la littérature. Selon la théorie de la mentalisation, les expériences traumatiques à l'enfance, en venant fragiliser le développement des capacités de mentalisation, pourraient mener plus tard à des difficultés au niveau de la personnalité. Toutefois, ce modèle n'a pas encore été testé auprès d'une population adolescente. De plus, à ce moment-ci, la recherche dans le domaine demeure limitée en raison du peu d'outils disponibles afin d'évaluer spécifiquement le fonctionnement réflexif (FR) à l'adolescence. Afin de combler ces lacunes, la présente thèse a pour objectif de documenter davantage la mentalisation à l'adolescence et ses liens avec la psychopathologie, plus particulièrement avec les traits de personnalité à l'adolescence. Cette thèse comprend deux articles empiriques. La première étude a pour objectif principal d'examiner les qualités psychométriques et la validité de la version francophone d'une récente mesure auto-rapportée du FR auprès d'un échantillon d'adolescents et de jeunes adultes de la communauté âgés de 12 à 21 ans. Les résultats appuient la validité du questionnaire et font ressortir, suite à des analyses factorielles exploratoires, la présence de trois facteurs représentant respectivement trois types distincts de mentalisation qui semblent associés de façon divergente à la psychopathologie. La deuxième étude, effectuée auprès du même échantillon, a pour objectif d'évaluer le rôle de médiation du FR dans la relation entre les expériences traumatiques à l'enfance (maltraitance émotionnelle, agression sexuelle/ violence physique et inversion des rôles) et le développement de traits de personnalité limite et narcissique à l'adolescence. Les résultats révèlent que la maltraitrance émotionnelle, par son impact négatif sur le FR de l'adolescent, serait associée aux traits de personnalité limite et au narcissisme pathologique. L'inversion des rôles dans la relation parent-enfant, par son impact négatif sur le FR de l'adolescent, serait spécifiquement associée au narcissisme grandiose. Les résultats de la présente thèse mettent de l'avant l'importance de considérer les difficultés de mentalisation, les expériences traumatiques à l'enfance et les traits de personnalité afin d'optimiser les interventions avec cette clientèle.
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L'adaptation d'adolescents au fait de vivre avec un parent ayant un trouble mental

Bélanger-Michaud, Léonie 19 April 2018 (has links)
La présente recherche s'intéresse à l'adaptation d’adolescents vivant avec un parent ayant un trouble mental. Un premier objectif poursuivi était d’explorer les impacts positifs et négatifs reliés au fait de vivre dans ce contexte familial. Le second objectif visait à examiner les stratégies adaptatives utilisées par ces adolescents et leur perception quant à leur efficacité. La méthode qualitative a été choisie afin d’atteindre ces objectifs et s’inscrit dans le cadre de la théorie transactionnelle du stress de Lazarus et Folkman. Cinq adolescents ont été rencontrés en entrevue individuelle semi-structurée. Ils ont aussi rempli un questionnaire, le Kidcope, portant sur les stratégies d’adaptation. Les thèmes abordés en entrevue portaient sur leur fonctionnement aux plans personnel, social, scolaire et familial, sur le trouble mental de leur parent et leur perception des impacts sur leur vie. De plus, ils se sont exprimés quant aux apprentissages qu'ils retirent de leur expérience. / This research focuses on adolescents' adaptation when living with a parent who has mental illness. A first objective was to explore the positive and negative impacts of living with parental mental illness. A second objective was to examine their coping skills as well as their perception of the efficiency of theses coping skills. Qualitative method has been chosen to pursue these goals and relies on Lazarus and Folkman transactional stress theory. Five adolescents have been met in a semi-structured interview. They also filled a questionnaire on coping skills, the Kidcope. The themes were the social, scholar and familial functioning of these adolescents. They also discussed the parental mental illness, their perception of the impacts on their life and the learning they did through their experience.
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Déterminants et traitements influençant la reprise des activités professionnelles ou scolaires chez des jeunes adultes en début d'évolution d'un trouble psychotique : le rôle de la cognition

Pothier, William 30 October 2019 (has links)
Le rétablissement socioprofessionnel, une dimension du rétablissement personnel, est un objectif courant chez les personnes en début d’évolution d’un trouble psychotique. Plusieurs facteurs pourraient influencer la reprise des activités professionnelles ou scolaires, dont les déficits cognitifs, qui sont des symptômes au coeur des troubles psychotiques. Cependant, le rôle de la cognition parmi les autres déterminants clés du rétablissement socioprofessionnel chez les personnes en début d’évolution d’un trouble psychotique reste encore à documenter. De plus, les traitements standards pour les personnes atteintes d’un trouble psychotique, comme la pharmacothérapie, ont peu d’effets sur les déficits cognitifs. La remédiation cognitive est efficace pour atténuer les déficits cognitifs, mais peu d’études chez les personnes en début d’évolution d’un trouble psychotique ont évalué son effet sur la reprise des activités professionnelles ou scolaires ou ont tenté de personnaliser le programme pour favoriser la réponse thérapeutique. Cette thèse avait donc pour objectif de mieux comprendre le rôle de la cognition dans la reprise des activités professionnelles ou scolaires. Pour se faire, deux études ont été réalisées chez les personnes en début d’évolution d’un trouble psychotique. La première, une étude longitudinale, visait à déterminer le rôle qu’occupe la cognition parmi les déterminants clés de la reprise des activités professionnelles ou scolaires et la seconde, une série d’études de cas, visait à évaluer l’effet d’un programme personnalisé de remédiation cognitive sur la reprise des activités professionnelles ou scolaires. De manière générale, l’étude longitudinale a montré que la mémoire de travail et la durée d’absence du travail ou des études expliquaient 48,1% de la variance du statut socioprofessionnel six mois après l’évaluation initiale. La contribution unique significative de la mémoire de travail dans le modèle souligne l’importance de considérer le fonctionnement cognitif des personnes en début d’évolution d’un trouble psychotique dans les interventions visant la reprise des activités professionnelles ou scolaires. La deuxième étude a quant à elle montré que la remédiation cognitive personnalisée avait permis à deux des trois participants inclus dans l’étude d’améliorer leur statut socioprofessionnel, en plus d’avoir des effets sur des facteurs cognitifs, psychologiques ou cliniques reliés à la reprise des activités professionnelles ou scolaires. / La personnalisation de la remédiation cognitive en fonction de caractéristiques individuelles (e.g., déficits cognitifs préexistants) et contextuelles (e.g., combinaison des interventions) semble avoir favorisé la réponse thérapeutique. À la lumière des résultats des deux études, la remédiation cognitive pourrait être utilisée comme catalyseur de la reprise des activités professionnelles ou scolaires dans les programmes de soutien à l’emploi ou à l’éducation. En effet, la remédiation cognitive semble améliorer plusieurs déterminants du retour au travail ou aux études, dont ceux déterminés à l’étude 1 (i.e., la mémoire de travail et la durée d’absence du travail ou des études). Les trajectoires variées vers le retour au travail ou aux études semblent indiquer que les mécanismes par lesquels la remédiation cognitive favorise la reprise des activités professionnelles ou scolaires sont hétérogènes, soulignant l’importance de personnaliser les interventions. / Occupational recovery (i.e., return to work or to school) is a common objective among people with recent-onset psychosis. Many factors may influence occupational recovery process, such as cognitive deficits, which are core symptoms in psychotic disorders. However, the role of cognition among other key predictors of occupational recovery in recent-onset psychosis remains to be documented. In addition, usual treatments in psychotic disorders, such as pharmacological treatments, have limited impact on cognitive deficits. Cognitive remediation can reduce cognitive deficits in psychotic disorders, but few studies have evaluated its effect on occupational recovery and have attempted to personalize the intervention to enhance treatment response in recent-onset psychosis. Therefore, the general objective of this thesis was to evaluate the role of cognition on occupational recovery. To reach this goal, two studies were conducted among people with recent-onset psychosis. The first, a longitudinal study, aimed to evaluate the role played by cognition among other key predictors of occupational recovery and the second, a multiple cases study, aimed to evaluate the effect of personalized cognitive remediation on occupational recovery. In general, the longitudinal study showed that working memory and length of time absent from employment or school explained 48.1% of the variance of occupational recovery. The unique significant contribution of working memory on occupational recovery underlined that considering cognitive functioning is relevant to interventions targeting return to work or to school. The second study including three cases showed that two of them improved their occupational status after the personalized cognitive remediation therapy, as well as cognitive, psychological and/or clinical factors relevant to occupational recovery. The personalization of the cognitive remediation therapy according to individual (e.g., pre-existing cognitive deficits) and contextual (e.g., combined interventions) characteristics appeared to have enhanced treatment response. According to results of both studies, cognitive remediation could be provided as a catalyst of occupational recovery in supported employment and education programs. Indeed, cognitive remediation may improve many factors relevant to occupational recovery, such as those determined in study 1 (i.e., working memory and length of time absent from employment/school). The distinct pathways leading to return to work or to school suggested that mechanisms through which cognitive remediation influence occupational recovery may be heterogeneous, underlying the relevance of personalizing interventions.
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Perceived social support and psychopathology in patients following a traumatic brain injury

Labow, Melissa Amber 06 March 2024 (has links)
Le traumatisme craniocérébral (TCC) est l’une des premières causes de décès et d’invalidité chez les adultes. À la suite d’un TCC, il est commun pour ces personnes de vivre des problèmes de santé mentale et des difficultés en lien avec le soutien social. Les objectifs de ce mémoire sont de décrire l’évolution du soutien social à travers le temps en fonction de la gravité des blessures, d’explorer les variables sociodémographiques et cliniques qui sont associées à un plus faible soutien social 24 mois après le TCC et de vérifier si le soutien social mesuré quatre mois après le TCC contribue à prédire les difficultés de santé mentale un et deux ans après un TCC. 255 adultes ayant subi un TCC léger à sévère ont été inclus dans l’étude. Les résultats de l’étude indiquent que le score de soutien social total ne change pas significativement à travers le temps ni en fonction de la gravité des blessures. Par contre, le soutien social instrumental diminue à partir de 4 mois jusqu’à 24 mois après le TCC. Les personnes avec un plus faible soutien social qui ont subi un TCC sont plus souvent sur le chômage et vivent seules. Finalement, le score de soutien social total évalué quatre mois après le TCC contribue à prédire des problèmes de santé mentale deux ans après le TCC. Ces résultats soulignent l’importance d’inclure des interventions visant le soutien social dans la période de rétablissement chez les personnes ayant subi un TCC. / Traumatic brain injuries (TBI) are one of the leading causes of death and disability in adults. Following a TBI, it is common for individuals to experiences various sequelae, including mental health challenges and changes in social support, amongst others. The goals of this study were to describe the evolution of perceived social support over time and across injury severity levels, to explore socio-demographic variables and clinical variables associated with lower levels of social support at 24 months post-TBI and to verify whether social support measured at four months following TBI contributed to predict the presence of mental health disorders one to two years post-injury. A sample of 255 participants with mild to severe TBIs were included in the study. The results indicate that the total social support score does not change significantly over time or according to injury severity, however instrumental social support decreased from 4 to 24 months. TBI survivors with lower social support were more often unemployed or living alone. Finally, the total social support score evaluated four months after the injury contributed to predict the presence of mental health challenges at a two-year follow-up assessment. These results indicate the importance of including social support interventions in the recovery process of TBI patients.
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Verbesserung kognitiver Leistungen bei chronischer Schizophrenie durch rekombinantes humanes Erythropoietin (rhEPO) / Improvement of cognitive functioning in chronic schizophrenia through recombinant human erythropoietin (rhEPO)

Aust, Susanne Carlotta 28 April 2008 (has links)
No description available.
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The role of fearful spells as risk factors for panic pathology and other mental disorders

Asselmann, Eva 15 January 2015 (has links) (PDF)
Background. Previous research suggests that individuals experiencing DSM-IV panic attacks (PA) are at increased risk for various forms of psychopathology, including anxiety, depressive and substance use disorders. However, little is known regarding whether the sole occurrence of fearful spells (FS-only; distressing spells of anxiety with less than four panic symptoms and/or lacking crescendo in symptom onset) similarly elevates the risk for subsequent psychopathology and could therefore be promising to identify high-risk groups for targeted preventive interventions. Thus, the current dissertation thesis aims to examine (a) whether FS-only predict incident mental disorders in addition to full-blown PA and whether their associations with subsequent psychopathology differ from those obtained for PA, (b) whether FS-only, PA, and panic disorder (PD) share similar etiologies, (c) which characteristics of initial FS/PA and other risk factors predict a progression to more severe panic pathology and other mental disorders, and (d) whether help-seeking/potential treatment in individuals with panic alters the risk for subsequent psychopathology. Methods. A representative community sample of adolescents and young adults (N=3021, aged 14-24 at baseline) was prospectively followed up in up to three assessment waves over a time period of up to 10 years. FS-only, PA, PD, and other mental disorders were assessed at each assessment wave using the DSM-IV-M-CIDI. Additional modules/questionnaires were used to assess characteristics of initial FS/PA (T1/T2), potential risk factors, and help-seeking/potential treatment. Logistic regressions were applied to test associations (Odds Ratios, OR) of FS-only and PA at baseline with incident mental disorders at follow-up as well as respective interactive effects with help-seeking at baseline. Associations (Hazard Ratios, HR) of putative risk factors with the onset of panic pathology (FS-only, PA, and PD) or the onset of subsequent anxiety/depressive vs. substance use disorders in those with panic pathology (aggregated data across assessment waves) were estimated with Cox regressions. Multinomial logistic regressions were used to test associations of initial FS/PA characteristics (aggregated from T1 and T2) with PA and PD (lifetime incidences aggregated across assessment waves). Results. FS-only at baseline predicted incident anxiety and depressive disorders at follow-up (OR 1.59-4.36), while PA at baseline predicted incident anxiety, depressive, and substance use disorders at follow-up (OR 2.08-8.75; reference group: No FS/PA). Merely any anxiety disorder (OR=3.26) and alcohol abuse/dependence (OR=2.26) were significantly more strongly associated with PA than with FS-only. Female sex, parental anxiety disorders, parental depressive disorders, behavioral inhibition, harm avoidance, lower coping efficacy, and parental rejection predicted FS-only, PA, and PD (HR 1.2-3.0), whereas the associations with other risk factors partially differed for FS-only, PA, and PD and tended to be more pronounced for PA and PD than for FS-only. Alcohol consumption, use of drugs/medication, and physical illness as perceived reasons for the initial FS/PA were associated with the occurrence of full-blown PA (without PD, OR 2.46-5.44), while feelings of anxiety/depression and having always been anxious/nervous as perceived reasons for the initial FS/PA, appraising the initial FS/PA as terrible and long-term irritating/burdensome, subsequent feelings of depression, avoidance of situations/places, and consumption of medication, alcohol, or drugs were associated with the development of PD (OR 2.64-4.15). A longer duration until “feeling okay again” was associated with both PA and PD (OR 1.29-1.63 per category). Moreover, partially different risk constellations in subjects with panic pathology (FS/PA/PD) predicted the onset of subsequent anxiety/depressive vs. substance use disorders. Panic pathology (FS/PA) and help-seeking/potential treatment at baseline interacted on predicting incident PD (OR=0.09) and depression (OR=0.22) at follow-up in a way that panic pathology only predicted these disorders in individuals not seeking help at baseline. Conclusions. Findings suggest that individuals with FS-only are at similar risk of developing subsequent psychopathology compared to individuals with full-blown PA. Specific initial FS/PA characteristics and additional risk factors may be used to identify sub-groups of individuals with panic pathology, which are at particular risk of progressing to more severe panic pathology or other mental disorders and might therefore profit from supplemental outcome-related preventive interventions in addition to panic-specific treatment. Future research may replicate the current findings and test the efficacy of targeted preventive interventions in panickers at elevated risk for PD and other forms of psychopathology. / Theoretischer Hintergrund. Auf Grundlage früherer Forschungsbefunde ist anzunehmen, dass Personen mit DSM-IV-Panikattacken (PA) ein erhöhtes Risiko für zahlreiche psychische Störungen, einschließlich Angst-, depressiver und Substanzstörungen, aufweisen. Unklar ist jedoch, ob das alleinige Auftreten von Fearful Spells (FS-only, Angstanfälle mit weniger als vier Paniksymptomen und/oder fehlendem Crescendo in der Symptomentwicklung) das Risiko für Psychopathologie in ähnlicher Weise erhöht und hilfreich sein könnte, um Hochrisikogruppen für Präventivinterventionen zu identifizieren. Innerhalb der vorliegenden Dissertation wird daher untersucht, (a) ob FS-only zusätzlich zu PA inzidente psychische Störungen vorhersagen und ob sich Unterschiede in den Assoziationen von FS-only vs. PA mit nachfolgender Psychopathologie ergeben, (b) ob FS-only, PA und Panikstörung (PS) ähnliche Ätiologien teilen, (c) welche Merkmale initialer FS/PA und welche anderen Risikofaktoren die Entwicklung schwerer Panikpathologie und weiterer psychischer Störungen vorhersagen und (d) ob Hilfesuchverhalten/potenzielle Behandlung bei Personen mit Panik das Risiko für nachfolgende Psychopathologie verändert. Methodik. Eine repräsentative Bevölkerungsstichprobe Jugendlicher und junger Erwachsener (N=3021, 14-24 Jahre zur Baseline-Erhebung) wurde in bis zu drei Erhebungswellen über einen Zeitraum von bis zu 10 Jahren untersucht. FS-only, PA, PS und andere psychische Störungen wurden zu jeder Erhebungswelle mithilfe des DSM-IV-M-CIDI erfasst. Merkmale initialer FS/PA (T1/T2), mögliche Risikofaktoren sowie Hilfesuchverhalten/potenzielle Behandlung wurden mit weiteren Modulen und Fragebögen erhoben. Mithilfe logistischer Regressionen wurden Assoziationen (Odds Ratios, OR) von FS-only und PA zu Baseline mit inzidenten psychischen Störungen zum Follow-Up sowie diesbezügliche Interaktionen mit Hilfesuchverhalten zu Baseline getestet. Zusammenhänge zwischen möglichen Risikofaktoren und dem Auftreten von Panikpathologie (FS-only, PA und PS) bzw. nachfolgender Angst-/depressiver und Substanzstörungen bei Personen mit Panikpathologie (Verwendung von über die Erhebungswellen hinweg aggregierter Daten) wurden mithilfe von Cox-Regressionen geschätzt. Multinomiale logistische Regressionen wurden genutzt, um Assoziationen von Merkmalen initialer FS/PA (aggregiert über T1 und T2) mit PA und PS (über die Erhebungswellen hinweg aggregierte Lebenszeitinzidenzen) zu erfassen. Ergebnisse. FS-only zu Baseline sagten inzidente Angst- und depressive Störungen zum Follow-Up vorher (OR 1.59-4.36), wohingegen PA zu Baseline inzidente Angst-, depressive und Substanzstörungen zum Follow-Up vorhersagten (OR 2.08-8.75; Referenzkategorie: Keine FS/PA). Lediglich irgendeine Angststörung (OR=3.26) und Alkoholmissbrauch/-abhängigkeit (OR=2.26) waren signifikant stärker mit PA als mit FS-only assoziiert. Weibliches Geschlecht, elterliche Angst- und depressive Störungen, Verhaltenshemmung, Schadensvermeidung, geringere Coping-Erwartung und elterliche Zurückweisung sagten FS-only, PA und PS vorher (HR 1.2-3.0), während sich teils unterschiedliche Assoziationen anderer Risikofaktoren mit FS-only, PA und PS ergaben, die tendenziell stärker für PA und PS als für FS-only waren. Alkoholkonsum, Drogen-/Medikamentengebrauch und körperliche Erkrankungen als wahrgenommene Gründe für die initiale FS/PA waren mit dem Auftreten vollständiger PA assoziiert (ohne PS; OR 2.46-5.44), während Gefühle von Angst/Depression und die Einschätzung schon immer ängstlich/nervös gewesen zu sein als wahrgenommene Gründe für die initiale FS/PA, die Bewertung der initialen FS/PA als schrecklich und langfristig verunsichernd/belastend, nachfolgende Gefühle von Niedergeschlagenheit, Vermeidung von Situationen/Orten und Konsum von Medikamenten, Alkohol oder Drogen mit der Entwicklung von PS assoziiert waren (OR 2.64-4.15). Eine längere Dauer bis sich die betroffene Person wieder vollständig in Ordnung fühlte war sowohl mit PA als auch mit PS assoziiert (OR 1.29-1.63 pro Kategorie). Weiterhin sagten teils unterschiedliche Risikokonstellationen bei Personen mit Panikpathologie (FS/PA/PS) die nachfolgende Entstehung von Angst-/depressiven und Substanzstörungen vorher. Panikpathologie (FS/PA) und Hilfesuchverhalten/potenzielle Behandlung zu Baseline interagierten bei der Vorhersage von inzidenter PS (OR=0.09) und Depression (OR=0.22) zum Follow-Up; d.h. das Vorhandensein von Panikpathologie sagte diese Störungen nur bei Personen ohne, nicht aber bei Personen mit Hilfesuchverhalten zu Baseline vorher. Schlussfolgerungen. Die vorliegenden Ergebnisse implizieren, dass Personen mit FS-only im Vergleich zu Personen mit vollständigen PA ein ähnliches Risiko für die Entwicklung nachfolgender Psychopathologie aufweisen. Spezifische Merkmale initialer FS/PA und zusätzliche Risikofaktoren könnten zur Identifikation von Sub-Gruppen von Personen mit Panik genutzt werden, die sich durch ein besonderes Risiko für schwergradige Panikpathologie und andere psychische Störungen auszeichnen und demzufolge von Outcome-bezogenen Präventionen (ergänzend zu Panik-spezifischer Intervention) profitieren könnten. Zukünftige Studien sollten die vorliegenden Befunde replizieren und die Effektivität gezielter Präventivinterventionen bei Personen mit erhöhtem Risiko für PS und andere psychische Störungen testen.
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Prévention de la récidive et non-adhérence aux programmes d'intervention obligatoires chez les contrevenants de la conduite avec facultés affaiblies par l'alcool

Fortin, Marie-Claude January 2009 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Étude du modèle théorique du rapport des déterminants de Rorschach par leur comparaison avec une histoire faite avec les réponses / Study of the theoretical model of the relationship among Rorschach determinants through their comparison with a story made with responses

Silberstein, Fernando 14 June 2011 (has links)
L’objectif de ce travail est d’étudier l’ensemble des déterminants comme la manifestation d’un fonctionnement psychologique spécifique de l’interprétation à l’épreuve. La séquence consécutive des déterminants cotés est comparée avec la séquence des déterminants issue des réponses reprises pour faire une histoire avec les réponses données. De cette comparaison quatre aménagements principaux se présentent : -la répétition égale ou presque de la séquence malgré le fait que la deuxième suite est issue d’un ordre différent des réponses et des planches que celui de la passation initiale ; -une séquence proche ; -un rassemblement par groupes de pareils déterminants ; -des séries comparées différentes. Chacun des types est en rapport avec quelques traits psychologiques distinctifs, notamment la répétition égale et le rassemblement. Si dans certains cas la suite se répète malgré le changement de l’ordre initial des planches, cela veut dire que la séquence consécutive représente un fonctionnement spécifique caractéristique de l’interprétation. D’autres rapports des déterminants avec les narrations sont établis, notamment celui des proportions relatives de l’ensemble des déterminants avec la thématique et les liens parmi les épisodes. Quelques différences interprétatives et de réactivité à la couleur sont constatées entre les sexes. À partir des comparaisons faites il est proposé que les déterminants représentent un niveau sémantique de base d’influence cognitive et en rapport avec les processus émotionnels composé d’objets, liaisons, construction des justifications et transformations, et qualités acquises dans la construction d’un sens. / The purpose of this paper is to study the determinants as the manifestation of a psychological functioning specific to the interpretation of the test. The consecutive sequence of determinants of the initial classification is compared with the sequence of determinants resulting from responses used to make a story. Four principal organizations of determinants appear when this comparison is made: the repetition of the same or nearly the same sequence despite the fact that the second series results from a different order of the plates and responses; a sequence similar to the initial one; block grouping of equal determinants; different series of determinants.Each of these organizations is related to some distinctive psychopathological traits, in particular in the cases of equal repetition and block grouping. The fact that the initial classification may be repeated despite the change in the order of the responses and plates makes it clear that the consecutive sequence of determinants represents a specific psychological process proper to the interpretation, relatively independent from the stimulus. Other relationships of determinants with the narratives are stablished, including the different proportions of the totality of determinants to the subject of the stories, and the linkings among episodes.As a result of the comparisons made, the author proposes that the sequence of determinants represents a basic semantic level linked to the cognitive organization relative to emotional processes. This interpretative level is related to the constructions of objects, links, justifications, transformations, and qualities acquired in the course of the building up of meaning.

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