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Ce que fait la pratique au spectateur. Enquêtes dans des salles de cinéma Art et Essai de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur

Bourgatte, Michael 03 December 2008 (has links) (PDF)
Dans une visée communicationnelle et sociologique, ce travail de recherche propose de penser la pratique du cinéma dans les salles Art et Essai comme un processus dynamique de mise en relation des individus avec les films et des individus entre eux. Il repose sur deux enquêtes par questionnaire auto-administré conduites auprès de spectateurs fréquentant des salles de cinéma Art et Essai de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ces données sont complétées par des analyses sémio-discursives de critiques de cinéma prélevées dans le magazine Télérama et dans le programme du cinéma d'Art et Essai Utopia (Avignon) ainsi que par une série d'analyses filmiques s'inscrivant dans le champ d'une sociologie esthétique du cinéma. L'objectif est d'étudier la formation socio-discursive de la valeur dans le champ du cinéma et de voir en quoi cette valeur participe de la constitution d'ensembles communautaires de pratiquants autour de la notion d'Art et Essai, en tant qu'elle circule et génère des représentations.<br />La première partie propose de définir l'objet de la recherche : la pratique du cinéma dans les salles Art et Essai. Elle construit des outils permettant de saisir empiriquement cette pratique et démontre qu'elle engage un rapport spécifique au social. La deuxième partie montre que les recherches sur la pratique du cinéma en salle réduisent, le plus souvent, l'activité spectatorielle à un geste d'appropriation des films alors que cette activité renvoie tout autant à un geste de constitution sociale de la valeur sociale des films. Enfin, la troisième partie étudie la manière dont les individus se positionnent et réagissent vis-à-vis de cette valeur. Elle montre qu'il y a une identité de l'Art et Essai autour de laquelle se constituent des agglomérats d'individus assimilables à des regroupements communautaires. Elle permet ainsi de repenser ces espaces de pratique à partir de la notion de communauté. <br />En s'appuyant sur l'étude de la pratique cinématographique, cette recherche propose, plus largement, de discuter la pertinence de la question de l'(il)légitimé des objets culturels.
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Les Cités du théâtre politique en France de 1989 à 2007. Archéologie et avatars d'une notion idéologique, esthétique et institutionnelle plurielle.

Hamidi Kim, Bérénice 12 November 2007 (has links) (PDF)
L'enjeu du présent travail consiste à saisir les différentes significations que peut prendre, sur la période 1989-2007, l'expression " théâtre politique ", aussi omniprésente dans la pratique et dans le discours des différents acteurs du théâtre - artistes, directeurs de théâtre, programmateurs, pouvoirs publics - que polysémique. Refusant une approche normative et téléologique, fondée sur un principe de dépassement chrono-logique d'une définition par une autre, et parce qu'il nous paraissait que coexistait sur cette période une pluralité mais non une infinité de significations à l'expression " théâtre politique ", nous avons adapté à la sphère théâtrale un concept emprunté au champ de la sociologie, et plus précisément aux travaux de Luc Boltanski et Laurent Thévenot : le concept de " cité ". Nous avons défini chaque " cité du théâtre politique " comme un discours théâtral cohérent, le terme discours recouvrant aussi bien les spectacles que les propos publics tenus par les artistes, par les pouvoirs publics et par la critique. Dans chaque cité, ce discours se fonde sur une vision du monde - induite par une conception spécifique de l'histoire et du politique - qui détermine une légitimation du théâtre et de l'artiste au sein du champ théâtral et au sein de la société. Nous avons distingué quatre cités du théâtre politique qui nous paraissaient actives sur cette période, quoiqu'à des degrés d'existence et de reconnaissance variables : la cité du théâtre postpolitique, la cité du théâtre politique œcuménique, la cité de refondation de la communauté théâtrale et politique et la cité du théâtre de lutte politique.
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Révéler le potentiel des lieux publics à travers les pratiques subversives de Lynne Cohen et du Péristyle Nomade

Mallette, Sophie 05 1900 (has links)
Ce mémoire porte sur la modification de notre perception de la ville par l’intermédiaire de pratiques artistiques. À travers l’analyse de la performance Cellule R-134 du collectif montréalais Péristyle Nomade et de la photographie Untitled (Astroturf) de la photographe étasunienne-canadienne Lynne Cohen, nous examinons le rôle que peuvent jouer certaines pratiques sur notre façon de percevoir autrement la ville – sans changer la ville elle-même. Ce changement de perception peut mener à une réappropriation de l’espace urbain par la révélation de son potentiel. La définition de certaines notions clefs, comme celles d’espace public, de lieux et de non-lieux, permet d’interroger le caractère paradoxal des lieux publics qui, malgré leur fonction « publique », n’encouragent pas la présence humaine. Ce sont les espaces publics, ou semi-publics, que nous sommes porté.e.s à fréquenter régulièrement en milieu urbain qui sont abordés ici. En effet, bien que la ville occupe une place déterminante dans la vie des personnes qui y vivent, elle n’est pas réellement conçue pour leur bien-être mais plutôt, pour servir des intérêts politiques et économiques. La ville contribue dès lors à générer un sentiment d’aliénation. Cette aliénation est alimentée, entre autres, par les dispositifs de sécurité déployés dans l’espace public. Ces mesures dissimulent bien souvent des motifs de contrôle et d’assujettissement tout en servant à justifier, et à maintenir, l’exclusion de certains groupes marginalisés. Les problèmes de circulation locale en milieu urbain ainsi que l’aspect peu accueillant, voire hostile, de nombreux lieux publics, attestent eux aussi du fait que le bien-être de la population n’est que très rarement une priorité. Les œuvres Cellule R-134 et Untitled (Astroturf), en se réappropriant et détournant les codes des stratégies de surveillance et de contrôle employés dans l’espace public, ou encore, en soulignant les manques d’infrastructures ou d’attention portée dans celui-ci, en révèlent leur absurdité et leur violence. Ces constats confirment la nécessité de percevoir la ville autrement et de se la réapproprier. Ce changement de perception est abordé à travers l’exploration des possibilités qu’offrent deux types d’expériences urbaines : collective, axée sur les échanges et les rencontres, et individuelle, faisant plutôt appel aux sens et aux émotions de façon intime. L’art favorise ces expériences et permet ainsi d’humaniser ces (non-)lieux fréquentés au quotidien. Les œuvres Cellule R-134 et Untitled (Astroturf) proposent ainsi des outils réalistes pour se réapproprier la ville plutôt que de la subir passivement. Elles encouragent l’agentivité dans un contexte où celle-ci est justement limitée et démontrent le pouvoir que nous avons sur notre capacité à faire sens. / This dissertation focuses on artistic practices as means of changing our perspective on the city. Through the analysis of the performance Cellule R-134 by the Montreal collective Péristyle Nomade and the photograph Untitled (Astroturf) by American Canadian photographer Lynne Cohen, we examine the role that certain practices can play on perceiving the city differently – without changing the city itself. This change of perspective can lead to a reappropriation of urban space by revealing its potential. The definition of certain key notions, such as public space, places and non-places, allows us to question the paradoxical character of public places which, despite their “public” function, do not encourage human presence. It is the public, or semi-public, spaces that we tend to frequent daily in an urban environment that are discussed here. Indeed, although the city plays a determining role in the lives of its inhabitants, it is not designed for their well-being but rather, to serve political and economic interests. The city therefore participates in generating a sense of alienation. This alienation is fueled, among other things, by the security measures implemented in public spaces. These measures, often concealing motives of control and subjugation, also serve to justify, and maintain, the exclusion of marginalized groups. Local traffic problems in urban areas as well as the unwelcoming, even hostile, appearance of many public places also attest to the fact that the well-being of the population is rarely a priority. The works Cellule R-134 and Untitled (Astroturf), by reappropriating and hijacking the codes of surveillance and control strategies used in public space, or by highlighting the lack of infrastructure or attention paid to them, reveal their inherent violence and absurdity. These observations confirm the need to perceive the city differently. This change of perspective is approached by exploring the possibilities offered by two types of urban experiences: collective, centered on exchanges and encounters, and individual, engaging the senses and emotions in an intimate way. Art encourages these experiences, humanizing the (non-)places we frequent daily. The works Cellule R-134 and Untitled (Astroturf) offer realistic tools for reappropriating the city rather than passively enduring it. They promote agency in a context where it is precisely limited and demonstrate the power we have over our ability to make sense.
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La torpille numérique : problématiques métier de l’exploitation cinématographique à l’heure des multiplexes et des diffusions multi-supports / "A "digital torpedo" ? : business matters of cinema management in the age of multiplex and in the age of digital culture

Lesson, Benjamin 13 December 2011 (has links)
L’exploitant de cinéma articule l’espace public cinématographique et l’espace public ; il offre une définition, une objectivation du cinéma au sein de l’espace public, dans la manière dont il construit un cadre d’expérience esthétique. Il est donc à la croisée des chemins : il doit veiller à donner un site (matériel et symbolique) à l’expérience esthétique, selon les logiques propres à son champ et en considérant la « demande » du public.Les problématiques de son métier concernent aussi bien son positionnement concurrentiel, que son positionnement au sein de l’espace public cinématographique ainsi qu’au sein de l’espace public. La présente thèse vise à en rendre compte, de manière transdisciplinaire et engage également une réflexion sur le discours porté sur le cinéma au sein de l’espace public ainsi que la fonction que lui accorde cet espace. Les nouveaux dispositifs numériques peuvent conduire à la radicalisation du caractère mass media du film (en multipliant les modalités de réception), mais ils offrent également nouvelles configurations esthétiques; le cinéma doit donc être (re)défini en fonction de ces nouvelles possibilités (partie 1).C’est toute l’institution cinématographique qui est confrontée à la problématique de l’émergence des nouveaux médias et qui, malgré elle, tend à réduire la valeur expérientielle du cinéma au caractère mass media du film. Or, c’est le marché qui capte et exploite le plus cette logique (partie 2).Cependant, l’exploitant n’est pas seulement un diffuseur ; le travail de l’exploitant est également d’opérer une médiation. Ainsi, il s’agit de considérer les problématiques de sociabilité engagées par la salle de cinéma et les conditions de création de micro-agora, de micro espace public par l’exploitation (partie 3).Ce n’est que dans une saisie globale des deux aspects du cinéma (mass media et micro agora) que l’exploitant a une fonction claire et importante, qu’il convient de revaloriser au sein de l’espace public cinématographique (conclusion). / The movie theatre manager articulates the cinematographic public place and the public place. He proposes a definition and an objectification of the cinema within the public place, depending how he « builds » an aesthetic experiment frame. Thus, the movie theatre manager is on a « crossroad ’: he has to ensure the (material and symbolical) frame required for an aesthetic experiment, depending on institutional practices and according to the spectators « demands». The business challenges of the movie theatre manager concern as well its competitive location, as its location within the cinematographic public place as well as within the public place. This thesis aims at reporting it, in an interdisciplinary way. It also commits a comment on the definitions of the cinema belonging to the public place as well as the function that this space grants it.The new digital devices can drive to the radicalisation of the mass media aspect of the movie (by multiplying the ways of reception). But they also offer new aesthetic configurations. Thus, the cinema has to be (re) defined according to these new possibilities (Part 1).It is all the film institution which is concerned by the problems due to the new technologies emergence and which tends to reduce the cinematographic experiential value to the mass media of the film aspect. Now the market exploits this logic more than the institutions do and so appears as the only guarantor of the quality (Part 2).However, the movie theatre manager is not only a diffuser; his work also is to proceeds a mediation. So, it is a matter of considering the sociability problematics committed by the theatre space and the conditions of creation of micro- agora, micro public place by the movie theatre (Part 3).It is only in a global seizure of both aspects of the cinema (mass media and micro-agora) that the movie theatre manager has a clear and an important function, that it must be revalued within the film public place (conclusion).
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[en] TECHNOLOGY AND THE GAP BETWEEN UNIVERSITY EDUCATION AND TRANSLATION PRACTICE: A PROPOSED APPROACH / [pt] A TECNOLOGIA NO DESCOMPASSO ENTRE FORMAÇÃO UNIVERSITÁRIA E PRÁTICAS TRADUTÓRIAS: UMA PROPOSTA DE ABORDAGEM

RICARDO CORREIA DA SILVA E SOUZA 02 August 2017 (has links)
[pt] Esta dissertação se insere no contexto das discussões contemporâneas sobre abordagens às tecnologias da tradução na formação universitária de tradutores profissionais. Este estudo parte de uma análise de um afastamento percebido entre ensino universitário e prática profissional no âmbito estrito da formação de tradutores para investigar o papel do tratamento dispensado às tecnologias da tradução nessa conjuntura. Para tanto, como base teórica e metodológica, este trabalho usa postulados dos Estudos da Tradução sobre o objeto de seus ramos descritivos e aplicados e os estudos desenvolvidos pela pedagogia da tradução em torno do que seriam competências tradutórias para, então, propor um modo de inserção da tecnologia no processo de formação de tradutores. É feita, então, uma inclusão das tecnologias da tradução no contexto dos modernos Estudos de Ciência e Tecnologia em seus aspectos descritivos - notadamente os trabalhos sobre Ciência, Tecnologia e Sociedade (CTS) e a Teoria Ator-Rede (TAR) - para verificar expectativas sobre processos e resultados da tradução por causa da presença intensiva da tecnologia. Por fim, com base nas inter-relações expostas pelo exame anterior, este estudo sugere uma forma de abordagem às tecnologias da tradução na universidade que contribua para valorizar a universidade, reduzir o afastamento percebido entre ensino universitário e prática da tradução e destacar as pesquisas acadêmicas da tradução como protagonistas no âmbito das Humanidades Digitais. / [en] This work follows the contemporary discussions on how to approach the translation technologies in the education of professional translators. This study starts with an analysis of a perceived distance between university education and professional practice in the strict framework of translators training and education, and then investigates the role that current approaches to translation technology play in that scenario. Therefore, as a theoretical and methodological basis, this work uses postulates from Translation Studies on the object of their descriptive and applied branches, and from the translation pedagogy studies on translational competences, to propose a mode of inserting technology in the translator education process. Then, the translation technologies are included in the modern context of Science and Technology Studies in their descriptive aspects - notably the Science, Technology and Society (STS) studies, and the Actor-Network Theory (ANT) approach - in order to check expectations on translation processes and results associated with the intensive presence of translation technologies. Finally, based on the interrelations found during investigations, this study suggests an approach to translation technology at the university that would contribute to distinguish the university, reduce the distance perceived between university education and translation practice, and highlight the academic translation research as protagonist within the Digital Humanities studies.

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