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Problématique d'incohérence des registres d'inventaire chez Marcel Baril Ltee : diagnostic et recommandations /

Lelièvre, Jean. January 1986 (has links)
Mémoire (M.P.M.O.)-- Université du Québec à Chicoutimi, 1986. / Ce mémoire a été réalisé à l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue dans le cadre du programme de maîtrise en gestion des petites et moyennes organisations extensionné de l'UQAC à l'UQAT. CaQCU Document électronique également accessible en format PDF. CaQCU
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Analyse des impacts des circulaires hebdomadaires sur la chaîne d'approvisionnement d'une entreprise de commerce de détail

Lagacé, Étienne January 2008 (has links) (PDF)
Le secteur de la rénovation nord-américain représente des ventes annuelles de 433,5 milliards de dollars. Home Depot, Home Hardware et RONA possèdent 15% de part de marché canadien chacun tandis que Lowe's, deuxième joueur mondial après Home Depot aux État-Unis, s'apprête à faire son entrée sur le marché canadien. Le marché européen, quant à lui, s'étend sur plusieurs pays et certaines grandes bannières dépassent même les frontières européennes (Asie et Australie). Par exemple, Kingfisher s'y trouve sous plusieurs bannières importantes dans les trois plus grands marchés européens, dont B&Q (troisième joueur mondial) en Angleterre, Castorama en France et Hornbach en Allemagne. Pour sa part, RONA compte plus de 24000 employés, un chiffre d'affaires annuel de plus de 4 milliards de dollars et plus de 603 magasins à grande surface ou traditionnels sous différentes bannières à l'échelle nationale (RONA, Réno-Dépôt, Chester Dawe, Totem, etc.). Sa chaîne d'approvisionnement inclut sept centres de distribution, dont le plus grand a une superficie de 1 000 000 pieds carrés et est situé à son siège social à Boucherville au Québec, et elle marchande avec des fournisseurs locaux, intermédiaires et étrangers. L'entreprise fonctionne avec plusieurs systèmes d'information différents dont SIDMA et E3 qui forment la colonne vertébrale de celle-ci. Après avoir acquis d'autres chaînes de magasins, élargi son propre réseau de points de vente, recruté des centaines de magasins traditionnels et compté sur une croissance soutenue de son secteur d'activité au cours des dernières années, les ambitions de l'entreprise sont claires: augmenter sa part de marché canadienne à 25 % pour détenir seule la position de chef de file et pénétrer le marché américain de la rénovation. Par contre, avec cette expansion rapide, l'entreprise est actuellement confrontée à certains problèmes opérationnels liés à sa chaîne d'approvisionnement. En terme de service à la clientèle, l'objectif de l'entreprise est d'assurer la disponibilité des produits en magasin. C'est au moment où RONA décide d'appliquer cette politique aux produits en promotion que la gestion des activités promotionnelles se complexifie. II y a effectivement plusieurs impacts importants des pratiques promotionnelles sur la chaîne d'approvisionnement d'une entreprise de commerce de détail. Pour RONA, la gestion de ses activités promotionnelles est très coûteuse et certains doutes existent sur les conséquences négatives de cette pratique sur ses niveaux de stock. Ce mémoire traite donc de la question suivante: Quels sont les impacts des circulaires hebdomadaires nationales sur la chaîne d'approvisionnement de l'entreprise, plus précisément sur le niveau de ses stocks en main? La revue de littérature de ce mémoire fait la recension des écrits portant sur les liens existants entre les procédures promotionnelles et la gestion de la chaîne d'approvisionnement et met en lumière les impacts des stratégies marketing sur les processus opérationnels. Plusieurs des écrits consultés traitent, dans un sens très large, de la problématique des promotions. Certains auteurs ont intuitivement évoqué qu'il y avait des effets certains, mais très peu l'ont démontré à l'appui d'études quantitatives. Nous serons l'un des premiers, après Vokurka et Lummus (1998) et Lummus, Duclos et Vokurka (2003), à illustrer explicitement cette problématique. Nous innovons en ciblant une pratique promotionnelle en particulier dans une entreprise de distribution qui oeuvre dans le commerce de détail. En plus de recommander, nous analysons également les résultats quantitatifs obtenus basés sur la description des processus internes de l'entreprise ce que les auteurs précédents n'ont pas réalisé. Nous croyons également que ce chaînon manquant permettra non seulement à RONA de mieux gérer ses stocks en main lors d'une promotion, mais servira également à guider d'autres entreprises désirant maximiser le rendement de leur chaîne d'approvisionnement suite à des initiatives marketing. De plus, nous fournissons un premier cadre d'analyse qui permettra aux chercheurs d'établir un lien clair entre les observations, les résultats et les recommandations lors de simulation de différents scénarios visant la maximisation des stocks en main en période promotionnelle. Une description détaillée du processus d'approvisionnement chez RONA en situation promotionnelle est présentée allant du moment où les décisions concernant les promotions sont prises jusqu'au moment où les produits arrivent aux magasins. Un graphique d'acheminement permet de visualiser l'ensemble des flux physiques, des flux d'information et des flux de décision ainsi que les différents intervenants impliqués dans le processus. Tous les outils de travail, toutes les méthodes de calcul utilisées et tous les paramètres de temps sont définis, décrits et expliqués en détail de façon à obtenir la vue d'ensemble désirée de la mise en oeuvre d'une circulaire hebdomadaire chez RONA qui s'étend sur plus de 25 semaines. Vient ensuite, une analyse des stocks en main en magasin réalisée à l'aide de trois circulaires différentes pour un total de 328 SKU-bannières soulève des résultats étonnants à la fin d'une promotion (le pourcentage des produits en « front/back/special buy » versus le nombre de semaines de stock en main en magasin). Enfin, à partir des différents résultats obtenus et à l'analyse du processus des circulaires hebdomadaires chez RONA, ce mémoire aborde deux grandes problématiques de gestion de l'entreprise, soit les systèmes d'information et les magasins traditionnels. Une liste de recommandations permettant d'améliorer le processus d'approvisionnement en situation promotionnelle est proposée; certaines sont plus pratiques et applicables à court terme alors que d'autres sont plus élaborées et doivent s'échelonner à plus long terme. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Logistique, Chaîne d'approvisionnement, Stock, Marketing, Promotion, Initiative marketing, Circulaire.
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Le mobilier métallique dans la cité arverne et ses confins septentrionaux à l'époque romaine : études quantitatives et qualitatives / Metal furniture in the arverni city and its northern borders during roman times : quantitative and qualitative studies

Ducreux, Aurélie 16 November 2013 (has links)
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Nouveaux alliages, nouvelles alliances : le laiton et ses dérivés en Europe (France-Angleterre) au 18e siècle / New alloys and new alliances : Brass and other imitative metals in Europe and in the French eighteenth century society

Antoni, Elisabeth 02 February 2018 (has links)
La petite métallurgie du cuivre – laiton, bronze, plaqué, dorure, argenture – et la quincaillerie fine associée sont, en France, après la Guerre de Sept Ans jusqu’à la veille de la Révolution, de 1765 à 1790 environ, un secteur de l’économie du luxe à la pointe de l’innovation et très concurrentiel, capable de rivaliser avec l’Angleterre, une nation jusque là tenue comme « invincible ». Une première série de travaux en micro-histoire a aidé à redresser l’image de la « révolution » industrielle, mais la vision hiérarchisée des relations entre les différents acteurs subsistant, profitait à certains (gros merciers et entrepreneurs ; techniciens) au détriment d’autres. Au fil des recherches, s’est dégagée une vision plus complexe du milieu parisien de la curiosité, démontrant que les acteurs principaux, les merciers, étaient en général entourés de nombreux correspondants associés à leurs affaires et qui n’étaient pas de simples exécutants. Il fallait en retrouver trace par un dépouillement systématique des archives de Paris et de Londres.A la lumière des sources nous avons poussé les portes d’ateliers d’artisans-fabricants parisiens, découvrant leurs mises en scène de la technique et l’expression d’une pensée technologique : les équipements et les outils matérialisant leurs capacités à s’organiser ; les matières et matériaux, affichant leurs capacités à diversifier les nouveaux alliages et à en affiner les qualités ; les nombreux modèles affichant des intentions de décliner des gammes d’objets et de jouer sur les complémentarités entre métiers; les techniques de finition par jeux d’éclats, imitations, raffinement prouvant leurs implications dans une quête de la perfection.Mais la technicité et la spécialisation exigent de la sous-traitance, donc le recours à d’autres métiers et réseaux. Or, les contraintes corporatives à Paris à l’époque interdisent à l’artisan de vendre ce qu’il ne fabrique pas. Son corollaire est le privilège marchand de vendre tout ce qu’on n’a pas fabriqué, une prérogative qui donne à ce Corps l’ascendance sur les autres. Notre dépouillement de grosses affaires commerciales à Paris mais aussi à Londres démontre que le secteur du luxe prospère grâce à l’économie marchande et à la dynamique basée sur la multiplicité des métiers et des cultures. Cette dynamique est d’autant activée par la polyvalence de certains intermédiaires, dont la minorité de marchands juifs de Londres. Les archives de faillite confirment que les communications entre les marchands parisiens et les membres de ce réseau ont été porteuses de savoirs technologiques pratiques et que l’histoire de la technologie est inscrite dans ces alliances. / In between the end of the Seven Year War and the beginning of the Revolution, from 1765 to 1790, the French hardware trade and the “toy” industry - brass, bronze, plating, gilding, silvering - emerged as one of the most innovative and competitive luxury sector, able to compete with its English counterpart still held as the “hero” in the history of the industrial “revolution”. As a result of many new inquiries and reassessment of the subject through micro-history approaches, inherited historiography has been revised. Yet, a hierarchical vision of relationships among its actors (mercers, producers, and technicians alike) still prevails, leaving apart and undetected some more modest and seemingly ordinary people. As a result of additional recent studies, a new and more complex perception of the Parisian context has demonstrated that the main actors of this achievement usually worked in close association with a number of people that were far from being mere “hands”. Archival resources in Paris and London had to be explored much thoroughly.Perusing through the sources has led us first to visit craftsmen’s workshops and discover “the technique” which reflects the emergence of technological thought : the equipment and tools materialising their capacity to devise and organise the job ; products and materials including new alloys showing their ability to diversify and to refine ; numerous models testifying to their plan to increase the ranges of product relying on analogies and complementarities between trades; finishing and decorating through brilliance, imitations, refinements, proved that their quest for perfection was one of their ultimate challenge.But technique and specialisation mean expansion therefore sub-contracting, that is recruiting other trades and networks. Yet, under the Parisian corporative regulations, a craftsman is denied the right to sell what he does not produce himself, the corollary being that a merchant is allowed under that rule to sell whatever he does not make. This gives him predominance over artisans. Our study of significant mercers’ businesses in Paris and in London demonstrates that the luxury sector has been stimulated by trade and that it involved many arts and crafts; that under this impulse, though originating in France mainly Paris, it went beyond frontiers through different countries one of which being Great Britain, the economy of which was prospering; that the boost was reinforced by the involvement of networks of multi-skilled actors, among them the minority of Jewish traders from London.Thus, progress in historical research has led to the conclusion that between Parisian merchants and the members of this particular network, exchanges involved technology concerns and that, as a result of these alliances, technology had been greatly promoted.

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