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Sous un même toit? La formation et la transformation des maisonnées dans le Sud du Maroc : le cas des Ammeln (Tafraout, Anti-Atlas)

Paulin, Etienne 12 1900 (has links)
Thèse réalisée en cotutelle avec l'École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS, Paris). / L’histoire de la famille musulmane est née au début des années 1990 d’un souci commun d’éviter les généralisations hâtives et d’accumuler les faits élémentaires de la vie familiale et résidentielle. Or, le discours scientifique actuel, aussi bien que celui qui l’a précédé, restent fondés sur une même série de postulats qui conduisent à voir dans les modalités de la vie résidentielle et familiale propres aux sociétés de l’Islam la prégnance d’une mentalité collectiviste, la persistance d’une volonté ancrée dans l’esprit des individus de vivre « entre soi » dans la promiscuité d’une maisonnée nombreuse et complexe. Dans l’esprit d’une critique positive, cette thèse s’attache à illustrer la pertinence d’une perspective « atomiste » au regard des Ammeln, à savoir un groupe de paysans berbérophones natifs des hautes terres de l’Anti-Atlas, dans le Sud du Maroc. Cela se fera à la lumière d’une multitude de sources ethnographiques, démographiques et archivistiques, grâce auxquelles il sera possible de remonter le fil du temps et de suivre les processus de formation et de transformation des maisonnées établies par les habitants du pays des Ammeln depuis l’époque précoloniale jusqu’à nos jours. Ainsi, il apparaitra plus clairement que, dans les sociétés de l’Islam, aussi petites et isolées soient-elles, les noyaux familiaux sont enclins à vivre « chacun chez soi », et qu’ils n’acceptent de faire autrement qu’en raison d’un ensemble de forces et de contraintes sociales particulières les empêchant d’atteindre l’autonomie résidentielle et de bénéficier de la liberté d’action qui en découle. / Family history in the Islamic Middle East was born in the early 1990s from a shared concern to avoid sweeping generalizations and accumulate the basic facts about residential and family life. However, both the current scientific discourse and the one that preceded it are based upon a common set of assumptions that suggest that members of Islamic societies share a collectivistic mentality and a common desire to live amongst themselves in the promiscuity of large and complex households. In the spirit of positive criticism, this thesis aims to illustrate the relevance of a new “atomistic” perspective by studying the case of the Ammeln, a group of peasants from the Berber highlands of the Anti-Atlas, in Southern Morocco. This research is based on a variety of ethnographic, demographic and historical sources that make it possible to go back in time and follow the process of formation and transformation of households in this small village community, from pre-colonial times to the present day. As such, it will become clearer that, in Islamic societies, as small and isolated as they may be, elementary family units are inclined to live on their own, and that they choose to do otherwise only because of a given set of forces and constraints preventing them from attaining residential autonomy and benefiting from the resulting freedom.
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Dynamiques socio-spatiales et modes d'habiter des espaces urbains: comparaison de Besançon, Mulhouse et Strasbourg

Najib, Kawtar 19 September 2013 (has links) (PDF)
La répartition spatiale des fonctions et des populations urbaines n'est pas due au hasard, elle peut mettre en évidence des inégalités qui interrogent nos sociétés démocratiques fondées avant tout sur le principe d'égalité. Celui-ci s'appuie sur les relations entre le " social " et le " spatial " qui consistent principalement à explorer les inégalités sociales dans les espaces urbains et ce qui est ressenti comme une injustice par les individus. Pour saisir ces dynamiques socio-spatiales, nous focalisons notre recherche sur l'histoire urbaine de Besançon, Mulhouse et Strasbourg ainsi que sur les rapports entre les habitants et leur environnement résidentiel. À l'aide des grandes bases de données géo-localisées de l'INSEE, nous étudions la distribution spatiale des ménages ainsi que son évolution sur une période de près de vingt années (de 1990 à 2007). Par ailleurs, nous cherchons à observer les différents modes d'habiter des Bisontins, c'est-à-dire leurs stratégies résidentielles ainsi que leurs pratiques et représentations spatiales à l'aide d'enquêtes de terrain. Cette thèse s'appuie donc sur une double approche : l'une macroscopique, historique et quantitative et l'autre microscopique et qualitative. Elle présente finalement les structures socio-spatiales des zones d'étude et les trajectoires des quartiers (plus précisément des IRIS) afin de montrer les diverses tendances d'évolution (gentrification, paupérisation...) dans une optique comparative. Des facteurs d'évolution spécifiques apparaissent également en lien avec la localisation des villes d'étude ainsi qu'avec leurs fonctions urbaines et sociales, leur organisation interne et leur taille. Les enquêtes révèlent, pour leur part, plusieurs règles comportementales qu'il s'agit de comparer compte tenu de la diversité sociale des quartiers. Ces informations collectées à partir d'enquêtes sont plus subjectives, mais elles complètent les données des recensements et leur donnent du sens. Au final, elles montrent que l'appartenance à un groupe sociospatial ne détermine pas systématiquement les comportements résidentiels.
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Inégalités environnementales en région Ile-de-France : répartition socio-spatiale des ressources, des handicaps et satisfaction environnementale des habitants

Gueymard, Sandrine 16 November 2009 (has links)
Encore peu explorée à ce jour, la thématique des inégalités environnementales fait l’objet d’un intérêt grandissant en France. Parmi les multiples définitions proposées et les quelques tentatives d’évaluation réalisées, une acception semble toutefois plus fréquemment rencontrée. Cette dernière renvoie à l’existence d’inégalités sociales dans l’accès aux ressources environnementales et l’exposition aux nuisances, risques et pollutions. Cette thèse s’est donc proposée, à l’échelle de la région Ile-de-France, d’explorer les relations qu’entretiennent les caractéristiques physiques de l’environnement et les caractéristiques socio-économiques des individus et des territoires. Partant d’indicateurs statistiques usuels, sociaux et environnementaux, deux typologies multicritères ont été réalisées à l’échelle des 1300 communes franciliennes. Leur croisement permet de confirmer l’existence d’une correspondance globale entre les caractéristiques environnementales et sociales des communes et ce, à la fois à l’échelle régionale ainsi qu’à l’échelle plus réduite des départements de première couronne francilienne. Nos résultats révèlent toutefois des liaisons plus ou moins prononcées selon les facteurs environnementaux renseignés et plus particulièrement selon la nature même de ces facteurs, porteurs d’aménités ou de désaménités environnementales. Cette première lecture est alors complétée par une enquête par questionnaires auprès des habitants de 6 communes franciliennes (600 personnes). L’enquête, centrée sur le vécu environnemental des habitants, réaffirme en premier lieu l’importance de la qualité de l’environnement en tant que facteur de choix et d’arbitrage résidentiel des ménages. Parmi les variables renseignées, deux registres explicatifs apparaissent plus particulièrement structurants des différences de satisfaction constatées: (i) l’ancrage résidentiel et la relation affective qui s’instaure au lieu de vie ; (ii) la confiance que les individus accordent aux moyens d’action collectifs pour prendre en charge les attentes qu’ils expriment en matière d’environnement. Aussi, l’analyse des déterminants de la satisfaction environnementale révèle que la satisfaction serait peut être moins directement dépendante des variables socio-économiques stricto sensu, des caractéristiques « objectives » de l’environnement, que des capacités et aptitudes différenciées des individus de contrôler leur environnement et d’agir sur celui-ci. Ce faisant, les informations livrées par le ressenti de la population in situ adressent des questions à la mesure empirique des inégalités environnementales et au cadre d’analyse, encore aujourd’hui en débat, de telles situations inégalitaires. / Still little investigated until now, the issue of environmental inequalities is a subject of growing interest in France. Among numerous definitions and a few evaluation attempts, one understanding seems to be more common. It refers to social inequalities in regard of both the access to environmental resources and the exposure to nuisances, risks and pollution. This thesis’ purpose was to explore the relations between the physical characteristics of the environment and the socio-economic characteristics of the individuals and the territories on the scale of the Paris metropolitan area. Two multi-criteria typologies were carried out on the scale of the 1300 cities belonging to the Paris metropolitan area, based on usual statistical indicators – both social and environmental. The crossing of these typologies confirmed the existence of an overall match between the environmental and social characteristics of the cities. This appeared to be true both on the regional scale and on a smaller scale, the departments of Paris’ inner suburbs. Our results revealed connections that are more or less distinct depending on the examined environmental factors and particularly on the very nature of these factors, i.e. whether they encompass environmental amenities or desamenities. The empirical research in form of questionnaires and distributed among inhabitants of 6 cities of the Paris metropolitan area (600 people) completed this first approach. The survey, focusing on the personal environmental experience of the inhabitants, initially reaffirmed the importance of environmental quality as selection criteria and residential arbitration for the households. Among the examined variables, two explanatory registers appeared especially structurant of the recorded differences in satisfaction: (i) the residential anchorage and the emotional relation taking place in the living space ; (ii) the trust individuals grant to means of collective action to convey their environmental expectations. Therefore, the analysis of the determinants of environmental satisfaction unveiled that satisfaction would be be less directly related to neither sole socio-economic variables or “objective” environmental data than to the individuals’ differentiated capacities and aptitudes to control their environment and act upon it. Hence, the information collected on site driven by the population’s feeling questions the empirical measurement of environmental inequalities as well as the framework of analysis for such unequal situations– at this stage still an ongoing discussion.
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Les arrangements résidentiels des ménages autochtones au Canada en 1901 : le cas du Manitoba

Trudeau-Laurin, Léonie 12 1900 (has links)
Cette étude utilise la base de données à 100% du recensement de 1901, rendue disponible par le projet Le peuple canadien, pour faire une analyse descriptive des arrangements résidentiels des Autochtones du Canada au début du 20e siècle. La province du Manitoba a été sélectionnée pour une étude de cas. Le premier objectif de cette étude est d’évaluer la capacité du recensement de 1901 à représenter la réalité des ménages autochtones et son deuxième objectif est de faire une analyse descriptive des arrangements résidentiels des ménages autochtones, pour l’ensemble de la province ainsi que selon le district de résidence et l’âge et le sexe des individus. Une comparaison est aussi faite avec les ménages non-autochtones. Les principaux résultats sont que le recensement de 1901 permet aux chercheurs de représenter des ménages autochtones, mais représente seulement partiellement la population autochtone et peut tendre à moins bien représenter les ménages complexes. De plus, le ménage nucléaire est le plus important arrangement résidentiel, pour les Autochtones comme pour les non-Autochtones. Cependant, parmi les autres ménages, ceux comprenant de la famille étendue restent plus communs pour les Autochtones. Plusieurs facteurs laissent tout de même penser que le ménage nucléaire est surreprésenté chez les Autochtones, en raison notamment de biais de la source de données dans sa couverture de la population autochtone et dans sa représentation de leurs ménages. / This research exploits the 1901 Census 100% database, made available by the project The Canadian Peoples, to do a descriptive analysis of the living arrangements of the Indigenous Peoples of Canada at the beginning of the 20th century. The province of Manitoba has been selected for a case study. This research first aims to assess the capacity of the 1901 census to represent the reality of Indigenous households and also aims to do a descriptive analysis of the living arrangements of Indigenous households, for the whole province as well as for the district of residence and the age and sex of the individuals. A comparison is also made with non-Indigenous households. The main results are that the 1901 census allows researchers to represent Indigenous households, but only partially covers the Indigenous population and can tend to represent less accurately complex households. Moreover, the nuclear family household is the most common living arrangement, both for Indigenous and non-Indigenous people. Nonetheless, among other households thosethat include extended family are more common for Indigenous people. Other factors do, however, seem to indicate that the nuclear family household is overrepresented for Indigenous people, notably because of the bias of the data source in its coverage of the Indigenous population as well as its representation of their households.
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Dynamiques socio-spatiales et modes d'habiter des espaces urbains : comparaison de Besançon, Mulhouse et Strasbourg / Socio-spatial dynamics and ways of living of urban spaces : comparison of Besançon, Mulhouse and Strasbourg

Najib, Kawtar 19 September 2013 (has links)
La répartition spatiale des fonctions et des populations urbaines n’est pas due au hasard, elle peutmettre en évidence des inégalités qui interrogent nos sociétés démocratiques fondées avant tout sur leprincipe d’égalité. Celui-ci s’appuie sur les relations entre le « social » et le « spatial » qui consistentprincipalement à explorer les inégalités sociales dans les espaces urbains et ce qui est ressenti commeune injustice par les individus. Pour saisir ces dynamiques socio-spatiales, nous focalisons notrerecherche sur l’histoire urbaine de Besançon, Mulhouse et Strasbourg ainsi que sur les rapports entreles habitants et leur environnement résidentiel. À l’aide des grandes bases de données géo-localiséesde l’INSEE, nous étudions la distribution spatiale des ménages ainsi que son évolution sur une périodede près de vingt années (de 1990 à 2007). Par ailleurs, nous cherchons à observer les différents modesd’habiter des Bisontins, c’est-à-dire leurs stratégies résidentielles ainsi que leurs pratiques etreprésentations spatiales à l’aide d’enquêtes de terrain. Cette thèse s’appuie donc sur une doubleapproche : l’une macroscopique, historique et quantitative et l’autre microscopique et qualitative. Elleprésente finalement les structures socio-spatiales des zones d’étude et les trajectoires des quartiers(plus précisément des IRIS) afin de montrer les diverses tendances d’évolution (gentrification,paupérisation…) dans une optique comparative. Des facteurs d’évolution spécifiques apparaissentégalement en lien avec la localisation des villes d’étude ainsi qu’avec leurs fonctions urbaines etsociales, leur organisation interne et leur taille. Les enquêtes révèlent, pour leur part, plusieurs règlescomportementales qu’il s’agit de comparer compte tenu de la diversité sociale des quartiers. Cesinformations collectées à partir d’enquêtes sont plus subjectives, mais elles complètent les données desrecensements et leur donnent du sens. Au final, elles montrent que l’appartenance à un groupe sociospatialene détermine pas systématiquement les comportements résidentiels. / The spatial distribution of urban functions and populations is not random, this distribution canhighlight inequalities which call into question our democratic societies based on the principle ofequality. This principle is based on the relationship between the “social” and the “spatial” whichmainly consist in investigating social disparities in urban areas and what is perceived as an injustice byindividuals. To understand these socio-spatial dynamics, we focus our research on the urban history ofBesançon, Mulhouse and Strasbourg as well as the relations between the inhabitants and theirresidential environment. Using large geo-localized databases from INSEE, we study the spatialdistribution of households and its evolution over a period of nearly twenty years (1990-2007). Inaddition, we seek to observe the various ways of living of the residents of Besançon, that is to say theirresidential logics and their spatial practices and representations via field surveys. Thus, this thesis isbased on a double approach: the first one is macroscopic, historic and quantitative and the second oneis microscopic and qualitative. The study presents the socio-spatial structures of the studied cities andthe trajectories of districts (more exactly the IRIS: the smaller census area) in order to show thedifferent trends of evolution (gentrification, pauperisation...) in a comparative perspective. Specificfactors of evolution are also linked to the location of the studied cities as well as to their urban andsocial functions, their internal organisation and their size. The field surveys, for their part, revealseveral behavioural rules that we compare considering the social diversity of districts. Thisinformation collected from surveys is more subjective, but it completes the census data and gives themmeaning. Finally, we show that the membership of a socio-spatial group does not determinesystematically residential behaviours.
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Générations de classes moyennes et travail de gentrification. Changement social et changement urbain dans le Bas Montreuil et à la Croix-Rousse, 1975-2005

Collet, Anaïs 10 December 2010 (has links) (PDF)
À l'articulation entre sociologie urbaine et sociologie des groupes sociaux, la thèse est consacrée aux phénomènes de gentrification qui touchent les anciens quartiers populaires de centre-ville depuis plus de trente ans et à leurs acteurs habitants, les " gentrifieurs ". Caractéristiques de l'émergence des " nouvelles classes moyennes " à la fin des années 1970, désignés au début des années 2000 par la catégorie médiatique de " bobos ", ceux-ci contribuent au changement urbain par leurs choix et leurs investissements multidimensionnels dans l'espace résidentiel. La première partie de la thèse est consacrée à l'étude des générations de " gentrifieurs " des Pentes de la Croix-Rousse à Lyon et du Bas Montreuil en région parisienne, de leurs profils sociologiques et des ressorts de leur choix résidentiel des années 1970 aux années 2000. La deuxième partie est dédiée à l'analyse localisée du " travail de gentrification " mené par les nouveaux résidents du Bas Montreuil et à l'articulation de ce travail à leurs trajectoires sociales, professionnelles, militantes et familiales. Fondée sur des entretiens approfondis avec des " gentrifieurs " de diverses époques, étayée par l'analyse de statistiques localisées sur la longue durée, systématiquement replacée dans les contextes globaux et locaux, l'enquête permet d'éclairer les ressorts sociaux des mutations des quartiers anciens de centre-ville et de proche banlieue en même temps que les recompositions des fractions supérieures des classes moyennes.
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L'intégration des données énergétiques dans la conception architecturale située / Morpho-energetic investigations to assess buildings and city areas energy performance

Arantes, Laëtitia 23 January 2013 (has links)
Ce travail est une réflexion prospective sur la densification verticale de la ville par la tour d'habitation. Trois échelles sont considérées : le bâtiment seul (objet), la composition de sa façade et son insertion urbaine (bâtiment situé). Le parti pris est de n'examiner que le seul critère énergétique. Sont réalisées trois séries d'études « morpho-énergétiques » : 1 - une étude sur l'influence énergétique de la morphologie d'un bâtiment « objet » : l'objectif est de développer un outil d'évaluation simplifiée de la performance énergétique totale des bâtiments résidentiels. 2 - une extension du précédent modèle en insérant le bâtiment dans un morceau de ville : l'objectif est d'identifier l'influence des configurations urbaines sur leur performances énergétiques, à l'aide d'un outil d'optimisation par algorithmes génétiques. 3 - l'étude d'une nouvelle démarche de conception et de rénovation des bâtiments à travers le concept Core-Skin-Shell : l'objectif est d'évaluer l'intérêt énergétique d'une décomposition fonctionnelle du bâtiment. / This thesis analyses the energy performance of dense cities and residential towers. It focuses on the energy performance of the built environment at three different scales – the building, the façade and the city area. The details of the three “morpho-energetic” studies are as follows : 1 - the first one analyses the link between buildings' dimensions and their energy performance: it focuses on a simple calculation method to quickly approximate the whole energy balance of residential buildings. 2 - the second study analyses the morphology of energy and density reasoned city areas: the ultimate goal is to develop a tool helping to find the optimal form(s) of a low energy and dense city area. It is based on a genetic algorithm tool. 3 - the last one analyses the energy impact of a new design methodology for construction and refurbishment: the Core-Skin-Shell concept.
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Étude de l'influence du comportement des habitants sur la performance énergétique du bâtiment / Study of the influence of the inhabitants behavior on the energy performance of buildings

Vorger, Éric 04 December 2014 (has links)
Le comportement humain est modélisé de manière sommaire dans les logiciels de simulation énergétique des bâtiments. Or son impact est considérable et il est à l'origine d'écarts importants entre résultats de simulation et mesures in situ. Les occupants influencent les consommations d'énergie des bâtiments par leur présence et leurs activités, les ouvertures/fermetures de fenêtres, la gestion des dispositifs d'occultation, l'utilisation de l'éclairage artificiel et des appareils électriques, la gestion des consignes de chauffage et les puisages d'eau chaude sanitaire. La thèse propose une modélisation de l'occupation incluant l'ensemble de ces aspects suivant une approche stochastique statistique, pour les bâtiments résidentiels et de bureaux. La construction des modèles fait appel à un grand nombre de données issues de campagnes de mesures, d'enquêtes sociologiques et de la littérature scientifique. Le modèle d'occupation proposé est couplé à l'outil de simulation thermique dynamique Pléiades+COMFIE. En propageant les incertitudes des facteurs du modèle d'occupation et du modèle thermique (enveloppe, climat, systèmes), un intervalle de confiance des résultats de simulation peut être estimé, ouvrant ainsi la voie à un processus de garantie de performance énergétique. / Human behaviour is modelled in a simplistic manner in building energy simulation programs. However, it has a considerable impact and is identified as a major explanatory factor of the discrepancy between simulation results and in situ measurements. Occupants influence buildings energy consumption through their presence and activities, the opening/closing of windows, the actions on blinds, the use of artificial lighting and electrical appliances, the choices of temperature setpoints, and the water consumptions. The thesis proposes a model of occupants' behaviour including all these aspects, according to a stochastic approach, for residential and office buildings. Models' development is based on numerous data from measurements campaigns, sociological surveys and from the scientific literature. The proposed model for occupants' behaviour is coupled to the simulation tool Pléiades+COMFIE. By propagating the uncertainties of factors from the occupants' behaviour model and the thermal model (envelope, climate, systems), the simulation results confidence interval can be estimated, opening the way to an energy performance guarantee process.
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Générations de classes moyennes et travail de gentrification : changement social et changement urbain dans le Bas Montreuil et à la Croix-Rousse, 1975-2005 / Middle class generations and “gentrification work” : social change and urban change in the areas of Bas Montreuil and Croix-Rousse, 1975-2005

Collet, Anaïs 08 December 2010 (has links)
À l’articulation entre sociologie urbaine et sociologie des groupes sociaux, la thèse est consacrée aux phénomènes de gentrification qui touchent les anciens quartiers populaires de centre-ville depuis plus de trente ans et à leurs acteurs habitants, les « gentrifieurs ». Caractéristiques de l’émergence des « nouvelles classes moyennes » à la fin des années 1970, désignés au début des années 2000 par la catégorie médiatique de « bobos », ceux-ci contribuent au changement urbain par leurs choix et leurs investissements multidimensionnels dans l’espace résidentiel. La première partie de la thèse est consacrée à l’étude des générations de « gentrifieurs » des Pentes de la Croix-Rousse à Lyon et du Bas Montreuil en région parisienne, de leurs profils sociologiques et des ressorts de leur choix résidentiel des années 1970 aux années 2000. La deuxième partie est dédiée à l’analyse localisée du « travail de gentrification » mené par les nouveaux résidents du Bas Montreuil et à l’articulation de ce travail à leurs trajectoires sociale, professionnelle, militante et familiale. Fondée sur des entretiens approfondis avec des « gentrifieurs » de diverses époques, étayée par l’analyse de statistiques localisées sur la longue durée, systématiquement replacée dans les contextes globaux et locaux, l’enquête permet d’éclairer les ressorts sociaux des mutations des quartiers anciens de centre-ville et de proche banlieue en même temps que les recompositions des fractions supérieures des classes moyennes. / At the intersection between urban sociology and social group sociology, the thesis addresses the phenomena of gentrification affecting historical working-class areas over the last thirty years and their key players, the gentrifiers. Typical of the emerging “new middle classes” in the late 1970s, categorized by the media as “bobos” in the early 2000s, gentrifiers contribute to urban change through their choices and multidimensional investments in the residential space. The first part of the thesis is devoted to the study of generations of gentrifiers in the Pentes de la Croix-Rousse area in Lyon and in the Bas Montreuil area near Paris; it presents their sociological profiles and residential choices from the 1970s to the 2000s. The second part is devoted to the local analysis of the “gentrification work” in which new residents of the Bas Montreuil are engaged, in connection with their social, professional, militant and family trajectories. Based on extensive interviews with gentrifiers from various waves, supported by the analysis of long-term localized statistics, systematically replaced in the global and local contexts, the survey sheds light both on the sociological changes affecting historical central and suburb neighbourhoods and on the reshaping of higher fractions of the middle classes.
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Beyond smoking prevalence : understanding smoking behaviour patterns in young adults and their associations with residential environment features

Ghenadenik, Adrian 12 1900 (has links)
Le tabagisme demeure toujours la cause principale de décès prématuré évitable dans le monde menant à plus de 7 millions de décès par an. Ce comportement est particulièrement préoccupant chez les jeunes adultes, chez qui la prévalence est la plus élevée parmi tous les groupes d’âge au Canada et dans de nombreux autres pays industrialisés. Plusieurs caractéristiques de l’environnement résidentiel, notamment la présence et la densité de commerces vendant du tabac et la présence d’accommodements aux fumeurs, ont été associées à l’initiation au tabagisme, à une prévalence plus élevée du tabagisme, à moins de tentatives d’arrêt et des taux de cessation tabagique plus faibles. Cependant, les résultats de ce corpus de recherche restent contradictoires. Je propose dans cette thèse que ces résultats contradictoires sont en partie dues à 1) l’absence d’une prise en compte des différentes trajectoires de comportements tabagiques, 2) l’absence d’études des associations entre des caractéristiques environnementales spécifiques et ces trajectoires comportementales, et 3) la possibilité que ces associations soient de tailles différentes en fonction de différentes échelles spatiales. L'objectif général de cette thèse est donc d’avancer les connaissances sur les trajectoires de comportements tabagiques chez les jeunes adultes et sur leurs associations avec des caractéristiques de l'environnement résidentiel. Les objectifs spécifiques sont les suivants: 1) examiner si le tabagisme chez les jeunes adultes peut être mieux compris en examinant des trajectoires de comportements tabagiques à travers le temps, 2) examiner les associations entre ces trajectoires et des caractéristiques de l'environnement résidentiel, et 3) explorer comment ces associations peuvent varier en fonction de différentes échelles spatiales. Les données analysées proviennent du Interdisciplinary Study of Inequalities in Smoking (ISIS), une étude de cohorte de 2093 jeunes adultes âgés de 18 à 25 ans résidant à Montréal, Canada, conçue dans le but d’examiner le rôle interactif des facteurs individuels et contextuels dans la production des inégalités sociales en matière de tabagisme. Trois mesures ont été examinées: 1) trajectoires de comportements tabagiques observées rétrospectivement à deux ans d’intervalle, 2) trajectoires de comportements tabagiques observées prospectivement à deux ans d’intervalle, et 3) trajectoires de comportements tabagiques observées prospectivement à quatre ans d’intervalle. Les caractéristiques de l’environnement résidentiel ont été mesurées à partir de deux sources de données: des données obtenues par observation directe des rues où résidaient les participants et la base de données DMTI Inc. Enhanced Points of Interest©, qui fournit des informations sur un ensemble d’adresses géocodées incluant des détaillants de tabac. Des associations entre trajectoires de comportement tabagique et caractéristiques de l'environnement résidentiel ont été examinées à l'aide de modèles multiniveaux multinomiaux. Les résultats de cette thèse mettent en relief la nécessité d’examiner des différentes trajectoires de comportements tabagiques chez les jeunes adultes et comment ces trajectoires peuvent être associées à des caractéristiques spécifiques des environnements résidentiels. Plus précisément, ces résultats mettent en évidence le rôle potentiel d’une plus grande présence et d’une plus grande densité locale et proximale de détaillants de tabac dans l’exacerbation de la variabilité dans les comportements tabagiques dans ce groupe d’âge, ainsi que dans la reconduction du statut de fumeur chez les fumeurs plus expérimentés. En outre, les résultats mettent en exergue l’influence potentielle d’une plus grande présence régionale d’accommodements aux fumeurs sur la persistance de trajectoires de tabagisme néfastes pour la santé. Finalement, la présence d'associations à des échelles spécifiques suggère que des processus liant ces caractéristiques et différentes trajectoires de comportements tabagiques peuvent opérer à différentes échelles spatiales. Cette thèse contribue à la littérature sur les environnements résidentiels et le tabagisme en démontrant la valeur ajoutée d’examiner des trajectoires de comportements tabagiques et de la manière dont ceux-ci peuvent être influencés par des caractéristiques de l'environnement résidentiel. Cette recherche souligne la nécessité d'élargir l'examen des mesures du tabagisme afin d'inclure des trajectoires de comportements distincts qui intègrent l'évolution de la consommation de tabac au fil du temps et la manière dont ces trajectoires peuvent être associées aux caractéristiques de l'environnement résidentiel. En outre, ces résultats mettent en relief l’importance de l’examen de différentes définitions spatiales pour faire progresser les connaissances concernant les échelles auxquelles ces caractéristiques peuvent exercer une influence plus marquée sur les trajectoires de comportements tabagiques. Pris ensemble, ces résultats peuvent aider à orienter la recherche et les interventions en santé publique visant à réduire le tabagisme chez les jeunes adultes en identifiant des trajectoires de comportements tabagiques spécifiques et des caractéristiques environnementales pouvant jouer un rôle important dans leur formation, ainsi que les échelles géographiques auxquelles les processus reliant les patrons et caractéristiques des environnements résidentiels peuvent opérer. Des recherches futures dans ce domaine devraient continuer à examiner l'influence des caractéristiques environnementales sur les trajectoires de comportements tabagiques ainsi que d'autres comportements de santé, non seulement chez les jeunes adultes, mais potentiellement dans d'autres populations. / Smoking continues to be the leading cause of preventable premature death worldwide, accounting for more than 7 million deaths per year. Tobacco use is of particular concern among young adults, who have the highest prevalence of smoking of all age groups in Canada and many other developed nations. Several residential environment features, including the presence and density of tobacco retail and the presence of smoker accommodation facilities have been found to be associated with smoking initiation, prevalence, quit attempts and cessation rates. However, findings from this research continue to be inconsistent. I propose in this dissertation that these inconsistencies are partly due to 1) a lack of consideration of the different smoking behaviour patterns that young adults may go through, 2) the paucity of research examining associations between these patterns and specific residential environment characteristics, and 3) the potential for these associations to be stronger at different spatial scales. The overarching aim of this dissertation is to advance knowledge regarding smoking behaviour patterns among young adults and their association with residential environment features. The specific objectives are: 1) to examine whether smoking behaviour in young adults can be better understood by examining smoking behaviour patterns over time, 2) to examine associations between these patterns and residential environment features, and 3) to explore how these associations may vary in terms of presence and strength across different spatial scales. Data stem from the Interdisciplinary Study of Inequalities in Smoking (ISIS), a cohort study of 2093 young adults aged 18 to 25 years at baseline residing in Montreal, Canada, conceived with the objective of examining the interactive role of individual and contextual factors in the production of social inequalities in smoking. Three different measures were examined: 1) retrospective 2-year smoking behaviour patterns, 2) prospective 2-year smoking behaviour patterns, and 3) prospective 4-year smoking behaviour patterns. Residential environment features were measured based on two sources: data obtained through direct observation of the street blocks where participants resided, and DMTI Inc.’s Enhanced Points of Interest Database©, which provides a collection of geocoded address points including tobacco retail stores. Associations between smoking behaviour patterns and residential environment features were tested using multilevel multinomial models. Findings from this dissertation highlight the need to examine distinct smoking behaviour patterns among young adults and how they may be associated with specific features of residential environments. Specifically, these results suggest a potential role of a greater proximal and local presence and density of tobacco retail in exacerbating variable smoking patterns in this age group as well as in sustaining tobacco use among persistent smokers. Moreover, they highlight the potential influence of a greater regional presence of smoker accommodation facilities on persistent smoking patterns. Finally, the presence of scale-specific associations suggests that processes linking these features and distinct smoking patterns may operate at different spatial scales. This thesis contributes to the literature on residential environments and smoking by underscoring the added value of examining distinct smoking behaviour patterns and how these may be influenced by residential environment features. This research highlights the need to extend the examination of smoking outcomes to include distinct behavioural patterns that delve into how tobacco use may progress over time and how these patterns may be associated with residential environment features. Furthermore, these results highlight the importance of examining different spatial definitions to advance knowledge concerning the scales at which these features may exert a stronger influence on smoking behaviour patterns. Taken together, these findings can help orient public health research and intervention seeking to curb smoking among young adults by identifying specific smoking patterns and the environmental features that may play an important role in shaping them, as well as the geographic scales at which processes linking patterns and features may operate. Future research in this area should continue to examine how environmental features may influence smoking and other health behaviour patterns not only in young adults but potentially in other populations.

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