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Contribution à la génération assistée par ordinateur du tolérancement de fabrication 3D / Contribution to computer-aided generation of 3D manufacturing tolerancingJaballi, Karim 09 October 2009 (has links)
Lors de la réalisation des pièces d’un mécanisme, le fabricant se doit de respecter les exigences géométriques exigées par le client. Ces exigences sont issues de besoins fonctionnels du mécanisme à tous les stades de son cycle de vie. Le fabricant lors des opérations successives d’usinage, avec ou sans enlèvement de matière, doit définir les exigences de la géométrie ajoutée au poste. La combinaison de ces exigences affectées de leur tolérance doit être comparée aux exigences géométriques du client. L’objectif du travail présenté est la définition d’une méthode optimisant, rationnellement, les exigences géométriques des surfaces créées. Nous définirons les spécifications géométriques, au sens de l’iso 1101, mais la valeur de ces tolérances ne sera pas abordée dans ce travail, d’autres équipes ayant réalisés des travaux de qualité. L’étude poussée de la méthode 1D utilisée dans l’ensemble du groupe Renault pour définir les fiches schéma nous a montré ses limites lors de la multiplication des posages orientés différemment. Par contre l’optimisation du choix des spécifications influentes a retenu notre intérêt. L’étude des méthodes du bureau d’études pour la recherche de spécifications des pièces composant un mécanisme nous a permis de faire l’analogie avec les phases d’usinages. En effet le passage successif de la pièce sur les différents postes d’usinage s’apparente à des assemblages temporaires qui mettent en œuvre des surfaces actives qu’elles soient de posage ou créées à l’opération. La modélisation du processus d’usinage à l’aide d’une représentation graphique est largement utilisée par la communauté travaillant dans le tolérancement. Nous avons développé dans notre travail un modèle de représentation appelé SPIDER GRAPH. Ce modèle essentiellement pédagogique nous permet de visualiser le déroulement de l’algorithme développé à l’occasion de ce mémoire. Il met en valeur la succession de liens entre les différentes surfaces intervenant pour réaliser une spécification exigée. Deux méthodes utilisant le concept SATT pour la mise en position des ensembles de surfaces de tolérancement de fabrication 3D sont décrites : « Recherche des chemins du process contraignant les degrés de liberté de la spécification fonctionnelle ». Nous avons identifié, en se référant aux résultats développés par DESROCHERS, toutes les combinaisons possibles entre des entités simples et leurs correspondances en termes de type de tolérance. Une validation par un exemple a été établie et un ensemble de spécifications géométriques de fabrication a été généré. Cette méthode qui s’appuie successivement sur les surfaces du système de référence ne permet pas une écriture se référant à des systèmes de référence. Nous avons donc développé une alternative à ce travail initial. « Méthode rationnelle de tolérancement de fabrication 3D » Cette méthode est représentée par un logigramme qui prend en compte la hiérarchie des surfaces lors des posages. Il prend également en compte les inversions de spécifications entre la référence et la surface spécifiée. Lors de la création de surfaces temporaires qu’elles soient de posage ou d’usinage, la méthode permet de spécifier ces surfaces dans les opérations considérées. Lors du développement de cette méthode originale, nous avons repris la totalité des fiches de cotations SATT, développées par CLEMENT et aussi les modélisations vectorielles de ces cas d’association décrites par GAUNET. A l’aide des lois d’identification des paramètres de mise en position relative entre SATT, nous avons pu générer, l’ensemble des spécifications géométriques capables de mener au respect de la spécification géométrique fonctionnelle. Cette méthode assure la traçabilité des liens successifs entre les surfaces actives lors des différentes opérations. [...] / During the realization of the mechanism pieces, the manufacturer must respect the customer geometrical requirements. These requirements arise from functional needs of the mechanism in all its life cycle stages. During the successive operations of manufacturing, with or without material removing, the manufacturer has to define the added geometry requirements in each phase. The combination of these requirements affected by their tolerance must be compared with the functional geometrical requirements. The objective the actual work is to define a method optimizing, in a rational way, the geometrical requirements of the created surfaces. We shall define the geometrical specifications, according to the standard “ISO on 1101”, but the quantification of the tolerance zones will not be approached on this work, other teams have given good results. The 1D method, used in the whole of the group Renault to define process cards, is limited during the reproduction of positioning surfaces directed differently. On the other hand the optimization of the influential specifications retained our interest. The study of the engineering consulting firm method, used for the search of the each pieces specification composing a mechanism, allowed us to make analogy with the manufacturing phases. Indeed the successive manufacturing operation on various posts is similar to temporary assemblies which implement active surfaces whether they are positioning or machined surfaces, existing in this phase. The modeling of the manufacturing process by means of a graphic representation is widely used on the tolerance filed. We developed in our work a model of representation called SPIDER GRAPH. This essentially educational model allows us to show the progress of the algorithm, developed in this these. It emphasizes the succession of links between the various surfaces with intervene in the generation of needed manufacturing specification. Two methods based on the TTRS concept to select all needed surfaces in 3D manufacturing tolerancing are described: « Search of the process links constraining the functional forbidden displacement ». In this method we identified, by referring to the results developed by DESROCHERS, all the possible combinations between simple entities and their tolerance type correspondences. An example of validation is afterward established and a set of geometrical manufacturing specifications were generated. With this previous method we are constrained to treat the surfaces that constitute the functional reference system independently, one by one, which is not conform to the standard. What urged us to look for another alternative able to remedy to this problem. « Rational method for 3D manufacturing tolerancing synthesis based on TTRS approach » This method is represented by an algorithm which takes into account the hierarchy of positioning surfaces and the specifications inversions between the reference and the specified surface. During the creation of temporary surfaces, whether they are used for positioning or they are machined, the method allows to generate the appropriate tolerance specification in the considered phase. During the development of this method, we took back the totality of the tolerancing process TTRS cards, developed by CLÉMENT and also the vectorial modelling of these associations’ cases, described by GAUNET. With the relatives positioning parameters rules, we were able to generate at the end of the treatment all the geometrical specifications capable to ensure the respect of the functional geometrical specification. This method insures the traceability of the successive links between the active surfaces during the various manufacturing operations. These links which can be represented on the SPIDER GRAPH will allow determining mathematically or in a probability way the consequence of these various pieces transfer between machines.
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Simulation numérique de l'usinage par outil coupant à l'échelle macroscopique : contribution à la définition géométrique de la surface usinéeMarty, Audrey 08 July 2003 (has links) (PDF)
L'idée de mettre en place un simulateur relativement général de la partie mécanique de l'usinage à l'échelle macroscopique est à l'origine de ce travail. Deux thèses déjà soutenues au LMSP se sont principalement heurtées à la robustesse de l'algorithme d'intersection nécessaire pour obtenir la surface usinée. Ce travail a eu pour principal objectif de repenser la méthode de calcul de l'intersection des modèles B-Rep de l'outil et de la pièce.<br />Le premier objectif a alors été de revenir à un cas simple : le tournage en coupe orthogonale. Ceci a permis de vérifier à nouveau la pertinence de notre démarche et de commencer l'analyse des algorithmes d'intersection par celle d'un cas simplifié. Un simulateur spécifique a été mis en place et des comparaisons avec des résultats expérimentaux sont montrées.<br />Le second objectif a été d'améliorer l'algorithme d'intersection dans le cas tridimensionnel en reprenant complètement les points de vue adoptés dans les travaux précédents du LMSP. Le travail d'intersection est maintenant effectué dans une configuration de référence matérielle de la pièce. Ceci, combiné à une analyse autorisant l'auto-intersection d'un modèle B-Rep, améliore la robustesse générale de l'algorithme. Les développements correspondants à ce travail ont été intégrés dans le logiciel Nessy du LMSP.
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Contribution à la génération assistée par ordinateur du tolérancement de fabrication 3DJaballi, Karim 09 October 2009 (has links) (PDF)
Lors de la réalisation des pièces d'un mécanisme, le fabricant se doit de respecter les exigences géométriques exigées par le client. Ces exigences sont issues de besoins fonctionnels du mécanisme à tous les stades de son cycle de vie. Le fabricant lors des opérations successives d'usinage, avec ou sans enlèvement de matière, doit définir les exigences de la géométrie ajoutée au poste. La combinaison de ces exigences affectées de leur tolérance doit être comparée aux exigences géométriques du client. L'objectif du travail présenté est la définition d'une méthode optimisant, rationnellement, les exigences géométriques des surfaces créées. Nous définirons les spécifications géométriques, au sens de l'iso 1101, mais la valeur de ces tolérances ne sera pas abordée dans ce travail, d'autres équipes ayant réalisés des travaux de qualité. L'étude poussée de la méthode 1D utilisée dans l'ensemble du groupe Renault pour définir les fiches schéma nous a montré ses limites lors de la multiplication des posages orientés différemment. Par contre l'optimisation du choix des spécifications influentes a retenu notre intérêt. L'étude des méthodes du bureau d'études pour la recherche de spécifications des pièces composant un mécanisme nous a permis de faire l'analogie avec les phases d'usinages. En effet le passage successif de la pièce sur les différents postes d'usinage s'apparente à des assemblages temporaires qui mettent en œuvre des surfaces actives qu'elles soient de posage ou créées à l'opération. La modélisation du processus d'usinage à l'aide d'une représentation graphique est largement utilisée par la communauté travaillant dans le tolérancement. Nous avons développé dans notre travail un modèle de représentation appelé SPIDER GRAPH. Ce modèle essentiellement pédagogique nous permet de visualiser le déroulement de l'algorithme développé à l'occasion de ce mémoire. Il met en valeur la succession de liens entre les différentes surfaces intervenant pour réaliser une spécification exigée. Deux méthodes utilisant le concept SATT pour la mise en position des ensembles de surfaces de tolérancement de fabrication 3D sont décrites : " Recherche des chemins du process contraignant les degrés de liberté de la spécification fonctionnelle ". Nous avons identifié, en se référant aux résultats développés par DESROCHERS, toutes les combinaisons possibles entre des entités simples et leurs correspondances en termes de type de tolérance. Une validation par un exemple a été établie et un ensemble de spécifications géométriques de fabrication a été généré. Cette méthode qui s'appui successivement sur les surfaces du système de référence ne permet pas une écriture se référant à des systèmes de référence. Nous avons donc développé une alternative à ce travail initial. " Méthode rationnelle de tolérancement de fabrication 3D " Cette méthode est représentée par un logigramme qui prend en compte la hiérarchie des surfaces lors des posages. Il prend également en compte les inversions de spécifications entre la référence et la surface spécifiée. Lors de la création de surfaces temporaires qu'elles soient de posage ou d'usinage, la méthode permet de spécifier ces surfaces dans les opérations considérées. Lors du développement de cette méthode originale, nous avons repris la totalité des fiches de cotations SATT, développées par CLEMENT et aussi les modélisations vectorielles de ces cas d'association décrites par GAUNET. A l'aide des lois d'identification des paramètres de mise en position relative entre SATT, nous avons pu générer, l'ensemble des spécifications géométriques capables de mener au respect de la spécification géométrique fonctionnelle. Cette méthode assure la traçabilité des liens successifs entre les surfaces actives lors des différentes opérations. Ces liens que l'on peut représenter sur le SPIDER GRAPH permettront de déterminer algébriquement ou de façon probabiliste la conséquence de ces différents transferts de pièces entre les poste d'usinage.
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