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Sylvain Pitt ou les Avatars de la liberté : une vie à l'aube du XXe siècle 1860-1919 /Jakubec, Doris. January 1979 (has links)
Thèse--Lettres--Lausanne, 1979. / Bibliogr. p. 341-348.
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Jean-Sylvain Bailly astronomer, mystic, revolutionary, 1736-1793 /Smith, Edwin Burrows. January 1954 (has links)
Thesis--Brown University. / Title from front matter (viewed on Nov. 28, 2006). Includes bibliographical references.
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Sylvain Garneau : les illusions de la fantaisie.Vigneault, Alberte January 1972 (has links)
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Sylvain Garneau : les illusions de la fantaisie.Vigneault, Alberte January 1972 (has links)
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Windows of exileSylvain, Patrick 12 March 2016 (has links)
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Sylvain Rivière, écrivain régionaliste contemporainCharpentier, Alain January 2004 (has links)
Quebec knew a long tradition of regionalistic literature since the novel of the soil, tradition with which the writers of Quebec broke for a long time. However, certain writers still practice a regionalistic form of literature, which does not have anything to see with the novel of the soil. Within the literary institution, the regionalistic writers of today seem to belong to a sphere of distinct production. In order to delimit the space occupied by the contemporary regionalistic writers, we based ourselves on the theory of the literary field of Pierre Bourdieu and the theory of the institution of the literature of Jacques Dubois. So as to apply the model of Bourdieu and Dubois to a typical example of contemporary regionalistic writer, we chose to concentrate us on the career of Sylvain Riviere, Gaspesian writer born in 1955. Sylvain Riviere seems to be the regionalistic writer par excellence, who devoted the most part of his work to his region, Gaspesia and the Magdalen Islands. The example of Sylvain Riviere shows us that in spite of his marginality, the regionalistic writer is able to find his place inside the contemporary literary field.
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De l'ancien et du nouveau dans le roman québécois : une étude comparative entre le roman de la terre et deux romans contemporains : Terre du roi Christian de Sylvain Trudel et De l'amour dans la ferraille de Roch CarrierBurke, Joyce Darlene January 1991 (has links)
Dans un article récent, Gilles Marcotte étudie le rapport entre l'ancien et le nouveau, et remarque qu'il y a beaucoup de similarités entre le roman au début de l'époque littéraire québécoise et le roman québécois contemporain. Cette idée sert de base à ma thèse où je considère deux romans des années quatre-vingt: Terre du roi Christian de Sylvain Trudel et De l'amour dans la ferraille de Roch Carrier.
Commençant par une étude de la situation socio-politique et du développement du genre, dans le but de définir en quelque sorte le roman de la terre et l'esprit qui le caractérise, je vais ensuite à une discussion des romans de Trudel et de Carrier dans le deuxième et le troisième chapitres. Au coeur de cette discussion, sont l'idéologie et la vision du monde qui lient ces romans contemporains au roman de la terre. Dans Terre du roi Christian, la famille et le passé jouent un rôle important dans l'univers de Luc, le héros. Aux yeux de ce petit garçon, la famille sert de lien entre le passé et le présent. Le père, possédant une connaissance du passé et du monde, montre à son fils comment vivre; il est le véhicule par lequel l'héritage est transmis.
Un autre caractéristique du roman de la terre, le refus de
la réalité, se retrouve dans ce roman. Ne voulant pas accepter la réalité dans laquelle il vit, Luc transforme la terre en un petit paradis maya. On trouve de telles actions dans De l'amour dans la ferraille où Jeannot Tremblay se réfugie dans son monde d'amour et d'idéaux. Des pionniers, tout comme Jeannot et Luc, ont leur petit monde idéalisé dans lequel ils vivent. Ils condamnent toute innovation et se réfugient dans le passé et dans la tradition. D'autres personnages, Achille Bédard et Sautereau, trouve leur refuge dans la mort.
Les procédés narratives, qu'emplois le romancier, rapproche ces deux romans contemporains du roman de la terre aussi. Tout comme dans le roman de la terre, la nature et la terre nourrissent les métaphores et les comparaisons. D'ailleurs la terre et la nature deviennent parfois de véritables personnages avec des attributs humains. Cette humanisation de la nature est aussi caractéristique du roman de la terre.
Malgré toutes les similarités entre le roman de la terre et le roman contemporain, il y a, faut-il le souligner, des différences importantes. Une qui saute aux yeux, c'est la voix narrative qui a beaucoup changé depuis la naissance du roman québécois. Le focalisateur externe, donc limité, du roman de la terre n'est pas employé dans le roman de Trudel. Au lieu d'avoir un narrateur-focalisateur, Trudel se sert d'un narrateur externe et d'un focalisateur interne, ce qui donne à son roman une profondeur qui est absente du roman de la terre. La narration de Carrier est encore plus compliquée. Il a un
narrateur externe et deux focalisateurs: l'un externe, l'autre interne. Cette focalisation multiple équilibre le roman et l'aide à se distancer parfois de son roman. Dans la narration des romans contemporains étudiés dans cette thèse, on est très loin du roman de la terre. / Arts, Faculty of / French, Hispanic, and Italian Studies, Department of / Graduate
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Sylvain Rivière, écrivain régionaliste contemporainCharpentier, Alain January 2004 (has links)
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L'aventure comme cheval de Troie littéraire. La fabrique de l'aventurier chez Sylvain Tesson, Patrice Franceschi, Cédric Gras, Priscilla Telmon, Alexandre Poussin, Sonia Poussin et Blanche de RichemontCibilleau, Aurélien 19 February 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 7 février 2024) / Dans ma thèse, j'étudie comment des écrivains-voyageurs français contemporains se construisent une image d'aventurier au sein de leurs récits littéraires. Ces écrivains réalisent également des films documentaires qui viennent renforcer cette image d'autant plus importante que le nombre de touristes dans le monde est élevé et le champ littéraire saturé. Nos auteurs, hommes et femmes qui pour la plupart se connaissent, forment donc une sorte de groupuscule au sein du champ littéraire, dans lequel ils travaillent à leur propre distinction comme à celle de leurs amis. En d'autres termes, ils se forgent une exceptionnalité commune dans un monde où le voyage s'est démocratisé. Je reprends à Jérôme Meizoz sa notion de « posture », entendue comme un ensemble d'images de soi (« éthés ») qu'un écrivain peut adopter dans le temps, et j'observe la trajectoire des auteurs du corpus à travers ce prisme. Ils mobilisent tous une vision de l'aventure développée au XIXᵉ siècle, une vision certes considérée à l'époque comme positive mais aussi élitiste et viriliste, voire belliqueuse. Nos auteurs réaffirment pourtant la positivité de ces valeurs dans une société occidentale contemporaine qu'ils décrivent comme inepte, préoccupante et anhistorique. En s'affirmant d'abord comme des aventuriers, ils s'attribuent une aura d'exceptionnalité qu'ils remobilisent par la suite lorsqu'il est question de prendre position dans la sphère médiatique et dans le champ littéraire. Ils s'affirment comme des écrivains risque-tout, à contre-courant de la doxa mais, cependant, en droite lignée d'une certaine tradition historique intellectuelle et littéraire. Certains adoptent même l'éthos sulfureux d'écrivain réactionnaire qui achève de les singulariser et à qui l'aventure donne à la fois une caution et un vernis romanesque propre à séduire car, pour réactionnaires qu'ils se veulent, nos aventuriers incarnent les contradictions de leur époque. En cela, ce sont des antimodernes, des « réactionnaires de charme » selon le mot d'Antoine Compagnon. / In my thesis, I have studied how contemporary French travel writers have described themselves as adventurers within their literary stories. Over the time, these writers have also produced documentary films which have reinforced their literary images. Indeed, given the increasing number of tourists in the world and the saturated literary field, theses literary images have become very important. Our authors, men and women who are friends, consequently formed a sort of small group within this saturated field, in which they have worked for their own distinction as well as friend's. In other words, our French travel writers have forged a common exceptionality in a world where travel has become democratized. I have borrowed from Jérôme Meizoz his notion of "posture", understood as a set of selfimages ("ethes") that a writer can adopt over time, and I have observed the trajectory of the authors of the corpus through it. They all have mobilized a vision of adventure from the 19th century. This vision was certainly considered positive at the time but it appears from now as elitist and virilist, even bellicose. Our authors, however, have reaffirmed the positivity of these values in a contemporary Western society which they have considered to be inept, worrying and ahistorical. By first asserting themselves as adventurers, they succeeded in giving themselves an aura of exceptionality. They have subsequently remobilized this aura when it came to taking a position in the media sphere and in the literary field. Doing so, they have asserted themselves as risk-taking writers in direct line with a certain intellectual and literary historical tradition. Some of them have even adopted the sulphurous ethos of a reactionary writer, which had completed their singularity, and to whom adventure had given both authority and a romantic veneer capable of seducing. In this way, they appear eventually to be anti-modern as described by Antoine Compagnon, wich means both non-modern and super-modern.
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Jours de colère ; suivi de Dans les forêts de Sibérie : (géo)poétique du Rebelle chez Sylvain TessonBost, Maxime 04 1900 (has links)
Mémoire en recherche-création / Jours de colère explore le recours aux forêts à travers deux voix narratives dont les récits se font écho durant plusieurs années. Soumises à diverses formes d’oppression, iels trouvent refuge tour à tour dans les mondes virtuels, les lieux abandonnés, les drogues, la fuite géographique, la promesse de la vengeance ou celle du suicide. Iels confient au papier leurs expériences les plus intimes, et dévoilent comme stratégie de rébellion la reconstitution permanente de leur identité. En cheminant avec les images inspirées par leur culture musicale, littéraire, cinématographique, les personnages configurent une citadelle dans laquelle nul ne peut les atteindre : iels regardent, depuis ses tours, la société dont iels souhaitent s’exclure. Entre ellipse, hors champs, et tendance à l’épuisement, leurs prises de parole témoignent d’un questionnement profond, tiraillé entre l’impossibilité de rompre avec les origines et le refus de l’héritage.
« Dans les forêts de Sibérie » : (géo)poétique du Rebelle chez Sylvain Tesson interroge la figure de l’ermite mise en récit par Sylvain Tesson dans son roman Dans les forêts de Sibérie. En dialoguant avec les figures d’insurrection théorisée par Ernst Jünger dans Le Traité du Rebelle ou le recours aux forêts et Eumeswil, cet essai souligne les liens qui les unissent à l’ermite de Tesson – et ce qui les en détache. Il émerge de cette analyse un narrateur bien singulier : isolé du monde des humains et sa finitude, l’ermite tessonien s’inscrit dans le rythme des saisons, à travers sa prise de notes quotidiennes dans le carnet qui donne vie au roman. Sa pensée et ses gestes se modèlent sur le lieu qu’il observe avec attention, et habite en conscience d’être un invité. Grâce à sa manière de superposer une forêt imaginaire à la forêt de Sibérie, le récit de Tesson se réapproprie le champ d’action du Rebelle jüngerien, qui entre alors en résonance avec un espace géopoétique. / Jours de colère explores the Rebel figure through two narrative voices whose stories echo over several years. Subjected to various forms of oppression, both find refuge in virtual worlds, abandoned places, drugs, escape, promise of revenge or suicide. They entrust their most intimate experiences to their diaries, revealing the permanent reconstitution of their identity as an act of rebellion. Exchanging with and through the images drawn from their cultural background, music, books, films, the characters erect a citadel in which no one can reach them: from its towers, they look down upon the society from which they banished themselves. Between ellipsis and attempt to exhaust every bit of language, their words attest a deep questioning, torn between the impossibility of breaking with the origins and the refusal of heritage.
« Dans les forêts de Sibérie » : (géo)poétique du Rebelle chez Sylvain Tesson examines the figure of the hermit as depicted by Sylvain Tesson in his novel Dans les forêts de Sibérie. In open dialogue with insurgency as theorized by Ernst Jünger in Le Traité du Rebelle ou le recours aux forêts and Eumeswil, this essay underlines the links that unite his thoughts to Tesson's hermit - and what detaches them from it. From this analysis emerges a very singular narrator: isolated from the human world and its finitude, the Tessonian hermit melts himself into the rhythm of seasons, through his daily observations in the notebook that gives life to the novel. His thoughts and gestures mimic the place he observes with attention, and in which he lives with the awareness of being nothing but a guest. Through the superposition of an imaginary forest on the forest of Siberia, Tesson's narrative reappropriates the field of action of the Jüngerian Rebel, thus reverberating a geopoetic space.
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