Texte remanié de: Th.--Bloomington--University of Indiana, 1977. / Bibliogr. p. 278-300.

Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

Texte remanié de: Thesis Ph. D.--Philosophical Faculty I--Berlin--Humboldt-Universität, 2005. Titre de soutenance : Neuordnung and Hungerpolitik : the development and compatibility of political and economic planning within the Nazi hierarchy for the occupation of the Soviet Union, July 1940-July 1941. / Bibliogr. p. 222-234.

El régimen soviético dio mucha importancia al cine como medio de comunicación con la población y difusión de valores, especialmente aquellos referidos al compromiso con la Revolución, como la solidaridad y el desprendimiento. Muchas películas eran protagonizadas por mujeres que actuaban con liderazgo y colocaban el cumplimiento de su misión por encima de los sentimientos. Sin embargo, tras la muerte de Stalin, también varios cineastas lograron desafiar la censura y expresar diversas críticas hacia el régimen, siendo las comedias el género privilegiado para ello. Durante los años del Deshielo (1953-1964), en varias exitosas comedias se criticó el autoritarismo del período estalinista y el control asfixiante que había existido sobre sobre las expresiones culturales. Durante el período del Estancamiento (1965-1986) en muchas comedias se mostraban problemas como la escasez de productos, la economía ilegal y los privilegios de los burócratas. En relación a la mujer, un tema recurrente fue cómo sacrificaban sus vínculos sociales y proyectos personales por seguir la causa del Estado soviético y solamente cuando afirmaban su femineidad y cuidaban su apariencia lograban ser felices. Posteriormente, con la disolución de la Unión Soviética (1991), muchas películas describían una atmósfera de frustración y desesperanza, pero algunos cineastas afirmaron en sus películas que en medio de la crisis, las personas debían ser coherentes con sus propios valores. Para las mujeres, la opción de ser bellas y glamorosas ya no era realmente garantía de felicidad. / For the Soviet regime, cinema was a very important mechanism to disseminate values among people, specially support of the revolution and solidarity and self-sacrifice. Women were the main characters in many films acting as leaders and placing the fulfillment of their misión before their feelings. However, after Stalin’s death, some directors decided to defy censorship and to express their criticism to the regime, specially using comedies. During Thaw period (1953-1964) some succesful comedies criticised the authoritarianism of stalinism and the suffocanting control over cultural expressions, although these pictures did not reject the socialist regime. During the Stagnation period (1965-1986) many comedies showed problems such a shortage of basic products, underground economy, privileges of bureacrats and alienation of some people, above all women, who sacrified their social and personal life because were totally devoted to the Soviet regime. Only when those women asserted female condiction, taking care of their physical appearance and following tradicional gender roles, managed to be happy. Finally, after the disolution of the Soviet Union, many films described an atmosphere of frustration and lack of hope, but some directors insisted that, in the middle of the crisis, people shoud be coherent with their values. For women, trying to be beautiful and glamorouse no longer guaranteed happiness.

La Révolution russe permet l'épanouissement d'un milieu artistique expérimental où les artistes intègrent l'art à la politique. Les structures gouvernementales sont radicalement changées et l'institution du Proletkult, enfant de la Révolution et de l'idéologie de la culture prolétarienne, annonce une nouvelle ère démocratique inspirée de la philosophie marxiste. Alexandre Bogdanov propose un mode de vie ouvrier basé sur l'enseignement et la création artistiques. En favorisant l'expression et en valorisant la spécificité de la classe ouvrière, Bogdanov et ses collègues du Proletkult font naître un nouvel art au contenu fortement idéologique et aussi un nouveau type d'artiste engagé. Plusieurs théoriciens et artistes d'avant-garde, qui veulent s'engager dans le mouvement révolutionnaire, notamment les Constructivistes et les Productivistes, participent au développement idéologique et pratique du Proletkult. Ces artistes-intellectuels y voient un lieu favorable à l'éveil d'une vraie conscience de classe du prolétariat ouvrier à travers les possibilités de création et d'invention qu'offre la production culturelle et artistique. En outre, en réfléchissant à la mission de l'artiste et à la définition de l'art, ces théoriciens et artistes se retrouvent intrinsèquement lié à la pensée bogdanovienne.

Ce mémoire est une contribution à l'étude de la position des intellectuels critiques en Union Soviétique depuis ses débuts jusqu'aux années 1960. De ce point de vue, nous examinons la vie et l'oeuvre d'Anna Akhmatova (1889-1966), un grand poète du XX-ème siècle. Nous cherchons d'abord à préciser les liens d'Akhmatova avec certaines tendances intellectuelles russes des époques précédentes, et surtout avec la tradition pouchkinovienne dont elle s'estimait être l'héritière directe, et ce non seulement sur le plan littéraire, mais également quant à la place et au rôle du poète dans la société. En deuxième lieu, nous analysons comment Akhmatova, placée dans le contexte politique de l'époque soviétique, a interprété et développé cette tradition intellectuelle. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.

Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

Texte remanié de: Diss.--Fachbereich Philosophie- und Sozialwissenschaften--Universität Hamburg, 1996. / Bibliogr. p. 423-462. Index.

Diss.--Universität Hamburg. / Bibliogr. p. 701-796. Index.