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Understanding how social businesses influence the stigma of mental illness

Social businesses have been developed outside of formal mental health systems in order to improve the employment prospects of people with mental illness whose unemployment rates are the highest of all disability groups. This study aims to better understand how social businesses experience, and influence, the stigma of mental illness in employment, where stigma is thought to be operating with particular force. A comparative case study of five social businesses located in three Canadian cities was conducted. Data sources included participant observation; 44 individual and group interviews with 76 study participants; and documents. Based on a multiple-case analysis of the data using a constant comparative method, the findings describe the efforts of social business promoters to create legitimate, economically viable, and stigma-reduced workplaces where employees with mental illness may identify as capable workers and ordinary citizens. Risks for the stigma of mental illness emerged in the context of business conditions and social marketing; in connections between social businesses and the mental health system; and in the impact of public stigma, and employee self stigma, on business operations and environments. Elements that might reduce or neutralize the stigma of mental illness in employment, as well as implications for Social Work, are discussed. / Les entreprises sociales ont été développées à l'extérieur du système de santé mentale officiel afin d'augmenter les perspectives d'embauche des personnes avec un problème de santé mentale qui, par ailleurs, détiennent le taux de chômage le plus élevé de tous les groupes de personnes ayant un handicap. Cette étude a pour but de mieux comprendre comment ces entreprises sociales expérimentent et influencent la stigmatisation des personnes atteintes de maladies mentales où celle-ci est connue pour être particulièrement présente et bien ancrée. Une étude de cas comparative a été menée auprès de cinq entreprises sociales situées dans des villes canadiennes. Des sources de données incluaient l'observation de participants; 44 interviews individuels et de groupe avec 76 participants à l'étude; et documents. Basés sur une analyse de cas multiple des données utilisant une méthode comparative constante, les résultats décrivent les efforts des promoteurs d'entreprises sociales de créer un lieu de travail légitime et économiquement viable où la stigmatisation est réduite, et où les employés atteints de maladie mentale peuvent s'identifier comme des travaillants capables et comme des citoyens ordinaires. Les risques de stigmatisation de la maladie mentale ont émergé dans le contexte des conditions d'affaires et du marketing social; par rapport avec les entreprises sociales et le système en santé mentale, l'impact de la stigmatisation provenant du public et la stigmatisation de l'employé sur les opérations d'affaires et d'environnements. Les éléments qui pourraient réduire ou neutraliser la stigmatisation de personnes atteintes de maladie mentale ayant un emploi, aussi bien que des implications de l`étude pour le Service Social, sont discutés.

Identiferoai:union.ndltd.org:LACETR/oai:collectionscanada.gc.ca:QMM.121141
Date January 2014
CreatorsSabetti, Judith
ContributorsLucyna Maria Lach (Supervisor1), Myra Piat (Supervisor2)
PublisherMcGill University
Source SetsLibrary and Archives Canada ETDs Repository / Centre d'archives des thèses électroniques de Bibliothèque et Archives Canada
LanguageEnglish
Detected LanguageFrench
TypeElectronic Thesis or Dissertation
Formatapplication/pdf
CoverageDoctor of Philosophy (School of Social Work)
RightsAll items in eScholarship@McGill are protected by copyright with all rights reserved unless otherwise indicated.
RelationElectronically-submitted theses

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