Depuis 2001, le Sénégal a décliné des stratégies nationales de réduction de la pauvreté parmi lesquelles figure l’autopromotion paysanne, notamment via le développement de l’agroforesterie dont dépend près de la moitié de la population nationale pour sa survie. Notre étude, de type qualitatif, a été réalisée dans la communauté rurale de Mangagoulack, en Basse Casamance, auprès de 120 paysans. Elle comprenait des enquêtes à l’aide de questionnaires et de groupes de discussion, qui ont permis d’évaluer la contribution des produits forestiers ligneux et non ligneux du Parkia biglobosa (néré) utilisés par les ménages pour satisfaire leurs besoins vitaux. Ceux-ci utilisent le fruit pour combler leurs déficits vivriers et sa coque pour récupérer les terres salées et lutter contre les attaques des termites. Le néré, dont la gestion relève des propriétaires fonciers qui ont le monopole de la cueillette, contribue ainsi à réduire les risques de pauvreté des ménages.
Identifer | oai:union.ndltd.org:LAVAL/oai:corpus.ulaval.ca:20.500.11794/24206 |
Date | 19 April 2018 |
Creators | Goudiaby, Mamadou |
Contributors | Olivier, Alain, Gélinas, Nancy |
Source Sets | Université Laval |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | mémoire de maîtrise, COAR1_1::Texte::Thèse::Mémoire de maîtrise |
Format | 118 p., application/pdf |
Coverage | Sénégal |
Rights | http://purl.org/coar/access_right/c_abf2 |
Page generated in 0.0024 seconds