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La délégation du récit et la violence symbolique en architecture : en marge de Jacques Derrida et de Chora L Works : une contribution (mineure) à un balisage historique pour la déconstruction architecturale

Bien que la mouvance architecturale dénommée «déconstruction» ait fait l'objet de multiple traitement, les conditions formelles révélant comment divers projets hétérogènes se sont confrontés, doivent encore être éclaircies. Ce travail de recherche veut circonscrire le fonds commun à partir duquel récit, narration, histoire, archive, droit, et patrimoine, peuvent se nouer dans la forme construite, et s'y reposer en une configuration inédite. Les lignes de faille qui tendent les corps disciplinaires et qui participent, derrière des noms propres (Eisenman, Tschumi, Derrida), de divers projets conjoints et contradictoires, courent encore souterrainement au carrefour supposé entre quatre moments synchroniques, mais distincts : la conservation muséale, la théorie architecturale, le discours scientifique, et la philosophie. Or, dans la disputatio scolastique, la forme discursive admet justement la confrontation entre divers champs du savoir, et le dépassement des formes du pouvoir par la violence. La déconstruction se reconfigure alors dans l'appareil de la justice.

Identiferoai:union.ndltd.org:LAVAL/oai:corpus.ulaval.ca:20.500.11794/23537
Date18 April 2018
CreatorsMarquis, Jean-François
ContributorsTeyssot, Georges
Source SetsUniversité Laval
LanguageFrench
Detected LanguageFrench
Typemémoire de maîtrise, COAR1_1::Texte::Thèse::Mémoire de maîtrise
Format95 f., application/pdf
Rightshttp://purl.org/coar/access_right/c_abf2

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