Le concept de l'installation des années soixante affiche des réponses diverses lorsque l'on pose un regard sur l'histoire de l'art. Au cours des vingt dernières années, des paramètres majeurs ont circonscrit l'installation et de manière plus ostensible, l'artiste a
[d]étrôné de son statut privilégié la peinture et la sculpture, ainsi l'objet d'art présent «installé» dans un lieu partage la scène avec «l'espace», la lumière, le champ visuel du spectateur et l'objet lui-même»1.
Partant des diverses conceptions des historiens(nes) ou critiques d'art qui entourent plusieurs propositions artistiques, il est significatif d'exprimer que s'il n'existe pas une définition concrète de l'installation, une approche artistique paraît s'inscrire dans un champ élargi de la sculpture et de la peinture, tel que défini depuis Rosalind Krauss.
En conséquence, peu importe l'aspect sous lequel est abordée la "question de l'installation", un certain "flou", une certaine "complexité" se laisse voir. Des questionnements perdurent à son sujet: comment décrire l'installation concernant ce projet de maîtrise en arts visuels?*.
Identifer | oai:union.ndltd.org:LACETR/oai:collectionscanada.gc.ca:QCU.1146 |
Date | January 1996 |
Creators | Larocque, Marie-Claire |
Source Sets | Library and Archives Canada ETDs Repository / Centre d'archives des thèses électroniques de Bibliothèque et Archives Canada |
Detected Language | French |
Type | Thèse ou mémoire de l'UQAC, NonPeerReviewed |
Format | application/pdf |
Relation | http://constellation.uqac.ca/1146/ |
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